LA FORCE D’INTERACTION GRAVITATIONNELLE UNIVERSELLE

- Par l'auteur HDS ONDINE -
Récit érotique écrit par ONDINE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : LA FORCE D’INTERACTION GRAVITATIONNELLE  UNIVERSELLE Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2005 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA FORCE D’INTERACTION GRAVITATIONNELLE UNIVERSELLE
Ayant à peine oublié les odeurs et l’ambiance juvénile des salles et de la cour de ce lycée ou j’ai passé 3 années mémorables, voilà que j’y suis plongée de nouveau, mais en temps que prof cet fois.
Ayant eu mon Bac S très jeune ( 16 ans) ,j’ai passé 5 années d’ études à la Fac de sciences avec une Maîtrise suivi du Capes en Physiques Chimie à la clef.
Se voir à 23 ans enseigner à des jeunes dont certains ont à peine 3 ans de moins que moi, me donnais l’impression inconfortable d’avoir trop vite franchi le fossé de la table des élèves au bureau du prof..
D’ailleurs sachant qu’il me manquait la maturité nécessaire pour occuper cette fonction, je m’appliquais, pour bien cadrer avec mon rôle et gagner du respect, à reproduire les attitudes et expressions des profs qui m’avaient enseigné et qui avaient gagné le respect des élèves.
Il le fallait, car en tant que femme, pour ne pas dire jeune femme, les jeunes, surtout les garçons, n’ allaient pas se priver de prendre l’ascendant sur moi si ils ressentaient à mon niveau l’inexpérience et le manque d’assurance !
Parmi les classes, j’avais évidement hérité d’une des 5 classes de première S (Scientifique) de l’établissement, ainsi que d’une classe de Terminale S.
Je m’efforçais, à chaque cour, de rester concentrée sur ma pédagogie et la chronologie de mon enseignement. A ce niveau de fin du secondaire, et dans ces classes d’ élèves plutôt sérieux et attentifs, au lieu de lutter contre l’indiscipline, je fus confrontée à quelques élèves qui, visiblement, au lieu de suivre le cour, étaient plutôt préoccupés à me « dévêtir » du regard, à se « nourrir » littéralement les yeux de mon corps.
Il est vrai que je reconnais avoir été avantagée physiquement par la nature et, n’aimant pas les robes et jupes trop amples, j’excelle dans le choix des linges moulants qui épousent parfaitement le relief aguichant de mon corps. Mais je ne pensais pas avoir un effet aussi manifeste sur au moins 6 élèves par classe. Et ce qui me surprit le plus est que, parmi ces 5 ou 6 élèves qui avaient du mal à masquer leur intérêt voyeur, 2 ou trois étaient des filles !!!
J’avoue qu’à cette époque, mon attirance pour les femmes était indéniable, mais je n’avais pas encore atteint une maturité sexuelle suffisante et une connaissance assez profonde de ma propre nature pour « rejoindre » définitivement les rangs des Lesbiennes.
Vous comprenez donc que, bien plus que pour les garçons, il m’a fallu déployer beaucoup d’énergie pour refouler ma sensibilité aux appels du regard de ces jeunes filles qui semblaient avoir une telle soif de mon corps que leur bouches restaient quelquefois entrouvertes, figées dans une attente éperdue. Comme si elles espéraient que mon corps fonde et devienne un breuvage voluptueux qui s’écoulerait comme une lave ardente et sensuelle vers leurs bouches !.
Je m’étais déjà armé de la distance, des barrières mentales et de l’hermétisme me permettant de supporter ces signes tentateurs, ces sex-« appels », sans que cela ne me perturbe ni ne me monte à la tête !
Je me suis dit que l’école, surtout à l’age de mes élèves, était quelquefois le reflet vivant de la vie sociale et relationnelle entre les humains, peuplée d’amour, de séduction, d’attirance, de désirs, de penchants et, naturellement, de sexe.
Me revint alors à la mémoire les instants mielleux et émoustillants des amourettes entre filles et garçons, entre filles et filles et même entre élèves et profs peuplés de riches espérances, de relations qui évoluent vers édifications et consommations, mais le plus souvent inassouvissements , qui ont agrémentées chaleureusement mes 3 années en tant qu’élève au lycée.
Je comprenais donc, et même quelque peu m’amusais, de ces manifestations vibrantes de passions juvéniles animant mes élèves.
Parmi les filles, il faut reconnaître qu’il y en avait une qui se démarquait des autres nettement par l’ampleur de l’investissement permanent de tout son être dans son désir et son aspiration à jouir de mon corps.
J’avais toujours l’impression qu’elle ne suivait pas le cours et que l’aspiration forte à un rapprochement charnel avec moi envahissait ses pensées .
Pourtant les quelquefois ou je l’ai interrogé avec succès durant le cours, et les résultats corrects de ses contrôles écrits , prouvaient qu’elle n’était pas tout a fait déconnectée du cours et surtout qu’elle avait une intelligence vive.
Elle semblait avoir voué tout son corps à une quête ardente de sensualité, un déploiement varié de charme et séduction.
Ses grands yeux à la fois langoureux et perçants semblaient ne jamais se détacher de moi, me déshabillant, me dénudant, me léchant et me violant entièrement tout le corps !!
Ses mouvements, ses petits gestes discrets, soit disant inconscients et innocents, pouvaient laisser un doute quant à ses réelles intentions. Mais leurs démultiplications et leurs orientations évidente et trop importantes vers un seul individu me donnaient la quasi certitude que sa volonté de me charmer était grandissante.
