Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine (1)

- Par l'auteur HDS Black_lover -
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Récit libertin : Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine (1)
En lisant une histoire sur votre site, je me suis remémoré un épisode de ma vie avec l’une de mes ex qui allait d’ailleurs devenir ma femme quelques années plus tard. Nous étions très jeunes à l’époque, dix neuf et dix sept ans. Axelle était d’une beauté à couper le souffle, un visage et un corps de rêve, naturellement bronzé comme le sont les filles du pacifique mais blonde comme les blés.
Kallyl, mon meilleur copain était fou amoureux d’elle. A chaque fois qu’elle était avec nous, il bavait littéralement en la regardant, il n’avait d’yeux que pour elle, aucune autre fille, aussi jolie soit-elle, n’arrivait à capter son attention.
N’étant pas particulièrement jaloux, cela ne me dérangeait pas. Axelle s’amusait beaucoup de le voir dans tous ses états à chaque fois qu’elle lui parlait ou, qu’un contact physique aussi anodin soit-il, avait lieu entre eux.
Beaucoup de nos copains pensaient avec envie que nous nous la partagions dans l’intimité. Il n’en était rien mais nous ne faisions rien pour les en dissuader, amusés de les rendre fou de jalousie.
Lorsque nous étions seuls, Kallyl et moi, il n’était pas rare de parler d’Axelle et je me rendis compte qu’il connaissait le moindre détail physique la concernant, la petite cicatrice qu’elle avait juste sous le nombril, le grain de beauté dans le creux de ses reins etc. etc. Il lui vouait une admiration que moi-même je trouvais excessive et déplacée.
Petit à petit je compris que rien ne lui ferait plus plaisir que d’en découvrir un peu plus. Sans qu’il me le demande vraiment, je compris qu’il aimerait savoir si Axelle était une vraie blonde car pour lui les blondes étaient le summum de la féminité.
Il est vrai qu’étant métis tous les deux, les blondes avaient un attrait particulier pour nous et encore plus pour Kallyl.
Leurs poils blonds si discrets, presque transparents sur certaines d’entre elles et c’était le cas d’Axelle, les rendaient à nos yeux encore plus attirantes.
C’est vrai qu’Axelle avait une toison de blonde à peine visible tant ses poils pubiens étaient fins, ce qui ne cachait rien de ses lèvres intimes qu’elle avait plutôt développées (du moins pour ce que j’en savais à cette époque).
Amusé, j’en parlais à Axelle qui me dit sur le ton de la boutade, qu’il fallait peut-être lui faire un petit cadeau (sans être plus explicite) pour le remercier de sa gentillesse et de la disponibilité sans faille qu’il lui manifestait en permanence.
L’occasion se présenta un soir, alors que nous étions tous les trois dans mon petit studio d’étudiant en train de regarder la télé après avoir mangé.
Axelle qui dormait de temps en temps chez moi avec l’accord de sa mère, pas intéressée par le film, pris un demi-somnifère et partit s’étendre sur le lit à deux pas de nous.
Au bout d’un moment, je m’aperçus que Kallyl jetait de plus en plus souvent, des coups d’œil en direction de mon lit. Faisant mine d’aller chercher à boire, je me levais pour voir ce qui attirait ainsi son attention.
Je découvris qu’Axelle endormie dans sa position favorite sur le ventre, une jambe repliée par-dessus les draps, lui offrait un spectacle des plus ravissants d’autant que son grand tee-shirt était remonté, découvrant une bonne partie de ses cuisses, juste en dessous de ses fesses.
Elle était magnifique. Kallyl s’apercevant tout à coup que j’avais compris ce qu’il regardait me dit :

- Oh putain, ce qu’elle est belle. J’en ai des frissons partout. Tu as vraiment de la chance.

A ces mots, je me souvins de ceux d’Axelle parlant de lui faire un petit cadeau. Sans rien dire, je m’approchais d’Axelle puis, m’étant assuré qu’elle dormait profondément, je demandais à Kallyl :

- Elle dort profondément avec son cachet. Si tu veux, je peux te montrer ce qui te fait fantasmer depuis des mois.
- Tu ferais çà ? mais pourquoi ?
- Axelle est d’accord, je suis sûr qu’elle a fait exprès de prendre un cachet pour me permettre de t’offrir ce petit plaisir. Il faut simplement que tu me promettes de ne jamais parler de çà à qui que ce soit.
- Je promets mais t’es sûr qu’elle est d’accord ?
- Je suis sûr mais il ne faudra jamais lui en parler, ce sont ses conditions, à elle.
- Ok, j’ai compris.

