des amis très proches

- Par l'auteur HDS Edsonarantes -
Auteur homme.
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Récit libertin : des amis très proches Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2009 dans la catégorie Plus on est
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des amis très proches
<p>Depuis ce fabuleux soir où nous avions fais nos premiers pas à trois avec Stéphane, ma femme et moi étions dorénavant sur la même longueur d’onde en matière de sexe; à tel point qu’elle réclamait de plus en plus souvent la présence d’un “autre” lors de nos ébats.
La vie étant ce qu’elle est, l’occasion de recommencer ne se représenta pas tout de suite, Stéphane étant occupé ailleurs et ma femme restant malgré tout très timide, n’osant toujours pas chercher sur les sites de rencontre comme je le lui avait suggéré. L’exhibition au parc et ce qui s’en suivit étant restée sans lendemain, l’utilisation de jouets sexuels était alors devenue monnaie courante et la cochonne s’enfilait des godes qui ressemblaient de plus en plus à de vraies bites, pour retrouver cette sensation d’être enfilée par deux membres à la fois.

La promesse qu’elle me fit lors de notre premier trio se présenta à l’occasion d’une invitation lancée par Catherine, la femme de Stéphane, pour une "petite bouffe" entre amis.
Pour l’avoir rencontré deux ou trois fois, Isabelle m’avait souvent parlé d’elle, me disant tout le bien qu’elle en pensait, aussi bien intellectuellement que physiquement. Elle m’avait même forcé à avouer que je la trouvais à mon goût et me chuchotais quelquefois à l’oreille, pendant nos ébats, le fait que cela pourrait être Catherine qui soit à sa place en même temps qu’elle se ferait prendre par Stéphane. C'est peu dire que cette soirée nous rendait impatients et nous avions pas mal fantasmé au cours des quelques jours précédents, nous imaginant déjà des choses.
Pendant que nous nous préparions, les regards en coin que nous échangions étaient sans équivoque, nous confirmant que nous pensions à la même chose, sans toutefois se l’avouer franchement. Et lorsque ma femme sorti de la chambre après s’être préparée, mon sang ne fit qu’un tour à la vue de sa tenue.
Elle portait un robe noire genre fourreau, moulante mais assez sobre qui lui arrivait un peu au dessus du genou, des bas couleur chair très fins et sûrement très doux au toucher et des escarpins à talons aiguilles fermés par une lanière de cuir au niveau de la cheville. On devinait également le soutient-gorge sans armatures qui lui maintenait les seins biens hauts et laissait apparaitre les tétons qui commençaient à pointer légèrement sous le frottement du tissu, puis, plus bas, la très légère marque d’un string aussi petit que discret.
-“ Jamais je ne tiendrai jusqu’à ce soir” lui soufflais-je dans le cou.
- “Si tu es sage, il y aura une surprise avant” répondit-elle, la voix déjà rauque d’excitation.

Le trajet fût long car c’était une heure de pointe et je déteste cela. Ce qui ne m’empêcha pas de glisser la main entre les cuisses de la belle, juste pour sentir, et je pu constater qu’elle était déjà bien humide derrière le mini string qui lui cachait la fente tout en laissant libre les deux babines parfaitement lisses de part et d’autre. Elle devait déjà penser à je-ne-sais-quoi d’excitant. En même temps, elle caressait la bosse qui commençait à monter dans mon pantalon.

Stéphane et Catherine habitent une maison dans une banlieue calme, au bout d’une impasse et nous trouvions tout de suite une place pour nous garer devant chez eux.
Avant de sortir de la voiture, ma femme jeta un coup d’oeil à la rue déserte comme pour bien s’assurer que personne n’allait la déranger dans ce qu’elle projetait de faire, se pencha sur moi, sorti mon engin facilement car je n’avais pas mis de slip et me suça voluptueusement. Sa bouche était chaude et humide et elle descendit jusqu’à la garde au risque de provoquer un réflexe de nausée. Gorge profonde, j’adore.
- “voilà pour patienter” me dit-elle en se réajustant “maintenant, on y va!”