Elle s’était placée au premier rang pour mieux me reluquer et aussi pour que je ne perde aucun de ses gestes, pour avoir un impact plus puissant sur moi .
Assez souvent elle passait sa langue sur ses lèvres au moment où mon regard croisait le sien.
Ses doigts, en peigne vivant, venaient trop souvent animer la cascade, tel un noir firmament étoilé, de sa longue et volumineuse chevelure.
Elle accompagnait alors ce geste sensuel d’un mouvement circulaire de la tête qui augmentait les mouvements d’ondulation général des vagues d’ébène brillant de ses cheveux lâchés.
Depuis qu’elle s’est définitivement placée au premier rang, j’ais remarqué qu’elle ne mettait que de robes ou jupes suffisamment courtes et moulantes au niveau des cuisses et des hanches pour que, étant assise, le bas de son vêtement remonte très haut sur ses cuisses qui se révélaient alors fermes, bien charnues et basanées à souhait !
J’assistais chaque fois et malgré moi, ne pouvant pas résister au désir brûlant de jeter un discret coup d’œil de tant à autre vers les cuisses de ma séductrice, à la remonté folle du fin tissu qui se repliait à frémir jusqu’à la naissance de ses cuisses, aidées par le jeu extrêmement érotique de ses jambes qui croisaient et se décroisaient périodiquement.
Je constatais, impuissante et compréhensive à la distraction que cela créait sur un ou deux garçons, émoustillés par le délicieux spectacle et dont le regard se figeait sur les cuisses de rêve. Placés de biais, juste une ou deux rangées en arrière, ils avaient une position nettement moins avantageuse que la mienne.
Mais cela fut peut-être la cause de ma perte ! Car un jour, le tissu rouge de sa jupe avait atteint le niveau ultime de son repli, contre son bassin et, cette séductrice précoce, comprenant la situation avantageuse dans laquelle elle avait placé son entrejambe, écarta suffisamment les cuisses pour révéler à ma vue un duvet de poils longs et bouclés jouissant de la liberté que lui offrait une absence de slip. Le noir intense et brillant de cette toison frisée tranchait nettement avec la peau laiteuse et soyeuse de l’intérieur de ses cuisses.
Ce spectacle indicible et fascinant fit un frisson me traverser le dos . Cette légère décharge de plaisir, amplifiée par le coté inattendu de ce pubis juvénile sans slip, avait certainement abaisser une de mes barrières car mon regard, qui jusque là avait été volontairement impassible et fuyant pour paraître insouciante, avait du être, durant deux ou trois trahissantes secondes, insistant et intéressé.
Et, après ces trop courtes secondes de délectation, mon regard, en remontant vers le visage de l’élève, constatait, à mon grand malheur, que son regard, figé dans mes yeux, était à la fois intense, glacial, doux et interrogateur. Ses yeux étaient alors empreint d’un message poignant vers mes yeux : « tu as l’air d’apprécier on dirait ma chérie !! N’hésites pas car je m’offre a toi ! Admire encore !! »
L’espace d’un éclair, le temps bref que nos regard se croisent et que je me détourne, elle avait certainement lu en moi comme dans un livre ouvert. J’avais l’inconfortable sentiment de m’être dévoilée alors à elle dans toutes mes faiblesses et penchants lesbiens.
Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprit et je me suis aménagée une issue de secours : je suis allé m’assoire à mon bureau, prétextant un exercice d’application que je proposai à la classe de faire. Prenant mon livre et tournant les pages avec une nervosité mêlée de petits tremblements d’émotion, j’ai demandé aux élèves de faire de même puis je leur ai indiqué une page et un numéro d’exercice pris au hasard dans le chapitre que l’on traitait.
Durant les deux ou trois minutes de réflexion que je leurs ai accordé, j’ai pu retrouver mes esprits, apaiser mon trouble intérieur et essayer de me nourrir de deux espoirs :

1) J’espérais qu’aucun autre élève n’avait compris la scène et la charge émotionnelle qui m’avais envahie .
2) J’aurais souhaité qu’en fait elle n’ait rien perçu du tout et que tout cela ne soit que le fruit de mon imagination.
Je la regardai de nouveau pour tenter de nourrir mon espoir en ne guettant aucun changement dans son expression. Ce deuxième espoir s’ évapora, au contraire, très vite car, attendant que mon regard se pose sur elle , elle se souleva légèrement le tissu de sa jupe et le ramena, avec une lenteur indécente, pour qu’il couvre de nouveau jusqu’à la moitié ses cuisses. Ensuite elle cambra son dos, releva et avança sa poitrine pour faire ressortir ses seins déjà bien volumineux et très galbés pour ses 18 ans .
Le port conquérant de cette chasseresse satisfaite d’avoir touchée sa proie fut confirmé par son regard qui ne se détourna pas un instant du mien durant toute sa mise en scène et fut accompagné d’un sourire dominateur à peine perceptible au coin de ses lèvres!!
Je me sentais alors piégée, à sa merci, ayant abattu une barrière qui lui avait permis, durant un instant qui paru une éternité, d’accéder à tous les recoins cachés de mon âme !
Elle devait percevoir mon trouble, car je ne pouvais m’empêcher de ronger nerveusement l’ongle, pourtant très long, de mon pouce droit. (Je me surprends toujours à faire cela uniquement dans les situations de grand embarras et de malaise profond).