J’attrapais alors le tee-shirt pour le tirer sur ses reins mais Kallyl arrêta mon geste.

- je peux le faire moi-même s’il te plait ?

Je m’écartais pour lui laisser la place et le regarder faire. Axelle dormait paisiblement, sa respiration était régulière, ses traits apaisés la rendaient encore plus belle. Je vis la main de Kallyl attraper le tissu puis, le faire glisser doucement en direction de ses reins. Petit à petit, le galbe de ses fesses apparut puis la totalité de son fessier totalement dénudé. Je m’aperçus qu’elle avait retiré son string ce qui me conforta dans l’idée qu’elle avait provoqué cette situation car habituellement, elle portait toujours un sous-vêtement en dormant.
Sa jambe repliée permettait une vue plongeant sur sa petite chatte blonde. Kallyl pouvait comme moi, voir les grandes lèvres, légèrement ouvertes et étonnement luisantes de mouille.
Kallyl se tourna vers moi, un large sourire barrant son visage :

- Elle est magnifique. J’étais sûr que c’était une vraie blonde.

A ce moment, Axelle changea de position et se mit sur le dos, les jambes bien à plat. Elle nous apparaissait le bas-ventre libre de toute entrave. Sa chatte s’était refermée mais les lèvres étaient toujours aussi bien visibles à travers sa fine toison.
Kallyl la bouche ouverte et les yeux exorbités, la buvait du regard. En plaisantant je lui dis :

- Ferme la bouche Kallyl, tu vas lui baver dessus.
- Oh, je n’en reviens pas comme elle est belle. C’est mieux que tout ce que j’avais imaginé.
- Pourquoi t’as imaginé çà souvent ?
- Oh putain, si tu savais le nombre de fois que je me suis branlé en y pensant. Merci de m’offrir çà.
- Pas de quoi, it’s my pleasure.

Nous parlions souvent en anglais pour éviter que les copains comprennent certaines de nos conversations. Il sourit puis me dit en tendant ses mains vers les jambes d’Axelle :
- Je peux soulever ses jambes ?
- T’en vois pas assez ?

Kallyl ne répondit pas craignant sans doute que le cadeau ne s’arrête là mais devant sa mine comblée je n’eus pas le cœur de refuser, de plus pour être franc, de voir mon copain maté la chatte de ma copine, commençait à me déclencher des bouffées de chaleur dans le bas-ventre :
- Vas-y si çà te fait plaisir.

En spectateur de plus en plus excité, je regardais Kallyl attraper Axelle par les chevilles puis, lui replier les jambes, les pieds contre ses fesses et finalement les laisser retomber pour s’ouvrir vers l’extérieur comme une fleur.
Axelle nous livra une vue profonde de l’entrée de sa vulve parfaitement visible grâce à la lampe de chevet. L’entrée était vraiment très humide. Je me dis intérieurement qu’elle avait dû penser à ce scénario en s’endormant car elle mouillait vraiment beaucoup.
Kallyl ne pouvait pas ne pas s’en apercevoir. Il fixait l’entrée gluante de mouille, subjuguée par le spectacle. Moi aussi d’ailleurs, je n’arrivais à détacher mon regard de sa vulve visiblement prête à recevoir le mâle.
- çà te plaît ?
- Ouh là là. J’ai chaud partout. Si çà n’était pas ta meuf, j’y glisserai bien un doigt pour le plaisir de connaître la chaleur de son corps.

Je ne répondis pas tout de suite mais moi aussi, j’avais une furieuse envie de lui planter ma queue dans le ventre. C’était trop excitant de la voir ainsi, avec Kallyl si près de sa foune qu’il devait en sentir les odeurs intimes. Il murmura :

- T’as vu, Kevin, on dirait qu’Axelle mouille comme une malade. Elle est peut-être en train de faire un rêve érotique.
- Oui, çà c’est sûr, elle mouille et pas qu’un peu.
- Tu me laisses la toucher ?

J’hésitais mais je n’étais déjà plus dans mon état normal. L’idée de voir d’autres doigts que les miens pénétrer la chatte d’Axelle m’expédia une puissante décharge d’adrénaline qui se traduit instantanément par un spasme tout aussi puissant dans mon sexe. Je m’entendis lui répondre du tac au tac :
- Ouais. Tu vas voir comme elle est douce à l’intérieur. C’est un régale.

