Titre de l'histoire érotique : Pagne de cuir

- Par l'auteur HDS Licoorne -
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Pagne de cuir Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Pagne de cuir
J’avais promis à Mish de lui trouver un gadget érotique, le temps était venu de lui montrer. Je l’ai fait entrer, lui ai servi un verre, attendu qu’elle le boive, tout en écoutant d’une oreille son babillage habituel. La trentaine sportive, elle était toujours aussi mignonne, 1m60, mince, mais avec un cul bien formé, brune. Encore une fois, avec mes 50 balais bien passés, j’avais une sacrée chance, dont je profitais à chacun de nos rendez-vous, on ne se voyait pratiquement que pour le sexe, qu’elle pratiquait à me ravir….
Verre fini, je l’emmenais devant le miroir en pied : “J’ai un cadeau pour toi… Un dessous… Mets toi à poil, on va l’essayer
“. Sitôt dit, sitôt fait, vole le chemisier, le jeans et la petite culotte. Elle était magnifique, nue devant le miroir, ses petits seins en obus, tétons déjà dressés, sa motte rebondie, la toison bien fournie comme j’aime et sa conque, elle aussi dissimulée dans les poils, et ses fesses nerveuses…
Elle avait monté ses mains dans ses cheveux et hanches oscillantes de droite à gauche, elle entamait une danse du ventre lente et lascive ; j’étais hypnotisé par le roulement de son bassin. Ses mains descendant aux seins, elle s’excitait les tétons, les roulant entre ses doigts, les allongeant pour mieux les relâcher, puis se soulever les mamelles…
Aller, c’était l’heure du cadeau, et je bandais déjà…. “C’est une surprise, ferme les yeux, Je te dirais quand tu pourras les ouvrir…. Et ne triches pas ! “ ; me déshabillant à la hâte, je sortais d’une boite une large ceinture de cuir, doublée de feutrine, et à la boucle de laquelle j’avais attaché 4 lacets de cuirs, chacun comportant une dizaine de nœuds, formant autant de petite boules.
M’asseyant face à sa hanche sur un tabouret, je lui passait la ceinture, les lacets pendant devant sa foufoune… “Tu peux ouvrir les yeux..“ Un peu étonnée, elle me fit “Ah, ouais… C’est joli, mais faut mettre une jupe longue, avec ça…“. Les lacets lui pendaient effectivement en dessous du genou, extrémités serties dans un clips métallique…
“Attends, c’est pas tout, mais il faut une petite préparation avant de finir de t’équiper….“ De la main droite, je lui caressais les fesses, et de la gauche effleurais sa touffe ; elle repris son balancement lascif, droite gauche, les lacets lui caressant les genoux. De ses fesses, ma main était descendue à ses cuisses, de sa touffe j’arrivais à sa vulve, et j’entrepris de fouiller tout cela de mes index curieux.
Une main lui écartant les cuisses, deux doigts pour sa chatte, j’entamais un branlage savant de son con déjà suintant, elle soufflais fort et avait arrêté sa danse du ventre. Ses poings fermés, placés haut sur les hanches, presque aux côtes, elle balançait maintenant le pubis d’avant en arrière, renforçant la friction de mes doigts sur ses lèvres, son clito, allant chercher jusqu’au périnée. Je repassais ma main gauche devant les lacets, entrouvrais sa chatte à pleins doigts, saisissant l’extrémité des lacets de l’autre main entre ses cuisses, et remontant le tout dans sa raie culière, le nouait à l’arrière de la ceinture, en tirant bien pour augmenter le contact…
Elle était maintenant équipée d’un string, visible seulement au dessus de son con et de ses fesses, s’introduisant indiscrètement au bord de son sexe et entre ses fesses. J’espérais bien avoir réussi à enserrer son clito entre deux lanières…. Il serait toujours temps de rectifier après ! De surprise, elle avait stoppé son balancement, aussi plaçant alternativement une main devant ses cuisses et l’autre au dessus de son cul, puis sur son ventre et sous fesses, je l’incitais à recommencer son balancement avant arrière…. Elle avait vite compris le but du jeu…. Les boules de cuir lui caressaient le sexe, les lanières le trou du cul, passant et repassant au rythme de ses balancements.
J’empoignais la ceinture devant-derrière et levant abaissant la ceinture, j’augmentais l’amplitude du frottement. Là aussi elle a très vite compris ! Ses mains ont rejoint les miennes, une devant, l’autre derrière, les ont remplacées pour entamer un sabbat jouissif : front baissé, sourcils crispés, elle se regardait faire glisser les lacets entre ses lèvres et dans sa raie ; elle haletais… D’un doigt j’écartais les lèvres, son bouton, pris entre deux lacets s’excitait lui aussi, allongé et durci par le frottement. Je me frottais le gland décalotté contre sa jambe en bandant comme un ours.
Toujours assit sur mon tabouret, je passais à l’étape suivante : lui enfiler un doigt dans le vagin, entre les lanières ; elle me serrais le majeur comme dans un étau, sa mouille me coulais dans la paume, ma main gauche au dessus de ses fesses, accentuait encore son balancement, forçant pour la pénétrer encore plus loin…. A ses spasmes frénétiquement rapprochés, je me rendis compte qu’elle avait déjà jouis plusieurs fois et que cet orgasme qui venait risquait bien d’être le dernier…. Je n’avais pas vraiment envie de me branler devant une Mish, exténuée, apaisée, et aussi relâchée qu’une poupée gonflable ! Je voulais lui cracher tout mon foutre à fond de ventre, lui faire remonter ma bouillie jusqu’aux amygdales, et la sentir me serrer le nœud dans son con jusqu’à en défaillir.
Je la poussais jusqu'au fauteuil, à cheval sur le bord de l’accoudoir, lui écartais lèvres et lacets d’un index presque brutal et lui fourrais le gland dans la chatte ; je retirais mon doigt et l’enfilais d’un trait, à fond, j’avais presque les couilles à sa raie, la position me gênait pour la fouiller plus loin. Je plaçais nos cuisses dessus-dessous, nos pubis au contact, mes couilles en butée, plaquant son ventre au mien, sa matrice semblait en folie, enserrant ma bitte dans un ouragan de tumultes. Je la limais maintenant à grands coups de gourdin, sortant presque mon gland pour mieux la re-défoncer, poils à poils.
J’avais tellement envie de lui cracher toute ma semence que je ne pensais plus qu’à jouir d’elle, en elle et avec ou sans elle ; je sentait mon chibre grossir, s’allonger…. Nous avons jouis tous deux, moi d’abord, elle juste ensuite, en longues pulsations égoïstes, avant de nous disjoindre, dans les bras accueillants du satané fauteuil, qui garde encore quelques traces de nos ébats.
En partant, elle a emmené le pagne de cuir….

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