Ma femme livrée à des inconnus

- Par l'auteur HDS Lithium -
Récit érotique écrit par Lithium [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme livrée à des inconnus Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme livrée à des inconnus
Je pense qu'il faut que nous vous racontions ce qui nous est arrivé récemment.
Nous avons toujours eu, ma belle et moi, le fantasme de la pluralité masculine ; elle adore être dominée et moi, de l'imaginer au contact avec d'autre hommes m'a toujours beaucoup excité.
Bien souvent quand nous sommes de sortie, nous jouons : elle allume les mecs et moi je la regarde en souriant, toujours amusé de constater le pouvoir qu'elle a sur les hommes.
Le week-end dernier, nous sommes allés en boite avec des potes voir un Dj qu'on adore. La soirée se passe tranquille, super ambiance, alcool, pétards...etc.
Nous étions bien éméchés tous les deux ! Ma belle portait une robe moulante blanche très courte au travers de laquelle on devinait son string ; de retour des toilettes à un moment dans la soirée, celle ci passe sans s'arrêter et me colle juste dans la main...son string ! Elee continue son chemin et se poste à quelques mètres devant moi en me lançant un regard aguicheur. Je ris et lève mon verre en la regardant de loin, restant accolé au bar ; on devinait alors aisément qu'elle ne portait plus de dessous.
Quelques instant plus tard, une bande de trois mecs se poste derrière elle, écoutant la musique ; en les observant, je remarque au bout de quelques instants que l'un fait un signe à son pote en désignant le cul bien rond de ma chérie qui se trémousse juste devant lui ; ils se tapent dans la main en se marrant et le deuxième commence à se rapprocher doucement du dos de ma danseuse première classe, jusqu'à l'effleurer. Elle, bien sur, capte de suite le petit jeu et se retourne en me jetant un bref coup d'œil ; ce genre de choses étant usuel en boite, elle continue de danser en le chauffant un peu. Le mec s'enhardit et, à ma grande surprise, pose la main sur ses fesses ; je me doutais un peu de sa réaction : elle se retourne, le scrute d'un air hautain et ne relève pas, d'ailleurs moi non-plus ; les femmes savent très bien se dépêtrer de ce genre de situation sans aide si elles en ont envie.
Seulement, le mec a du prendre ça pour une invitation et la saisit maintenant par la taille, collé contre elle. Je suis alors partagé entre l'envie de lui ôter la vie et, tout de même, de laisser faire ; j'opte pour la deuxième solution, la vodka m'enhardissant quelque peu. Elle continuait périodiquement à se mettre de coté afin de me voir et de vérifier si son petit manège me plaisait.
Après quelques minutes de danse, je remarque que ses deux potes se sont déplacés et sont maintenant de chaque coté ; je me doutais de ce qui allait se passer mais je laissais faire commençant à fantasmer sur la situation. Les deux se rapprochent encore et commencent à la toucher aussi : le ventre, puis les fesses, s'assurant du bout des doigts quelle ne porte rien dessous.
Voir mon amoureuse se faire ainsi peloter comme une vulgaire salope ne me rendait bizarrement même pas jaloux ; la connaissant je savais que cela devait commencer à l'exciter aussi, sachant que mon regard était constamment posé sur elle. En tout cas, le pelotage devenait de plus en plus méthodique et en me déplaçant un peu sur le coté, je vis que celui qui dansait avec elle avait passé la main dans le décolleté de sa robe, lui caressant allègrement sa poitrine libre de soutien-gorge ; je décidai alors de la rejoindre, les choses s'accélérant tout de même pas mal ; j'arrivai donc détendu, un verre à la main que je lui offris.
Les gars furent un peu surpris, mais ne savaient pas qui j'étais ; je me retins d'intervenir ce qui les encouragea à recommencer leur plan quelques minutes plus tard ; je me rendis compte que je bandais nettement et que mon pantalon me serrait ! Quelque chose m'empêchait de m'annoncer en tant que petit ami, ayant peur de tout stopper. En baissant les yeux, je vis que cette cochonne massait la bosse au niveau de la braguette du danseur, puis passait à celle de son pote...et ainsi de suite ; elle me regardait droit dans les yeux, comme pour me dire "arrête tout si tu veux" ; mais je n'en avais plus envie ! Le comble, c'est que l'un des mecs me fit un clin d'œil en la regardant, genre "sacrée salope celle là !". Se décalant, elle passa à ma queue, qu'elle massa aussi au travers de mon pantalon. Un des mecs était passé devant elle et en lui tournant le dos, et commençait de remonter sa main sous sa robe, atteignant directement sa chatte. Les gens autour de nous commençaient à remarquer la situation ; le danseur lui parla à l'oreille et lui lécha dans la foulée ; ma chatte se retourna, toujours encombrée des trois paires de mains qui l'exploraient et vint me voir ; ils proposaient de passer boire un verre à leur voiture, apparemment copieusement fournie de bouteilles d'alcool diverses. Nous n'avons pas hésité et avons acquiescé.
