L'inconnu de la plage

- Par l'auteur HDS M-lesqueues -
Auteur femme.
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Récit libertin : L'inconnu de la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'inconnu de la plage
Agée de 21 ans et stagiaire chez un photographe de bord de mer, je devais faire une série de photos sur une plage avec
son vieil appareil. Cela faisait une heure que je prenais les vagues se cassant sur les rochers, n'ayant pas d'autres sujets à
photographier sur cette plage déserte.

Au loin, je distingue une silhouette, et zoomant, j'observe un jeune ayant un peu plus de 25 ans, casquette visée sur le
crâne, allongé sur le dos, face à la mer, se masturbant. Moi qui ne suis pourtant pas quelqu'un de voyeur resta à l'observer,
j'étais intriguée. Je le regardais en train de jouir et je réalisais que j'avais envie de lui, d'être prise sauvagement par cet
inconnu. Mais il se releva pour quitter la plage. Je continuais donc de prendre mes photos, mais de manière à me trouver
sur son chemin. Quand il arriva à ma hauteur, il me regarda un bref instant et me sourit, me demandant ce que je foutais
sur la plage avec mon appareil. Je lui expliqua brièvement le thème inintéressant de ma série, tout en quittant la plage à
ses côtés, comme si de rien était. Tout en gardant un air détachée, je ne pouvais pas m'empêcher de penser que je voulais
lui lécher sa queue comme pour lui offrir une suite à sa masturbation. Son visage était dur, il devait être un peu plus vieux
que je ne l'avais pensé au départ.

Son chemin passait devant ma voiture, que j'ouvris pour ranger mon appareil, de manière à lui faire comprendre que
j'avais fini mon travail. Je portais un petit short de jean, avec un débardeur simple. J'ouvris mon coffre tout en continuant
notre discussion, lui couvreur, moi stagiaire, lui présentant mon cul en premier plan, sans jouer à la coquine. Je senti ses
mains se poser sur mes hanches, et il me tira contre lui, me laissant le plaisir de sentir la bosse de sa bite contre mes
fesses. Il remonta sa main le long de mon corps et la glissa dans mes cheveux, avant de me tirer la tête légèrement en
arrière, me murmurant doucement à l'oreille "Suis moi".

Il n'y avais pas tellement de chemin à faire, il habitait deux immeubles plus loin. Nous montions l'escalier et une fois chez
lui, il m'offrit un café. Nous l'avons bu tout en discutant de tout et de rien, puis il m'indiqua la mezzanine, me disant qu'il y
avait un coin encore à visiter. Je montais l'escalier, lui derrière moi et arriva dans une petite chambre aménagée, très
sombre, dont l'ambiance m'excita. Face à moi, le lit.

Il se plaqua à nouveau contre mon cul, et je senti sa bite bien plus dure faire des mouvements contre mes fesses. Il me
caressa le con au travers de mon short, durant de très longues minutes puis glissa sa main dans mon short, laissant
transparaitre une légere excitation en réalisant que je n'avais rien dessous. Il titilla mon bouton puis glissa un, deux puis
trois doigt en moi. Avec de délicieux mouvements de va et vient, je me mis à onduler des hanches contre lui, et senti son
sexe à l'étraoit dans son pantalon. Il venanit de retirer sa main de mon con, je me retourna et il se mit à m'embrasser
langoureusement, nos langues se cherchant, alors que je déboutonnais son pantalon, le laissant tomber le long de ses
jambes parfaitement musclées. Il eut un réflexe qui m'enchanta, ne cessa pas de m'embrasser en saisissant un préservatif
sur la table de nuit et encapota son sexe. Voyant ça, je me sentais prête à tout. Je m'accroupis face à lui et plongeant mes
yeux dans les siens, je lui léchais le gland avec malice et soumission. Il retira son tee shirt et il m'excita d'avantage encore,
nu face à moi, son corps de Dieu face à moi, sa queue magnifique à présent dans ma bouche.

Je jouais avec sa queue quand il éjacula dans ma bouche. C'était la première fois que cela arriva, mais je ne fis pas
l'étonnée, j'avalai, à sa grande surprise. Il bandait encore... Un éclair de sauvagerie traversa son regard et il me releva d'un
coup, avec force et me retourna à nouveau contre lui, mais cette fois, arracha mon short. Sa bite se frottait à mes fesses. Il
mit sa main sur ma tête pour m'indiquer de me pencher, de courber l'échine, mains sur le lit, mon cl rien que pour lui. Il se
branlait contre moi sans me pénétrer, je mouillais comme une folle, il gémissait... me demandant ce que je voulais de lui "
baise moi comme une salope" fut la seule chose qui me vint.

Il me poussa violemment sur le lit, s'allongea de tout son long sur moi et écarta mes jambes, caressant avec force mon con
et mon cul, puis me mit à nouveau deux doigts dans la chatte, allant très vite en moi, puis la retira. Il me retourna et à
présent sur le dos, il me lécha le con d'une manière si experte que je ne pus m'empêcher de crier et de jouir. Il me regarda
sans parler, toujours avec étonnement et froideur. Je lui sautais dessus et le suças à nouveau, il éjacula encore en moi, en
criant. Il m'attrapa les cheveux et me retourna pour poser sa bite doucement à l'entrée de mon con, puis s'y introduit
doucement, sans bouger, tout en caressant mon clito. Il était à nouveau entièrement allongé sur moi, j'étais à lui, je
mouillais encore plus alors qu'il me pénétrait avec force d'un grand mouvement de bassin. Je sentais sa queue en moi
allant de plus en plus vite et je jouis avant lui. Mais le plaisir était tel que je continuais mes mouvements de bassins alors
qu'il me labourait. Il gémit une dernière fois et jouis en moi. Il se plaqua contre moi dans une étreinte que je n'aurais soupçonné.
Nos souffles étaient courts, nous sommes restés comme ça un long moment. Puis il se mit à remuer son
bassin contre mon cul à nouveau, et je sentis mon corps s'exciter. Cette fois, je me redressais et cambrais mon dos, m'offrant
à lui. Il se redressa et me pénétra le con sans attente, et me fit crier de plaisir. Il se retira de moi sans avoir jouis et
m'encula, tout d'abord avec douceur, tout en me caressant le clito. Puis de plus en plus vite, nous jouissions tous les deux
dans des hurlements. Il me prit dans ses bras, avec tendresse et nous restions l'un contre l'autre.

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