L’accueil de nos hôtes fut chaleureux. Stéphane me jeta un regard complice en voyant la tenue de ma femme, regard que je lui rendit volontiers lorsque Catherine vint nous accueillir. Perchée sur des chaussures à semelles et talons très hauts, genre film porno, elle était vêtue d’un jupe plissée très courte et très légère qui laissait apercevoir le haut de ses bas et les agrafes du porte-jarretelles qu’elle portait quand elle se pencha pour faire la bise à ma femme. Le haut n’était pas mal non plus. Un petit corsage au décolleté très prononcé ne cachait rien de la naissance de ses seins. Stéph et moi étions fiers de nos femmes qui le sentaient et en jouaient avec déjà avec presque une certaine complicité.
Après un rapide tour du propriétaire, nous sommes passés au salon pour un apéritif qui allait marquer la soirée.
D’emblée, nous avions laissé le canapé aux filles et pris des chaises afin de se retrouver en face d’elles dans le seul but de pouvoir admirer une petite culotte ou un bout de porte-jarretelle au cas ou l’une d’elle croiserait les jambes sans trop faire attention. Un truc de mecs, quoi!
Nos hôtes avaient préparé un buffet sur la table du salon et nous buvions et mangions tout en racontant des banalités. Stéph et moi parlions boulot pendant que les filles parlaient chiffons. L’ambiance était au beau fixe et, l’alcool aidant, une certaine détente se mit à poindre, ce qui eut pour effet que les filles se relâchent franchement. Ma femme, d’habitude très pudique malgré qu'elle soit folle de sexe, en oubliait même de garder les jambes serrées et, les croisant et les décroisant, laissait apparaitre de temps à autre le haut de ses bas et l’ombre de son entre-cuisses, que Stéphane connaissait déjà.
Catherine, quant à elle, n’arrêtait pas de se pencher, dévoilant la profondeur de son décolleté avec à chaque fois un clin d’oeil à Stéph et un sourire dans ma direction. Je m'imaginais déjà en train de lui lécher les tétons, sachant que mon pote n'avait pas d'autre idée que de sauter Isabelle.
Nous commencions à être franchement très chauds et la conversation dévia peu à peu sur le sexe et les préférences de chacun. Isabelle me jetait des regards de moins en moins gênés auxquels je répondait par un sourire entendu, du genre laisse aller, c’est une valse.
Afin de ne pas précipiter les choses, Stéph sorti sur la terrasse pour fumer une cigarette et je le rejoignais histoire de tâter le terrain sur la suite de la soirée.
-“tu sais, c'est pas innocent le fait que vous soyez nos invités. Depuis la dernière fois chez vous, je ne pense qu'à ça et j’ai abordé le sujet avec Cathy. Tu la connais, elle est pas farouche et elle serait plutôt tentée à l’idée que ça se termine en partie de baise. Depuis le temps qu’elle me parle d’essayer à quatre, on s'est dit : autant que ce soit avec vous deux.”
-“nous, on a rien décidé, mais ça nous travaille aussi. Isabelle est très chaude malgré ses airs de fausse pudeur. Je crois en fait qu’elle est super excitée en pensant à ce qui pourrait arriver ce soir. Elle m’a déjà dit que Cathy lui plaisait et qu’une première expérience homo avec elle ne lui déplairait pas. Elle est chaude comme une baraque à frites et m’a fait une pipe en arrivant, avant de sortir de la voiture”
-“je sais, on vous a vu de la fenêtre du haut et on a fait la même chose”
Nos pensées vagabondaient vers des paradis sexuels sans fins et c’est à ce moment que Stéph, manquant de s’étouffer avec la fumée de sa cigarette, me tapa sur l’épaule.
-“regarde” me dit-il “là, sur le canapé”