N’en croyant sans doute pas ses oreilles et, de peur que je ne change d’avis, Kallyl avait déjà tendu sa main vers l’entrejambe offert. Je tressaillis en voyant la main se poser bien à plat sur son mont de vénus, caresser les poils blonds dans un geste emprunt de tendresse et, tout de suite glisser vers la fente entrouverte. Je sentis ma respiration s’affoler lorsque deux de ses doigts séparèrent les lèvres pour parcourir lentement toute la fente puis, comme dans un rêve je fis son pouce s’encastrer dans l’orifice, en écartant les chairs sans difficultés. Il le fit pénétrer le plus profondément possible puis, après cette première reconnaissance, il le retira pour présenter devant l’entrée son majeur.
C’était à mon tour de me mordre les lèvres, incapable de la moindre réaction mis à part les décharges qui me secouaient le bas ventre. La queue m’en faisait mal tellement j’avais l’impression d’être à l’étroit dans mes vêtements.
Le majeur s’enfonça lui aussi sans difficultés jusqu’à la garde. Je vis aux mouvements des tendons sur son poignet qu’il était en train de bouger son doigt à l’intérieur du con de ma chérie, recherchant sans doute dans cette position face de la main tournée vers le haut, la petite zone sensible que je lui avais décrite comme très réceptive chez Axelle.
Cette dernière qui jusqu’à présent était restée sans réaction, poussa un gémissement, puis un autre, et encore un autre jusqu’à nous faire entendre une douce mélodie parfaitement rythmée par les mouvements du doigt qui lui caressait l’intérieur de la vulve.
Kallyl était aux anges d’entendre Axelle soupirer ainsi de plaisir car c’était bien de plaisir qu’il s’agissait. N’en pouvant plus de la voir prendre son pied alors que c’était le doigt de mon copain qui la pénétrait, je libérais mon sexe pour commencer à me branler nerveusement. Kallyl tout fier de lui m’annonça :
- Kevin, çà grossit, çà s’élargit comme tu m’as dit sous mon doigt. Je sens sa chatte qui me sert le doigt, elle va jouir non ?
- Si tu continues, c’est sûr je connais ses gémissements, elle va jouir.
- J’ai envie de la faire jouir. Je peux ?
- Oui, continue.

Kallyl avait essayé de glisser un deuxième doigt mais les gémissements s’étaient espacés aussi, il l’avait immédiatement retiré pour la reprendre avec son seul majeur. Je voyais des vagues se former sur le ventre d’Axelle ou plutôt je voyais les muscles de son bas-ventre se tendre de plus en plus fort. Elle était tout près de la jouissance. D’ailleurs ses gémissements aussi avaient changé d’intensité, plus brefs mais plus forts aussi. Je prévenais Kallyl :
- Elle va jouir. N’arrêtes pas Kallyl. N’arrête pas.
- Je sais, sa chatte me serre de plus en plus fort. Ça y est, ça y est elle jouit. Oh putain, c’est trop bon. C’est trop bon.

Une longue plainte s’échappa de la gorge d’Axelle, elle se redressa dans le lit, presqu’à se plier en deux, puis, se laissa retomber en arrière, le visage tordu par l’orgasme qui terminait de parcourir tout son corps. Elle avait ouvert les yeux en se redressant mais heureusement, ses magnifiques yeux verts avaient immédiatement basculer dans ses orbites comme elle le fait à chaque fois qu’elle jouit fort. Sa vision avait été trop fugace (du moins je l’espérais) pour qu’elle réalise que ce n’était pas moi mais Kallyl qui se trouvait entre ses cuisses.
Elle avait été magnifique. Une folle envie de la prendre dans mes bras, se faisait sentir. J’allais me rapprocher d’elle quand, tout à coup, je sentis quelque chose couler sur mes doigts. Je venais de jouir presque sans m’en rendre compte tant l’émotion avait été forte. J’étais juste derrière Kallyl aussi mon regard se porta aussitôt vers lui et, je ne pus que constater les traînées de sperme qui maculaient son épaule.
- Oh putain, Kallyl, excuses-moi, j’ai carrément déchargé sur toi.
- Ne t’excuses pas, tu pouvais bien te permettre çà après ce que tu viens de me faire vivre.

