Une voisine anodine - histoire érotique

Bon et bien je vais vous raconter l’histoire de moi et ma voisine, comme c’est écrit dans le
titre. Voila je suis un homme, j’ai 20 ans, je mesure 1.80m et pèse 90 kg (pas un poil de
gras). Finis les présentations, je vais vous livrer un des meilleurs moments de ma vie :
Depuis deux ans, j’ai eu des nouveaux voisins, ca change des anciens, vieux et très
dépassés par la jeunesse car ils n’ont jamais eu d’enfants. Mes nouveaux voisins ont
aménagés un jour où je lisais une des histoires de HDS sur une voisine et le voisin. Quand
j’ai vu sortir de la voiture cette femme, j’ai tout de suite été dingue fou d’elle, ses seins
étaient parfaits, ses fesses avaient l’air délicieuses et elle avait un corps parfait pour
quelqu’un de 35 ans. Je n’avais qu’une idée en tête, essayer de la baiser. Il m’a fallu
qu’une semaine après leur arrivée pour aller chez eux la rencontrer du fait que c’était le
nouvel an et qu’ils m’avaient invité à leur soirée afin d’essayer de faire plus ample
connaissance avec le voisinage. Une fois chez eux, j’avais un peu forcé sur l’alcool et eux
aussi. Alors je j’allais aux toilettes, je m’aperçus qu’elle me suivait sous l’œil distrait de son
mari. Elle s’approcha de moi et me dit : « Hum, je suis vraiment contente d’avoir un voisin
aussi mignon qui me matte le soir dans la douche ». Elle commença à frotter ses seins
contre mon torse, j’adorais ça venant d’elle. Je répondis un peu gêné mais d’un coté
tellement excité : « Heu, heu madame Smith, je ne vous matte pas c’est que… », Elle reprit,
« Ne t’inquiète pas, ça ne me dérange pas au contraire, si je plais encore aux jeunes tant
mieux. » Un bruit soudain de bouteille cassée résonna dans le salon, elle me poussa et
accourut dans le salon en me laissant un petit mot « Ce n’est pas fini entre nous »,
accompagné d’un clin d’œil. La soirée se termina très normalement avec de temps en
temps, des petites signes de Juliette (la voisine). Je suis rentré chez moi, super excité à
l’idée de pouvoir baiser cette voisine dans quelques temps. Le lendemain, 1er Janvier,
j’étais crevé mais dès que j’avais vu partir le mari au boulot (et oui des gens bossent le 1er
Janvier) je me suis réveillé directement, pris une bonne douche et super motivé à l’idée de
revoir la voisine. Je descends et qui voilà dans ma cuisine en train de discuter avec ma
mère ? La voisine en peignoir ! Elle avait un problème avec son chauffe-eau, alors ma
mère me dit, tu vas aller chez Madame Smith refaire le chauffe-eau ou essayer de voir la
panne. J’étais dans une forme olympienne. Arrivé chez elle, elle me montre le chauffe-eau
et il n’y avait rien apparemment d’anormal et elle me dit : « Adrien, j’ai donné à ta mère une
fausse excuse pour que nous soyons tranquille et qu’il n’y ait aucun problèmes ». Elle me
dit, « Allez monte, je vais m’occuper de toi petit voyeur ». Ces mots m’ont presque fait
bander, j’avais un début d’érection. « Je te fais cette effet, on voit déjà une bosse sur ton
pantalon ». on s’allonge sur son lit, elle enlève son peignoir et je découvre ce que j’ai
toujours rêvé de tant voir, « tu es splendide »(Elle était parfaitement rasée, pas un poil de
graisse, des seins fermes 95C) « Merci, maintenant à toi de me montrer ta bite, j’ai envie
de la sucer depuis que je t’ai rencontré. Allez sors la » J’étais à la foi gêné de la voir et d’un
coté je voulais tant me faire une femme mature et en plus ma voisine. « Je vais le faire très
bien, dit elle ». Elle s’approche de moi, pose sa main sur mon torse et l’autre l’utilise pour
déboutonner mon jean, elle sort mon engin et me dit, et bien mon pauvre mari… puis elle
sourit. Je vais bien m’amuser avec ça, il va falloir que tu me défonces mon petit. Je rentre
dans une érection forte, et elle commence à me sucer, elle met mon sexe dans sa bouche
et fait des va et vient tout en me léchant le gland, c’est génial venant d’une femme
d’expérience. Après un petit moment, je lui demande de s’approcher afin que je puisse moi
aussi lui faire un peu de bien. Elle s’exécute, garde ma bite dans sa bouche et se met en
69 avec son cul juste au dessus de la tête. Je commence à la doigter avec un doigt puis
deux tout en léchant son petit bouton en essayant de la faire jouir et de trouver son point G.
Cela n’a pas pris beaucoup de temps, elle a joui très vite en criant, « Oh oui, ca c’est…c’est
vraiment bon, j’ai jamais eu ca aussi vite…Oh, oui ». Affalée sur le lit, elle me demanda de
la prendre en levrette puis en offrande, une position que j’adore depuis ce moment. En
levrette, je lui lime la chatte, elle adore et crie comme une femme qui vient de se faire
dépuceler. Ensuite elle me dit « Prend moi sur le tapis, elle s’allonge sur le ventre et écarte
les cuisses de façon à ce que je puisse mettre mon membre dans sa chatte, je suis juste
au dessus d’elle, les genoux de chaque coté et je l’a repénètre et quelques va et vient et j’ai
vraiment envie de jouir, je l’a préviens et elle me dit, « ne t’inquiète pas tu peux tout lâcher,
j’adore ça ». Je jouie en elle et m’effondre sur le tapis. Après quelques minutes de repos,
je sens sa main me branler, puis je sens sa bouche me lécher les petits restes de sperme
que j’avais encore sur la bite. Il ne me fallut pas longtemps pour être de nouveau en selle.
Mon érection au maximum, elle me dit, « et bien maintenant mon petit, tu vas me prendre
dans un endroit que mon mari ne veut pas aller, ne me déçoit pas. » j’avais très bien
compris que j’allais l’enculer et rien que cette idée m’excitait à un point que je me suis
presque joui dessus. Elle se remit en levrette afin de me faire découvrir sa rosette. Je
crachais un petit coup dessus et prenait de la cyprine en excès qu’il y avait sur sa chatte. Je
posais mon gland sur son anus et elle me dit « Allez vas y d’un coup, j’adore cette
sensation » Aussitôt dit, aussitôt fait, je rentre d’un coup ma bite dans cette petite rosette
jusqu'à ce que mes couilles bloquent contre sa chatte. Elles crient vraiment fort et je vois
qu’elle adore ca, et je la lime entièrement, des gros va et vient, de plus en plus rapide, puis
j’enlève mon sexe pour découvrir l’énorme trou du cul que je lui fais, puis je remets,
ressors, jusqu’à ce que je jouisse une deuxième fois en elle. Elle se retourne rapidement
et me suce entièrement la bite pour me la nettoyer. « J’ai adoré me dit elle, on refait ca le
plus rapidement. On prit une douche ensemble avec quelques câlins. Je sors de la maison
encore tout excité et elle me dit « A dimanche prochain, Lionel travaille tous les dimanches,
on pourra remettre ça ! » Je vous raconterais la suite des dimanches une autre fois.