Les deux filles continuaient de discuter tranquillement mais la main de Catherine était posée sur la cuisse d’Isabelle et caressait celle-ci jusque sous la robe, comme si elle voulait juste vérifier la texture des bas.
Nous ne bougions pas Stéph et moi, et attendions la suite sans faire de bruit, disparaissant dans la pénombre de la nuit qui tombait.
Catherine prit la main d’Isabelle et la posa sur son genou, l’air de dire fait comme moi, regarde ce que je porte, comme deux copines qui essayent des trucs dans un magasin.
Les deux gourgandines se caressait mutuellement les genoux et les cuisses en se regardant dans les yeux avec un sourire qui en disait long sur la suite.
Nous n’osions pas bouger, de peur de briser cet instant magique de la découverte d’une première expérience homosexuelle pour nos compagnes.
Catherine se pencha alors pour baisser la lumière et elles se rapprochèrent l’une de l’autre. Elles commencèrent à se caresser plus précisément et plus profondément, s’attardant entre les cuisses, effleurant la pointe des tétons que nous pouvions deviner à travers robe et corsage, malgré la distance qui nous séparait d’elles.
À ma grande surprise, c’est Isabelle qui prit l’initiative de se pencher vers Catherine pour l’embrasser. Oubliant que nous pouvions les voir depuis la terrasse. Elles étaient chaudes comme la braise et se bouffaient la bouche à grand coup de langues sans se préoccuper de nous, comme si nous n’étions pas là. Ma femme avait la robe remontée jusqu’en haut des cuisses, ne cachant rien de ses bas et de la blancheur de sa peau. Catherine avait les jambes carrément écartées, laissant voir une chatte bien épilée qu’aucune lingerie de cachait.
Stéph et moi étions en pleine érection mais attendions le moment propice pour intervenir. Les doigts d’Isabelle étaient maintenant dans la vagin de Cathy et allaient et venaient au rythme des mouvements du bassin de cette dernière. Je savais que c’était un de ses fantasmes et la voir en train de le réaliser augmentait mon envie d’elle. La main de Cathy se glissa dans le dos d’Isabelle et entreprit de descendre la fermeture Eclair. Le dos de ma femme se dénuda peu à peu jusqu’en bas où apparu le string qui découpait ses fesse en deux monts adorables. La main de Catherine s’engouffra dans l’ouverture maintenant béante et commença à peloter le cul d’Isabelle.
Après un bref regard, Stéphane et moi décidions d’entrer enfin dans la pièce. Il ouvrit la porte fenêtre avec le moins de bruit possible et nous nous glissâmes à l’intérieur, comme des voleurs ne voulant pas se faire repérer par des propriétaires endormis.
Les coquines étaient tellement à leur affaire qu’elles ne firent pas immédiatement attention à notre présence, ce qui nous permis de nous déshabiller tranquillement avant de nous approcher.
La queue à la main, nous attendions debout de chaque côté du couple qu’elles formaient. Elles semblaient complètement absorbées par leur caresses et je du tousser pour attirer leur attention.
Isabelle sursauta et parue gênée à l’idée de se faire gauler en pleine activité homosexuelle.
-“je ne sais pas ce qui m’a prit. Excusez-moi!” dit-elle à l’adresse de tout le monde, les yeux baissés. Lorsqu’elle les releva, elle paru un instant pétrifiée de nous voir à poil devant elle, mais je la rassurais d’une caresse sur les seins, ce qui eut pour effet de lui ôter un peu du rouge qu’elle avait au front.
Catherine ne paru même pas faire attention à cela, occupée qu’elle était à s'enfoncer les doigts dans la chatte qui coulait sur le canapé, formant déjà une belle tache de cyprine. Elle avait les yeux rivés sur nos bites qui se balançaient devant elle.
Isabelle fit semblant de se réajuster, mais je la pris par les épaules, la fis se lever et lui retirais complètement sa robe sans lui demander son avis. Le fourreau glissa au sol et , se laissant faire, elle se retrouva en string et soutient-gorge, perchée sur ses talons qui lui remontaient les fesse et lui faisaient un cul d’enfer.
Cathy avait entreprit de s’occuper de la queue de son mâle et aspirait ses couilles avidement tout en le branlant doucement.
Je ne pouvais tenir beaucoup plus longtemps et fis se rasseoir Isabelle devant moi. Elle écarta les jambes pour que je puisse m'approcher d'elle, en profita pour se mettre deux doigts dans la chatte et prit mon sexe dans la bouche pour une pipe langoureuse. Je sentit monter le plaisir en moi et ne pu me retenir plus longtemps. Trop excités par la situation, nous avons éjaculé presque en même temps, Stéph et moi. Lui dans la bouche de sa femme, moi sur les joues et les seins de la mienne. Elles jouèrent un moment avec nos membres encore durs, se regardèrent puis, dans un sourire complice, s’approchèrent l’une de l’autre pour se lécher le visage mutuellement afin de faire goûter à l’autre le sperme de son homme. Leurs langues s’entrecroisaient et nos jus se mêlaient à leurs salives dans un cocktail enivrant.
La soirée commençait parfaitement.