Nous arrivâmes quelques instants plus tard sur le parking, les oreilles bourdonnantes. Ils ne la lâchaient plus ! Ils étaient visiblement très excités et avaient envie d'aller plus loin ; j'appris sur la route qu'ils étaient espagnols, langue que je connais suffisamment peu pour nous amener à discuter en Anglais.
Arrivés à leur voiture, nous leur expliquâmes que nous étions en couple, même si apparemment, ils l'avaient tous trois déjà deviné. Je discutais avec l'un des mecs, l'autre versait des verres et le danseur était accolé contre la voiture, la main fourrée entre les jambes de ma belle ; elle ne décollait pas son regard du mien, et je pouvais lire le trouble dans ses yeux ; je voyais aussi que l'alcool la désinhibait, la rendait plus sure d'elle.
Ce qui devait arriver arriva : le danseur sortit sa queue (de belle taille le salaud) afin de se faire branler. Elle s'en saisit à pleine main et le masturba vigoureusement ; à ce moment la, je ne sais pas ce qu'il me prit, mais je m'approchai d'elle et relevai d'un cou sa robe jusqu'au nombril, exposant ainsi son sexe épilé à la vue de tous ; je crus qu'elle allait jouir de surprise tant cela l'excita.
L'enchainement des mains parcourant son corps reprit de plus belle : l'un explorait sa chatte de plusieurs doigts avides, l'autre s'attelait à assouplir son petit trou. Le danseur essaya de l'embrasser mais elle se détourna ; cela me fit terriblement plaisir, car elle me prouvait ainsi d'un simple geste que c'était toujours "notre" histoire, purement sexuelle ; elle les prévint d'ailleurs que personne ne la pénètrerait. Je me penchai et l'embrassai longuement, jusqu'au vertige ; un beau baiser ; chargé d'amour.
Elle me fit un clin d'œil, s'abaissa et sortit les deux autres queues pour les masturber ; plus rien n'existait alentours ! Elle était accroupie jambes écartées, le sexe à l'air avec deux verges au niveau du visage. Le danseur lui, continuait de doigter sa petite chatte ; il en retira ses doigts et lui fourra dans la bouche en lâchant quelque-chose en espagnol à ses amis. Ils rirent tous les trois avant de me traduire "cette meuf est vraiment une chienne !" Je ne pouvais qu'acquiescer, me demandant comment j'aurais réagi si m'étais trouvé à leur place...
Elle me fit alors craquer : toute souriante de cette inattendue considération, elle enfonça une des deux queues au fond de sa gorge, jusqu'a s'étrangler. D'autres personnes s'étaient arrêtées - d'ailleurs plusieurs filles curieuses également - et suivaient la situation avec autant d'intérêt que d'étonnement.
Je sortis tout de même mon sexe, mais en restant toujours de coté ; spectateur. Mon bas-ventre était bouillonnant d'excitation.
Visiblement, notre danseur intrépide n'en pouvait plus ; il lâcha un peu sa chatte pour se relever et s'astiquer frénétiquement devant son visage ; elle me regarda pour demander la permission, prit sa bite en bouche et l'amena à l'orgasme ; il émit un râle sourd et se vida plus que raisonnablement dans la bouche de ma "chaude moitié" ; le travail de doigt entrepris par l'un des compères porta apparemment ses fruits car elle jouit au même moment, laissant échapper un flot de sperme épais de ses lèvres.
Fatiguée ? Pensez- vous ! Elle passa instantanément à la queue d'à coté, puis à l'autre, se les passant ainsi à coups de langue. Elle semblait en transe ! Le second ne fut pas long à venir et lui gicla de longs traits de semence au travers du visage ; il la prit par les cheveux et lui fit nettoyer sa queue ; de la sueur l perlait de partout sur le visage. Le dernier fut un peu plus long : il déboutonna le haut de sa robe afin de sortir ses seins et s'enfonça à nouveau dans sa bouche, jouant avec son bassin afin de lui faire avaler sa queue le plus profondément possible, puis la sortit de nouveau afin de lui enfoncer ses couilles dans la bouche ; il jouit la bite contre son front, laissant le tout couler doucement sur son visage.
