Enfin cocu (3)

- Par l'auteur HDS X_scorpion -
Récit érotique écrit par X_scorpion [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 3 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de X_scorpion ont reçu un total de 19 376 visites.
Récit libertin : Enfin cocu (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 1 045 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Enfin cocu (3)
Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre. Elle m’a dit qu’elle apprécie le plaisir que je lui fais prendre en la laissant librement baiser. Le matin, elle me pose une question à laquelle je réponds :
- On continue notre jeu ?
- Tu en as envie ?
- Oui
- Moi aussi

Elle me roule une pelle en me disant qu’elle m’aime mais qu’il n’est pas question de m’enlever ma cage de chasteté. En s'habillant, après une courte hésitation elle obéit à son amant et n'a pas mis de sous-vêtement sous son jeans et sous son chemisier. Elle me dit, moqueuse :
- Je suis sur que tu es jaloux. Pour me faire sortir sans culotte il faut me faire bien jouir, pas juste m'enfiler 10 secondes.

Je ne réponds rien alors qu'elle éclate de rire

Nous avons prévu une virée entre mec avec nos deux garçons pendant que ma femme va faire les boutiques. Juste avant que nous nous quittions, vers 10h00, ma femme reçoit un message : " va à la boutique AAA pour te trouver une tenue sexy, Aurélie, une vendeuse, t'y attend dans 20 minutes. Dit-lui que tu es la femelle de Jérôme. Elle comprendra. Mathieu sera à 11h30 à la réception de ton hôtel. À Bientôt ma femelle"

Sylvie s'est rendue à cette boutique où elle demande à parler à Aurélie. Elle lui dit qu'elle est la femelle de Jérôme. Le visage de la jeune femme s'illumine d'un sourire et elle emmène ma femme dans une cabine d'essayage. Elle lui dit, la tutoyant :
- Enlève tes habits que je puisse prendre tes mesures et voir comment je peux mettre en valeur ton cul et surtout le laisser facilement accessible.

C'est la première fois qu'une femme, de surcroît 20 ans plus jeune qu'elle, lui parle comme ça pourtant ces pensées vont à Jérôme et elle sait qu'il serait très déçu si elle n'obéit pas. Elle se retrouve rapidement nue. Aurélie prend quelques mesures avec son centimètre de couturière en commentant :
- Tu n'es plus de toute première fraîcheur, mais encore pas trop mal foutu pour une vieille pute.

Vexée par cette insulte, Sylvie ne réagit pourtant pas. Aurélie quitte la cabine en emportant les habits et les baskets de ma femme. Sylvie, qui n'a plus que son sac à main, attend de longues minutes nue. Aurélie revient avec les deux autres vendeuses et dit :
- Mes amies n'arrivaient pas à croire que tu m'avais laissé partir avec toutes tes affaires et que tu m'attendais nue.

Ma femme rougis honteuse d'être la risée des trois jeunes femmes. Heureusement, Aurélie lui tend une jupe et un débardeur à essayer. Vingt minutes plus tard, elle ressort de la boutique, vêtue d'une jupe plissée facilement retroussable qui lui descend jusque dix centimètres sur les genoux. Le haut, dos nu, est noué derrière le cou. Il laisse voir un sein dés qu'elle lève un bras. Le tout est complété par des escarpins type sandalettes à lanière avec des talons de huit centimètres. Aurélie ne lui a pas rendu les habits qu'elle avait en arrivant.

Lorsqu'elle arrive à l'hôtel, Mathieu est la, en train de discuter avec la réceptionniste, une femme moire d'environ 30 ans. Il embrasse Sylvie, lui roulant une pelle. Ma femme rougit en voyant l e regard amusé de la réceptionniste qui lui dit :
- Alors vous avez découvert que les noires sont des bons amants?
C'est Mathieu qui répond :
- Surtout pour elle, son mari est éjaculateur précoce! D'ailleurs elle lui a mis une cage de chasteté car il ne mérite pas de la baiser.
La réceptionniste est hilare. Mathieu passe une main sous la jupe est dit :
- Tu es bien accessible avec cette tenue. Elle te va bien et met en évidence ton coté pute
Pour finir de mettre mal à l'aise Sylvie, il écarte le haut pour exhiber un sein. A ce moment deux jeunes noirs arrivent. Mathieu dit :
- J'ai invité deux potes. Tu verras, tu vas adorer être notre pute.
Ma femme n'ose pas protester lorsqu'ils l'emmènent vers l'ascenseur. La réceptionniste leur dit :
- Amusez-vous bien

Dans l'ascenseur 6 mains commencent à peloter ma femme. Mathieu décroche la jupe qui glisse inexorablement le long des jambes. Ma femme proteste mollement :
- Vous n'allez quand même pas me faire sortir nue de l'ascenseur
- Pourquoi pas on gagnera du temps dans la chambre comme ça ?

