Titre de l'histoire érotique : La plage aux milles plaisirs

- Par l'auteur HDS Sexwriter -
Récit érotique écrit par Sexwriter [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La plage aux milles plaisirs Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2009 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La plage aux milles plaisirs
Juin 2006, il fait beau, le soleil darde ses rayons sur notre belle côte d'Azur et comme je suis de repos ce jour là, je décide d'aller faire un tour du côté de la plage afin de parfaire mon bronzage.
Je décide de me rendre dans un coin pas très connu des touristes et autres badauds. C'est un charmant petit coin entouré d'herbes hautes et qui forme une cuvette de sorte que je ne suis pas visible.

Arrivée sur place, comme je le pensais, le coin est désert. Je décide donc de me mettre à l'aise et donc je tombe tout ce qui pourrait gêner mon bronzage. Pour faire bref, je suis nue comme un vers, allongée sur le dos, offrant mes 19 ans, mon 1m75 au soleil qui caresse délicatement ma petite chatte bien tondue et mon généreux 90C.
Le temps passe, les mouettes crient dans le ciel et seul le bruit des vagues vient gêner la quiétude de ce lieu, ce qui finit par me bercer et me faire m'endormir.

Au bout de quelque temps, je me réveille et je tombe nez à nez avec un beau brun qui doit avoir comme moi la vingtaine. Bien taillé, il doit faire au moins 1m80, des muscles saillant et à mon grand désarroi un maillot de bain short pas des plus sexy qui ne laisse rien deviner de son anatomie.

- Bonjour, lui lançais-je, ça fait longtemps que tu es là ?
- Assez pour avoir pu contempler toutes les parties de ton corps, il me répondit. Corps sublime en fait.

Sur ces paroles, je rougis et la conversation tourna vite à des propos assez crus.

- Tu n'as pas peur qu'un inconnu passe par là et décide de te sauter dessus ? me demanda-t-il ?
- Personne ne connaît ce coin je pensais.
- Et bien tu t'es trompée, me dit-il. Je m'appelle Jérémy au fait. Comme ça je ne suis plus un inconnu.
- Enchanté Jérémy, moi c'est Magali.
- Bien Magali, je disais donc que tu as un corps sublime dont tu as l'air de prendre soin.
- Le tien est pas mal non plus, lui dis-je.

Et tout en parlant et en se complimentant de nos deux corps, je n'avais pas remarqué que ma main c'était posé sur sa cuisse. Il me lança un regard foudroyant et je ne pu résister. Je me suis lancé vers ses lèvres pour lui offrir ma langue. On s'est embrassé férocement, nos corps se frôlaient de plus en plus puis il se coucha sur moi et je pu constater que je ne lui était pas indifférent. Je sentis une bosse assez incroyable au niveau de son bas ventre.

- Tu m'as l'air bien fait aussi de ce côté-là, lui dis-je en agrippant sa queue à travers le pantalon
- Toi, tu m'as l'air bien chaude et je voudrais te faire réaliser un de tes fantasmes tiens.

Je fus étonné mais je me ressaisi vite et :

- Mon seul fantasme c'est de faire l'amour avec plusieurs gars genre 4 ou 5. Mais tu es seul là et donc ça ne sera pas pour cette fois.

Tout en prononçant ses mots, je lui retiré son short et empoigné sa bite pendant que lui retirait son T-shirt. Sa queue était sublime, à vue d'œil ou de bouche (car je n'avais pas attendu longtemps avant de lui manger) je dirais qu'elle devait faire un bon 23 cm de longueur pour 6 cm de large. Un colosse en gros.

- Ne crois pas que ton fantasme ne sera pas réalisé. Par contre tu as vu juste quant au nombre me dit-il en ricanant alors qu'il me forçait à lui faire une gorge profonde.

Sur ces paroles il siffla un coup et ce ne fut pas 4, ni 5 gars qui apparurent au sommet du talus mais une bonne douzaine.

- Cela fait un moment qu'on te mate là-haut en bandant comme des taureaux. Tu as le fantasme qu'il faut parce que ma pauvre, tu vas déguster me lança-t-il.

Déjà toute excité par la queue que j'avais en bouche, rien ne faisait plus peur. Je retirais sa queue de mon orifice buccal, je regardais autour de moi pour contempler ces 12 mecs avec leurs queues à l'air. 12 queues bien bandées et toutes bien gâtées par la nature. Pas une seule en dessous des 20 cm. Je les regardais un par un dans les yeux puis dans le gland et je finis par leur dire:

- Et bien messieurs, qu'attendez-vous pour nous rejoindre, je veux goûter à vos bites.

Il ne fallut pas attendre plus longtemps pour que tous descendent me voir. Alignés en rang d'oignons, je les suçais un par un. Puis le premier de la queue, se plaça derrière moi et me tira en arrière ce qui me fit basculer sur le dos. Il s'allongea au dessus de moi et nous partîmes dans un 69 mémorable. Je lui bouffé la queue et lui me manger ma chatte, me rentrant des doigts, sa langue, puis encore des doigts. Je gémissais comme jamais. Puis on changea de sens, moi dessus et lui dessous, ce qui permis a un autre de venir me titiller le fion pendant que d'autres s'approchaient de moi pour que je les suce. Un que je n'avais pas encore remarqué vint se placer devant moi et me présenta sa queue, un monstre comme je pensais n'en voir jamais. Je m'apprêtais à le sucer lui aussi quand il fit un pas en arrière et me dit:

- Non ma belle, celle-là ce n’est pas pour ta bouche. Celle-là, c'est direct dans ton cul me dit-il en souriant.
- Hein? Non pas ça, pas dans le cul, ça rentrera pas.
- T'inquiète pas, ça va rentrer et puis je ne crois pas que tu aies ton mot à dire là.