Elle était belle, avait un charme indéniable et elle avait sûrement compris qu’elle pourrait en user à loisir pour tenter de me séduire, abattre les boucliers, devenus pour elle fragiles et dérisoires, qui protégeaient mes sens, mes penchants et mes émotions.
Dès le lendemain, désemparée par cet évènement de la veille, je décidai d’adopter une attitude plus sévère, plus distante et hautaine, ne posant quasiment plus le regard sur Gabrielle, l’élève exhibitionniste de la veille. Tentant de lui signifier ainsi ma désapprobation qu’elle continue à jouer, durant mon cours, à ce genre de jeu érotique.
Je constatai alors au fil des jours que son comportement était devenu réservé, que son attitude était exemplaire. Son regard était nettement moins intéressé et elle semblait plus attentive au cours. Je me dis alors que l’exposition de ses parties intimes était peut être une tentative de séduction qui avait avorté et qu’elle s’était probablement résignée.
Un jour, en fin de cours, comme d’habitude j’annonçai le contenu du nouveau chapitre que nous allions aborder à la prochaine séance : «La force d’Interaction Gravitationnelle Universelle ».
La séance suivante je fit mon cours avec grande précision, expliquant que cette force qui se manifeste sur deux objets matériels quelconques dans l’Univers, dès qu’ils ont une masse, les attirent l’un vers l’autre. A cause de l’attraction de la terre sur les objets proches de sa surface (encore une manifestation de cette force de gravitation) qui est plus forte que la force existant entre les objets, nous ne voyons pas les objets se rapprocher systématiquement l’un de l’autre.
La formule permettant de calculer la force de gravitation universelle entre deux corps de masse M1 et M2 et écartés de la distance D est :

F = ( K x M1 x M2 ) / D² (K étant la constante de gravitation universelle)

Ainsi plus les corps ont une masse importante et plus la force est grande, puisque les masses sont au numérateur de la fraction. Plus la distance, étant au dénominateur, qui les sépare est petite plus la force est grande.
La séance terminée les élèves se sont précipités vers la sortie dès que la sonnerie, marquant la fin des cours et de la journée, a retentie vers 17 h 30.
A ma grande surprise Gabrielle fut la dernière à quitter sa place et elle s’avança vers moi, restée debout à coté de mon bureau.
Elle avait un petit tricot moulant qui faisait bien ressortir sa poitrine développée à souhait et qui semblait vouloir jaillir en lobes gonflés hors du décolleté profond. Sa jupe en fin tissu fleuri flottait autour de ses cuisses en une danse presque érotique, artistiquement sensuelle.

« Madame puis je vous poser quelques questions concernant ce cours. Il y a des points que je n’ai pas compris, malgré tous mes efforts ! » dit t’elle en s’approchant.

Pour rester concentrée sur mon cours afin d’aider au mieux cette « petite », je m’efforçai de ne pas tomber sous le charme de la féminité aigue de son linge, de son corps divinement sculpté, de sa peau comme tapissée de miel doré et de son visage aux grand yeux empreint de tendresse et romantisme.

« C’est bien de ta part, Gabrielle, cela prouve que tu es attentive et que tu t’intéresses au cours ! je suis là pour çà ! qu’est ce qui te gènes ? Nous disposons d’un petit moment pour que je t’apporte un complément d’explication. Les agents de services ne viendront pas faire les salles de ce bâtiment avant ¾ d’ heure ou plus ! »
« Madame, vous dites que cette force de gravitation existe entre tous, vraiment tous les corps qui ont une masse ? »
« Oui ! la formule le prouve ,les masses se multiplient au numérateur … »
« Alors elle existe aussi entre les êtres humains, Madame, c’est fou cela ? »
« Oui ! forcément puisque nous avons tous une masse mais… »
« Donc, Madame, cela veut dire que les gens sont attirés l’un vers l’autre ? »
« Enfin oui mais … »
« Et sans l’attraction de la terre les gens se rapprocheraient irrésistiblement, Madame, c’est ce que vous avez dit ? »
« Oui ! mais écoute .. »
Jusque là une distance de deux ou trois mètres nous séparait. Puis elle se rapprocha alors de moi en disant :
« Et vous avez dit, Madame, que plus la distance entre les corps diminue et plus la force augmente !? »
« Oui ! Gabrielle mais ce n’est … »
« Donc, Madame, entre vous et moi, en ce moment vous confirmez que cette force existe et grandit plus je me rapproche de vous. Et cette force est une force d’ « interaction », c'est-à-dire que plus vous vous m’attirez et plus je vous attire, Madame, c’est cela, ?! »
« Oui ! Attends ! mais laisse moi t’expliqu… »
Elle s’approchais lentement mais continuellement de moi. Je perçu avec inquiétude une lueur persistante dans son regard traduisant le contentement de la prédatrice qui s’ approche de sa proie prise au piège, se délectant déjà intérieurement de proche festin qui apaisera un appétit majeur.
Au fur et à mesure que son corps s’approchait de mon corps, mon trouble grandissait irrésistiblement et ma gorge se nouait, ne trouvant pas la force de me soustraire à cet appel puissant de mes sens qui venait provoquer et évincer ma volonté, ma raison, mon éducation et mes repères de bienséances.
« Et quand, comme maintenant, il n’y a moins de cinq centimètres entre les deux corps, la force d’attraction doit être très forte et irrésistible non ,Madame !? »
Elle s’était rapprochée tellement près de mon corps que je sentais la chaleur de sa chair féminine caresser ma peau. La beauté de son visage de métisse indoue me bouleversait.
