Rencontre impromptue
Récit érotique écrit par Gaybi mur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre impromptue
Mon histoire, en son début en tout cas, manque un peu de poésie, car ma rencontre avec Kévin eut lieu... dans une pissottière où j'étais allé me soulager. Et puis, il est arrivé et, comme il était joli garçon et paraissait très jeune, je n'ai pas pu m'empêcher de lorgner son sexe qui était de bonne taille et pratiquement imberbe. Je croyais avoir jeté un coup d'oeil discret, mais je m'aperçus bien vite qu'il s'en était rendu compte et lorgnait, lui aussi ma queue de cinquantenaire, ce qui provoqua chez moi un début d'érection...
Mais en sortant, on a fait comme si de rien n'était. Il revenait de la fac (et avait donc plus de 18 ans bien qu'en paraissant 16) et, venu là par le car, attendait son père qui devait venir le chercher après son boulot, près de 3 heures après. J'ai su cela en lui demandant gentiment ce qu'il faisait sur cette place avec un tas de sacs autour de lui. Je le proposais de le raccompagner (il n'habitait pas très loin), mais c'était impossible, car il ne pouvait pas prévenir son père dépourvu de portable.
En attendant, je lui proposais de mettre son fatras dans le coffre de ma voiture, et comme c'était pour moi un moment de liberté et que j'avais très envie de lui, je l'invitais à visiter avec moi quelques sites intéressants (et discrets...) de la commune où je réside. Comme il s'ennuyait, Kevin accepta.
Après avoir visité quelques sites, je l'emmenais dans un joli petit bois peu fréquenté en semaine, et là...
Sans aucun travail d'approche préalable, je me mis à l'enlacer et ma langue trouva la sienne: bref: on s'est embrassé comme des fous. Et pendant ce temps, le petit vicieux, qui avait sorti sa bite de sa braguette (il bandait comme ce n'est pas possible), déboutonnait mon falzar en expert, se mit à genoux et se mit à me sucer en se branlant.
Ne voulant pas être en reste, je le poussais gentiment à terre et enfournais à mon tour son merveilleux sexe dans ma bouche. Un délicieux "69" qui ne dura pas bien longtemps tant nous étions tous deux excités. Très vite, je dégustais une superbe et longue éjaculation presque en même temps que Kévin goûtait lui aussi à mon sperme. Puis, allongés côte à côte, petit temps mort... Pas bien long: sentant mon érection revenir, je caressais les fesses de mon jeune ami et finit pas lui introduire un, puis deux, puis trois doigts dans son anus déjà prêt et suintant.
"Prends-moi", me dit-il alors. Et effectivement, je n'eus aucune peine à introduire ma bite dans son cul demandeur. Mais si Kévin désirait être sodomisé, il n'entendait malheureusement pas me rendre la pareille: "je n'ai jamais essayé et j'ai peur de ne pas pouvoir", s'excusa-t-il lorsque je lui posais la question.
Bah: on a trouvé un succédané. Comme je l'enculais en levrette, je lui proposai une autre position: moi allongé par terre et sur le dos et lui assis "autour" de ma bite en me faisant face. Ce qui me permit de le branler tendrement tout en le sodomisant. Nous avons de nouveau joui presque ensemble avec un indicible plaisir.
Entre temps, l'heure avait tourné, et il était nécessaire de revenir (habillés de préférence) au point de rencontre où son père n'allait pas tarder à arriver.
Curieusement, je n'ai jamais revu Kévin depuis. Peut-être a-t-il trouvé un autre moyen d'aller et de revenir de la fac ? Je n'en sais rien.
Mais si tu me lis, mon Kévin, sache que j'ai toujours autant envie de toi. Et si tu peux te retrouver le même jour à la même heure à notre premier point de rencontre, viens: j'ya passe toutes les semaines à ce moment-là. Mais il est vrai que tu es jeune et beau. Sans doute les occasions ne te manquent-elles pas... Mais pour le cas où tu aurais envie de me revoir (entre autres), pense que je suis fidèle au rendez-vous qui n'en est pas vraiment un, hélas !
Mais en sortant, on a fait comme si de rien n'était. Il revenait de la fac (et avait donc plus de 18 ans bien qu'en paraissant 16) et, venu là par le car, attendait son père qui devait venir le chercher après son boulot, près de 3 heures après. J'ai su cela en lui demandant gentiment ce qu'il faisait sur cette place avec un tas de sacs autour de lui. Je le proposais de le raccompagner (il n'habitait pas très loin), mais c'était impossible, car il ne pouvait pas prévenir son père dépourvu de portable.
En attendant, je lui proposais de mettre son fatras dans le coffre de ma voiture, et comme c'était pour moi un moment de liberté et que j'avais très envie de lui, je l'invitais à visiter avec moi quelques sites intéressants (et discrets...) de la commune où je réside. Comme il s'ennuyait, Kevin accepta.
Après avoir visité quelques sites, je l'emmenais dans un joli petit bois peu fréquenté en semaine, et là...
Sans aucun travail d'approche préalable, je me mis à l'enlacer et ma langue trouva la sienne: bref: on s'est embrassé comme des fous. Et pendant ce temps, le petit vicieux, qui avait sorti sa bite de sa braguette (il bandait comme ce n'est pas possible), déboutonnait mon falzar en expert, se mit à genoux et se mit à me sucer en se branlant.
Ne voulant pas être en reste, je le poussais gentiment à terre et enfournais à mon tour son merveilleux sexe dans ma bouche. Un délicieux "69" qui ne dura pas bien longtemps tant nous étions tous deux excités. Très vite, je dégustais une superbe et longue éjaculation presque en même temps que Kévin goûtait lui aussi à mon sperme. Puis, allongés côte à côte, petit temps mort... Pas bien long: sentant mon érection revenir, je caressais les fesses de mon jeune ami et finit pas lui introduire un, puis deux, puis trois doigts dans son anus déjà prêt et suintant.
"Prends-moi", me dit-il alors. Et effectivement, je n'eus aucune peine à introduire ma bite dans son cul demandeur. Mais si Kévin désirait être sodomisé, il n'entendait malheureusement pas me rendre la pareille: "je n'ai jamais essayé et j'ai peur de ne pas pouvoir", s'excusa-t-il lorsque je lui posais la question.
Bah: on a trouvé un succédané. Comme je l'enculais en levrette, je lui proposai une autre position: moi allongé par terre et sur le dos et lui assis "autour" de ma bite en me faisant face. Ce qui me permit de le branler tendrement tout en le sodomisant. Nous avons de nouveau joui presque ensemble avec un indicible plaisir.
Entre temps, l'heure avait tourné, et il était nécessaire de revenir (habillés de préférence) au point de rencontre où son père n'allait pas tarder à arriver.
Curieusement, je n'ai jamais revu Kévin depuis. Peut-être a-t-il trouvé un autre moyen d'aller et de revenir de la fac ? Je n'en sais rien.
Mais si tu me lis, mon Kévin, sache que j'ai toujours autant envie de toi. Et si tu peux te retrouver le même jour à la même heure à notre premier point de rencontre, viens: j'ya passe toutes les semaines à ce moment-là. Mais il est vrai que tu es jeune et beau. Sans doute les occasions ne te manquent-elles pas... Mais pour le cas où tu aurais envie de me revoir (entre autres), pense que je suis fidèle au rendez-vous qui n'en est pas vraiment un, hélas !
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