Vers le sud avec un gars du nord

- Par l'auteur HDS Thierry2 -
Récit érotique écrit par Thierry2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vers le sud avec un gars du nord Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vers le sud avec un gars du nord
C’était un beau mois de juin, étant seul cet été, je décidais de partir en vacances en stop afin de faire des rencontres, direction
Barcelone. Partit de Grenoble en fin de matinée, j’étais déjà arrivé dans le sud de la France dans l’après midi, ayant profité de vacanciers relativement sympathiques. Cela faisait maintenant une demi-heure que j’attendais au bord de la route, quand un camion arriva et s’arrêta. Afin de ne pas le retarder, je me dépêchais de me rendre à sa portière, le chauffeur me demanda si j’étais pressé car il ne pourrait pas conduire toute la nuit et devrait s’arrêter pour dormir dans un petit hôtel, et il me proposa de partager sa chambre car en général il y a deux lits pour une personne, et ça ne lui coûtera pas plus cher. Il était sympathique apparemment, de bonne corpulence, les cheveux courts et blonds, les biceps bien gonflés mis en relief par un tee-shirt blanc assez serré. Il portait de même un jean clair qui mettait ses cuisses épaisses bien en valeur. Il sentait le mâle doux sensuel et viril à la fois. Après avoir échangé sur nos vies respectives, l’ambiance était détendue et je me sentais bien auprès de lui, ça avait l’air réciproque car il souriait facilement. Il s’appelait Lucas. Après deux heures de route, le soleil s’était couché et nous arrivâmes près de l’hôtel. Nous prîmes nos sacs et il demanda une chambre à deux lits. La patronne de l’hôtel lui dit que malheureusement, il n’y avait plus qu’une chambre avec un grand lit, et Lucas me demanda mon accord car ça ne le gênait pas de partager sa couche étant donné que nous allions dormir à poings fermés après cette fatigante journée. Avec un peu d’excitation et de crainte, j’acceptais, mais en fait je n’avais pas trop le choix, à moins de dormir dehors. Nous montâmes à la chambre. Il se comportait naturellement et décida de prendre une douche pour se détendre, je la prendrai après. Il enleva son jean, il portait un boxer blanc en Lycra. Ses cuisses étaient magnifiques, recouvertes de poils blonds qui semblaient très doux. Je commençais à chauffer intérieurement. Il prit sa douche et ressortit juste vêtu de son boxer, sa poitrine était quasiment imberbe et puissante, il s’allongeât sur le lit et j’avais du mal à détacher mon regard de son corps d’athlète. En fait de grand lit, on peut dire qu’il y avait un lit un peu large pour une personne, mais avec un gaillard pareil, nous allions être très proches pour dormir. Je pris ma douche à mon tour et profitais de l’odeur qu’il avait laissée, ce qui commençait à m’exciter gravement, je traînais un peu afin de faire retomber mon excitation et être présentable à la sortie de ma douche. Je portais un boxer bleu marine assez moulant et qui mettais en relief mes fesses de cycliste. Il fut admiratif de mes pectoraux recouverts de poils noirs et il me dit que je devais attirer les minettes, il était un peu jaloux, il aurait préféré être plus poilu sur le torse. Nous allâmes dîner, une nourriture simple arrosée de vin rouge qui nous chauffait un peu les joues. Après un petit digestif nous montâmes à la chambre, il faisait bon, la fenêtre ouverte laissait entrer les odeurs d’eucalyptus et le son des grillons. Nous nous déshabillâmes en silence tout en nous regardant de temps en temps comme si nous nous évaluions, nous avons gardé nos boxers. Nous nous sommes couchés, je sentais la chaleur de son corps et la douceur de son biceps contre mon bras. Ses doux poils de ses jambes me caressaient la cuisse. Il commença à me parler de sexe et finit par me demander si je me branlais souvent, car lui le faisait tous les jours lors de ses trajets, je lui dis que moi aussi j’aimais beaucoup me branler. Il approcha sa cuisse contre la mienne, Je sentais ma queue tendue à l’extrême et la liqueur coulait sans cesse de mon gland, si bien qu’en bougeant à peine, l’excitation montait de plus en plus, mon gland lubrifié glissant contre le tissu tendu. Vu l’étroitesse du lit et afin qu’on soit plus à l’aise Lucas mit son bras sur ma poitrine et se tourna pour glisser sa jambe droite entre les miennes. J’allais exploser tellement mon cœur battait fort, il commençait à mes caresser le téton gauche et je bougeais les jambes pour lui enlacer la cuisse. De sa main gauche il effleura mon boxer et sentit mon dard brûlant, il me dit ‘moi aussi je bande à mort’, il prit ma main et la posa sur son boxer ou instantanément je sentis sa queue brûlante vibrer. Il s’approcha et m’embrassa goulûment. Sa salive était abondante et douce et avait un petit goût de pomme suite au Calvados que nous avions bu. Nous décidâmes ensemble d’aller plus loin pour atteindre l’extase et pouvoir dormir par la suite. Il me malaxait maintenant les fesses tout en me félicitant de ses rondeurs fermes. J’embrassais sa poitrine chaude et musclée léchant ses tétons de ma langue dure.
Puis je sentis une sensation agréable sur mon anus, je mouillais déjà du cul et il caressait mon trou humide, je sentis encore plus que des caresses, il n’avait plus de difficulté à me rentrer les doigts dans le cul et à les tourner étant donné ma lubrification naturelle. Nous étions pleins de liquides chauds. Je descendis son boxer et il s’allongea sur moi, j’étais aux anges, en sécurité, il sentait bon, était brûlant et doux nous frottions nos sexes l’un sur l’autre, ses couilles étaient parfaites comme des balles de ping-pong mais pas encore entièrement dures elles roulaient dans leur sac contre le miennes, il m’écarta un peu les jambes avec sa cuisse et réussi à plaquer son gland contre mon œillet humide. J’écartais un peu plus les cuisses et il commença à me pénétrer doucement en glissant en moi. Quand je sentis ses poils pubiens entre mes fesses et ses boules au bord de mon anus nous ne faisions plus qu’un. Le plaisir était si immense que je grondais doucement avec ma gorge, il commença les va et vient et je sentais couler un peu de mes humeurs chaudes lorsqu’il ressortait sa bite brûlante de mon cul. Il accéléra, je n’étais qu’un trou ouvert et humide pour accueillir sa queue détrempée de liqueur. Il m’embrassait et tournait sa langue dans ma bouche tout en s’enfonçant le plus profondément en moi. Je remontais le cul pour l’accueillir, lui maintenant les fesses solidement. J’étais cramponné à son désir. J’avais les entrailles toutes chaudes et quand je le sentis se raidir en moi tout en plaquant ses couilles toutes dures au bord de mon anus, je me mis à jouir longuement en lançant de grands jets de sperme entre nos ventres, je sentais en même temps sa queue gonfler au rythme de ses éjaculations et un nouveau liquide chaud et gluant me tapisser les parois du cul. Nous geignions, et il reprit mon limage facilité par son sperme abondant répandu dans mon trou béant. Il sortit sa queue qui commençait à débander et la glissa entre nos ventres humides, nous étions effondrés et calmés par notre jouissance absolue. Je sentais son sperme chaud sortir de mon anus et le mettais sur mes doigts pour récupérer le goût suave dans ma bouche. Nous nous endormîmes enlacés et gluants.

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