Une suave odeur de parfum féminin, mêlée à sa sueur et aux senteurs d’huile de coco offertes par sa chevelure lâchée, envahit mes narines et me plongea dans un envoûtement destabilisant . Les paroles de sa bouche, maintenant à 4 ou 5 cm de la mienne, firent jaillir vers mon visage, ma bouche et mes narines le doux brasier de son feu intérieur mêlé au parfum de menthe du chewing gum qu’elle mâchait.
Ses grands yeux d’ange semblaient vouloir se fondrent dans les miens, sa bouche aux lèvres pulpeuses et à l’aspect de fraises juteuses et appétissantes semblait vouloir se greffer sur la mienne.
Mes pensées semblaient se paralysées par l’ampleur de son pouvoir séducteur sur moi.
Je fut envahie d’un ébranlement émotionnel profond associé à une forte envie de l’enlacer, l’embrasser, la caresser éperdument, qui fit que je perdais le fil de mes idées que Gabrielle s’était déjà largement appliquée à déjouer et contrer pour parvenir à ses fins amoureuses.
Je compris alors qu’elle m’avait tendu son piège amoureux et j’étais tombée dedans sans crainte, ni méfiance.
Maintenant elle refermait son étau voluptueux sur moi, me laissant dans une quasi anesthésie mentale et physique. Elle m’avait piégé intellectuellement et sensuellement.
Elle m’a entraîné dans son cheminement ou je n’ai pu contredire son raisonnement qui s’appuyait sur une logique évidente, bien que partielle, mais qui lui a donné prise sur moi.
Et maintenant elle a su, par son charme et les atouts irrésistibles de son corps, désormais trop proche du mien, me faire fondre d’émotion et de désir, et ainsi me mettre sous son emprise totale.
« Et avec une si petite distance, Madame, au dénominateur de la fraction, la valeur de la force est presque maximale !! Et quand ce sont deux femmes comme nous, ce sont bien les parties les plus massives de notre anatomie qui s’attirent n’est ce pas ?!? »
Elle fit un léger mouvement en avant et les bouts de ses seins touchèrent les miens. Puis elle plaqua carrément sa poitrine contre la mienne.
Un éclair de plaisir bref mais délicieux envahit mon corps de mes seins vers ma tête et mon bassin.
« Là, vous voyez Madame, est ce bien cela le résultat de la force d’interaction gravitationnelle ? c’est un bon exemple, non ? »
« Non ! Oui ! mais Gabrielle voyons que fais tu ? ne .. »
« Ah bon! Madame, cela ne suffit pas comme travaux pratiques au cours, vous trouvez ?! l’expérience n’est pas concluante ?! c’est vrai qu’on peut encore diminuer la distance ! vous-même vous avez souvent dit qu’en physique et chimie même les valeurs infimes des mesures ont de l’importance. Rien n’est à négliger ! le tissus de mon tricot avec celui de mon soutien font bien quelques dixièmes de millimètres. Ils entravent donc l’intensité de la force ! »
En disant cela elle souleva son tricot et abaissa dans la foulée son soutien révélant un paire de seins volumineux, fermes et bien relevés. Leurs courbes étaient parfaites et ils se balançaient en une irrésistible berceuse d’amour.
Sa peau métissée avait des reflets cuivrés et était tout de même assez claire à ce niveau pour que ses mamelons tendus et ses auréoles marron foncés ressortent magnifiquement.
Mon sang à dû me monter à la tête et je fut envahie par des frissons d’extases. Gabrielle avait du remarquer mon excitation, car elle dit :
« Vous êtes sûre que cette force n’agit pas aussi sur le cœur et les sens, Madame ! Car je vous trouve bien rouge tout a coups ! Vous devez êtes toute fiévreuse !! Prenons donc votre température ! »
Elle tourna sa tête, cracha son chewing gum puis elle plaqua alors sa bouche sur la mienne. Ma bouche s’était entrouverte un peu pour pousser un cri provoqué par la surprise. Elle en profita pour introduire sa langue entre mes lèvres.
Des petites décharges de plaisir parcoururent mon corps de hauts en bas quand sa langue fouineuse balaya les parois intérieures de mes joues, caressa mes dents et se mit à danser avec ma langue en tourbillons ensorcelants.
Je voulu reculer soit pour me défaire d’un emportement charnel trop rapide, délicieux et brutal, soit pour éviter de perdre pied à cause de cette volupté qui me faisait défaillir à diminuer mes forces.
Gabrielle plaqua alors ses deux mains sur mes fesses pour me retenir contre elle.
Elle envoya une vague de salive dans ma bouche et en tapissa tous les recoins avec sa langue encore plus joueuse. Cet acte follement fusionnel provoqua une tension accompagnée de picotements dans mon bas ventre puis une légère humidité sur ma vulve caractérisant l’appel sexuel vers lequel je chavirais sans retenu.
Profitant de ma surprise face à cette nouvelle agression sensuelle , elle souleva d’un seul coup ma robe moulante en stretch qui resta entièrement repliée jusqu’au dessus de mes seins.
Puis elle abaissa mon soutien dans la foulée et plaqua ses deux seins sur les miens.
Ses seins étaient tièdes et agréablement veloutés contre la peau dénudée de ma poitrine. Je sentais les pointes de mes mamelons durcir immédiatement .
Gabrielle se mit a malaxer mes seins avec les siens en un va et viens latéral lascif et doux.
