Sacré soirée, la capotte percée

- Par l'auteur HDS Marie3 -
Récit érotique écrit par Marie3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sacré soirée, la capotte percée Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2005 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sacré soirée, la capotte percée
Sacré soirée, la capotte percée

L’histoire, objet de ce récit date de quatre ans déjà. Ce récit est cocasse, je l’ai vécu avec des hauts et des bas, vous comprendrez pourquoi à sa lecture.
Nous sommes Chris et Marie, un couple uni qui fréquente le milieu du libertinage depuis déjà vingt ans environ. Nous avions, au moment de cette aventure, 51 ans chacun. Nous sommes échangistes et triolistes. Je précise tout de suite que nous ne sommes pas exhibitionnistes et que nous éprouvons la plus forte répugnance pour toute forme de violence ou tout ce qui traite de la notion de « crad ». Nous sommes, si je puis dire, un couple libertin normal si tant est que ce qualificatif soit adapté à cet état de chose. Nous trouvons en principe majoritairement beaucoup de plaisirs dans cette forme de divertissements et pratiquons aussi bien en club qu’à l’occasion de rencontres dites privées organisées spécialement pour cela. Mon mari, je le reconnais, est un expert dans l’organisation de ces rencontres. Il sait parfaitement organiser le contact s’il s’agit d’une nouvelle rencontre dans le cadre d’un trio notamment. Pour une soirée privée entre couples, il saura mettre la pointe d’attention nécessaire dans le choix d’une mélodie particulière ou sur le type de breuvage particulièrement adapté à un plat particulier.
Je précise que je ne pratique pas la bisexualité, je n’y trouve aucun plaisir. Les quelques tentatives que j’ai bien voulu exécuter ne m’ont procuré aucune sensation agréable, je considère pour ma part cette pratique atypique. Je ne porte par contre aucun jugement sur les personnes adeptes de ces plaisirs. Mon mari est dans le même état que moi. J’ajoute d’ailleurs que le fait de ne pas pratiquer la bisexualité a parfois limité nos occasions d’échanges, en club notamment, nous avons parfois éprouvé une certaine forme de frustration nous estimant catalogués au rang des attardés sur les pratiques libertines.
Pour achever notre présentation et permettre aux lecteurs d’apprécier, voici les données statistiques me concernant 1,63m, 56kg, 90d, blonde allant sur le blanc, totalement épilée depuis une quinzaine d’années ; Je n’aime pas dutout la pilosité chez l’individu. Ces données me concernant n’ont pas fondamentalement évolué depuis cette aventure si ce n’est, je dois l’avouer, une ride de plus au moins.
Mon mari est un peu plus imposant avec son 1,83m, ses 92kg, qui témoignent d’un passé de rugbyman au grand cœur et qui par ses occupations extra- professionnelles se maintient physiquement en forme. C’est un blond aux yeux bleus, le critère qui m’a amené à le détourner de ses conquêtes antérieures voilà bientôt trente ans.
Notre aventure a été imaginée au cours d’un repas organisé chez nous au début de l’année 2001 et auquel nous avions notamment invité un couple de nos amis libertins rencontrés plusieurs années plus tôt et qui comme nous savent rester en toutes circonstances très naturels. Deux autres couples libertins étaient présents ce soir-là et j’avoue que je m’étais laissée séduire peut être par un peu trop de Gewurztraminer en accompagnement des entrées.
Nos amis se prénomment Patou pour elle et Dominique ou Domi pour lui. Ils ont exactement notre age.
Patou est elle plutôt potelée avec ses 78 kg pour 1,65m, mais je dirai que cela lui va bien car elle est très bonne vivante, pas du tout complexée, très naturelle tout en sachant être très élégante grâce aux soins apportés à son esthétique comme à ses tenues vestimentaires recherchées. Elle est blonde avec des cheveux teints sur le blanc, mi longs.
Domi, lui mesure 1,80m, pour 80kg environ avec des cheveux grisonnants.
Patou est toujours partante ! C’est pour cela d’ailleurs que Domi lui laisse le soin de conduire les principaux éléments de leur vie familiale à l’exception des voitures. A l’écouter, en effet, ce sont chaque fois les obstacles à priori fixes qui se déplacent vers son auto. Sans rougir, Patou vous regarde droit dans les yeux pour vous confirmer que la dernière fois, cette bordure en béton n’existait pas malgré son état flagrant de décrépitude avancé ! En fait, Patou est toujours une étape devant et se révèle donc très distraite sur l’instant présent.
Ce soir-là, nous sommes en début d’année, les hommes sont très bavards sur l’augmentation des tarifs, des nouvelles charges et impôts annoncés par le gouvernement. Ils établissent également des pronostics avertis sur les vainqueurs probables de la célèbre course automobile du Paris Dakar.
Ils se sont d’ailleurs organisés pour être proches nous laissant la possibilité de discuter autour de nos centres d’intérêt. Une fois les thèmes sur les enfants éliminés, la coiffure de la fille de l’une d’entre nous, les frais de portable prohibitifs du fils de l’autre, notre conversation dévie et s’oriente sur nos intérêts respectifs pour le milieu libertin dans lequel nous évoluons, nos expériences passées, nos envies à venir, tout cela dans un esprit très agréable.
Au cours de cette conversation, je me hasarde dans une confidence auprès de mes trois amies, nos hommes ne risquant pas d’entendre, tant leur conversation est animée.
- Parmi les expériences vécues, je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer un garçon de couleur, on entend de tout là dessus, je pense qu’il y a plus de fantasme que de réalité ! Avez vous de votre coté essayé ?
- Bien sûr , répond sur le champ Patou, nous avons eu plusieurs fois une expérience avec un garçon d’origine africaine, aussi noir qu’une paire de chaussures cirées sortant de leur boîte d’emballage. Il a trois ou quatre ans de moins que nous, il habite près de Toulon, il est très agréable et je ne comprends pas d’ailleurs qu’il soit célibataire! Il s’appelle Mickel, je présume que c’est son véritable prénom, ses parents me semble-t-il ont promené ou vécu dans les pays anglo-saxons. C’est un garçon très charmant ! Je te rassure, il est né en France et fait de la comptabilité je crois. Ne l’as - tu jamais rencontré ?