Ma belle se releva, visiblement encore avide de sexe, car elle ne se recouvrit même pas ; elle était maculée de sperme : il y en avait partout sur son visage, ses cheveux, sa belle robe... Nos discutâmes quelques minutes ; ils voulurent nous donner leur mail mais nous déclinâmes l'offre, n'y trouvant aucun intérêt. En me retournant, je vis qu'en autre mec s'était approché et commençait à peloter ma cochonne qui était en train de se revêtir. Nous décidâmes donc de partir au plus vite.
Quelques mètres plus loin, elle me regarda et me lança : "cap?" mais "de quoi?". Cette sacrée petite perverse visiblement chauffée à blanc me proposa.........de retourner dans la boite sans se nettoyer ! La pensée de la voir à l'intérieur encore maculée du jus de ces inconnus sous le regard des autres m'excita de plus belle. Elle laissa son décolleté largement ouvert et nous retournâmes à l'intérieur ; il était à peine 5 heures et la boite ne fermait que deux heures plus tard.
L'effet ne se fit pas attendre : les mecs ne la lâchaient pas du regard, se demandant si ce qu'ils voyaient était bien ce qu'il pensait être.
Cette fois la, nous restâmes à deux à danser :
_ Au bout de cinq minutes, j’avais à nouveau relevé sa robe, découvrant son petit cul de moitié.
_ Au bout de quinze minutes un bon groupe d'hommes s'était agglutiné autour de nous, attendant sans doute une ouverture.
_ Au bout de vingt, un nouveau loustic commençait à la coller.
Je n'en croyais pas mes yeux : nous qu'y n'avions jamais abordé réellement la possibilité d'un tel plan, nous retrouvions au beau milieu de la foule, assaillis de tous cotés, ma belle affichant sur elle comme un trophée le plaisir de ces trois hommes. Cette pensée m'a fait me rendre compte de la valeur de notre complicité, de l'importance de la connaissance de l'autre, car l'alcool aidant, nous aurions facilement pu dépasser des limites mal fixées, mal comprises.
Nous avons eu envie de nous retrouver à deux ; nous avions d'ailleurs totalement oublié nos amis !
Nous sommes donc repartis à notre voiture, bien décidés à "se finir ça à deux".
Nous nous sommes installés à l'arrière, sur la banquette ; sa robe a disparu et elle s'est retrouvée entièrement nue ; j'aime beaucoup la voir ainsi nue alors que je n'ai même pas retiré un seul vêtement. Je lui ai profondément léché la chatte ; elle était trempée comme jamais. En me relevant, j'ai vu un, puis deux visages à la fenêtre qui nous regardaient ; je reconnus notre inconnu qui avait tenté de se faufiler après les trois espagnols lorsque nous étions encore à leur voiture. Nous nous sommes regardés : "rebelote ?"
Elle s'est mise face à la fenêtre, porte fermée, afin de se masturber face à eux, les jambes largement écartées.
Je sortis de la voiture, m'allumai une cigarette et fit le tour afin de leur parler. Ceux ci étaient français cette fois ; je leur demandai si ce qu’ils voyaient leur plaisait ; ils me répondirent que oui ; puis je leur proposai de la toucher à leur tour. Vue leurs têtes, je ne pensais pas qu'ils allaient refuser.
Je fis signe à ma chérie qui s'empressa d'ouvrir la portière afin de s'assoir les jambes à l'extérieur ; elle était à peine installée que le plus jeune des deux plongeait la tête entre ses jambes. L'autre, qui devait bien avoir la cinquantaine bien pesée, se mit à lui toucher les seins en se masturbant ; je pouvais sentir que son sexe dégageait une forte odeur d'urine ; je pensais qu'elle allait refuser sa verge en bouche mais il n'en fut rien : elle la prit et la nettoya consciencieusement, aspirant le gland violet entre ses lèvres pincées.