La fièvre sexuelle et des ondes de plaisir profond associées à un désir fou commençaient à m’emporter irrésistiblement.
Gabrielle plaqua ses deux mains sur mes fesses laissées dénudées par le string ficelle que je portais, et elle se mit à les malaxer, les soupeser, les caresser, les presser sans retenue.
De temps à autre elle me labourait la peau des fesses de ses ongles déclenchant des décharges de jouissances qui m’électrisaient les nerfs de mon bassin à ma tête.
Je sentis ma chatte me piquer et un jet une liquide visqueux ruisseler abondamment hors de ma fente et humecter mon string trop mince pour tout retenir.
Une douce et agréable chaleur grandit dans mon entrejambe, comme si une brasier de sublime bonheur des sens s’y était allumé, quand je sentis la cuisse de Gabrielle se placer entre mes cuisses et venir se frotter sur mon pubis. Le fin tissu de mon string lubrifié par ma cyprine accroissait l’effet excitant du frottement de la chair tendre et tiède de la cuisse de mon amante.
Je fus secouée par une stimulation sensuelle à la fois forte et bridée.
Agacée ou gênée par cette fine barrière de tissu, Gabrielle fit sauter ce dernier rempart entre nos chairs éprises en abaissant de ses deux mains mon string vers son pied qui termina de le ramener vers mes chaussures. Je m’empressai de le sortir de mes pieds pour ouvrir mes jambes et offrir de nouveau mon pubis au frottement savoureux de cette peau chaleureuse et feutrée.
Gabrielle, me sentant au bord du gouffre de la libération sexuelle, termina de m’embraser les sens en écartant mes deux paumes de fesses et en frottant avec délectation un doigt sur mon anus, après l’avoir lubrifié par un court contact sur ma vulve.
Les passages répétés de son doigt contre mon œillet chatouillait et ratissait tendrement les petits replis de peau dentelés. Cette savante caresse me transporta dans une jouissance localisée et aigue responsable de frissons qui hérissèrent les poils de ma peau au point qu’elle semblait parsemée de milliers de boutons de plaisirs.
Pendant un court instant il m’a même semblé avoir été traversée par l’incroyable désir qu’elle introduise tout son doigt dans mon anus afin que mes fesses fassent plus corps avec sa main et que sa caresse atteigne une dimension plus profonde, plus sens–ationnel et plus unifiante.
Je ramollis alors le muscle de mon anus tout en poussant inviter son doigt a venir s’unir à me caverne d’amour.
Peut être avait t’elle lue dans mes pensées ou perçu l’invitation de ma chair car son doigt s’attarda sur les minuscules plissements de peau lubrifiés de mon anus puis d’un seul coup pénétra presque entièrement dans mon conduit anal étroit, chaud et pulpeux.
Est ce la promptitude de cette intromission, le désir ardent de faire durer ce vif plaisir ou encore la peur qu’elle aille encore plus loin dans sa possession de ma chair au point que je ne pourrait plus contenir mon vacillement vers une évasion lubrique démesurés, je ne sais mais je constatai, à mon grand étonnement, que mon muscle anal s’était contracté et emprisonnait fortement l’amoureuse épée frétillante de ma jeune amante.
Je ne ressentait même plus ce pieux vivant qui tentait avec peine d’activer intérieurement une phalange, ceci malgré mon aspiration et étreinte anale qui l’empêchait d’aller et venir. Seule une vibrante, savoureuse et douce brûlure envahissait mon antre anale enlaçante pour remonter progressivement vers mon ventre.
Gabrielle, complètement serrée contre moi, retira sa bouche de la mienne et l’ approcha de mon oreille. Avant de prendre le lobe tendre dans sa bouche et de le triturer avec sa langue elle me dit :
« houla ! Voila un aspect de la force de gravitation que vous avez omis de nous dire ! : Quand les deux corps qui s’attirent sont enfin en contact il y a aspiration, possession, contraction pour tendre vers la fusion !! Vous ne voulez même pas me rendre mon doigt tellement vous me désirez en vous, Madame !!? Oui, elle est merveilleuse cette force d’interaction !!
Cette nouvelle attaque sur mes oreilles, une autre des mes zones érogènes sensibles, me fit relâcher la fermeté de mon étreinte anale et Gabrielle en profita pour entamer de rapides et profonds va et viens avant de retirer son doigt, peut être de peur que je ne reprenne la contraction de mon muscle anal.
Ces flèches vivaces et successives qui témoignaient d’excitantes meurtrissures à la chair de mon fruit fessier déclenchèrent un brasier envahissant accompagné d’un nœud jouissif qui pris forme dans mon ventre tel un poing. Je ne pus alors éviter de laisser s’échapper mon premier cri de plaisir étouffé.
Me sentant peut être désormais réceptive et moins rebelle à ses projets lubriques, Gabrielle détacha sa bouche de mon lobe d’oreille et dit :
« Eh Bien madame, nous apprécions toutes les deux les effets positifs de la force de gravitation ! Il suffit que le désir soit présent et la pesanteur terrestre n’empêche plus les corps de se rapprocher! Vous ne pensez pas que l’on pourrait rajouter cela à votre cours, Madame ?»