- Non !dois - je répondre, et entre nous, Patou, est ce vrai que ces garçons sont si différents de nos hommes en amour et coquinerie ?
- Là, Marie, je peux te dire que leur réputation n’est pas une simple rumeur, si tu voyais la puissance de ce garçon, son endurance, sa vigueur, mais aussi sa douceur, c’est incroyable ! Nous l’avions rencontré dans un club à La Garde, et à la fin de la soirée, nous avions convenu d’une rencontre à trois à la maison pour la semaine suivante. Je dois t’avouer que j’ai été servie ! J’avais dû rester au lit une partie de la journée du lendemain ! Nous avons des photos Marie si tu veux et même une vidéo faite par Domi. Attends, tu vas voir, on va le lui demander!
- Non, non, Patou, c’est simplement par curiosité que j’ai posé cette question. J’ai en effet depuis longtemps un vieux fantasme sur une rencontre avec un homme noir.
- Attends, Marie, je pose la question à Domi.
- Domi, s’il te plait, quelques secondes, avons - nous toujours des contacts avec Mickel, as - tu de ses nouvelles ?
- Bien sûr, il nous a envoyé un mail pour nous souhaiter la bonne année, il espère que l’on se rencontrera bientôt. Il doit paraît - il venir chez nous à Brignoles pour son boulot plusieurs jours durant. J’ai répondu à ses vœux et lui ai proposé de venir dormir à la maison pour lui éviter trop de trajets.
- Merci Domi lance Patou, puis, de façon plus discrète à mon intention et avec la complicité de nos deux autres amies :- Marie, tu vas voir, nous allons organiser quelque chose, nous allons reprendre contact avec Mickel, je te tiendrai au courant ! Je te préviens, Marie, s’il accepte, sois en forme ! Tu verras, cela n’a rien à voir avec ce que tu connais déjà. C’est une grosse expérience!
Patou est tout le temps ainsi, pleine d’énergie, de projets, elle donne envie de tout entreprendre…… !
Notre soirée se poursuit normalement, les deux autres couples présents sont en réalité des débutants en matière de libertinage, ils sont sympathiques mais forcément un peu réservés. Chris, après le dessert et le champagne, sort quelques alcools, installe une musique de circonstance et nous nous amusons ainsi jusqu’à trois heures du matin où l’alcool, la musique et les câlins, le tout additionné d’un excellent feu de cheminée nous ont conduit tous les huit dans un état de nudité presque parfaite.
Un seul couple a voulu, malgré notre insistance, repartir après un bon café, le reste de l’équipe s ‘est plongé immédiatement dans un profond sommeil réparateur.

Quatre jours plus tard, un appel téléphonique de Patou en début de soirée.
- Marie, comment vas - tu ? Tu te souviens, samedi dernier, nous avons discuté de notre copain noir, Mickel ! Domi l’a contacté dès Dimanche et hier soir, nous l’avons eu au téléphone ! Il est ravi à l’idée de passer une soirée avec nous, je lui ai parlé de toi, sa voix, je te promets, Marie, a changé dès que je lui ai fait part de ce projet !

Entre nous, je reconnais là très bien Patou qui use de sa technique de « force de vente ». Je lui réponds donc :- Patou, c’est vraiment très sympathique, nous pourrions organiser cela à la maison ! Si Mickel et vous, êtes d’accord, je te propose d’organiser dans neuf jours, le samedi soir. La maison sera vide, les enfants partent en vacances de Février, l’un à Paris chez un copain qu’il fréquente tous les étés en vacances ? notre fille va travailler ses révisions et se faire dorloter par sa grand mère, c’est plus facile avec elle depuis qu’elle a son permis de conduire et sa petite voiture à laquelle nous n’avons pas, à l’exception de son papa chéri, comme elle dit, le droit de toucher. Je demande à Chris d’organiser tout cela, tu connais son sens du détail, je ne travaille ni la veille le Vendredi, ni le Lundi suivant, ce devrait être bien.
- Donne nos coordonnées à Mickel, il viendra directement de la Toulon par l’autoroute, Chris lui enverra le plan pour venir chez nous, vous viendrez de Brignoles à votre guise, tout le monde dormira à la maison.
- Dis Marie, c’est le moment des soldes, il faut en profiter pour trouver quelques habits coquins afin de séduire nos trois hommes! Ah, j’y pense, Marie, Domi amènera sa caméra, Chris prendra les photos.


Notre discussion S’arrête là, Chris est d’accord pour tout organiser, la cuisine sera simple avec un foie gras que j’ai préparé au mois de décembre, un plateau de fruits de mer, une viande rôtie accompagnée de quelques légumes,avec salade, fromage et desserts variés pour la nuit, sans oublier l’accompagnement de vins et spiritueux.

La veille du jour convenu, je vais chez le coiffeur et l’esthéticienne pour me faire une beauté, mon épilation complète est parfaite. J’en profite pour effectuer quelques achats vestimentaires de détail ! Chris achève l’acquisition des consommables pour le repas. La journée du samedi est consacrée à la préparation de la maison, nettoyage des chambres des enfants dont celle de notre fils, préparée pour Mickel, l’espace séjour salle à manger de 40 mètres carrés est finement nettoyé par Chris et agencé. Il dispose en angle la Méridienne et un canapé, dépose des matelas de mousse de dix centimètres d’épaisseur qu’il recouvre de tapis épais, le tout sorti de fourreaux ou de malles. Quelques poufs sont également remis au jour. La table basse est rangée à côté de la bibliothèque, éclairages indirects et lampes à lumière diffuse sont efficacement disposées, la cheminée est préparée avec suffisamment de bois pour nourrir un feu durant dix jours. Le meuble TV est tourné pour donner une vision vers l’espace aménagé car Domi apprécie un bon film X durant nos amusements. Sur un guéridon, disposé à côté, Chris y dépose une boite en racines de cade avec discrètement, à l’intérieur les préservatifs. Des serviettes sont dissimulées dans le bas du meuble TV de même que quelques godemichés dont les piles de certains sont remplacées. Je souris car c’est le travail de Chris mais je ne peux m’empêcher de lui « casser les pieds » en vérifiant s’il n’a rien oublié !.
