L'amour par téléphone

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'amour par téléphone Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'amour par téléphone
Je suis absent de chez moi pour une semaine. Ma femme Lili reste chez nous. Nous sommes très amoureux et cette séparation assez courte nous coûte beaucoup. 8 jours sans baiser ensemble vont être très longs à supporter. Nous n'avons pas de soucis particuliers pour nos orgasmes, puisque l'un et l'autre nous branlons régulièrement. Pour ma part je ne dispose que de mes mains pour me donner du plaisir, mais Lili, elle possède tout ce qu'il lui faut que nous avons choisit ensemble dans un sexe shop bien achalandé : Godemichés de plusieurs taille, boucle de geisha et autres plugs. Elle ne manque de rien pour se branler. Le seul problème devient la distance. Lorsqu'on est ensemble et que nous nous branlons c'est souvent juste avant de faire l'amour corps à corps. Pendant nos masturbations nous nous regardons toujours faire, c'est très excitant de voir l'autre se donner du plaisir. C'est presque tous les jours que nous nous livrons à ces exercices. Nous nous racontons des histoires salaces : je lui dis qu'elle est au prise avec un couple ou avec deux hommes et qu'ils la prennent par le cul ou le con. Elle, de son coté me voit avec soit un autre homme qui m'encule, soit avec deux filles. Ces histoires nous excitent au maximum et nous en jouissons. Nous aimons également faire des "cochonneries" comme dit Lili : elle me suce et avale mon sperme, c'est un cochonnerie (et elle aime beaucoup le goût de ma semence), elle offre son con couchée sur une table et je la suce, c'est aussi une cochonnerie. Si je l'encule pendant qu'elle se branle le clitoris, c'est aussi une cochonnerie. Bref à l'écouter pratiquement tout ce que nous faisons sont des cochonneries. Elle les adore !
Portant notre séparation nous ennuie.
Le premier soir, vers 22 heures j'ai envie d'elle qui est loin. Je lui téléphone et la sonnerie dure assez longtemps avant que j'entende la voie de ma femme. Je lui demande les raisons de mon attente : Oh, je me branlais justement en pensant à nous deux. Elle me fait bander. Je le lui dis, elle me fait une bonne proposition : puisque nous sommes loin l'un de l'autre on pourrait baiser comme ça chacun dans notre coin en mettant pour elle au moins le haut parleur du combiné en route : elle pourrait parler et m'écouter pendant qu'elle se branle.
Je lui demande dans qu'elle tenue elle est : totalement nue. Je lui demande d'attendre un petit moment pour me permettre de me mettre à poil. Dès que c'est fait, comme je bande depuis presque le début de notre conversation, je reprends la conversation. Elle m'explique en détail de quoi elle va se servir pour bien jouir : un gode double effet, vagin clitoris et au autre pour s'enculer. Elle se couche sur le divan et me donne exactement sa position : sur le coté gauche avec la jambe gauche sur le dossier, écartée de l'autre qui est en bas et donc toute l'entrejambes grande ouverte.
Je lui dis que je suis couché sur le lit et que je ma caresse les couille. Elle me demande de me caresser le cul comme elle me le fait. J'obéis et en retire un certain plaisir avec deux doigts dans mon postérieur. Je lui demande de se branler seulement le clitoris avec sa main droite comme je le lui fais souvent. Elle me dit qu'elle pose deux doigts qu'elle agite sur son bouton et qu'elle commence à ressentir une onde ce chaleur envahir son bas ventre. Pour calmer son désir de jouir, il lui faut faire autre chose de plus profond.
Je lui demande de commencer à se mettre dans le con le godemiché simple pour le mouiller avant de se le rentrer dans le cul lentement pour qu'elle fasse durer son plaisir. De son coté j'entends sa voie qui devient rauque, signe chez elle d'un besoin de baise et de jouissance. Mais je suis tranquille quand nous baisons elle a plusieurs orgasmes à la file. Elle m'ordonne de continuer à me caresser le cul et me branler en même temps. Je cale l'écouteur contre l'oreiller et si ma main gauche s'occuper de mon cul, avec la droite je prends ma bite et commence par descendre le prépuce jusqu'en bas et le remonte très lentement : ma bite grossit devant cette caresse solitaire.
Lili me dit qu'elle a rentré dans son cul la presque totalité du gode. Elle le fait aller et venir, mais si son cul est satisfait elle voudrait se mettre dans le con l'autre godemiché double.
Nous faisons réellement comme si nous étions à coté. Je lui permets de se baiser. Elle me dit toutes les sensations qu'elle a au moment de l'introduction dans son con et enfin de la partie clitoris qu'elle fait vibrer contre elle. Enfin elle me dit qu'elle jouit mais garde en elle les godemichés. Je sais qu'elle ne va pas tarder à s'en resservir rapidement. Moi j'ai arrêté ma masturbation, sinon j'aurais jouit depuis un moment. Je le lui dis. D'après elle j'ai bien fait : ce serait bien si nous pouvions jouir ensemble.
Elle me dit que la position dans laquelle elle est la fatigue et qu'elle s'est assise. Son cul est libre, enfin c'est ce que je crois. Elle me dit qu'elle vient d'y mettre un plug anal pour compenser. Maintenant elle se branle avec le double et me décrit encore ses sensations : elle ne va pas tarder à jouir. J'ai repris ma bite en main et recommence lentement à ma masturber. Je sais qu’avec quelques mouvements de bas en haut rapides j'aurais une bonne jouissance. J'attends simplement que Lili soit sur le point de s'envoyer en l'air. Comme elle me dit tout se qu'elle a comme plaisir, ce n'est pas difficile de savoir, surtout qu'en elle me dit : je jouis. En deux ou trois mouvements rapides je me donne le plaisir final qui 'envoie au pays des jouissances.
Ainsi éloignés l'un de l'autre nous venons de faire l'amour ensemble. Aussi tous les soirs nous passons au moins une heure à faire l'amour par téléphone.

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