Cocu mais excité

- Par l'auteur HDS Julien2 -
Récit érotique écrit par Julien2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cocu mais excité Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cocu mais excité
Bonjour à vous tous. Je me présente : je m’appelle Julien, j’ai 18 ans et suis en dernière année de secondaire. Je suis, je pense, quelqu’un de mignon mais sans plus. Je n’ai jamais eu de difficultés à me faire des filles mais je ne suis pas un tombeur- fou.

Depuis deux ans, je suis avec Leila qui, contrairement à ce que son prénom l’indique, n’est pas d’origine maghrébine. Un simple choix de ses parents, tous deux italiens. Je dois bien avouer qu’elle constitue ma meilleure conquête : petite, mince, belle poitrine, un magnifique petit cul, cheveux noires lisses,… Elle aime s’habiller sexy sans être provocante. Entendez par là : pantalon taille basse, mini jupe, blouse un peu décolleté,… Elle met en avance son joli corps.

Nous avons tous deux connu notre premier rapport sexuel ensemble. Depuis nous avons toujours été fidèles et plus amoureux de jour en jour. Pour revenir à cette première fois, à part le sang en abondance, tout s’est bien passé. Nous avons pris le temps, la pénétration fut lente et agréable,… Un très bon souvenir ! Depuis, c’est quatre, cinq fois par semaine, la totale et une quinzaine de pipes. N’ayons pas peur des termes : elle adore cela et c’est généralement moi qui ait dur à suivre avec, pour conséquence, quelques fois, des problèmes d’érection.
Nous n’avons pas encore essayé la sodomie et elle n’a jamais avalé. Nous ne sommes pas échangistes mais un peu exhibitionnistes. Elle a ainsi accepté que je la doigte sur un site de cams, avec nos visages cachés. Voilà, ainsi, le décor est planté, vous savez tout.

Nous sommes donc ensemble à l’école dans la même classe et sommes toujours avec le même groupe d’amis. Disons plutôt avec le même groupe de garçons : ma jalousie et ma possessivité ont fait qu’elle a eu de moins en moins de vraies amies et a passé ses temps de midi avec moi et quatre autres copains. Leurs copines étant extérieures à l’école, elle n’avait d’autres choix que de nous écouter et participer à nos conversations d’hommes. Honte à moi !

Pourtant un jour, tout a basculé.
Nous étions dans sa chambre et je cherchais désespérément un numéro de téléphone noté sur un bout de papier. Alors qu’elle était en bas, je fouillai dans sa poubelle et tombai sur deux capotes usagées, sentant encore la forte odeur de sperme. N’utilisant jamais le latex, je compris vite que ces préservatifs étaient à quelqu’un d’autre. M’avait- elle trompé ? J’eu comme une boule au ventre mais, néanmoins, choisis de ne rien dire.

Durant les jours qui suivirent, je fouillai son GSM, son PC, observai avec qui elle parlait le plus,… mais aucun indice ne ressortit. Aucun sauf une fois, en classe. Assise entre moi et Hervé, mon meilleur ami, je fus sur que je vis sa main effleuré la cuisse de ma copine. Mais ce n’est pas tout : suite à une émission de jean- Luc Delarue, sur l’échangisme et l’infidélité, nous avons abordé ses sujets et elle semblait fortement intéressé, notamment par la pluralité. Elle parlait mais me certifiait qu’elle ne se verrait pas avec un autre homme.

Mercredi après- midi, travail de groupe chez elle : Hervé, elle et moi. C’est ce jour- là que je décidai de mener mon enquête. Au bout d’une heure de travail, je fis sonner mon portable et fis croire que ma mère me demandait de rentrer afin de faire une course. Bête mensonge mais ils n’eurent pas l’air de s’en préoccuper.
Le lendemain, dans la poubelle, trois capotes pleines de sperme. Non seulement ils avaient baisé mais en plus, il y avait mis la dose. De nouveau, je fis semblant de rien mais la femme de votre vie et votre meilleur ami, ça fout un choc.
Pourtant le soir, chez moi, dans mon lit, j’y repense, y repense et me branle. Elle m’a excité cette grosse conne. Mais je ne dis rien et cherche d’autres indices.

Un indice me parvint deux jours plus tard. Dans le portable de Leila : rien mais Hervé sembla moins préventif et il y avait deux messages de mon amoureuse. L’un d’eux disait qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait eu mal au début et l’autre disait qu’elle m’aimait mais qu’au lit, elle ne saurait plus se passer de lui. Et surtout elle terminait le message par cette phrase : vivement que je l’aie encore dans ma bouche.

Pendant une semaine, plus aucun indice : la poubelle était toujours vide, le GSM d’Hervé aussi,… avaient- ils eu des soupçons ?

Lundi suivant, voyage à Bruges avec la prof de néerlandais. Pour ce cours, la classe est scindée deux groupes et comble de (mal)chance, nous ne sommes que trois avec qui nous nous entendons. Pour ne rien gâcher, Leila a aujourd’hui une petite jupe à carreaux, style écolière et des hautes bottes en cuir. Un léger maquillage et elle est splendide. Je l’ai toujours trouvé belle mais aujourd’hui sans doute plus que d’habitude.

La journée se passe bien. Nous rigolons mais ils n’ont aucun geste déplacé. Pourtant le moindre effleurement entre eux m’excite.
Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a une certaine complicité entre eux : ils rigolent, sont proches, parlent de tout et de rien,… Par moments, je me sens même un peu à l’écart.