Une fois l’espace séjour achevé, c’est au tour de la salle à manger, la table est dressée, nous dînerons aux chandelles, la desserte est en place, tout est fin prêt.
Pour ma part, le repas est très simple à préparer.
Il est midi trente, nous déjeunons en amoureux mais vite fait et sobre, je parts faire une grande sieste.
Je suis réveillée de mon profond sommeil par le téléphone qui insiste. Je trouve enfin le combiné , c’est Patou au bout du fil.
- Allo, Marie, je t’appelle, comment s’habille t’on ce soir ?
- Si tu veux bien, pour le repas, nous nous habillons sexy. Sur ma parure rouge et mes bas résille noirs avec jarretelles, je mettrai une mini jupe plissée et un chemisier vaporeux en soie légère. À la fin du repas, par contre juste avant les desserts, je te propose que nous allions nous changer. Pour ma part, je garderai les dessous et j’enfilerai une super mini jupe noire résille extensible et un simple dessus en nylon transparent brodé que Cris m’a acheté hier au soir. Il s’agit d’un simple cache cœur qui descend jusqu’aux fesses, aux longueurs inégales.
- D’accord, je m’habille en conséquences, nous serons chez nous vers 19heures.
Je me lève, il est déjà 16h30’, je ne pensais pas avoir autant dormi. Une bonne douche, renforcée par un bon café me remet en forme. Chris, qui entre temps a tout remis en ordre dans les toilettes, les deux salle de bains est au garage avec ses bricolages habituels. Je pense que s’il s’y était pris plus tôt, il aurait pu nous construire un hélicoptère. Je ne sais toutefois pas s’il volerait. J’appelle Chris, le secoue un peu :- Ton vin est-il prêt, va t’habiller, il est 17heures. Dans deux heures tout le monde est là et tu t’amuses ! Augmente le chauffage, allume ton feu. As - tu prévu de l’encens ?
Pour moi en effet, la pression monte ! Pour Chris, l’important est d’être prêt le moment venu, ni après, ni avant ! Il abandonne tout, se précipite dans une salle de bains et en ressort, propre, rasé de prés parfumé de façon exagérée, habillé de façon impeccable . Chris reçoit toujours en cravate, c’est paraît - il lié à son éducation : sans commentaire !
Il s’exécute pour les chauffages ! la température devient très vite plus qu’agréable.
Dans le même temps, je me coiffe, me maquille de façon exagérée, puisque, c’est paraît - il un des points faibles de Mickel et m’habille. Il est déjà 18h30’, la nuit est bien tombée, je n’ai pas vu la journée passer mais je suis en forme.
A 18h45’, la sonnette du portail retentit, avant que je n’ai pu dire bonjour , une voix que je reconnais aussitôt « c’est nous » je reconnais Patou. J’ouvre, tandis que Chris va les accueillir pour les aider à garer la voiture.
Au même moment, le téléphone sonne à nouveau, c’est Mickel qui arrive par l’autoroute, il vient de passer le péage, il veut connaître la direction à prendre pour venir chez nous. Après avoir enregistré la marque et la couleur de sa voiture, je le rassure, Chris va aller le chercher, c’est plus simple.
Les évènements se précipitent, j’espère que nous n’avons rien oublié.
Patou et Domi arrivent ! Patou est magnifique dans sa fourrure type renard. Elle arrive avec une valise remplie pour un voyage de dix jours, Domi, élégant suit avec du champagne et son matériel pour filmer. Je leur explique que Mickel est dans le quartier et à l’arrivée de Chris, je l’expédie le récupérer.
Patou et Domi s’installent, se défont de leurs vestes, Patou rejoint la chambre d’amis pour défaire la valise et sortir les vêtements de la nuit. Pour l’instant, elle a une mini jupe fendue sur un côté qui compte tenu de la dimension de son fessier est ouverte en permanence laissant supposer une absence de culotte. Domi installe son matériel et signale qu’il fait très chaud dans la pièce de vie pour la soirée.
Quinze minutes plus tard peut être j’entrevois les phares des voitures qui pénètrent chez nous, la soirée va pouvoir bientôt commencer. Chris et Mickel arrivent, Patou se précipite pour les accueillir, elle veut jouer la « public relation » Une bouffée de chaleur m’envahit, au fond, cette soirée a été conçue à ma demande, comment cela va t’il se passer ?
J’entends Patou qui salue Mickel puis Chris en chef de maison le fait entrer. Ah, oui, Patou avait raison, il s’agit d’un « vrai noir », couleur ébène luisant. Il n’a en effet aucun cheveu sur sa tête, ce qui rend son crâne brillant. Il est très bien proportionné et sourit déjà. Il arrive avec un joli bouquet de fleurs qu’il me tend en même temps qu’il m’embrasse, je reste un instant figée sur place. Il me tend un petit paquet ainsi qu’à Patou. À l’ouverture, il s’agit de petits colliers ras de cou avec des scènes érotiques tirées du kamasoutra.Nous le remercions, je lui fais découvrir les lieux, Chris transporte son sac de sport et lui indique sa chambre. Domi les suit pour discuter un peu. Avant de se mettre à table, j’installe le bouquet dans la salle à manger pendant que nos trois Messieurs découvrent un instant les collections de modèles réduits de chris. Mickel paraît décontracté, il a conservé une seule chemise blanche ample et un pantalon gris clair, j’observe qu’il n’est pas insensible à nos tenues vestimentaires féminines. Nous passons à table, je m’installe entre Mickel et Domi, Patou est de l’autre côté de Mickel avec Chris à ses cotés.
Pendant que Domi allume les chandelles Chris nous sert l’apéritif, l’apéritif, les conversations s’engagent, Chris assure le service avec Domi comme sommelier.
Tous ces vins, ainsi que la chaleur ambiante me montent un peu à la tête, je comprends qu’il en est de même pour Patou qui a le verbe un peu haut et qui se révèle encore plus enthousiaste.
Le repas est agréable, Chris a éteint une partie des lumières pour laisser aux chandelles tout leur effet. Mickel est agréable dans ses conversations, il rit souvent, Patou lui demande son age, 48 ans mais il insiste aussi en expliquant que cela change tous les jours, il aime les bons vins à priori.