Une bouteille de champagne vînt détendre l’atmosphère qui, après ces premiers ébats, était quand même un peu à la gêne. Les filles s’ essuyèrent rapidement le visage et Isabelle, toujours dans la même tenue se couvrit avec un petit plaid qui était sur le canapé. Catherine réajusta sa jupe, referma un peu son corsage mais garda les jambes à moitié ouvertes. Quant à nous, nous avions juste remit nos slips et commentions allègrement ce que nous venions de vivre.

La température recommença à monter au fur et à mesure que le champagne coulait. Le plaid qui couvrait Isabelle retomba légèrement, laissant apparaitre ses seins toujours couverts du soutient-gorge transparent qui ne cachait rien des tétons toujours durcis.
Après quelques instants, Catherine se leva et quitta la pièce pour soi-disant se refaire une beauté tout en proposant à Isabelle de la suivre.
Nous restâmes donc seuls tous les deux, ce qui nous permis de casser une petite croûte pour nous refaire une santé. Il était encore tôt et nous ne comptions pas en rester là.

Ce furent des bruits inhabituels qui nous mirent la puce à l’oreille. Cela venait de la chambre de nos hôtes. D’abord, comme de petits rires qui se muèrent rapidement en soupirs , puis se transformèrent carrément en râles de plaisir.
Intrigués mais nous doutant parfaitement de ce que nous allions trouver, nous nous sommes approchés de la porte entre-ouverte de la chambre pour découvrir les deux belles allongées sur le lit, vêtues uniquement de leurs bas et talons hauts, dans la position du 69, léchant et caressant chacune la chatte bien lisse de l’autre.
Une petite valise était ouverte à côté d’elles et débordait de sextoys de toute nature, godes, vibros, double dong, boules anales et autres gels. Un vrai sex shop.
La forme nous revint instantanément à la vue de ces garces en train de gouiner sur le lit.
la première à s’apercevoir de notre présence fut Cathy. Elle prit alors, avec un regard malicieux, un gode de belle taille dans la valise et commença à le passer sur les grandes lèvres trempées d’Isabelle qui s’en empara immédiatement pour se l’enfoncer au plus profond d’elle même et commença à appliquer des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapide.
J’étais éberlué de voir ma femme agir ainsi. Elle qui était d’habitude si prude devant les autres voire même devant moi parfois, paraissait totalement débridée. Elle s’abandonnait dans les bras de sa copine avec une impudeur digne d’une actrice porno.
Lorsqu’elle me vit, elle me fit un grand sourire et me dit : “je vais te faire jouir comme jamais. Je suis ta salope et je vais faire tout ce que tu veux pour t’exciter.” Puis, jetant un oeil vers Stéphane : “toi aussi, gros cochon”
Elle prit alors les choses en main; s’emparant d’un double dong de belle taille, elle pivota sur le lit de façon à se retrouver face à Cathy, croisa ses jambes avec celles de sa partenaire d’un soir et commença à enfiler le gode dans la fente de l’autre cochonne sur une longueur d’environ quinze bons centimètres. Une fois en place, elle dirigea le dong vers son entre-cuisses et se le fit pénétrer aussi profond qu’elle put. Après un petit moment d’adaptation, les yeux dans les yeux, elles entreprirent toutes deux des mouvements coordonnés de va-et-vient afin de ressentir au plus profond d’elles mêmes le frottement de l’objet. Une giclée de foutrine parti alors de la chatte de Catherine et vint mouiller le ventre et les nichons de ma belle qui, pour ne pas être en reste fit de même avec une force et une quantité que je ne lui connaissait pas jusqu’alors. Elles se caressaient en étalant leurs jus intimes sur toutes les partie de leurs corps.
Je me branlais doucement en matant la scène. L’excitation était palpable dans la pièce qui sentait fort cette odeur un peu acre de sexe, de cyprine et de sperme.
Stéphane, que j’avais oublié au profit du spectacle se déroulant sur le lit, se rappela à mon souvenir à grand renfort de flash. Il avait sorti son appareil photos et mitraillait la scène sans discontinuer.