Elle est morte de trouille lorsque la porte s'ouvre, mais au dernier moment ils lui laissent remonter sa jupe. Comme il n'y a personne dans le couloir, ils lui prennent les mains avant qu'elle ait croché la jupe. Alors qu'elle glisse de nouveau le long de ses jambes, ils disent :
- Il n'y a personne, alors enlève-la. Tu seras plus vite prête à te faire enfiler.

Sylvie qui accepte facilement son rôle si excitant de jouet sexuel, obéis docilement. La peur d'être surprise nue en dessous de la taille ne la laisse pas indifférente et elle sent son sexe se mouiller encore plus. En arrivant vers sa chambre, elle a un moment de panique. Le chariot de la femme de chambre est au milieu du corridor et la porte est ouverte. Mathieu, qui a une main sur ses fesses lui dit en rigolant :
- Ne t'inquiète pas ce ne sera qu'une personne de plus qui saura que tu es une pute et que ton mari est cocu!

Il lui tape les fesses pour la faire entrer dans sa chambre. Sylvie cache son sexe avec ses deux mains, ses joues rouges de honte. La femme de chambre, qui est en train de faire le lit, est très gênée aussi. Un des amants de ma femme lui dit :
- Finissez tranquillement votre travail. Notre femelle attendra un peu avant qu'on s'occupe d'elle. Elle a le temps, son mari ne reviendra pas avant plusieurs heures.

La jeune fille se détend un peu, amusée par la situation et échange quelques mots avec les hommes. Elle semble avoir à peine 20 ans et a un accent de l'Est. Mathieu fouille dans les affaires de Sylvie et étale sur le lit tout ses habits qu'il estime top sage : les trois ensembles string et soutien-gorge à dentelle qu'il lui reste, les deux pantacours, une robe, deux t-shirts, un chemisier. Il n'y a qu'une paire d'escarpins et une paire de tong qu'il dit être suffisamment féminines pour une femelle comme ma femme. La femme de chambre est en train de finir son nettoyage. Mathieu lui dit :
- Vous avez à peu prés la même taille qu'elle, vous pouvez prendre tout ce qu'il y a sur le lit. C'est des habits de femme qui se respecte comme vous, elle n'est qu'une femelle qui aime faire la pute.
- Je ne peux pas prendre tout ça, en plus c'est pas sur que ça me va, dit-elle.
- Si ça ne vous va pas, vous trouverez bien une amie à qui donner ça, ne vous gênez pas. Vous n'avez pas un gros salaire. Des habits sont toujours bienvenus.

Elle regarde ma femme et lui demande :
- C'est vrai? Je peux?

Les deux autres noirs ne sont pas restés inactifs. Ils ont fini de déshabiller Sylvie et la pelotent alors qu'elle a toujours les deux mains sur son sexe. Incapable de protester, elle fait signe qu'oui. Cette fois, sans plus se faire prier, la femme de chambre ramasse tout avec un grand sourire moqueur. Elle dit à Sylvie :
- Amusez-vous bien madame. Je suis sur que vos amants vont vous combler. Je suis très discrète, je ne dirai rien à votre mari.

A peine la porte fermée que les trois noirs se sont déshabillés. A genoux Sylvie les a sucés l'un après l'autre impressionnée par la taille de leur sexe. Pendant 2 heures ils la baissent, la prenant par tous ses trous. Elle se fait prendre dans toute une panoplie de position. Alors que je ne la baise que couchée jambes écartées, elle se retrouve remplie à quatre pattes, Couchée jambes relevées, prise en sandwich, debout appuyée contre le mur et dans la douche. Pour la première fois de sa vie elle crie en jouissant, elle qui avait toujours pensé que les femmes qui crient le font plus par exhibitionnisme que par réel réflexe de jouissance.

Sylvie me racontera que ses trois amants avaient décidé d'éjaculer dans chacun de ses "trous à bite", sans préservatif dans la bouche. Alors qu'elle m'a toujours dit ne pas aimer le goût du sperme et m'a toujours refusé cette faveur, elle a avalé le jus des trois noirs. Ils avaient donc éjaculé trois fois chacun en 2 heures. Je dois bien admettre que j'en serais bien incapable. Quand ils ont été les quatre rhabillés, Mathieu a demandé de quelle coté du lit je dormais. Etonnée de la question, Sylvie à répondu. Ils ont pris les capotes pleines et les ont vidées sur le drap en disant :

- Comme ça ton cocu dormira dans notre sperme.

Il a laissé les capote dans le lit et ils sont sortis. Ma femme a les jambes flageolantes tellement elle a jouis. Elle a accompagné ses amants jusqu'à la station de métro. Elle les a embrassés en les remerciant. Elle est ensuite allée manger quelque chose avant de nous retrouver.