Chris et Domi changent les assiettes des coquillages et du temps qu’ils sont à la cuisine pour préparer le plat suivant, je sents le genou de Mickel qui effleure ma jambe. Au sursaut de Patou, je comprends qu’il fait de même auprès d’elle. Je ressents tout d’un coup sa main qui se balade sur mon bas résille pour remonter vers ma cuisse, il a une bonne poigne.
Nos hommes reviennent, le repas se poursuit….Quelques allusions coquines sont abordées. Mickel a essayé à deux ou trois reprises de toucher ma culotte, il n’y est pas véritablement arrivé, il essaie de me faire écarter les jambes, Chris s’est rendu compte du petit jeu, il est vrai que le chauffage est efficace, j’ai chaud et je trouve Mickel de mieux en mieux.
Le fromage- salade terminé, Patou se tourne vers moi et me fait signe, je comprends qu’il est temps d’aller se changer. Je me lève et me rends compte que mickel a décroché une jarretelle de mes bas résille, je répare le tout et rejoints Patou dans notre chambre. Nous nous changeons, autant dire que nous devenons au niveau de l’habillement transparentes !
Patou a du mal à fixer son soutien gorge et malgré mon aide décide de l’abandonner Là.
J’entends que la musique a été changée par Chris, je suppose, qu’elle est un peu plus forte. Un petit passage dans la salle de bains pour le maquillage et les parfums, nous redescendons toutes les deux vers nos trois hommes dont mon noir.
À notre arrivée un peu déhanchées, ils ne peuvent s’empêcher de clamer leur surprise. Mickel applaudit même. Nous les embrassons tous les trois. Chris qui a disposé des gâteaux et des fruits sur la table ouvre une bouteille de champagne, nous trinquons puis rejoignons le devant de la cheminée.
Chris a mis une musique basée sur des succès très rythmés avec une insistance sur le « passé », Jonnhy, Claude François, Eddy, puis de plus récentes, Tout le monde se trémousse, cela facilite la digestion, une odeur de café envahit la pièce, Chris nous a prévu ce remontant pour la nuit.
Le café est servi, chacun vient à tour de rôle l’absorber, les uns l’aimant bouillant ou presque, les autres, le préfèrent quasiment froid.
Cette bonne séance de danse nous a dégourdi les jambes tout en remplissant nos têtes de musique rythmée à puissance malgré tout limitée. Trois quart d’heure peut être de ce rythme nous ont permis d’échanger des mots, des regards. Chris a fini enfin par enlever sa cravate.
Une petite pause s’impose. Les uns récupèrent des poufs, les autres, le coin de la cheminée ; Une pause pipi est techniquement indispensable, il faut éliminer !
J’observe Mickel qui discute avec Chris, il est agréable ce garçon mais franchement très noir ! Vais je vraiment pouvoir être attirée par lui, je m’en inquiète un peu. Je regrette presque à cet instant, d’être allée si loin. Je décide dans ma tête de gérer la situation de la façon suivante : Si j’éprouve une réelle difficulté pour aller auprès de lui, je fermerai les yeux. Pourtant ce garçon dégage un flux de sympathie, une certaine attraction.
Tout en discutant, Chris renforce la puissance de feu de la cheminée. Patou revient de se refaire une beauté, Domi propose à chacun une boisson ! Il connaît mes faiblesses dans ces moments : Gin- orange, je comprends à l’odeur du breuvage qu’il a eu la main lourde sur le Gin mais j’en suis quelque part au fond de moi ravie, cela m’aidera peut être à me laisser plus facilement aller vers ce garçon de couleur.
J’observe, en passant, que Mickel n’est pas forcément plus sage que moi. Il opte pour un Whisky additionné d’eau qu’à priori un Irlandais ne consomme que le jour où il vient de gagner au loto national.
Patou quant à elle, je la connais, réclame sa Marie brizard, bien douce et sirupeuse.
Nos hommes se débrouillent.
Nous trinquons et buvons de bon cœur. Patou, toujours optimiste ne peut s’empêcher de déclarer : Super soirée !!!
Ce moment d’entracte conduit nos hommes aux histoires et jeux grivois :Chris nous propose de répéter rapidement plusieurs fois :° Trois fûts, trois caisses, la main entre les caisses, le doigt dans le trou du fût ! ou alors° Arnouille se grattait les coudes sur le trottoir ; Sur le trottoir, Arnouille se grattait les coudes.
Essayez à votre tour, vous comprendrez bien vite la tournure des affirmations (Les termes sont réels, je les ai réclamés à Chris pour ce récit ! Il en rigole toujours)Forcément, ce type de récit finit de « briser la glace » et Mickel se tord de rire sur son pouf, tellement, lui comme les autres commettent des lapsus sur ces répétitions.

Ce moment de franche rigolade a forcément une fin ! Chris se dirige vers la chaîne stéréophonique et lance un CD basé sur se slows et des danses rapprochées ; il arrête certaines lumières, allume quelques bougies et chandelles pour parfaire le caractère feutré et doux de l’ambiance, il embrase cinq ou six cubes et bâtonnets d’encens disposés un peu partout.
À ce moment, Mickel se lève et vient m’inviter. J’en suis au point zéro de mon aventure. Le Gin- orange m’a chauffé la tête, je ne recule pas mais j’ai réellement l’impression d’entamer une expérience plus forte, que je risque de ne pas pouvoir supporter jusqu’au bout. Tant pis !
Mickel me prend la main et m’extirpe de mon pouf. Nous nous mettons à danser.
Pour trouver le rythme, il me tient les hanches et j’obéis à ses cadences ! Ensuite, il m’attire contre lui, maintenant une main sur le creux de mes reins et l’autre sur mes épaules. Je trouve qu’il serre beaucoup, je ferme les yeux, la danse continue !
Mickel approche son visage près du mien, il me félicite discrètement pour la cadence et notre harmonie dans cette danse. Flattée, je me colle machinalement un peu plus à lui, je n’ai toujours pas réouvert les yeux, il me fait des bisous dans le cou. J’ai chaud, à cause de l’alcool, de la température de la pièce et du contact avec mon noir.
