mon entrejambe (suite1)

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : mon entrejambe (suite1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2008 dans la catégorie Plus on est
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mon entrejambe (suite1)
Je me trouve toute seule dans cette ville inconnue. Avant de partir, dans la perspective de me trouver isolée, j'avais acheté au sexe shop ce qu'il fallait pour me faire jouir et oublier la pine de l'amant de ma copine avec lequel nous avions eu tant de plaisir
Je travaille comme comptable dans une grosse boite et je partage mon bureau avec une fille qui semble physiquement bien. Pendant plusieurs jours je me contente de me branler. Puis un ,jour je me décidé: je suis devenue une fille bonne à chercher les garçon: vêtu d'une jupe en jean très courte avec un t-shirt transparent sans rien dessous, j'étais le portrait même d'une fille sans moralité. La plus part des hommes me regardait d'un air envieux: ils aurait bien fait l'amour avec moi. Les regards des femmes étaient plus durs; je devais être une vrai pute.
En arrivant au bureau le matin, je vois le regard étonné de ma collègue et surtout se sent que ses yeux sont souvent posés sur mon entrejambe, j'écarte les cuisse et elle peut voir mon con. Elle rosit, mais regarde souvent. Je lui demande pourquoi elle ne s'habille pas comme moi. Elle répond que, parce que les gens et que......
Le lendemain elle arrive vêtue d'aussi peu de chose que moi robe pratiquement transparente très courte également. Lorsqu'elle s'assoit à son bureau, elle écarte les jambes et je peux à mon tour voir son sexe et sa toison intime aussi blonde que ses cheveux.. Je lui dit qu'elle me faisait envie et que je lui proposait de lui faire l'amour. Elle rougit et se tait. Le soir nous partons ensemble et je lui rappelle qu'elle me plait beaucoup. Et lui propose de venir chez moi. Elle me suit: c'est pour moi une victoire; Ce soit je fais baiser.
Enfin dans mon studio je l'embrasse à pleine bouche. Elle m'avoue que c'est la première fois qu'elle embrasse comme ça une autre fille.Je lui fait tomber la robe et elle apparait enfin nue: j'admire dessuite ses seins en forme de poire je les prend dan s ma main et j'en caresse toute la surface: les tétons durcissent, l'excitation fait son oeuvre. Je passe mes bras autour de sa taille fine et pose mes mains sur les fesse. de son coté, elle me caresse les seins, j'aime bien ses mains sur mon corps. je me débarrasse du peu de vêtement que je porte et une fois entièrement nue nous nous écartons un peu l'une de l'autre pour mieux voir nos deux corps l'un près de l'autre. Finalement je reprends on long baiser et je le pousse sur mon lit. Je prends des initiatives puis pour elle c'est la première fois: je lui suce les seins, mes mains parcourent son corps entier:Elle frémit surtout lorsque ma main arrive dans sa fourrure . je la laisse un moment sur son bas ventre puis lentement je lui fait écarter les cuisses, pour y glisser ma main curieuse: je trouve les lèvres de son con, les pince légèrement et avec un doigt je trouve et branle le clitoris. Elle ferme les yeux et me laisse faire. Après un petit moment je rentre un autre doigt dans son con. Elle jouit alors rapidement.
Elle me dit avoir pris un grand plaisir à mes privautés et ne penser trouver tant de plaisir avec une femme. Je lui demande de me branler à mon tour. Elle ose toute seule m'embrasser tout en me pelotant les seins: elle sait le faire très bien, je suis excitée et je mouille beaucoup. Elle me prend directement le bouton et se mets à le caresser jusqu'à ce que je jouisse dans sa main
Ensuite je lui demande si elle veux être branler par un gode. Elle me dit qu'elle n'a jamais essayer. Je prend le plus gros et après l'avoir embrasser longuement, je m'assois sur le coté du lit et lei demande de m'offrir son con. elle écarte largement les jambes. J'ai enfin l'occasion de voir toute son entrejambes et lui dit que je vois son clitoris, son con proprement dit et son cul. Puis, après l'avoir un peu branler encore, je rentre lentement le gode dans son con. Elle me dit de ne pas arrêter de suite. Ce n'est pas mon intention: je continuerais jusqu'à son orgasme que je prévois très fort. Je ne me trompe pas: elle jouit en poussant un petit cri: je jouiiii ! Je l'embrasse encore une fois , ma langue toujours à la recherche de la sienne. Puis mettant le gode dans ses main, je lui demande de me rendre la politesse. Elle ne se fait pas prier, puisqu'elle aussi regarde et détaille toute mon intimité avant le me baiser avec ce gode qui m'a donner tant et tant de plaisirs solitaires. Elle me fait jouir évidemment.
Nous prenons un instant de repos, serrés l'une coutre l'autre, toujours couchées. Mais j'ai besoins de sentir une langue sur mon sexe. Je lui propose de faire un 69. Là encore une fois elle ne l'a jamais fait: je vais d'apprendre. Je la mets sur le dols, m'installe à califourchon sur son visage et me couche presque sur elle pour la sucer. Je lui demande de prendre mon clitoris entre ses lèvres et de sucer fortement pour le faire rentrer un peu dans sa bouche et de lécher avec sa langue. Elle le fait pas trop maladroitement et à mon tour je lui en fait autant entre ses jambes ouvertes. Nous avons toute les deux un orgasme dévastateur.