« Non , Oui, enfin , arrêtes Gabri… »
A peine a-t-elle finit de parler qu’elle se mit à entreprendre une descente vertigineuse de sa tête sur la surface de mon corps en une danse sublime de sa langue et ses lèvres, alternant léchons, mordillons, vrilles de langue, bisous variées sur mon menton, mon cou, mes épaules, ma poitrine, mes seins, mes mamelons, mes aisselles, mon ventre, mon nombril et pour finir sur mes cuisses et dans mon entrejambe. Dans sa descente en cascade d’amour elle avait soulevé un de mes bras et avait offert à mon aisselle un festival de langue humide inoubliable ! Le résultat de ce mélange de caresses subtiles et chatouilles aigues sous mes bras fut une tension sexuelle suprême sur tous mes sens et mon vagin.
Je me tendais puis me relâchais périodiquement sous l’intensité insoutenable du bien-être charnel qu’entraînaient ses attentions sensuelles pourtant maladroites et désordonnées.
Elle suivait les crispations et étirements jouissifs de mon corps comme si nous étions deux cordes charnelles d’un même instrument qui vibraient en phase afin de jouer, à cette fête de nos sens, une lancinante et envoûtante musique lubrique harmonisée avec nos cris et gémissements.
Durant ce concert d’offrande buccal je fut parcourue tour a tour par des épines de plaisir aux seins, des frissons d’excitation sur la peau, des vagues de fièvre chaudes dans mon sang et des remouds profonds de jouissances dans ma chair. Je sentais ma liqueur de plaisir perler abondamment hors de ma chichine (terme créole souvent utilisé pour indiquer la vulve) et inonder progressivement mon entrejambe.
Pour lui faciliter l’accès à mon vagin, grotte de plaisir, à ma vulve, orchidée de délice, à mon clitoris, perle de volupté que je sentais tendue et voulant jaillir de mon huître de chair, je me suis assise à moitié sur mon bureau et j’ai bien ouvert mes jambes. Emportée par un tourbillon sensuel irrésistible, par une folle tornade de désir, j’oubliais le lieu, ma fonction, la nature de Gabrielle pour m’offrir sans pudeur à la bouche et aux mains de ma jeune amante aspirant à ce qu’ elle me dévore toute entière de ses caresses, de son corps.
Gabrielle s’est alors un peu écartée et elle est restée quelques secondes à admirer mon sexe exposée largement à son regard. Ses yeux se sont élargis, sa bouche s’est ouverte et les trous de ses narines se sont agrandis trahissant chez elle admiration et extase mêlées à un appétit sexuel majeur.
Mes lèvres brunes, gorgées du sang de mon désir ravageur, devaient avoir pris une appétissante couleur de prune bordeaux, vernissée par ma nectar génital ruisselant.
Après mes émissions et les frottements de la cuisse de Gabrielle, les poils de mon pubis exposé, métissés et frisés devaient être baignés délicieusement de mon nectar féminin étincelant sous la lumière du tube néon.
Le tout devait baigner dans des émanations de suave parfum et une odeur intime forte et attirante provoquée par ma fièvre sexuelle et mon désir charnel explosif.
Est-ce la fièvre de sa jeunesse, son désir de mon corps retenu depuis des semaines, ou la conscience qu’elle avait peu de temps pour prendre le maximum de moi, elle plongea avec précipitation et sans approche sa bouche dans ma vulve inondée et chaude.
Sa langue n’a pas eu besoin de longues caresses que je sentais déjà monter le picotement intense de mon bas ventre et les contractions de mon vagin annonciateurs d’un proche orgasme.
Elle avait raison de précipiter l’échange lascif car, bravant elle et moi au moins 3 interdits, la venue de l’orgasme devait être que plus rapide et fort : le lieu et la crainte d’être surprises et ce que cela pourrait entraîner, la relation prof-élève avec nos désirs réciproques et partagés mais refoulés, inassouvis et enfin l’attirance et l’échange sexuel entre femmes considérés encore comme contre nature.
Une cascade de jouissance aigue traversa mon corps de mon bas ventre vers ma tête entraînant un tremblement fait de secousses de plaisir sensuel intense, sourds et profonds. Des éclairs, électrisant violemment mes nerfs de mes cuisses à ma tête, remontant par ma colonne, firent remonter la sensation de vif brasier jouissif en surface, comme un feu d’artifice sensuel.
Puis je fus en proie à une crispation de mes muscles qui me laissa tendue durant de longues secondes.
Une fois que je refis surface hors de la mer idyllique de l’extase sexuelle, je sentie Gabrielle lécher et aspirer avec sa langue et sa bouche dans et autour de ma vulve tout le jus d’amour que la source de mon plaisir a fait abondamment jaillir de ma caverne intime durant l’orgasme.
Elle pris soins de se délecter de tout le nectar que le fruit charnel de mes transports charnels ont offert.
Elle releva sa tête puis me regarda avec les yeux voilés de plénitude et la bouche enjolivée d’un sourire de satiété.
Ses lèvres et une partie de ses joues étaient vernissées par ma cyprine reluisante sur sa peau cuivrée.
Sa beauté, son charme angélique si attendrissant et son désir pour moi qui imprégnait encore son regard me fit ressentir pour elle une profonde attirance qui fit naître en moi un amour qui à la fois m’inquiéta et m’apaisa.
Nous nous apprêtions à nous enlacer et continuer nos ébats quand un bruit dans une salle pas loin nous ramena à la réalité et la conscience de notre condition de prof et d’élève présents dans une salle d’un lycée.