Sur ce, un gars vint me mettre sa queue dans la bouche et je ne pus plus parler. Je vis ce monstre me passer autour et je sentis d'un coup que quelque chose appuyait sur ma rondelle. C'était son gland. Il poussait fortement, je hurlais en silence, je ne pouvais produire aucun son, car les bites se succédaient dans ma bouche quand le gars que j'avais vu à mon réveil me dit:

- Et oui aujourd'hui c'est la fête des rondelles. Personne ne va toucher à ta chatte, ça sera tout dans ton cul et on va te faire hurler jusqu'à épuisement crois moi.

Je fus terrifiée. Je sentais toujours ce gland qui tentait de se frayer un passage vers mes entrailles. Et puis soudain:

- Oh merde, fais chier d'y aller en douceur, lança le gars placer sur mon fion.

Puis il s'enfonça d'un coup se qui me fit recracher la queue que j'avais dans ma gueule pour hurler comme jamais je n'avais hurlé. Puis il commença à me pilonner comme un sauvage, je souffrais le martyre, j'étais sûr qu'il m'avait déchiré le cul mais au bout de quelques minutes cette douleur se transforma en plaisir.

-Oh oui, vas-y, déchire moi le cul avec ton pieu
- Tu vois que tu aimes ça, chienne que t'es. Et les gars on va la faire couiner cette pute. Ok ?

Et toute la bande en chœur:

-OUAIIIIIIIS !!!

Et à partir de ce moment, ce fut un festival, Pas un dans ma chatte mais tous se succédèrent dans mon cul. Je sentais mon fion dilaté au possible. Toutes ces queues rentraient dans mon cul comme dans du beurre jusqu’à qu'un de la bande et une autre idée que je trouvais super.

- Ca devient trop facile de lui planter nos bites, son fion et ouvert comme un grand magasin pour les soldes. A mon avis faudrait voir à en mettre plus histoire qu'elle déguste bien.

Sur ces mots, celui qui était sous moi plaça sa queue dans mon cul puis un autre vint se mettre au-dessus et commença à essayer de me rentrer aussi sa bite.

- Oh oui vas-y mes moi ta queue dans le fion toi aussi. Prenez comme une salope, j'en veux plus, ouvrez moi le cul comme jamais.

- Ah c'est ce que tu veux ma poule me dit le plus membré de tous. Et bien c'est moi qui faire le deuxième passage alors.

Sur ce il se mit sur moi et poussa d'un coup sec sa queue en moi. A mon plus grand étonnement, ça rentra comme dans du beurre, il en fut même déçu tellement ce fut facile.
Puis deux par deux, ils me prirent le cul pendant que je suçais les deux suivants. Deux par deux, ils me remplirent le cul de leur foutre chaud, je sentais leur semence giclée au fond de moi et couler vers la sorties. Je me remplissais de sperme à vue d'oeil. Une fois les deux derniers vidés, je me relevais et leur dit:

-Merci, ce fut exceptionnel, on remet ça quand vous voulez et amenez plus de copains la prochaine fois, je veux être votre chienne.
- Oui ma grande me dit Jérémy, mais pour le moment, on n’a pas fini.
- Hein?
- On t'a bien rempli le cul, maintenant ça va être ta gueule et tu vas tous nous avaler.

Je ne pu me retenir de sourire, j'étais devenu une grosse chienne assoiffée de bite et j'étais prête à tout pour me garder mes douze mecs. Ils se mirent en cercle autour de moi puis je commençais à les sucer un par un. Ils avaient retrouvé leurs queues en pleine forme, bien dures et droites. Au bout de cinq minutes passées à les sucer à tour de rôle, l'un d'eux s'approcha de moi en se branlant et mis sa queue au fond de ma gorge avant de déverser son jus directement au fond de mon gossier. Puis un deuxième vint, puis un autre et ce jusqu'au douzième, je dû tout avaler et je m'en régalais. Pas une goutte n'avait été perdue. Satisfaite de moi, je me relevais, pour les embrasser un par un quand je senti sous moi quelque chose de froid. Je regardais à mes pieds et je vis un petit saladier qui avait été placé sous mon trou de balle et qui avait recueilli tout le foutre qui s'était échappé de mon cul.

- Hmmmm
- Et oui tu ne va pas en perde une goutte ma belle.
- Miam miam, dis-je.

Puis je saisi le bol en je le vidais de son nectar encore chaud.

- Voilà fini pour aujourd'hui me dit Jérémy. A demain
- Ok à demain mais venez plus nombreux lui dis-je
- T'inquiète pas pour ça me dit-il en me fourrant sa langue dans la bouche

Puis ils partirent tous, je n'en revenais pas, j'avais été enculé par douze queue. Je restais étendu sur le sable, sur le dos, le cul béant. On aurait pu y entrer un bras facilement.
Puis je fermai les yeux, je m'assoupi, il était 18h pas plus et d'un coup.

- Déjà bien ouvert dis moi. Ca mérite qu'on y jette un œil !!!

J'ouvrais les yeux et je vis un homme d'une trentaine d'année qui se branlait devant mes yeux. Et la queue qu'il avait dans la main surpassait de loin celle de mes précédents enculeurs.

- Que dirais-tu de 35 cm de bonheur dans le cul ma grande ? me dit-il
- La longueur importe peu. Le diamètre oui, lui dis-je
- 7 cm ça devrait t'aller.

Et sur ces mots, il empoigna ma tête, enfonça sa queue dans ma bouche, seul son gland rentrait.

- Tu vas prendre très cher ma salope. Tu vas savoir ce que sait que de faire éclater tous les trous. Profite bien, on va y passer la nuit.

Et c'est vrai que ça a duré une partie de la nuit mais ça au prochain épisode si vous voulez ^^

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