Rentrant vers minuit du voyage, il était convenu que nous dormions tous les trois chez leila. Son père ne voulant pas que je dorme avec, je me retrouve dans la chambre d’ami, voisine de celle de ma chérie, avec Hervé. Moi dans le lit, lui au sol sur un matelas. J’avoue avoir dur à trouver le sommeil et au bout d’une heure, je ne dors toujours pas. Moment que choisit Hervé pour me demander si je dors. Je ne réponds pas. Il patiente encore dix minutes, me le redemande. Toujours pas de réponse. J’ai les yeux tournés vers le mur pour éviter de devoir les fermer. Je l’entends se lever, ouvrir la porte et d’après ces pas, il est chez mon amoureuse.
Je patiente dix grosses minutes, me lève, entrouvre ma porte et écoute les bruits venant de l’autre chambre. Elle gémit, j’en suis sur. Ce sont des gémissements de plaisir. J’en mets ma main à couper. Je bande, j’ai envie de voir mais n’ose approcher. Pourtant leur porte n’est pas bien fermée. J’avance un peu et je les entends parler. Il me semble qu’elle dit qu’elle a peu que j’arrive mais les sons ne sont pas très audibles. Surtout qu’entre les paroles, il y a des bruits de bisous.
Tant pis, je me risque à avancer un peu et, si je distingue bien, je le vois, couché sur elle. Il la baise ! Ses mouvements sont clairs. Je l’entends encore mieux gémir et je la vois soulever ses jambes afin de mieux s’ouvrir.
Au bout de quelques minutes, ce sont els gémissements de Johan qui deviennent plus intenses. Et il jouit. Il jouit en elle-même. A- t- il une capote ? je n’en sais rien. De toute manière, je me dépêche à rejoindre mon lit et fait mine de dormir.

Le pire dans tout ça, c’est que Johan ne revient pas. Je n’ose plus m’aventurer. Pourtant au bout de vingt minutes, je me décide et m’assied près de la porte de ma chambre. Je les entends discuter et rigoler. Puis Leila qui dit « en vitesse alors ». Quelques secondes plus tard, j’entends les mouvements sur le lit, puis les gémissements. Je bande mais ai horriblement mal au ventre. La jalousie me tiraille.
Je me remets au lit et me branle comme jamais et seul Johan qui revient me fait cesser. Je m’endors…
Au matin, je vais saluer ma princesse sui m’enlace dans ses bras et m’embrasse tendrement. Elle file sous la douche et directement je fonce vers la poubelle. Deux préservatifs, plein, y sont jetés. Il n’a donc pas joui en elle.

Une fois lavée, elle remet sa nuisette et nous descendons déjeuner. Vers 7h45, elle dit qu’elle va réveiller Johan. Plus rien ne me fait peur. Je la suis. Si ils me voient, je dirai que je suis venu chercher mon GSM. Je monte quand même discrètement et les entend parler.
- C’est exagéré, j’ai envie de toi ! dit- elle.
- Viens vite.
- Non, Julien est en bas- Juste un petit doigt.

Là je n’entends pas sa réponse et je ne sais même pas s’il l’a fait. En tout cas, ils sont restés une petite minute sans rien dire. Je n’ai tellement rien entendu que je n’entends pas Leila revenir dans les escaliers. Elle sursaute ! Et je prétexte mon GSM, comme prévu. Je vais dans la chambre et vois Johan, nu sous la couette dont il se recouvre vite. Je fais semblant de rien et lui parle comme d’habitude.

Nous déjeunons et allons à l’école.
En troisième heure, nous avons biologie où je suis seul avec Johan. Leila n’a pas cours Au bout de quinze minutes, il demande pour aller aux toilettes. Il quitte la classe et reste au moins quinze minutes. Je me décide à en parler à Nicolas, un autre garçon du groupe.
- Ecoute, on doit avoir une conversation entre nous.
- Dis- moi.
- Tu savais que Leila et Johan couchaient ensemble ?

Il rougit.
- Pourquoi dis- tu cela ?
- Je les ai vu cette nuit. Tu le savais ? réponds- moi !

Il ne répond rien.
- Allez, dis- moi.
- Ecoute, ça fait dix minutes qu’il est parti, tu crois qu’il est où ?
- Même ici ?
- Evidemment dans les toilettes près de la salle de gym, il n’y a jamais personne là- bas.
- Et ça fait longtemps ?
- Un gros mois mais c’est parfois trois fois par jour. Excuse- moi car c’est ton amoureuse mais elle aime ça.

Je ne dis rien.
- Et toi, tu es déjà passé dessus ?
- Passé dessus ? Non.
- Vous avez quand même fait des choses.
- Juste s’embrasser une fois et je l’ai peloté mais au- dessus des vêtements.
- Et tu as aimé ?
- Qui n’aimerait pas avec elle. Tu sais, Julien, ta femme est magnifique et bandante.
- Il y en a eu d’autres à part vous deux ?
- Je ne pense pas. Et puis merde ! Tiens.

Il me tend son gsm et je vois une vidéo de di minutes de Leila avec Johan. Elle le suce, se fait prendre en missionnaire et en levrette.
- Tu en as d’autres ?
- Oui quelques unes chez moi.

Nicolas m’en envoya via msn. En tout cas, car ils en firent d’autres, j’en reçus une petite dizaine que j’ai regardé et regardé, en me masturbant.
Un jour, Nicolas m’a dit qu’elle avait cessé car elle s’était engueulée avec Johan qui tombait amoureux. Je n’ai jamais osé lui en parler, ai continué à regarder les vidéos puis els ai effacé.

J’aurais franchement bien voulu faire quelque chose à trois mais ça ne se fit pas. Je ne lui en ai jamais parlé. J’ai eu très mal au ventre de jalousie mais j’avoue que ça m’a aussi excité terriblement.

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