Le concert

- Par l'auteur HDS LAbeille -
Récit érotique écrit par LAbeille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le concert Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le concert
<p>Il m'est arrivé de me produire en spectacle et cette histoire a eu lieu à cette époque. Le groupe était classiquement constitué d'un batteur, d'un guitariste, d'un bassiste, d'un mec aux claviers et d'une chanteuse (moi). Il m'arrivait de fantasmer seule dans mon lit sur le batteur, mais je ne pensais pas que cette attirance était partagée donc je n'avais rien tenté jusqu'alors. Je me contentait d'accompagner mes masturbations avec cette pensée.
Ce soir-là, le concert était prévu dans un patelin et pour les différents réglages comme le son par exemple, nous avions du arriver tôt dans la journée, le matos dans un camion conduit par le mec des claviers et chacun venu avec sa voiture.
Nous arrivons à peu près tous en même temps, on se dit bonjour et on décide alors de décharger le matériel avant de répéter un peu. Alex, le batteur, croise mon regard à certains moments, mais sans doute est-ce normal, du moins c'est ce que je crois. De mon côté, croiser son regard m'excite de plus en plus et mon tanga commence à s'humidifier. Mais pour ne pas perturber le groupe, je me concentre pour ne rien montrer.
Le matériel déchargé et installé, nous faisons une pause clopes, pour ceux qui fument, à savoir Fred le guitariste et moi-même. Puis la répétition commence. Je sens encore les regards d'Alex me caresser et j'ai de plus en plus de mal à rester concentrée sur les chansons. J'imagine ses mains sur moi, son sexe tendu, ma bouche autour (à cette époque, lui faire une fellation restait au centre de mes fantasmes). Pendant ce temps, mon slip se mouille de plus en plus et je sens mon vagin s'engourdir. J'ai envie de bestialité, qu'il me pousse contre un mur et qu'il me baise, tellement je suis excitée, de la même façon qu'il joue sur sa batterie.
Puis heureusement, Thibault, l'ingénieur son, arrive avec son équipe. Ils commencent par régler le son pour les claviers, ainsi le bassiste, Fred le guitariste, Alex et moi sommes libres. Nous sortons de la salle pour une nouvelle pause clopes pour Fred et moi. Alex, bien que non fumeur, nous accompagne. Il s'ensuit alors une conversation sur son arret du tabac, depuis plusieurs années, sur sa femme qui l'a aidé à arrêter. Je sens une pointe de jalousie monter lorsqu'il évoque sa femme, mais ce n'est pas la première fois qu'il en parle et ses regards enveloppant ravivent mon excitation et me font oublier sa femme.
Nous entendons Thibault appeler les deux guitaristes (le bassiste et Fred) pour les réglages sons. Nous nous retrouvons seuls, Alex et moi, devant la salle. J'espère alors que les réglages sons pour les deux guitares seront plus longs que ceux pour les claviers, sachant très bien que notre collègue des claviers y reste toujours rivé, pour rester tous les deux le plus longtemps possible. Je sens une odeur monter, proche d'une odeur d'excitation masculine. Mais je n'ose pas trop y croire.
Me parlant d'un accident que sa femme a subi à un bras, Alex m'effleure une épaule et n'y tenant plus, je me lance. "Alex, j'ai un problème" lui dis-je. "Lequel ?" me demande t-il avec un regard encore plus enveloppant que les derniers. "J'ai très envie de toi" lui annonce-je dans un souffle. Il me regarde alors profondément et sur un ton bas, me dit: "Et en quoi est-ce un problème ? Rassure-toi, moi aussi, j'ai très envie de toi". En effet, il porte un pantalon un peu moulant et la bosse qui ressort en dit long. L'odeur que j'ai sentie juste avant est donc une réelle odeur d'excitation.
"On a le temps, là, tu crois, parce que je ne peux plus attendre" lui dis-je. "On va le prendre le temps, ne t'inquiète pas", me répond-il. Et il m'entraîne dans un coin isolé des regards, derrière la salle, sur un terrain sur lequel courrent des herbes hautes. Nous courrons presque. Enfin, je vais pouvoir le sucer !
Je lui arrache sa ceinture, lui baisse son pantalon, sort son sexe bien dur de son slip, le masturbe un peu de mes deux mains puis le suce, faisant courir ma langue agile autour de son membre. De temps en temps, je me contente de le masturber très lentement, puis je reprends son sexe appétissant en bouche, le suçant rapidement. Le sentant proche de jouir, je caresse ses boules sensibles, tout en alternant grandes foulées rapides jusqu'au fond de ma gorge et titillements de ma langue d'un bout à l'autre de son sexe, en tenant mon pouce et mon index en cercle autour de la base de sa bite. Il pose ses deux mains sur ma tête et accompagne mes mouvements. Je lâche mes doigts et le laisse éjaculer dans ma bouche, tandis qu'il râle de sa belle voix grâve. Je me sens presque défaillir, je caresse mon clitoris tant l'excitation est forte.
"A toi maintenant" me dit-il. Il pose sa veste par terre et m'invite à m'allonger sur le dos dessus. J'écarte mes cuisses, je remonte ma jupe et retire en vitesse mon tanga, puis il nettoie avec sa langue experte mon sexe tout barbouillé de mouille, par ces heures de terrible excitation. Très vite, sentant mon désir, il me pénètre d'un doigt puis de deux, alternant vitesse rapide et lente. Avec son autre main, je le vois faire un rapide va et vient sur son sexe, qui reprend alors une partie de sa raideur. Il enlève complêtement son pantalon puis appuie son sexe contre mon clitoris. Je peux le sentir se durcir de plus belle, en même temps que sa bite. Il remonte mon tee-shirt, défait mon clip de soutien-gorge et laisse ma poitrine opulente s'étaler sous ses yeux coquins. Il frotte sa bite contre mon clitoris, l'excitation monte puis je lui demande de me pénétrer. Son sexe entre doucement puis d'un coup, mon vagin engloutit entièrement sa bite. Je caresse en même temps mon clitoris. Il me pénètre très lentement, ce qui a le double avantage de m'exciter encore plus et de retarder ma jouissance. Je sens son sexe lui aussi prêt à éjaculer, puis il se met à me pénétrer en sortant complêtement sa bite puis en l'enfournant jusqu'au bout, de plus en plus vite. Je me caresse aussi de plus en plus vite, puis nous jouissons à peu près en même temps.
Nous nous rhabillons en nous promettant de recommencer de temps en temps, ce que nous avons ensuite respecté.
Nous retrouvons ensuite les autres, qui finissent tout juste leurs réglages sons.
Ce soir-là, le concert que nous avons donné a été excellent !

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Texte coquin : Le concert
Histoire sexe : Une rose rouge
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