Nous étions venues chez moi juste pour un moment, et nous avons faim: il est 23 heures, alors que nous pensions en avoir terminé pour 21 heures. Nous sortons plus ou moins pas attifées et trouvons un petit restaurant sur le point de fermer: notre allure assez excitante pour un homme fait que le serveur ,nous propose des sandwichs. Nous les mangeons avec appétit. Puis laissant le serveur seul avec ses idées de baise, (nous pensons qu'il va se branler en pensant à nous), ,nous prenons le chemin de mon studio. En route un homme d'une trentaine d'an nées me demande sa route pour se rendre près de chez moi: juste en face. Ma tenue plus que sexy, puis je dois avoir un sein dehors met dans son pantalon une bosse dont je sais d'où elle vient. Je propose à mon amante de le prendre avec nous: nous avons besoin d'un mâle avec nous. Ils nous accompagne: nous l'entourons, en lui donnant le bras. Chacune à sa manière le fait bander complétement, moi en luji disant ce que nous venons de faire, et ma copine en lui mettant directement la main sur son sexe.
Arrivés chez moi, je me dévêts et mon amie l'embrasse à pleine bouche. J'en veux ma part et à mon tour je viens tripoter cette queue dont j'ai envie ! Finalement ma copine me laisse faire , se mets nue et entreprant de désabiller cet homme que nous ne connaissons que depuis quelques minutes. Mais en le voyant nu nous avons la surprise de voir un homme bien membré bien fait de son corps et qui donne envie d'avoir des rapports prolongés avec lui. Ma copine décide de le sucer,ce qu'elle sait faire je continue à l'embrasser, il est très excité de voir que deux filles s'occupe de lui.Il bande encore plus remplissant fortement la bouche de celle qui le suce. Il ne tarde pas à éjaculer dans la bouche de ma copine, mais j'aime moi aussi le sperme et je vais le prendre dans la bouche où il a jouit. Maintenant, kil ne bande plus, mais nous avons les moyens de le remettre en forme:
Nous faisons un 69 assez long pour qu'il bande très fort. Il nous regarde un moment, sa bite à pris une bonne forme pour baiser les deux. Ma copine n'y tient plus: prends moi maintenant; elle l'entraine sur le lit écarte les jambes et lui viens sur elle qui le guide pour que la pine aille dans son con. Ils entament les mouvements de vas et viens. je suis très excitée et je me branle en attendant mon tour. Mon ami-amantr jouit très vite. L'homme me regarde me branler et me demande de venir baiser, il a encore beaucoup de réserve en lui. Mais je lui demande de se coucher sur le dos pour qu'il suce le con de mon amie et que je le chevauche pour me faire mettre comme j'aime et diriger mon plaisir. Nous voila à deux sur le même amant. Placées comme nous sommes, nous nous embrassons et nous caressons les seins. Le plaisir est très fort. Mais lui n'a pas jouit. Je lui demande de m'enculer. Il me met en levrette, prend de la mouille dans le con de mon amie, la met sur mon petit trou et y pose délicatement son gland, il m'encule avec beaucoup de lenteur, alors d'un seul coup de rein, je me fait mettre sa bitte à fonds;, je sens les poils de son sexe contre mes fesses. Nous jouissons ensemble moi à cause de sa bite et lui à cause des spasmes de mon cul qui jouit.
Epuisés nous nous endormons tous trois dans mon lit, lui est au milieu. Et le matin il se réveille en bandant, ça ne l'empêche pas d'aller trifouiller dans la cuisine pour faire du café, et toujours bandant il vient nous réveiller pour nous faire boire le café. Mais nous remarquons qu'il bande toujours. Sa grosse queue est en grande forme Je propose qu'il commence la journée comme il avait finit l'autre: enculer mais pas moi , mon amie.qui émets des réserves elle n'a jamais été enculée, elle sait que c'est bon parce qu'elle :m'a vue y prendre du plaisir, mais elle ne pense pas pouvoir supporter une pine surtout aussi grosse dans le cul.Nous la rassurons, avec quelques préparations elle y prendra aussi beaucoup de plaisir.
En effet nous la caressons surtout les fesses puis comme elle commence à être excitée, l'homme prend de sa mouille dans son con et en tapisse le petit trou. Pendant ce temps je l'embrasse à fond et lui caresse les seins. Je lui branle un peu de con. Il la fait mettre en levrette, je passe dessous, il lui mets un puis deux doigts dans le cul: elle se laisse faire. Enfin il pose sa bite sur le trou et y pénètre très lentement: elle se crispe un peu je lui demande d'être plus réceptive et de se décontracter; En même temps je lui suce le con. Enfin la pine est entièrement dans le cul resserré mais qui s'offre enfin. Elle n'a rien dit pendant un moment et d'un seul coup elle proclame que c'est très bon. Elle jouit et le fait savoir. La bite est encore dure: à mon tour je demande d'être enculée encore une fois. Il le fait et cette fois ci il jouit avant moi. C e n'est pas grave mon amie me sujce pour me donner un dernier orgasme.
Je dit alors que comme nous sommes voisins il pourra venir autant de fois qu'il voudra, même avec un copain à condition qu'il soit bien membré.
Mais ceci est ujne autre aventure.

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