Mickel s’en rend compte, il tente une caresse sur mes fesses, je me laisse faire ; Son autre main est prés de ma nuque, il presse ma tête contre sa poitrine, la musique est toujours agréable. Sa main gauche tripote mes fesses, je n’ai pas grand chose à cet endroit, le string et la jupe résille. Il a passé sa main au dessous du petit chemisier. Franchement, il est bien parfumé, je craignais une odeur de mâle trop forte. L’encens également agrémente très bien l’ambiance. Je comprends que Mickel veut attirer ma bouche contre la sienne, j’ai toujours les yeux fermés et nous dansons.
Nos bouches se collent, j’ai à peine le temps de faire le baiser que sa langue, longue et épaisse est au fond de ma bouche. Ses lèvres sont épaisses et larges, franchement, il « bécaute » bien. Sa main baladeuse est passée derrière la jupe, s’agissant d’une jupe extensible, il essaie de la faire descendre ;Finalement, je retire ma bouche, et ouvre les yeux ! Je découvre la noirceur de Mickel, mais au fond, peu importe sa peau. J’enlève ma jupe, il insiste pour ôter mon espèce de cache cœur, j’obtempère.
Très galant, Mickel récupère mes vêtements et va les déposer sur une chaise. Il enlève également sa chemise, récupère nos deux verres sur le guéridon, me tend le mien, nous buvons ensembles.
Je peux voir durant cet intermède que Patou danse en sandwich entre Chris et Domi.
Patou a également ses fesses bien rembourrées à l’air.
Une cassette sans son passe sur l’écran TV, je la reconnais immédiatement, il s’agit du « canapé rouge ». Une fois débarrassés de nos deux verres, Mickel m’étreint à nouveau et à l’oreille, m’avoue :- Chérie, tu es bandante comme cela, bas résille noir, string, porte jarretelles et soutien gorge rouge, c’est un vrai cadeau que tu me fais.
Nous reprenons nos baisers bouche à bouche, tout en dansant, il n’est pas trop velu sur le torse, j’ai horreur des torses trop fournis. Je lui caresse son crâne rasé, comme si j’y cherchais quelque chose.. Il me caresse plus librement les fesses et le dos. Tiens, il défait mon soutien gorge. J’avoue que cette scène me plait ! je commence à réaliser que mon sexe devient humide. J’ai un sursaut, c’est Domi, qui au regard de la scène, n’a pas pu s’empêcher de venir me caresser les fesses. Quel coquin ! Finalement, il n’insiste pas. Je commence à sentir une rondeur dans le pantalon de Mickel, il doit bander ! il me retourne et m’attirant contre lui, me palpe les seins qu’il pince à merveille. Nous ne dansons plus mais la musique est formidable.
Je sents maintenant, nettement bien entre mes fesses le sexe de Mickel, il a l’air imposant. Sa main droite me masse le ventre puis descend en circonférences vers mon intimité. Sa main passe au dessous de mon string, Mickel constate que je mouille abondamment et ne peut s’empêcher de me confier à l’oreille.
- Salope, chérie, la fontaine coule !
Dans ces moments, j’aime les mots crus et ces quelques paroles accentuent mon désir.
J’attire son oreille près de ma bouche et lui murmure :- Je vais guider ta main afin que tu masturbes correctement le mont de vénus, j’aime beaucoup jouir ainsi une première fois !
J’en profite pour retirer rapidement mon string après avoir dégrafé les quatre jarretelles. Je prends la main de Mickel et la guide d’abord, il comprend vite le bougre, il est doux mais efficace. Devant mes yeux, Patou est à genoux entrain de faire une fellation à Chris tandis que Domi essaie de lui introduire un godemiché.
Il ne me faut pas plus de trois minutes pour qu’une première jouissance m’envahisse le corps. J’ai juste le temps de m’accrocher à nouveau à la bouche épaisse de Mickel pour éviter d’alerter trop bruyamment le reste de la pièce.
Je reprends mes esprits, Mickel me complimente sur mon épilation et me demande l’autorisation de regarder. Après mon accord, il me dirige vers un pouf, je m’y assieds, il écarte mes cuisses, contemple, s’agenouille, passe sa langue épaisse sur mon sexe tout mouillé à trois ou quatre reprises. C’est, je l’avoue, génial !
Décidément, ce garçon a de l’expérience en amour. Il se relève et vient « bécauter » ma bouche, sa langue est vive et profonde, sa salive est d’un goût bizarre. Il m’avoue à l’oreille :- Chérie, notre amour est ainsi soudé !

À mon tour, toujours assise sur le pouf, j’attire Mickel à moi. Je palpe son sexe qui est manifestement en érection. Je défais la ceinture et la braguette de son pantalon.
J’ouvre dicrètement ! Je découvre un engin tout noir qui émerge maintenant du pantalon, enfin libéré. Mickel n’a pas véritablement de slip, simplement un string avec seulement un anneau comme support de son sexe. Ce sexe est hors normes ! Il doit bien faire au minimum vingt centimètres de long, mais le plus impressionnant se situe au niveau du diamètre. On ne voit, à mon sens, cela que dans les films. De plus, ce sexe est tout noir ! Je saurai ensuite, de la bouche de Mickel, qu’en érection, son sexe fait cinq centimètres de diamètre et vingt deux centimètres de long.
Je suis stupéfaite, Mickel le réalise et là debout, me demande :- Alors , comment le trouves tu, chérie ?
Je ne peux que répondre :- Je ne savais pas que cela pouvait exister.
- Les dames me font chaque fois la même remarque !
- Retire ton pantalon, s’il te plait, je vais pouvoir toucher.
Mickel s’exécute et au moment de poser son pantalon, sort quelques préservatifs de sa poche, les pose sur le guéridon et m’annonce :- Ce sera pour tout à l’heure.
- Tu sais, chris a tout prévu, là dans la petite boite.
- Je comprends que tout a été organisé mais ceux là sont fantaisie, parfumés, avec des rugosités qui peuvent t’aider à jouir plus facilement, paraît il !
- Bien, nous verrons cela après, fais moi voir ce sexe !
Mickel s’approche, sa verge, je le confirme, est énorme avec deux boules que l’on appelle testicules ou couilles selon l’usage elles aussi hors gabarit et tout cela noir, noir . J’approche mes mains pour toucher et à ma plus grande satisfaction découvre toute une zone sans aucun poil. Je m’attendais à rencontrer des poils crépus, bouclés, serrés, il n’y a rien. J’interpelle Mickel :- Tu n’as donc, toi aussi aucun poil sur le sexe ?