Celui qui s'affairait sur sa chatte se releva mais cette fois ci, elle le finit rapidement à la main. Le cinquantenaire ne cessait de marmonner, la traitant de "petite pute", de "garage à bites". Il n'avait toujours pas joui ; je voyais sur le visage de ma chérie l'envie de faire durer encore un peu cette expérience qui ne se reproduirait peut-être jamais.
Et pour la dernière fois de la soirée, elle prit une initiative dont je ne l'aurais crue capable : le plus vieux avait fait une pause, ne pouvant apparemment jouir sans uriner au préalable ; elle se leva de la voiture, passa devant lui qui s'était posté à quelques mètres et lui demanda.....de lui uriner dessus ! C'est une pratique que nous avions déjà essayé, mais dans l'intimité de notre salle de bain ; la, elle passait des étapes à la volée !
Elle m'expliqua plus tard que le sentiment d'avoir été utilisée, voire souillée et bien-sur dominée, avait été l'élément déclencheur de cette situation ; la connaissant, je ne m'inquiétais pas pour elle, l'ayant toujours admirée pour sa capacité à assumer ses propres perversions, comme des éléments fondateurs de sa personnalité.
Elle se posta à genou à ses pieds, le fixant comme si tout dépendait de lui. Il fallut quelques instants à l'homme pour digérer cette proposition pour le moins inattendue ; le plus jeune me fixait comme si il était évident que j'allais bondir pour tout arrêter. Je n'en fis rien.
Le vieux ne tarda à se rasséréner, se décalotta et commença à se lâcher sur elle ; partout. Dans ses yeux, ses cheveux... Son aplomb m'impressionnait ; elle se tourna légèrement et me fixa d'un air de défiance ; je me serais cru dans Sexus d'henry Miller. Plus rien ne pouvait m'étonner ; je me rallumai une nouvelle cigarette et commençait lentement à extraire ma queue ; je vis le plus jeune se positionner et commencer lui aussi à l'asperger d'urine ; elle affrontait le jet bouche grande ouverte, toujours entièrement nue.
J'avais tout de même l'appréhension de tomber sur une bande de mecs stupides avec qui la situation aurait pu dégénérer ; pourtant je ne pouvais me détacher de son regard brouillé qui traduisait l'intense état d'excitation dans lequel elle se trouvait ; ce fut presque avec soulagement que je vis que derrière nous, nos amis espagnols nous avaient retrouvés. Je ne sais pas depuis combien de temps ils étaient là, mais à en croire leurs mines hallucinées, cela faisait suffisamment longtemps !
"Do you wanna use her ?" Cette phrase est presque sortie naturellement ; je me faisais l'effet d'un maître dominateur dans son dongeon ; c'était pourtant bien elle qui gérait la situation, qui déterminait les règles.
Notre ami danseur n'a pas hésité longtemps : il s'est avancé et a à son tour "ouvert les vannes".
Ma belle dégageait une incroyable impression de sensualité ; elle se caressait le corps en recevant cet improbable breuvage comme une offrande, laissant déborder lorsque sa bouche était pleine, mais aussi - je l'ai su plus tard - en en avalant une bonne partie. J'avais l'impression que paradoxalement, elle inspirait le respect à ces hommes qui la souillaient à tour de rôle.
Il fallut que je motive un peu les deux Espagnols restants, cette pratique les laissant apparemment dubitatifs ; je leur promis donc une autre pipe, leur faisant comprendre que leur plaisir m'importait peu, mais que je souhaitais lui donner ce qu'elle voulait ; il n'y avait qu'elle d'importante ; ces hommes n'étaient que les pions d'un jeu dont je découvrais moi aussi les règles.
Le suivant n'avait pas du aller aux toilettes de la soirée et l'arrosa longtemps, suivi de son ami, qui fut beaucoup plus modeste. Elle gémissait doucement en se touchant le clitoris, les jambes et les genoux souillés de terre ; le vieux la tripotait frénétiquement insinuant ses doigts partout ou il pouvait, continuant son monologue d'insanités. Il se releva d'un coup et jouit enfin dans sa bouche qu'il maintenait ouverte, s'essuya dans ses cheveux et partit sans un mot.
Je vis alors de loin que la boite fermait, ce qui voulait dire parking bondé dans les instants qui venaient ; tant pis pour la fellation promotionnelle des espagnols.
J'aidai ma belle à se relever et sans même remettre sa robe, nous partîmes de suite, peu désireux de rejoindre nos amis. Nous nous embrassâmes à nouveau, échangeant sans un mot un long regard équivoque.

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