Les deux chiennes prenaient des poses obscènes, le genre de pose que l’on ne voit que dans les romans photos pornos. Ça excitait Isabelle au plus haut point. Lorsque nous faisions ce genre de séances à la maison, je savais qu’elle prenait son pied comme jamais, étant quand même, bien qu’elle s’en défende, une “salope d’exhibitionniste” comme j’aimais le lui dire.
-“maintenant, je vais tenir la promesse que je t’ai faite!” me dit Isabelle “approche et donne nous ta queue”
Stéphane avait laissé l’appareil photos au profit de la caméra numérique et filmais en gros plan le double dong qui n’avait pas quitté l’intimité des filles.
Isabelle me prit la bite et la suça un peu, histoire de lui redonner de sa superbe. Elle se mit alors à genou à côté de Catherine et , tout en continuant de la branler avec le gode, guida ma queue jusqu’à la bouche de la cochonne qui s’empressa de l’enfourner avec avidité tout en me caressant les couilles qui se remplissaient de plus en plus rapidement à la vue de cette situation. Pendant ce temps, Isabelle fit une chose que j’adore, elle lubrifia son doigt dans sa chatte et me l’enfonça doucement dans l’anus. J’aime sentir cette sensation de pénétration pendant qu’on me suce ou qu’on me branle. Elle se pencha alors sur ma queue et se mit à faire des allers-retours avec ses lèvres d’un côté du manche pendant que Cathy faisait de même de l’autre côté. Deux bouches sur ma queue, le rêve. Pour ne pas être en reste, Stéph, qui continuait à filmer, se faisait branler par sa femme pendant que la mienne faisait rouler ses couilles entre ses doigts. La situation paraissait irréelle mais était belle et bien vraie. J’étais excité au plus haut point de voir ainsi Isabelle se donner à fond dans ce qui il y a encore six mois paraissait complètement inimaginable.
Au bout d’un moment, Stéph se leva, alla poser le caméscope sur un pied en direction du lit et après un léger réglage pour cadrer la scène, vint nous rejoindre pour finir nos ébats.
Les deux filles se mirent alors en levrette, tête-bêche, moi devant Isabelle, Stéph devant sa femme et elles entreprirent de nous pomper comme jamais. Au moment où elles sentirent le jus monter elles s’arrêtèrent pour que l’on reprenne un peu nos esprit, puis Isabelle me dit : “j’ai envie de voir ta queue pénétrer une autre chatte que la mienne”.
D’un commun accord avec Stéphane, nous nous mîmes mutuellement derrière la femme de l’autre, puis, guidés par les mains expertes des deux chiennes, nous nous enfonçâmes dans les entrailles trempées des filles qui se mirent à râler de plaisir.
-“son cul! Je veux voir ta bite enculer cette salope!”
C’est Isabelle qui hurlait ainsi. Je commençais à m’habituer de la voir comme ça et lui tendit ma queue qu’elle suça encore pour bien profiter du jus intime de l’autre d’abord et enfin la guider vers le petit trou de Catherine.
La vue de la main de ma femme autour de ma queue qu’elle commençait à présenter à l’entrée du cul d’une autre me redonna un nouveau coup de fouet. Elle cracha sur l’anus pour bien lubrifier le passage et commença à faire rentrer mon gland dans l’oeil de bronze de la garce. Je crus défaillir de bonheur. D’autant plus que l’autre faisait la même chose, avec un peu d’avance d’ailleurs. En me penchant vers l’avant, je pu voir la bite de mon pote disparaître jusqu’à la garde dans le cul de ma femme qui, m’oubliant complètement pour se consacrer uniquement à son plaisir, commença à se branler en passant la main entre ses cuisses, aussi bien pour se mettre les doigts dans la chatte que pour caresser les burnes à mon pote.

Nous avons jouis presque en même temps tous les quatre. Les filles d’abord, les yeux révulsés, Marie lâchant un énorme jet de cyprine sur Stéphane. Elle se révélait une femme fontaine formidable et j’adorais cela.
Nous ensuite, en même temps sur le cul et le dos des salopes qui n’en pouvaient plus de tant de plaisir.
Épuisés, fourbus mais enivrés de tant de bonheur, nous sommes tombés les uns à côtés des autres sur le lit. ma main trouva celle de ma femme et la serra pendant que nos yeux se croisèrent dans un regard complice qui voulait dire que nous recommencerions bientôt.

Gilbert

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