arrêter, moi, jamais

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : arrêter, moi, jamais Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2010 dans la catégorie En solitaire
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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arrêter, moi, jamais
Depuis que je suis jeune, et autant qu'il m'en souvienne, je recherche les plaisirs dit de la "chair". Je suis peut être nymphomane, mais je m'en fous: il faut que je jouisse souvent, sinon je ne me sens pas bien. Au début et jusqu'à l'âge de 16 ans je me branlais, sur les conseils d'une camarade de classe.
Un jour je surprenais une conversation entre mes parents: ma mère lui disait qu'elle aimait trop se masturber pour arrêter et mon père lui répétait qu'elle continue sans problème d'une part parce qu'il l'aimait trop pour lui interdire de prendre son pied seule et que d'autre part, il
l'aimait beaucoup la regarder faire. Ca l'excitait beaucoup puisque quand ils étaient ensemble ils se branlaient aussi.
J'en tirais la conclusion que ma mère et mon père se branlaient souvent. Le soir venu je me masturbais encore en rêvant qu'un garçon, me regardais faire en se donnant des caresses à la queue.
A 16 ans j'ai connu un garçon légèrement plus âgé que moi qui après les premier baisers voulait déjà me branler: il avait mis sa main sous ma jupe et remontait vers mon sexe: je mouillais pas mal quand il glissait sa main sous mon slip. Elle farfouillait un peu partout avant que je le guide vers mon bouton. Elle me branlais mal et je ne jouissais pas. Ce n'est
qu'après plusieurs tentatives qu'il m'a faite jouir: et encore parce que nous étions deux et que pour moi c'était vachement excitant. Il me demandais de le masturber et je prenais maladroitement sa bite pour le faire jouir. A ma grande satisfaction j'étais arrivé à faire jouir
quelqu'un d'autre que moi. Un peu plus tard, il a voulu baiser. J'étais d'accord parce qu'il me semblais que ne plus être vierge était un atout pour les autres garçons.
Ce gentil garçon, tout à son plaisir m'a rentré, sans trop de préliminaire, sa bite et j'ai eu mal. Après tout c'était la première fois et c'était normal. Il a voulu recommencer presque de suite après: il ne bandais pas comme au début. Je crois que mon instinct parlait: je lui ai
pris le bite en bouche et je l'ai caressé avec ma langue. Il a jouit relativement vite dans ma bouche: je trouver que son sperme n'était pas mauvais et je l'ai dégusté avant de l'avaler, ce que je fait toujours depuis. J'aurais pu me branler devant lui, mais j'avais un peu honte,
alors je ne l'ai pas fait.Plus tard, vers mes 19 ans, après plusieurs aventures plus ou moins réussies, et n'ayant pas perdu l'amour inconsidéré de mes masturbations, je rencontre enfin un homme de 32 ans. Au début ça ma semblait vieux. Et pourtant je suis avec lui depuis plus 5 ans
maintenant D'accord, il est marié, il ne m'a jamais promis de divorcer pour m'épouser: j'aurais refusé. Quel sortilège que cet homme et qu'elle audace dans ses enlacements: il baise comme un dieu antique. Il m'apprend plein de choses que j'ignorais encore sur la baise en général: ce n'est pas lui qui ma rendu femme, sinon par les orgasme qu'il me procurait, par la longueur de ses jouissances: il pouvait baiser plusieurs fois sans jouir et j'en profite toujours. C'est le premier qui m'a appris à bien faire les 69 et surtout sans doute le plus important: avec lui j'aime de plus en plus la sodomie. Il a une façon de m'enculer particulièrement efficace. Je jouis presque sans arrêt quand j'ai sa queue dans mon cul. Les quelques fois où il débande je le redresse en me branlant devant lui: j'aime beaucoup le faire devant lui ( comme ma mère) et lui aime me voir faire pour finir par se branler aussi devant moi ( comme mon père).
Dès que nous sommes ensemble nous baisons, chez moi, à l'hôtel, en promenade dehors. Une fois nous nous sommes fait surprendre par un voyeur: pas gênés du tout nous avons continué en nous plaçant pour qu'il voit tout. Finalement il se branlait.
Un jour il a voulu que je fasse l'amour avec une autre fille. J'ai refusé. Alors il arrive chez moi avec une fille de son âge très bien faite au visage sensuel, aux lèvres bien pleine et m'a présenté comme étant sa maîtresse et m'a présenté l'autre femme en me disant que si je baisais avec elle j'aurais un plaisir inconnu. Il me prend dans ses bras, m'embrasse et me met la main au con et commence à me branler: il sait qu'après cette caresse je ne lui refuse jamais rien. L'autre femme le remplace sur mon clitoris et j'avoue y prendre pas mal de plaisir.
Nous sommes nus, et il me baise comme d'habitude. Sauf qu'il ne m'embrasse pas: c'est l'autre qui s'en charge. Nos langues fouillent nos bouches. Ce baiser me donne envie de continuer avec elle un moment. Lui le sait bien que je ne peux résister. Elle est contre moi, et m'embrasse tout en me caressant un sein et sa pointe que j'ai très sensible: il a du le lui
dire. Je sens ma cyprine couler entre mes jambes. Je me laisse faire et profite des caresses prodiguées. Puis elle se retourne et va sur mon con avec la bouche et me fait un cunnilingus que je n'oublierais certainement jamais. Cette première fois est une surprise de taille, ne pensais pas qu'une autre fille me fasse autant de bien. Elle m'enjambe et me met
son con à porté de ma bouche. Je pense savoir ce qu'il me reste à faire: je lèche sa fente de haut en bas. Je prend dans a bouche ses lèvres et enfin lui suce le clitoris. Nous faisons un 69 d'une autre nature qu'avec un homme. Pour moi c'est aussi bon et je la fait jouir un peu avant moi. C'est le premier con que je vois pendant qu'il jouit: j'en suis toute fière, j'ai fait jouir une autre femme. Depuis ce jour nous baisons à trois et c'est délicieux d'avoir par exemple une pine dans mon cul et une langue que me suce.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est lourd, gras, sans rythme,... Bref, sans aucun intérêt. Le sexe est une chose et traduire cette chose dans notre langue demande la maîtrise de quelques règles élémentaires: l'orthographe, la conjugaison, la syntaxe,... Comme disait mon professeur de français à un copain qu'il avait surpris en train de rédiger une phrase un peu "cochonne" destinée à une demoiselle de la classe: "Si tu baises comme tu écris, je plains ta copine."



Texte coquin : arrêter, moi, jamais
Histoire sexe : Une rose rouge
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