Rapidement je me mis debout et je rabaissai ma robe .Gabrielle, en se relevant, attrapa mon string sur le sol et, à ma grande surprise, souleva sa jupe et le glissa rapidement dans sa culotte en disant :
« à défaut et en attendant de ressentir ta bouche et ton sexe contre ma « quequette » (terme créole pour signifier la vulve) tu acceptes au moins qu’elle fasse l’amour avec ton slip, imprégné de ta chaleur, ton odeur, ta sueur et ta mouille ? »
Elle laissa sa main un instant dans son slip et dit :
« Houla ! je n’ais jamais été aussi chaude et humide de ma vie !! Eh bien, toute cette mouille que j’ai produit pour vous !!, votre slip va s’en imprégner comme si votre chatte me ferait l’amour en douceur !. Madame, vous nous avez bien dit que cette force gravitationnelle est une force d’interaction et, comme toutes les forces d’interaction en physiques, elle est égale en intensité et équilibrée sur les deux corps qui interagissent. Donc, pour finir par un échange plus équilibré entre nous, entre nos actions, voici ma « signature d’amour » pour vous :
Elle retira sa main qui, visiblement, avait ses doigts qui devaient avoir pénétré profondément son intimité et étaient ressortis baignés de sa cyprine étincelante, visqueuse et épaisse.
Elle s’approcha alors de moi et passa deux doigts sur mes lèvres, deux autres sur mes narines puis elle souleva ma robe pour passer tous les doigts de sa main lubrifiée sur ma vulve afin de la tapisser de ce qui restait de son jus génital.
La charge érotique et sensuelle de ces gestes ainsi que l’odeur suave et ensorcelante, à s’évanouir, de sa chair intime et juvénile provoquèrent chez moi une nouvelle montée de désirs sexuels profonds qui noua ma gorge et mon bas ventre. Je déversai sans retenue une vague de cyprine sur sa main au moment ou ses doigts s’engageaient légèrement entre les lèvres de ma vulve en feu.
« Eh bien, Madame, je croyais qu’on avait fini ! mais vous n’êtes pas encore apaisée et vous avez l’air de me désirer comme un volcan près à exploser ,n’est ce pas !! Regardez l’état de ma main !! »
Pendant qu’elle me parlait, elle a du remarqué que mes lèvres s’étaient repliées vers l’intérieur de ma bouche pour savourer son nectar qu’elle y avait déposé.
L’odeur un peu sauvage et le goût légèrement sucrés, poivré et acre de son jus de sexe, telle une liqueur intime délicieuse dans ma bouche, me poussa irrésistiblement à passer ma langue sur mes lèvres pour lécher les précieux résidus qui pouvaient encore y rester.
« Humm, Vous avez l’air de vous délecter de mon nectar de chichine ! Attendez on va partager ! Moi j’adore aussi le votre, j’en consommerais tous les jours vous savez, comme une drogue dont je ne pourrais plus me passer, comme une potion magique pour décupler à l’infini la force de mon attirance vers vous ! »
Elle passa sa main ruisselante de nos deux cyprines mêlées, sur ses lèvres, puis sur mes lèvres, sur son nez, puis sur mon nez, dans sa bouche ouverte puis dans ma bouche que j’ouvris en hâte et refermai sur ses doigts qui se mirent à jouer lascivement avec ma langue.
Le goût et l’odeur de nos cyprines, nos salives, nos sueurs intimes tous mêlées en une seule liqueur me fit l’effet d’un verre de Shruub (Boisson Martiniquaise préparée pour les fêtes de Noël : Rhum Antillais dans lequel a macéré, durant des mois, des pelures, préalablement séchées au soleil, d’agrumes divers puis l’ensemble est sucré au sucre de canne roux : Un délice enivrant !) Je sentie ma tête tourner comme en proie à la douce ivresse d’une fièvre charnelle bienfaisante pour mes sens.
Je perçue les vaisseaux de ma tempe battre et mon pouls s’accélérer. Mes poils se hérissèrent et j’ai eu l’impression que toutes mes veines se dilataient. C’était le signe annonciateur d’un nouvel orgasme, comme cela arrive chez de nombreuses femmes, sans pénétration, simplement par la charge érotique, sensuelle, excitante,et en fonction du degrés d’ émotion et d’envie sexuelle d’un évènement, d’un échange, d’une expérience, d’une pensée.
Cet orgasme inattendu me tétanisa en un raz de marée de contractions et d’effluves de plaisir sourds et puissants qui démarrèrent de ma chatte pour envahir mon bas ventre et s'étendre à mes cuisses, puis s’élever à mon ventre et mes seins qui, devenus turgescents, semblaient alors vouloir éclater en piqûres et jets jouissifs. Mes ondes de plaisirs se rependirent jusqu'au bout de mes doigts pour ensuite se perdre dans mes oreilles. En de brèves secondes mon sang sembla faire le tour de mon corps en tourbillons crispants d’extase pure, avant de s’étaler en ondes apaisantes.
Quand je refis surface de ma mer aux vagues orgasmiques, je sentis mon entrejambe inondé d’un liquide chaud et visqueux.
J’ouvris alors les yeux pour apprécier le regard et le sourire figés de Gabrielle qui me contemplait, étonnée.