Nous avons accompagné nos garçons chez leurs amis. Alors qu'ils discutent sans s'être rendu compte que je suis juste derrière un coin de mur, j'ai entendu un des amis dire à mes fils :
- Elle est sexy ta mère. J'ai même vu ses tétines quand elle a levé un bras. Je me la ferais bien

La réponse de mon fils m'a sidéré :
- J'ai toujours pensé qu'elle aimait le cul et si elle s'habille comme ça alors qu'elle était en ville seule c'est qu'elle ne doit pas être contre un coup de bite. En plus en écoutant une fois derrière leur porte alors qu'ils baisaient, j'ai compris que mon papa fantasme en l'imaginant baisée par d'autre. Comme j'ai en plus entendu ma mère un peu déçue le traité d'éjaculateur précoce, il est sûrement cocu! Il faudra que tu essayes de la draguer.


Nous nous sommes retrouvés seuls avec ma femme et elle m'a raconté sa journée et me disant :
- Je ne savais pas que c'était possible de jouir si fort. Quand je suis descendu la réceptionniste m'a dit que tout l'hôtel m'a entendu crier.

Vers 17h00 elle reçoit un message de Jérôme : "J'ai appris que ma pute a découvert les plaisirs d'avoir trois queues noires pour la faire jouir. Viens me rejoindre à la brasserie…" Nous nous sommes donc rendu à l'adresse qu'il a donnée. Il est sur la terrasse en train de boire une bière. Sylvie me dit :
- Toi tu va t'asseoir à une autre table, j'ai envie d'être seule avec mon amant. Fait comme si tu ne me connaissais pas.

J'ai, bien sur, obéis en m'installant à une table assez proche . Il se lève pour la recevoir et l'embrasse comme seul un amant le fait, avec une main qui passe sous le top et caresse un sein à pleine main. Le regard désapprobateur de deux dames ne l'arrête pas, mais fait rougir ma femme. Il lui commande à boire puis ils discutent. A un moment il parle plus fort, sûrement pour que j'entende, mais aussi pour que les personnes proches sachent que Sylvie est une salope :
- Alors tu as été bien baisée ce matin?
- Oui je ne pensais pas pouvoir autant jouir.
- C'est bien tu deviens une bonne pute. Il parait que tu jouis bruyamment.
- Oui, ça ne m'était jamais arrivé avec mon mari. Mais la c'était plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir.
- Je n'ai pas besoin de te demander si tu es nue sous ta jupe puisque Mathieu t'a confisqué définitivement tous tes dessous
Un homme s'est retourné et a détaillé ma femme en souriant


Nous sommes partis de la brasserie. Je porte le sac à main de Sylvie pendant que Jérôme marche à coté d'elle, une main sur ses fesses pour bien montrer qu'elle est sa propriété. Il dit à Sylvie :
- Je t'emmène chez un pote qui fait des tatouages à l'henné. Ce qu'on va te tatouer est une surprise. Mais rassure-toi, dans trois semaine environ on n'y verra plus rien.
- Ce ne sera pas à un endroit trop visible?
- Quand tu es habillée normalement, ça ne se verra pas.

Arrivé chez son copain, je me suis retrouvé assis sur une chaise, nu et yeux bandés. Jérôme dit alors à Sylvie de se déshabiller, puis un dialogue entre les deux mecs commence. Jérôme dit :
- Comment tu la trouves?
- Pas mal conservée
- Elle est plus de première fraîcheur, mais c'est une bonne femelle. Je te propose de la baiser avant de la marquer comme ça on ne risquera pas d'abîmer les tatouages avant qu'ils soient secs.

J'ai alors entendu des gémissements de Sylvie. Les deux mecs la pelote. Ils l'ont ensuite baisée à quatre pattes en la traitant de chienne. Elle a gémi et joui assez bruyamment. Mon sexe tend la cage, ce qui a pour effet de me faire mouiller comme une femme.

Ensuite, c'est le silence presque complet pendant qu'il tatoue Sylvie. Quand il m'enlève le bandeau que j'ai sur les yeux, il y a deux pansements sur le corps de Sylvie : un sur le devant de la cuisse, à mi-hauteur, l'autre sur la fesse. Jérôme explique :
- Dans 4 heures on pourra enlever les pansements et tu verras comment on a marqué ta pute. Je suis sur qu'elle est fière de ce qui est écrit sur elle et que ça la fait déjà mouillé

Ma femme rougis mais ne dit rien. Il est déjà 21h30 et comme m femme est fatiguée et que, en plus la baisser risque d'abîmer les tatouages, Jérôme nous quitte en disant :
- Demain matin tu iras voir Aurélie pour avoir une autre tenue sexy, puis tu retourneras à l'hôtel ou tu auras de la visite à 11h30 devant la réception. Bonne soirée les amoureux.

Après un petit repas, nous rentrons à l'hôtel ou Sylvie s'endort rapidement. En me couchant, je découvre les capotes et les taches de spermes séchés.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Enfin cocu (3)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par X_scorpion

Enfin cocu (3) - Récit érotique publié le 27-11-2008
Enfin cocu (2) - Récit érotique publié le 12-10-2008
Enfin cocu - Récit érotique publié le 28-08-2008