Papy

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin :  Papy Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Papy
Mon grand père me dit souvent que si jeunesse savait et si vieillesses pouvait...Je le connais depuis toujours et un après-midi je lui parle d'une fille qui vient de ma quitter. Il ma demande, à moi qui ai 25 ans si je l'aimais d'amour ou si c'était son cul qui m'intéressait. J'étais surpris entendre ça dans sa bouche. Enfin un vieux ça ne parle pas de ça et qu'est ce qu'il y connait. Je répond que j'aime .................... finalement il a raison, je préfère son cul. Il savait bien que finalement je ne tenais pas forcément à cette nana.
Et mon papy se mit à me raconter ses souvenir, en commençant par " tu sais de mon temps les filles n'étaient pas aussi facile à attraper que maintenant. Ca ne veux pas dire qu'on ne couchait pas, mais on en parlait très peu. Par exemple nous étions une bande d'amis qui ne recherchions que les coiffeuses. Pourquoi ces filles là plutôt que d'autres, simplement parce qu'elle étaient moins farouches que d'autres. Se marier vierges: rigolade. Crois-tu qu'on attendait le mariage ?
Dès que la filles sentait qu'entre nous ça allait coller, elle se donnait relativement facilement. Je ne voudrait pas de faire de peine, mais ta Grand mère qui était une sainte femme, et bien nous avons couché ensemble peut être 2 mois après nous connaitre et nous ne nous sommes mariés que 2 ans plus tard. La nuit de noce n'a été que la nuit où nous avons baisé le plus sans doute, et je te prie de croire qu'elle jouissait sans problème et en redemandait encore.
Mais avant elle il y avait les filles dont je te parlais tout à l'heure, et particulièrement d'une: c'était une rousse, vrai rousse, qui valait le temps que je passais avec elle: chaque samedi soir et dimanche à partir de 15 heures nous nous payions des parties de jambes en l'air comme tu n'en a peut être pas connu.
Sais-tu que nous nous rencontrions le samedi vers 21 heures, nous allions chez moi; puisqu'à l'époque j'étais étudiant et je la déshabillait toujours lentement pour la faire languir. Je lui embrassais les seins qu'elle avait fort beau et pointus. Je descendais une main sur son bas ventre et lui trouvait toujours le bouton, enfin le clitoris que je caressait, enfin je la branlais. Et puis j'en ai marre de parler poliment. Je lui mettais ma main au con lui branlais le clito et mettais toujours un doigt au cul. Elle aimait avoir un doigt et autre chose ans le cul. Mais je ne lui donnais les caresses qu'au fur et à mesure de mon excitation et de la sienne. J'aimais son odeur de rousse et la suçais le plus possible. Son clitoris dans ma bouche était un bonbon.
Bien souvent elle ne tenait pas et nous faisions des 69, comme tu fais toi, Nous en profitions pour nous mettre les doigts dans le cul. J'en garde encore le souvenir quand s'en parle.
Nous baisions dans toues les positions possible, mais ma préférée c'était quand elle m'enjambais pour se mettre ma bite dans son con et qu'elle menait la cadence. Elle se branlais également et nous jouissions ensemble et sentir ses spasmes autour de ma bite, c'était extraordinaire. Avec ta grand mère c'était pareil quand elle jouissait. Pour en revenir à ma rousse, Nous faisions toujours en court instant de repos avant de remettre ça. Et là je l'enculais.
Elle en jouissait toujours. Nos rencontres du samedi duraient toute la nuit et je jouissait une dizaine de fois. Aussi le dimanche matin je dormais pour recharger les accus. Ca n'empêche pas que nous remettions ça l'après-midi. Avec autant de fougue ma rousse voulait baiser le plus possible. J'arrivais à la satisfaire pour le reste de la semaine. Et nous recommencions la semaine suivante. Plus tard j'ai eu une très belle femme mariée qui ne cherchais avec moi que des chose que lui refusait on mari:la sucer, l'enculer, etc. Et puis un jour j'ai rencontrer ta grand mère et depuis je n'ai plus connu d'autre femmes

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Texte coquin :  Papy
Histoire sexe : Une rose rouge
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