« Houlà !! Madame vous n’allez pas me dire que vous avez jouis encore et pour si peu !! Ah non ! Vous en avez eu deux alors que moi je n’en ais eu qu’un tout à l’heure quand je buvais et savourais votre « chichine » !! Nous ne sommes pas quittes ! vous m’en devez un, Madame ! »
En disant cela, avec un air d’enfant gâté et sevré, elle passa sa main, qui n’étais qu’en partie débarrassée de son vernissage intime de cyprine, salive et sueur, à plusieurs reprises de haut en bas dans sa longue chevelure et dit :
« Ainsi, ce soir, quand je serai couchée, j’aurais encore nos odeurs intimes mêlées près de mes narines, cela va me rappeler nos ébats et je vais m’endormir avec une vibrante émotion…Je peux garder votre slip, Madame, en mémoire de vous et de ce moment ?? ».
« Aller, Gabrielle, je te l’offre de bon cœur, mais cela reste entre nous ! d’accord ??»
« Oui ! Madame, et puis je vous remercie aussi pour toutes vos explications par l’exemple ! rien ne vaut les… « travaux pratiques » en Physique-chimie pour bien comprendre !! »
« Vous savez, Madame, en plus de la physique, la chimie, la bio, etc…il y a plein de questions que nous nous posons, nous les jeunes, et pour lesquelles nous n’avons pas de réponses, pas de matières, pas de profs ! Cela nous permettrait de mieux nous comprendre et comprendre le monde qui nous entoure ! »
«Par exemple, Madame : Pourquoi je vous aime et je suis attirée par vous et pas par les mecs, alors que je suis une fille ??! »
« Madame, je veux qu’on se revoit ! je veux qu’on se revoit souvent ! vous n’avez pas envie de me rendre la pareil de mes caresses, de ma langue sur votre sexe ? vous ne voulez pas un jour goûter à ma petite chérie, à ma chichine qui répand, qui crie chaque jour, à chaque cours, partout quand je pense à vous, à votre corps excitant, son jus épais et tiède vers vous ?»
« Oui !...Mais Non Gabrielle Non , enfin voila que de nouveau tu me fais être tiraillée entre raison et passion sensuelle… Ecoutes Gabrielle ! Non !...ce n’est pas que je ne veuilles pas mais…tu m’attires beaucoup, trop même, mais… je suis ton prof ! ce n’est pas correcte ! tu sais bien que dans l’île en peu de jours tout finit très vite par se savoir !! Pour toi et moi c’est la porte ouverte à plein de problèmes. Tu es très intelligente, ne gâches pas tes études, ton avenir, une belle carrière pour un amour peut être éphémère. Tu rencontreras dans ta vie plein d’autres femmes aussi, sinon plus séduisantes que moi. Et puis, si tu veux,…quand tu auras fini tes études, peut être qu’on se retrouvera, sans interdits alors ! Et donc tu dois également garder le secret sur tout ce qui s’est passé ce soir ! tu comprends !? sinon non seulement c’est définitivement fini entre nous mais tu auras déclenché un enfer pour toi et moi !»

« Oui ! vous avez peut être raison ! je vais me taire pour préserver l’espoir, mon amour pour vous. Mais, elle est tout de même super cette force d’interaction gravitationnelle et Universelle ! Elle m’a permis au moins une fois d’être en « interaction » avec vous et surtout « Unie vers vous ». Donc son nom est bien choisit à cette force :« UNI - VERS - ELLE ». Vous savez, Madame, je serais peut être prof de physiques chimie plus tard pour étudier toutes ces actions et entités étranges. Je reste persuadée que de nombreux autres phénomènes doivent avoir ainsi un double sens. Entre autre un sens sexuel. Revoyez donc vos cours Madame , pour ne pas être prise au dépourvu par les répercutions inattendues, imprévues d’un phénomène physique ou chimique pourtant connu , comme cela vous est arrivée cette après midi ! »

Soudain notre conversation fut interrompue par quelqu’un à la porte :
« Bonsoir, excusez moi, vos êtes encore là ! Eh bien tout à l’heure je vais repasser pour le service, ne vous gênez pas pour moi ! »
Je rappelai la femme de service :
« Non non ! Nous avons terminé, c’était juste un petit complément d’information sur un cours, nous avons terminé ! Vous pouvez rester ! »
Et Gabrielle, en se dirigeant vers la porte, dit :
« Ah ! Maintenant les choses se sont éclaircit ! Madame vous avez une super pédagogie !. Avec vous si on ne comprends pas c’est qu’on est « bête ». Surtout quand vous expliquez « pratiquement » les notions complexes ! A demain, Madame».
Et me jetant un dernier regard chargé de lueurs malignes, elle est partie d’un pas rapide.

Gabrielle s’en alla et , pendant plusieurs heures, et même jours, je restai troublée, pensive et déployant un effort monstre pour évacuer le désir ardent de retrouver ses caresses, son appétit sensuelle . Mon envie indicible de lui témoigner aussi ma faim de son corps, mon attirance pour son sexe dont le goût et le parfum semblaient imprégner à jamais mes lèvres et mes narines.

Cet évènement a entraîné 3 conséquences immédiates:
1) J’ai passé en revue mon programme pour éventuellement prévoir toute exploitation d’un phénomène, expliqué dans les cours de physique et chimie, pour fomenter une stratégie associée à la sensualité ou à la séduction. Et j’en ais trouvé quelques uns.
2) J’ai pris presque totalement conscience de ma nature en terme d’affinité sexuelle :Je suis certainement lesbienne à part entière.
3) Je devais au plus tôt changer de métier, n’étant pas certaine, durant 40 années d’exercice en tant que prof, de pouvoir résister au charme concret, pratique et souvent irrésistible des élèves filles.


ONDINE (femme lesbienne métisse Antillaise de 30 ans vivant en Martinique)

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