La grosse surpise de Kader

- Par l'auteur HDS Loulou37 -
Récit érotique écrit par Loulou37 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La grosse surpise de Kader Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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La grosse surpise de Kader
Mardi soir… Kader a appelé, il ne sera pas disponible demain.
Mais il laissera à la boutique de Christophe, la grosse surprise qu’il avait promis de me rapporter du Maroc. Il m’ordonne donc d’aller passer mon mercredi après-midi dans le sex-shop. La nuit passe très lentement, je ne dors pas beaucoup et je pense à ce qu’il m’a dit. Que m’a-t-il réservé encore, pour mon escalade dans la perversité ? Je prends le train à 11 heures et à midi trente, je suis devant la caisse du sex-shop. Je n’ai pas reçu de consignes vestimentaires particulières et je comprends vite pourquoi. Christophe, souriant, me dit que mon cadeau m’attend dans la cabine d’essayage. J’y trouve un corset en cuir, modèle seins à l’air, couvert de chaînettes argentées. Il est très chouette mais il n’y a pas de dessous qui vont avec.
Christophe me rejoint et me dit que ce ne sera pas nécessaire.
Il me fait découvrir alors le reste de l’attirail, un collier cuir avec une laisse, et un œuf vibrant à télécommande. Celui-ci parait fun car il est d’un bon diamètre, de couleur noir et en forme de munition, comme une balle. Christophe m’explique alors que les ordres de Kader sont de mettre les effets et de descendre la chienne (moi en l’occurrence) purger les mâles. Il ajoute que j’ai de la chance car pour l’instant il n’y a pas trop de fréquentation. Une fois équipée, Christophe me fait ressentir les différents effets du vibrateurs a distance .Sa télécommande à jouir, comme il dit. Une fois le magasin vidé de ces badauds, il me fait sortir et traverser le sex-shop. A mon grand étonnement, il saisit alors la laisse, me frappe sur les fesses et me dit :
-« A quatre pattes chienne ! »
Incrédule, je le regarde mais d’autres claques se mettent à pleuvoir. La dernière claque sur les fesses, plus sèche me décide enfin à me mettre à quatre pattes. On descend alors les escaliers menant au sous-sol, là où se trouvent les cabines de projection. Il décroche la laisse de mon collier et me fait avancer ainsi dans le couloir sombre. De la lumière filtre de cabines dont les portes sont entrebâillées. Christophe me précède. Il ouvre la première porte, discute un instant avec le type dans la cabine puis se rend vers les autres portes ouvertes et répète le même scénario. Moi, j’attends, toujours à quatre pattes dans le couloir. Le contact des chaînettes du corset sur mes seins me fait un peu frissonner. Les fesses à l’air, l’œuf vibrant planté dans la moule, je ne sais quel plan Kader et Christophe ont encore échafaudé pour moi. Mais cela m’excite, un pas de plus à franchir…mon entrejambe est déjà humide. Christophe reviens du fond du couloir, je l’entends dire distinctement : « Je vous préviens, personne ne la baisera, c’est un vide-couille, vous pouvez juste lui balancer votre purée dans la bouche. Cà vous évitera de souiller les cabines… ». Il passe à côté de moi. La main dans la poche, il a déclenché discrètement la télécommande de l’œuf vibrant. Aussitôt une sensation très agréable envahit mon intimité. Je suis gratifiée d’une dernière claque sonore sur les fesses, il se baisse, prend possession de ma bouche avec sa langue pour une longue pelle, puis me regarde dans les yeux et me dit : « allez ma grande, entre et fais leur du bien, tu dois tout bien lécher comme une bonne chienne. Il ouvre la cabine numéro un en grand, et je pénètre à quatre pattes. Sur un fauteuil style salon de jardin, un gars plutôt grassouillet s’astique en regardant un film bisexuel. Sans me regarder, il me saisit par mon collier et me place devant lui, fesses face à son entrejambe. Il continue de se branler et de la main gauche et sans préparation me fourre son pouce dans le cul. J’ai un peu peur que tout cela ne dérape mais les consignes de Christophe ont été formelles, j’ai confiance en lui, il se fera respecter s’il y avait un souci. Le gars, ne me regarde pas. Moi, devant lui, j’ai le nez à quelques centimètres de l’écran, je peux voir des traces de sperme séchées provenant d’éjaculations précédentes, c’est assez glauque. Le gars commence à me titiller la chatte, mais il se rend compte de la présence de l’œuf et n’insiste pas. Les douces vibrations m’émoustillent peu à peu et je commence à faire onduler légèrement mon bassin. Au bout de quelques minutes, le type se lève et jouit contre l’écran en criant. Il me met le nez sur son jus et me dis :
-« allez, nettoie bien tout avec ta langue, salope ! »
Je commence timidement à lécher l’écran du bout de la langue, mais soudain les vibrations dans mon vagin se font beaucoup plus intenses. Christophe est derrière la porte et active la télécommande. Je m’applique plus encore et sent monter la jouissance, quelle honte, mais c’est si bon. Finalement je perds le contrôle. Je lèche tout le foutre sur l’écran, la langue bien sortie, et je jouis en criant
-« ho, oui, c’est bon, encore, c’est fort, ouiiii… »
Le mec est sidéré, il me retourne et me donne son chibre à nettoyer. Je suis un peu déçue quand j’aperçois enfin celle-ci car elle est plutôt de taille moyenne. Mais je m’applique à tout nettoyer et recueille les dernières gouttes perlant de son méat.
