Couchée sur le banc...

- Par l'auteur HDS Licoorne -
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Couchée sur le banc... Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couchée sur le banc...
Ce coup là, Mish m’avait prévenu : “ Demain, 14h, ça va ? T’es en forme ? Ok… Ciao ! “. Je n’avais pas eu le temps de "bricoler" un gadget, et le banc pouvait encore servir, avec un peu d'idée...
Le lendemain, je l'accueillais en robe de chambre, bisou-bisou, et elle commence à me conter ses histoires habituelles, je l’interrompt “T’as soif ? “ : “Oh, oui ! S’te plait… “, et elle reprend son babillage. Verre en main, je reviens vers elle, lui tends et pendant qu’elle commence à siroter, je déboutonne son chemisier et caresse ses petits seins pointus : “Ah, bein toi, alors !“. Mes doigts roulent ses tétons, les tiraillent, ma bouche remplace mes doigts, je soulève sa jupette ample et glisse son string sur ses hanches, ses jambes…
J’ai la figure en face de sa touffe sombre et bien fournie comme je les aime, minute, pas encore, patience, je me relève et commence à lui caresser la vulve sous la jupe, d’un doigt, de la touffe au périnée, enserrant sa taille, et lui collant la hanche sur ma bitte déjà tendue.
Je la pousse doucement en arrière, jusqu’à toucher le banc : “Assieds-toi !“ : “Tu devais pas inventer autre chose ?“ : “Regarde !“. D’une main, je récupère son verre, de l’autre je découvre l’extrémité du banc, ou j’ai fixé deux magnifiques bittes de bois verticales, une de chaque coté. “Allonge toi, et attrape tes poignées…“ Et je la pousse en arrière, l’allongeant sur le dos, jambe à droite, jambe à gauche.
Obéissante, elle chope un gode dans chaque mains, relevant ses nichons en obus, son chemisier aux épaules. Soulevant son cul, je dégrafe la jupe, la fait glisser, elle tends les jambes, la jupe est a terre, elle repose un pied de chaque coté du banc, cuisses ouvertes, abricot rebondi…
Je me place à coté de son torse, ma robe de chambre vole, et j’écarte encore un peu plus ses cuisses avant de plonger la bouche vers son con. De la langue, je fouilles ses lèvres, titille son bouton, je lui lèche un peu le haut des cuisses. Elle tiens toujours ses “poignées“, coudes en l’air, son ventre commence à onduler, quelques gouttes de mouille luisent sur ses poils, avec une odeur de marée, elle essaye de resserrer les cuisses, comme pour se branler avec : “Reste tranquille, j’ai pas fini !“.
D’un bras je la bloque ouverte, l’autre main file vers ses nichons dont je recommence à tirailler les pointes, et ma langue s’insinue au plus profond de sa chatte ; j’élargis encore sa faille du bout de mon nez, cette fois c’est elle qui écarte encore les genoux, et je peux la titiller du doigt tout en lui léchant le bouton. Je lui introduis le pouce, doucement, bien lentement, en tournant un peu, et bien à fond, je l’élargis de petits ronds, avant de la limer consciencieusement.
Elle appuie mes mouvements, ses hanches ondulant au rythme de mes caresses, je remplace le pouce par le majeur, puis le petit doigt, je la laisse se resserrer au tour de mon doigt, en manque de grosseur.
Ma bitte est en manque, elle aussi, j’enjambe le banc, mes couilles sur son nez : “Ouvre la bouche !“. Elle m’a attrapée la queue d’une main, toujours cramponnée de l’autre à la biroute de bois, et elle commence à me sucer le gland, main fermée sue ma tige raide. Je ressors le gland de sa bouche, ses doigts repousse mon prépuce dessus, je le rentre et ses lèvres le remplace… Divin !
Je la sens maintenant toute étroite, et son ventre ondule de petites vagues comme je les aime… J’abandonne sa bouche, son sexe : “Et maintenant, Accroche toi !“. Elle a repris ses deux pines de bois à pleins poings, je lui allonge une jambe sur le banc, et j’enjambe le tout, bitte vers con, je passe mon bras sous son autre jambe, cuisse verticale, ma main sur la touffe, doigts aux lèvres, zob au garde-à-vous.
A deux doigts, je découvre son clito, l’autre main incline mon chibre vers son con, et je nous branle du bout du gland, dans les lèvres entrouvertes. Elle pousse sur les bras, pour tenter de s’empaler sur mon manche, assis sur sa cuisse je la fais patienter, j’aime faire durer, elle “chauffe“ plus, sa mouille suinte de partout, et j’ai l’impression de grossir et durcir sans fin….
“Viens, allez, viens, emmanche moi, allez, je vais… Je peux plus… Viens“. Allez, vagin secoué de spasmes, il est temps, tu vas en prendre. J’incline encore le gourdin, place le bout juste à l’entrée et d’un lent mouvement continu, je lui défonce la moule. Elle râle de plaisir, je sens ma queue qui l’élargit sur toute la longueur. En butée, j’appuie sur sa cuisse pour la pénétrer encore, lui bouter la trique à fond. Et a nouveau merveille, je sens son anneau en action : elle me serre la base du sexe, en pulsations lentes, puis m’aspire la tige dans une lente étreinte remontante, jusqu’à la pointe du gland, une deux trois fois, avant de jouir dans un soupir, et de se relâcher, ventre inerte, muscles mous, abandonnés…
C’est le moment de la ranimer à grands coups de queues,de la limer à fond, de lui lécher les nichons, téter les tétons, ramoner la cheminée à grands coups de tisonnier brûlant, je regrette ne pouvoir lui rentrer les couilles avec. Ah, elle revient, l’abricot revit, elle m’aspire à nouveau, défaille encore, ses orgasmes de plus en plus rapprochés me sur-bandent , je vais lui cracher tout mon sirop à fond de matrice, en longs jets saccadés, mes dents dans son épaule, son vagin me massacre la tige d’étroitesse et de spasmes convulsifs…
En me quittant, elle m’a fait : “Encore bien, ce banc… Y a encore quelque chose à en tirer, tu crois ?“ : “Vais voir… A plus“. Et on s’est quitté.

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