- Non, je me suis offert hier, spécialement à ton intention, une épilation complète.
Patou m’a dit au téléphone que tu n’aimais pas les poils, j’en ai tiré les conséquences. La seule difficulté a consisté à trouver un institut acceptant ce genre de travail. J’ai bien cru que je ne trouverais pas !
- C’est fantastique, dois je avouer !
- Attends, chérie, nous allons à nouveau remplir nos verres avant d’aller plus loin.
J’avoue qu’au stade où l’on en est, il peut me proposer ce qu’il veut, je le suivrai les yeux fermés. Mickel assure donc le service, nous buvons encore, Chris est entrain de prendre Patou en levrette, elle réalise maintenant une bonne pipe à son mari.
- Viens par ici me demande Mickel en m’attirant sur le tapis devant la méridienne.
- Attends, je prends une serviette, c’est plus hygiénique.
- Nous nous asseyons et nous enlaçons dans un grand baiser d’amour profond.
J’avoue que l’alcool m’a totalement libérée. Je caresse ce sexe, cette hampe que j’ai décalottée, Mickel gémit un peu, puis :- J’aimerais un gros câlin sur mon sexe !
- J’ai bien compris, dois je lui préciser à l’oreille, je peux, si tu le souhaites, te faire une pipe complète ! Je peux la faire sans préservatif, tu peux éjaculer dans ma bouche mais, je n’avale rien et vais me rincer la bouche aussitôt après. Je n’ai qu’un seul doute, ton sexe entrera t’il dans ma bouche ?
- Tu sais, j’ai pu vérifier que les femmes, vous avez une bouche aussi élastique que votre vagin !
Je m’installe à genou à côté de lui, caresse de mes mains ses deux belles et grosses couilles, j’y passe la langue tandis que d’une main, je finis de bien décalotter cette imposante queue. Mickel a conservé son string avec son anneau. Je lui ôte le tout et enfile cette stalagmite chaude dans ma bouche, d’abord très peu, puis qu’avec ma langue, j’excite le méat . Le parfum de ce sexe est singulier mais agréable. Mon excitation fait des effets, cette hampe est sous l’emprise de convulsions, à priori, Mickel apprécie. J’enfonce un peu plus ma bouche sur cette raideur chaude et active. Mickel s’agite, il palpe mes fesses, il m’attire à lui, me tripotte le sexe, je me concentre sur cette pipe car j’ai la prétention et la fierté de bien la réaliser. Tout d’un coup, une lumière blanche me trouble, Domi est entrain de filmer, il a eu le temps d’observer la scène qui lui paraît suffisamment érotique pour réaliser un reportage. Je n’arrête surtout pas car je connais la direction de l’objectif de la caméra. La séance reportage terminée, l’ambiance tamisée revient, Mickel est de plus en plus agité, son sexe de plus en plus dur, gros et convulsé. Il gémit, il avoue à mots à peine compréhensibles que la rencontre valait le déplacement, il se tord dans tous les sens !
C’est là que je dois être appliquée dans ma fellation, maintenir le rythme pour procurer à ce noir de Mickel, une jouissance extrême. Ma bouche paraît en feu, tellement l’engin qu’elle pompe est géant. Je caresse à nouveau les testicules lisses de mickel, ses propos tout autant inaudibles deviennent plus forts, son corps se tend.
J’ai juste le temps de comprendre,- C’est bon !
Je reçois, en pleine bouche, plusieurs énormes giclées de sperme ! Il n’avait pas dû éjaculer depuis au moins un mois, il n’arrête plus. Ma bouche ne peut tout contenir, je laisse s’écouler cette semence chaude et fade. Mickel tient maintenant ma tête entre ses mains pour pouvoir maintenir le contact de ma bouche avec son sexe. À tâtons, je saisis la serviette pour éponger cette semence. J’essuie ma bouche, j’éponge de mon mieux ce sexe gluant. Mickel est en extase, il ne bouge plus, il a l’air rassasié. Je le secoue pour l’inviter à se nettoyer à la salle de bains. Je reprends moi aussi mes esprits !
Patou est en pleine montée de jouissance, elle est accrochée au rebord de la bibliothèque, penchée vers l’avant, Chris est entrain de la prendre en levrette, Domi filme la scène.
Mickel et moi allons nous nettoyer dans la salle de bains du bas, pour moi, ce sera d’abord un bain de bouche complet avec produit antiseptique du temps que Mickel est sous la douche. Je regarde, il a beau frotter, tout reste noir.
À mon tour, j’ôte porte - jarretelles et bas résille et me soumets à une douche rapide qui a pour effet de m’enlever toute trace de transpiration.
Mickel m’attend, je constate, à la lumière intense que son sexe demeure imposant et encore tout rigide. Il me répond :- Je peux rester en érection très longtemps, c’est ce que vous Mesdames, appréciez le plus. Je reconnais que de ce côté - là, la nature m’a gâté. Tu verras tout à l’heure ce que cela veut dire…. Marie, maquille toi de façon exagérée, j’adore cela !
Du temps que j’obtempère, il me passe du rouge à lèvres sur la pointe des seins et, avec le crayon de maquillage,dessine un cœur sur mon bas ventre. Un hurlement nous parvient de la salle de séjour.
- Tiens, c’est Patou s’exclame Mickel, elle a pris son compte.
Nous revenons vers le séjour et croisons Patou, totalement nue qui va également se laver.
À ma vue, elle ne peut s’empêcher de déclarer :- Oh putain, marie, qu’est qu’ils m’ont mis, ton mari est en forme, j’ai joui comme jamais. Je me lave et je recommence, c’est trop bon, qu’est ce qu’on s’éclate ce soir.
Puis, se tournant vers notre invité de couleur.
- Alors, Mickel, elle pompe bien Marie ! Tu ne regrettes pas d’être venu à ce que je vois.
- Soirée bien commencée Patou, il n’est qu’un peu plus de minuit, la nuit est à nous pour la suite ! En tout cas, merci pour l’invitation.
Nous arrivons à l’espace séjour, Domi et Chris sont en plein rangement, ils récupèrent des verres vides sur les meubles, rangent les poufs, les coussins, remettent de l’encens en combustion, du bois au feu et déclarent qu’ils ont faim.