Je n’étais plus en état de la prendre mais Kallyl qui avait réussi à extraire son chibre de son pantalon pendant qu’il caressait Axelle, me présentait une queue en pleine érection. Il bandait comme un cerf, attendant visiblement que je lui accorde mon feu vert pour s’enfoncer illico dans cette petite chatte où, deux de ses doigts continuaient à coulisser doucement.
La tension était retombée d’un cran, plus lucide, j’avais néanmoins à affronter un affreux dilemme. Que faire ? Un seul geste de ma part et, Kallyl prenait sous mes yeux ma copine endormie. C’était tentant mais ce n’était pas ce qu’elle m’avait suggéré, un simple petit cadeau que j’avais d’ailleurs largement dépassé.
Kallyl me regardait presque suppliant, ses doigts coulissaient doucement sur sa tige. Axelle s’était rendormie paisiblement malgré les doigts qui la fouillaient encore.
Il fallait que je décide rapidement car dans quelques secondes, prenant mon absence de réaction pour un accord, Kallyl s’enfoncerait irrémédiablement dans la chatte de ma copine. En un éclair, je choisis la moins mauvaise des solutions qui s’offraient à moi. Je lui dis, la mort dans l’âme :
- Kallyl, je suis désolé mais je ne peux te permettre de la posséder. Elle ne m’a pas dit qu’elle était d’accord pour çà et nous sommes allés très loin déjà. Je ne pourrais pas lui expliquer.

Kallyl déçu, était sur le point de se dégager, retirant déjà ses doigts lorsque je poursuivis :
- Mais, si tu veux, tu peux te branler entre ses lèvres sans la pénétrer. Elle va faire la gueule mais bon ce sera moins grave que si je t’avais laissé la prendre.

Ouf. Kallyl retrouva immédiatement le sourire. Il se replaçait déjà entre les cuisses grandes ouvertes. Sa queue d’une main, il se mit à faire glisser le gland entre les lèvres qu’il maintenait ouverte avec ses autres doigts.
Axelle dégoulinait de partout aussi, c’est sans difficultés qu’il parcourait sa fente, de son anus à son clito, appuyant un peu plus que nécessaire à chaque fois qu’il passait sur l’entrée de la vulve.
La tension remontait progressivement, je sentais à nouveau mes couilles se raffermir, ma queue se tendre avec ces nouvelles poussées de chaleur dans mon bas-ventre.
Kallyl passait de plus en plus vite dans la fente, sa queue était luisante de la mouille qu’il récupérait à chaque passage devant l’entrée de cette vulve qui semblait l’appeler de toutes ses fibres. A chaque fois, je voyais le gland s’enfoncer un peu plus, il ne fallait qu’il mette trop de temps à jouir car sinon, le gland entier s’enfoncerait en passant.
Heureusement, d’un seul coup, il se raidit puis prenant son gland entre ses doigts, l’agitant en grognant qu’il jouissait. Il s’arrêta de bouger pour diriger le premier jet vers l’entrée puis, tout de suite recommençant à se branler il s’arrêta à nouveau pour diriger son deuxième jet vers son clitoris et recommencer son manège jusqu’au dernier spasme. Le troisième jet atterrit sur le pubis zébrant la toison blonde de sa semence. Le 4ème et le 5ème beaucoup moins puissants l’obligèrent à poser son gland sur le ventre d’Axelle pour les laisser s’y répandre.
C’était terminé. Axelle, certainement sans le vouloir, passa sa main sur son sexe comme pour le lisser, étalant toute la semence qui s’y trouvait sur ses doigts mais aussi sur son ventre et l’intérieur de ses cuisses.
Kallyl, qui assista à la scène se retourna vers moi, son magnifique sourire aux lèvres et :
- Merci Kevin. Jamais je ne vais oublier çà. Jamais. Tu peux me croire.
- Je sais Kallyl mais n’oublie pas aussi que çà doit rester un secret pour toujours.
La soirée était terminée et Kallyl s’en alla discrètement, me laissant avec un sentiment mitigé. Pas très fier de moi, pas très fier de m’être laissé débaucher ou plutôt d’avoir entrainé Axelle dans la débauche aussi facilement. Je la regardais dormant paisiblement, confiante, inconsciente de ce que je venais de permettre.
Je m’endormis avec cette pensée et c’est Axelle qui le lendemain me réveilla, comme souvent elle sait le faire, avec le plateau de mon petit déjeuner à côté de moi, me suçant le sexe jusqu’à ce qu’enfin je me réveille.
J’avais toujours en tête les mêmes pensées mais je me gardais bien de faire sentir quoi ce soit à ma copine. Celle-ci semblait toute guillerette, d’excellente humeur. On discuta de choses et d’autres puis, Axelle plus sérieusement me demanda :
- Dis-moi, tu ne m’aurais pas prise hier soir pendant que je dormais ?
- Non pourquoi, tu me demandes çà ?
- Eh bien figures-toi que ce matin au réveil, j’avais la chatte toute poisseuse, comme lorsque je m’endors sans m’être lavée après l’amour, si tu vois ce que je veux dire.
- En fait, je ne t’ai pas prise mais je me suis caressé sur toi.
- T’es sûr ? il n’est rien arrivé de spécial.
- Pourquoi dis-tu çà ?
- Hier j’ai rêvé que j’étais en train de jouir et dans mon rêve je t’ai vu toi mais aussi Kallyl entre mes jambes. J’ai joui fort et çà me trotte dans la tête depuis ce matin. T’es vraiment sûr qu’il ne s’est rien passé de spécial hier ?

