Enfin, j'ai 20 ans

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
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Récit libertin : Enfin, j'ai 20 ans Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2009 dans la catégorie A dormir debout
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Enfin, j'ai 20 ans
<p>Depuis hier j'ai enfin 20 ans. Depuis 2 ans j'ai une nouvelle amie elle s'appelle Anne, et moi, c'est Lucie. Elle est très jolie mon amie. Elle me ressemble beaucoup. Nous sommes deux filles un peu perverses qui osons pas mal de nouveautés, même si d'autres avant nous les ont déjà essayés. Pour notre première rencontre, c'était dans un café du centre et assise à la même tables nous buvions un expresso. Nous avons bavardé un bon moment et nous avons énormément de points en commun. Le cinéma, certaines lectures et l'amour. Pas n'importe lequel, l'amour des filles. Non pas que nous n'aimions pas les hommes, mais ceux-ci sont brutaux, enfin pour nous. Cette conversation nous avait passablement excité d'autant plus que nous décrivions assez crument nos préférences. A notre surprise nous avions les mêmes.Pourquoi ne pas mettre ne pratique ce qui nous excité? Il y avait du monde dans le café, mais malgré les présences d'autres personnes nous n'avons pas hésité une minute pour nous donner un baiser. C'était excitant de voir les visages des gens, hommes ou femmes qui nous regardaient.
Nous allions chez moi, C 'était le plus près. dès l'entrée, nous avons échangé un baiser très profond. Nous langues se soudaient ensemble et nos mains partaient à la découverte du corps de l'autre. Nous ne tenions plus, il nous fallait baiser rapidement. Nous nous sommes déshabiléesrapidement. Nous regardions nos corps nus et découvrions avec envie l'autre: elle était blonde aux yeux bleus entourés d'un liseré plus sombre qui donnait à son regard une grande intensité
Sa poitrine faisait un bon 9O C, Comme moi. Nous étions à peu de chose près de la même taille. Enlacées, nous nous embrassions encore, seins contre seins. C'était merveilleux de sentir ses tétons contre mes seins, nos pubis collés l'un à l"autre. Nos bouches ne pouvaient se détacher malgré l'envie de baiser qui nous lançait dans le bas ventre. Dès que nos bouches se séparaient c'était nos langues qui se caressaient en dehors. N'importe qui nous voyant aurait pensé que nous étions amantes depuis longtemps, alors que nous n'avions même pas commencé de baiser.
Finalement, nous nous sommes jetés sur le lit et sans dire une mot, nous avons commencé par nous mettre une main dans le con de l'autre pour chercher le clitoris et l'ayant rapidement trouvé, nous nous sommes branlé. C'était notre première fois et c'était parfait. Anne jouissait la première. Elle poussait de petit cris, comme un miaulement. En jouissant elle serrait les cuisses comme pour conserver en elle l'orgasme. Elle n'avait pas arrêter de ma branler. Elle elle me branlait très bien comme jamais aucune autre fille ne me l'avait fait. Elle m'a faite jouir d'un seul coup. Au contraire de Jeanne je gardait les cuisses écartées en jouissant. Je posais simplement une main sur mon con pendant mes contractions. Après cette première caresse intime, nous sommes restées enlacées; Nous embrassant et nous disant ce que nous avions ressenti. C'était la même sensation de plénitude qui nous habitait. Mes le désir de l'autre n'était pas éteint encore. Nous nous sommes embrassés. Puis nos bouches sont descendus vers les seins. Nous les avons embrassé et tété. Nos bouches sont encore descendu jusqu'à atteindre le pubis. Nos langues ont pénétré dans nos fentes. Jeanne me léchait depuis le clitoris jusqu'au cul, avant de revenir vers le clitoris mais avec un arrêt sans mon vagin. Je me souviendrait longtemps de la douceur de sa langue dans ma fente et de la succion de ses lèvres. Pour ma part, pendant ce 69 commençant une longue série, ma langue s'était fixée dès le début uniquement sur son bouton, mais je la doigtais également dans le con et le cul. Mes deux doigts s'agitaient en cadence. Cette fois c'est moi qui ai jouis avant elle.
Nous avions un creux et sommes allées à la cuisine, nues toujours pour manger un encas. En guise d'encas, Jeanne m'a faite assoir sur la table et fait écarté mes cuisses. Mon con était à sa disposition. Elle ne se privait pas de passer sa bouche autour de mon sexe et je mouillais, j'étais trempée. elle ma mis trois doigts dans le con et deux dans le cul. Je ne pouvais pas résister à une telle caresse et je lui promettais de lui rendre la pareille ou pire encore. Evidemment je jouissais encore un fois. C'était à mon tour le la torturer. Je possédais un gros godemiché et sans rien lui dire, au lieu de la branler le soir au lit, je lui rentrais ce gode dans la chatte. Elle sursautait tout d'abord puis acceptait cette présence. Je le faisais aller et venir dans son con et elle en a jouit plusieurs fois à la file. Je lui demandais si elle le voulait dans le cul. Elle répondait qu'après ce que je venais de lui faire, il valait mieux. Aussi, d'elle même elle se préparait le cul en le mouillant bien et en écartant au maximum ses fesses. Elle était en levrette et j'en profitais pour passer sous elle pour la sucer. Elle me rendait a pareille et pendant ce temps, je posait le gode à l'entrée de son cul et le rentrait doucement entièrement dans son anus. Elle jouissait comme une folle à tel point qu'elle m'en a fait tout autant, en me faisant jouir. Nous avons cessé là notre première fois.
Mais ce n'était pas la dernière ni la plus excitantes. nous avons connu d'autres jouissance, surtout quand nous avons pu baiser avec une amie de passage. A trois filles, c'était devenu un vrai récital de façon de baiser, bien que le but final fut toujours une chatte. Avec cette amie nous avons expérimenté la baise con contre con. C'était une pratique que nous n'osions pas faire. Mais l'amie nous l'a apprise et depuis nous faisons assez souvent l'amour ainsi. Sentir sur son con le con de l'autre est aussi bon non pas qu'un 69, mais que de se branler. Nous avons aussi fait du léchage de con à trois, mais si c'était excitant, le résultat était en dessous de nos espérance.
Nous avions décidés de vivre ensemble peu de temps après notre rencontre, mais à une condition, vivre nue à la maison et ne pas se soustraire à l'envie de l'autre. Jusqu'à présent c'est ce que nous faisons.
J'ai présenté Jeanne à mes parents qui, après quelques réticences ont finalement accepté notre relation lesbienne.

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