Après une très rapide douche, à leur tour, ils décident de saucissonner avec une bonne bouteille de vin rouge à la clé. Mickel, par l’odeur alléchée, m’abandonne pour aller lui aussi se restaurer. Nous sommes toutes et tous nus comme des vers de terre.
Quelques ripailles plus tard, une bouteille de côtes du Rhône, quelques sucreries pour achever la collation avec pour certains dont je fais partie, un verre de champagne en guise de digestif, nous reprenons nos amusements.
Décidément, Mickel tient à moi, il m’attrape, me serre contre lui et m’entraîne pour danser. Cette fois ci, le contact est direct dans la mesure où nous sommes nus.
La chaleur de son gros sexe sur mon ventre a vite fait de m’émoustiller à nouveau et me remet en conditions. Mickel insiste par des mots osés sinon cochons, chuchotés à mon oreille. Il passe son buste contre mes seins qu’il réveille, les pointes se tendent.Je sents son sexe pourtant énorme et viril, durcir et se tendre encore plus.
- Je vais te prendre me confie t’il !
Nous nous installons, j’ai un coussin sous les reins et l’autre sous la tête. J’ai récupéré une nouvelle serviette. Je demande à Mickele d’enfiler un préservatif, dans ces moments, en effet, les hommes sont plutôt enclins à rechercher le naturel.
- Je vais mettre un présevatif fantaisie, ils m’ont été donnés, il faut en profiter, tu pourras dire si la sensation est à la hauteur de leurs affirmations.
Mickel enfile sa capote, se couche sur moi et avant de me pénétrer , avec sa verge m’excite le clitoris. Je sents la pression qui monte vite, je cherche la bouche de Mickel, mon sexe va être enfilé par une queue de couleur, mon vieux fantasme caché ! Je crois que je gémis un peu.
Mickel cherche maintenant mon vagin, j’écarte encore plus les cuises pour lui donner toute la place nécessaire, A petits coups, il entre, son engin prend une place gigantesque, il n’arrête pas d’entrer, jusqu’où va t’il aller ?
Sa progression ralentit maintenant, il prend une cadence rythmée, c’est fantastique, il touche le fond de ma paroi vaginale, je perds les pédales, lui aussi gémit, tel une bête en Ruth. Que c’est bon !j’entre - aperçois une lumière, C’est Domi ou Chris qui filment. Ensuite, je parts dans une jouissance sans fin, ce gros engin actif dans mon sexe. J’ai l’impression de n’avoir jamais été remplie de la sorte, Mickel ne baisse pas le rythme, je jouis une fois, puis deux puis, ….! Peut-être dix fois, je suis en feu, mon cœur cogne, je suis réveillée de cet état au bout de vingt minutes peut être par un bruit féroce, Mickel jouit, je sents de la chaleur dans mon ventre, il s’affaisse sur moi, nous sommes bien, je veux que ce plaisir dure, je chuchote à Mickel de ne pas bouger. J’entends Patou qui émet des bruits de plaisir.
Nous restons ainsi enlacés peut être cinq minutes, j’embrasse encore Mickel, je le remercie, je caresse son crâne lisse et noir, franchement, je ne regrette rien !
Mickel se retire progressivement et une fois son sexe sorti, murmure à voix basse :- Merde !
Je pense qu’il est ennuyé pour savoir où mettre son préservatif, il se penche à nouveau vers moi et me déclare :- Le préservatif s’est cassé ! Je te promets, chérie j’ai un test négatif très récent, excuse moi !
J’avoue que cette soirée est pleine d’intensité et de nouveautés. Ma tête s’embrouille un peu, finalement, je lui réponds :- Nous avons réalisé un test la semaine dernière, il est également négatif mais tes préservatifs jouissifs et gratuits, il te faut les jeter ! Passe moi la serviette s’il te plait !.
J’ai en effet, une quantité très importante de sperme qui sort de mon vagin , je veux éviter à tout prix d’en coller sur tous les tapis. Mickel s’essuie et me passe la serviette, je me lève, Patou est entrain de prendre une double pénétration, elle est très occupée, nous repartons à la salle de bains, Mickel se confond à nouveau en excuses mais avoue lui aussi avoir joui de façon intense. Du temps que Patou finit de se faire remplir de plaisir, nous reprenons avec Mickel un alcool fort.
Il y aura quelques autres amusements moins marquants pour moi, nous allons tous au lit vers quatre heures du matin, le sommeil est subit, lourd et profond.
La maison se réveille vers 9h30’, Chris, ce petit dormeur a eu le temps de nettoyer la salle à manger, mettre en route un lave - vaisselle, d’aller chercher avec sa moto, du pain frais et des croissants et de dresser la table avec tout ce qu’il faut pour un bon petit déjeuner. Nous revenons sur les amusements de la nuit, tout le monde a pris du plaisir, Patou est moins en forme, cela s’entend à sa voix.
À 11 heures, tout le monde est parti, Domi nous ayant, entre temps, fait voir ses prises de vue, parfaitement réussies. Il nous fera des copies, je crois.
Nos invités à peine partis, j’explique à Chris que j’ai besoin de sommeil. Je lui confirme que Mickel est hors normes et que je risque de finir la journée au lit. Je lui confie également la mésaventure de la capotte perçée.
- Cela se voit que tu es fatiguée, tu es toute blanche, heureusement, tu ne travailles pas demain, va au lit, je m’occupe de tout le rangement, m’accorde Chris !
Je ne me fais pas prier, je replonge aussitôt dans un second sommeil, je n’en ressortirai que vers 16 heures, j’ai la tête qui tourne, je comprends que mon foie n’est pas habitué à ces mélanges de boissons, il a besoin lui aussi d’un peu de répit.
Chris me signale que nos invités ont téléphoné pour confirmer leur arrivée, notre fille a appelé car elle a oublié un devoir d’anglais, je n’ai rien entendu.
Je prends de quoi calmer mon mal de tête et aussitôt terminé, j’ai faim. Chris me prépare un petit repas que je prends devant le feu de cheminée que Chris a rallumé après avoir tout remis en ordre. Je lis un peu puis retourne au lit, Chris se moque de moi, m’expliquant que je ne tiens plus le rythme, qu’il ne me faudrait plus autant me « faire défoncer » à l’avenir….