J’hésitais un bon moment avant de répondre aussi, Axelle, se rendit compte à mon air « pas franc du collier » que je lui cachais bien quelque chose. Elle poussa le plateau de mes jambes pour s’installer à califourchon sur mes cuisses puis, ses deux mains de chaque côté de mes tempes pour m’obliger à la regarder bien en face, elle demanda une nouvelle fois :
- Kevin, je suis sûre qu’il s’est passé quelque chose. Tu n’es pas normal depuis ton réveil. Je le sens, ne me demande pas pourquoi, je ne sais pas mais je suis sûre que tu dois me dire quelque chose. Je te promets qu’on peut en parler tous les deux calmement mais tu dois me dire, s’il s’est passé quelque chose.

La mort dans l’âme, je finis par lui raconter ce qui s’était passé, lui rappelant la conversation que nous avions eue tantôt au sujet du cadeau qu’elle avait suggéré pour Kallyl. Axelle assise sur mes cuisses, m’écouta attentivement sans jamais m’interrompre, des petites larmes coulaient doucement le long de ses joues. En voyant ses yeux s’embuer puis des larmes déborder de ses yeux pour glisser le long de ses joues, j’envisageais immédiatement le pire. Je venais de la perdre, je venais de commette l’irréparable en l’offrant à mon copain dans un moment de folie des sens.
A la fin, elle se pencha vers moi pour se blottir dans mes bras. Après un long moment pendant lequel je me demandais qu’elles allaient être ses premières paroles, elle se recula pour plonger ses yeux dans les miens, au plus profond de mon être et, finalement m’embrasser à pleine bouche, mêlant avec passion sa langue à la mienne, dans un long tête-à-tête.
A la fin de notre baiser, elle souffla juste ces mots qui, sans être exceptionnels, revêtait à ce moment une importance capitale :
- Je t’aime.
Sans que je puisse maitriser quoi que ce soit, des larmes de joie m’envahir les yeux pour couler, elle aussi, le long de mes joues. Soulagé, je la serrais encore plus fort dans mes bras, si fort qu’elle me dit en souriant :
- Eh doucement, mon cœur, doucement, tu m’étouffes.

L’alerte avait été chaude mais heureusement, nous étions maintenant en train de nous embrasser comme au premier jour, faisant courir nos mains à la découverte du corps de l’autre comme la première fois. Cette histoire nous avait rapprochés au point qu’il devenait urgent de se réapproprier le corps de l’être aimé. Axelle, dans un souffle, m’ordonna :
- Prends-moi, mon cœur, je suis à toi, prends-moi.

Je l’embrassais à pleine bouche, dévorant sa langue, buvant sa salive et, m’enfonçait dans son ventre, ouvrant ces chairs si douces, si tendres à mon cœur. Coupés du monde, étroitement imbriqués l’un dans l’autre, nous voguions tendrement vers la destination ultime, doucement mais aussi sûrement que la terre tourne, qu’après la nuit vient le jour, que l’amour appelle l’amour. Dans une symbiose parfaite, dans le même souffle, on arrivait enfin, laissant l’orgasme libérateur submerger nos sens et nos corps tétanisés dans le même élan.
Ni elle, ni moi n’étions pressés de nous séparer, continuant à nous caresser tendrement après avoir joui. C’est elle qui finalement rompit le silence :
- J’ai vraiment joui ? Ce n’était pas un rêve ?

Je confirmais que sans aucun doute elle avait joui.
- Tu as aimé me voir jouir avec un autre homme ?
- Tu étais magnifique, sublime, je n’ai jamais rien vu de plus beau que lorsque tu as joui, les yeux écarquillés dans l’extase, c’était irréel, irréel et magique.

Elle réfléchit un moment puis :
- Tu aurais aimé qu’il me prenne et qu’il me fasse jouir avec son sexe dans le mien ?
- Je ne sais pas mais te voir jouir est tellement exceptionnel que oui, oui, j’aurais aimé.

Elle m’embrassa encore et encore puis :
- Je t’aime. Je ferais tout ce que tu veux. Même offrir mon ventre à ton copain si tu le voulais car je t’appartiens.
A suivre…..

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