La nuit suivante, j’ai été prise de nausées, j’ai rejeté tout le repas et le lendemain, Chris m’a conduite chez le médecin qui a diagnostiqué, sur mes propos et affirmations une bonne crise de foie. Un traitement approprié m’est ordonné ainsi que trois jours de congés maladie.
Heureusement, nos enfants , même s’ils sont grands sont absents durant deux semaines, cela va m’aider à me soigner. Je passe le Mardi et le Mercredi, entre le lit et les fauteuils du séjour, Chris est devenu le chef de la maison, je ne fais plus rien sinon lire un peu. Malgré les médicaments, je rejette une bonne partie de mon alimentation, décidément, mon foie !!!
Le Mercredi, en début d’après midi, j’étais entrain de penser à notre soirée, Mickel avait encore appelé le Mardi soir pour bien nous remercier à nouveau, nous ne lui avions rien dit sur mon état de santé, je me remémore les moments de jouissance de cette soirée, me revient alors à l’esprit, l’histoire du préservatif cassé.
Une bouffée de chaleur me traverse le corps.
Et si Mickel m’avait mise enceinte ????
Je n’y crois pas franchement car le gynécologue que je ne consulte plus que deux fois par an m’a indiqué depuis un an que toute forme de contraception était désormais inutile. D’ailleurs, lorsque je fais l’amour avec Chris, nous n’utilisons aucun système contraceptif, ce qui est d’ailleurs franchement plus agréable.
Je réfléchis tout de même que Mickel est bien pourvu en sperme, je me souviens de la fellation, il est puissant, il n’a que quarante huit ans, bref, je « gamberge ». Je n’en dis toutefois rien à Chris et le Jeudi matin, je prends tant bien que mal ma voiture, et vais acheter un test de grossesse à la pharmacie à trois kilomètres de chez nous.
De retour, j’effectue immédiatement le contrôle qui est sans équivoque : Je suis enceinte !
Je comprends de suite les nausées, le foie n’y est pour rien ! À chaque début de grossesse, j’étais ainsi, mais il y a longtemps. Toute Cette histoire pour un préservatif de mauvaise qualité.
J’appelle Chris à son travail, lui explique que je ne suis pas très bien, il va venir déjeuner à la maison et restera là l’après midi.
À l’arrivée de Chris, je dois le mettre au courant en prenant les formes d’usage, ce n’est plus comme lorsque nous avions trente ans.
C’est là où je dis que j’ai la chance d’avoir un mari adorable ! Je lui annonce que je suis enceinte à 51 ans, que je me suis faite remplir par un noir, il ne trouve rien de mieux que de me répondre :- Eh bien, vois tu, tu as là, la preuve que tu es encore toute jeune. Tu dois être ravie ! Je vous ai vu faire par moments avec Mickel, à mon avis tu dois avoir au moins trois petits noirs dans le ventre !
- Que faut il faire maintenant ? Que j’en aie un ou dix, le résultat est le même.
En cours d’après midi, nous dégageons une stratégie : ° Tout d’abord, il faut prévenir Mickel, c’est lui le responsable, il doit être informé.
° Ensuite, je dois rapidement consulter un gynécologue.
° Nous arrêterons un ligne de conduite après.
Chris appelle Mickel sur son portable en début d’après midi, lui expliquant qu’il serait souhaitable qu’il vienne dès ce soir. Mickel nous avouera ensuite qu’il avait compris que cette rencontre était due au préservatif crevé, il avait imaginé que nous allions lui annoncer qu’il était séropositif ou quelque chose comme cela.
Mickel arrive vers 19 heures je crois, Chris le met au courant, il reste sans voix.
Chris lui résume la situation :° Nous allons consulter notre gynécologue dès demain, le rendez vous est pris.
° Si le médecin déconseille cette grossesse, il faut mettre un terme à cette situation.
° Si le médecin estime que l’enfant peut être viable, c’est à Marie et Mickel de définir la suite :Si Marie veut porter cet enfant, elle peut très bien s’arrêter de travailler et vivre une semaine chez nous et une semaine vers Toulon, nos enfants sont grands, il n’y a aucun problème majeur pour que l’on se débrouille, le plus dur sera de leur faire admettre le principe d’avoir une demi sœur ou un demi frère à priori de couleur.
Chris veut bien être le parrain ! même dans ces moments, il trouve le moyen d’avoir de l’humour.
Si nous décidons de tout arrêter, le plus tôt est le mieux.

Mickel promet de revenir le lendemain soir.
La consultation du gynécologue est à la fois révélatrice mais les conseils restent sibyllins.
La grossesse est confirmée, d’ailleurs, j’ai mal aux seins.
Aucun pronostic ne peut être établi avec certitude.
Le vendredi soir, Mickel est de retour, j’ai malgré les médicamments toujours des vomissements, Mickel ne peut s’engager dans une procédure de parenté sans que la mère de son enfant vive à ses cotés, il comprend que dans la circonstance cela est impossible, il connaît une maternité dans la région Toulonnaise dont il assure la vérification comptable, il a contacté les responsables, il n’y a aucun problème pour que j’y sois reçue.
La décision était sage car le jour où j’ai été hospitalisée, je comprenais que je me dirigeais vers un fausse couche,j’ai déjà connu cela.
Sacré Mickel !
Nous avons, à l’issue de cette expérience qui remonte à quatre ans déjà, décidé de ne rien dire à nos amis Patou et Domi, si cette histoire est publiée, je leur donnerai les références du site à consulter.
Mickel comme nous a pris quatre ans de plus. Nous le rencontrons toujours, il vient parfois, lorsque les enfants ne sont pas là, passer trois ou quatre jours à la maison, je suis même allée chez lui durant quatre jours, étant seule à la maison, chris étant en déplacement professionnel, je ne me prive pas de quelques parties de jambes en l’air, il a toujours autant de tonus. J’impose désormais le choix des préservatifs….

Merci à ceux qui seront allés au bout de cette longue histoire, qui, je le confirme est authentique. J’ai voulu expliquer aux lecteurs la succession des évènements qui m’ont malgré ce faux - pas final, procuré beaucoup de plaisirs.

Mariemarie.arg@wanadoo.fr

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