Peu à peu les vibrations baissent en fréquences jusqu’à devenir presque imperceptibles. Cela me rassure, je sais maintenant Christophe présent et j’ai entrevu quelques flashs, il doit prendre des photos.
La fréquentation du sex-shop, n’est pas très forte et rares sont les cabines occupées. A la cabine numéro quatre, cela va plutôt vite. A peine rentrée, un type chauve fumant un cigare m’attrape par les cheveux sèchement et m’enfoncent sans ménagement sa queue dans la gorge. Il jouit tout de suite abondamment. Je n’arrive pas à déglutir et suis obligée d’avaler la plus grande partie de sa semence. Il récupère le reste sur mon menton avec un papier toilette, puis le jette dans la poubelle. Christophe me récupère et m’emmène jusqu’à la huit, dernière cabine occupée. Celle-là est plus vaste car elle peut accueillir des couples. Assis au centre, un noir de forte stature matte un film SM où une fille blonde, sur une table médicale est en train de se faire dilater la chatte par un gros gode. Le gars a un sachet blanc à côté de sa chaise et il demande tout de suite s’il peut utiliser son attirail avec moi. Christophe après avoir contrôlé le contenu de celui-ci lui fait signe de la tête, puis sort de la pièce.
Les vibrations reprennent, un peu plus fortes…
Le grand black, me place devant lui sans ménagement, il me fait ouvrir la bouche et sortir ma langue. Il se place au-dessus de moi et fait couler sa salive directement dans ma bouche. Il prend en même temps ma main et la porte sous son boubou blanc. Mes doigts fébriles enserrent une tige d’une belle largeur et remontent vers un gland de belle taille. C’est un bel engin qui me fait frémir de désir. Le type se penche et me dis à l’oreille :
-« T’aimerai et moi aussi, que je te la fourre profond dans ton cul, mais dommage, j’ai pas le droit. Alors on va utiliser çà… »
Il fouille dans le sachet puis balance devant mon nez, un plug anal avec une poire de gonflage et me dit :
-« ça te dirait cochonne, que je te dilate la rondelle ?»
Je baisse la tête et répond d’un « oui » timide.
Ma réponse l’a excité et aussitôt il se déchaîne. Il crache sur mon anus, puis après l’avoir bien lubrifié avec son pouce, me mets deux doigts dedans. Il crée le passage puis place la tête du plug et appuie dessus. Je suis surprise car celui-ci s’enfonce sans trop de difficultés, il n’y a que la partie la plus forte du diamètre qui peine un peu. Christophe a remis les
vibrations de l’œuf au maximum et le gars maintenant se place devant moi et me donne sa queue à sucer. Elle sent fort et je reconnais l’odeur, il a dû déjà jouir en se branlant auparavant.
Pendant que je lui bouffe sa tige, il appuie sur la poire du plug et peu à peu le dilate au maximum. J’ai l’intestin tellement distendu que je me demande si je ne vais pas me faire dessus.
Je comprends pourquoi Kader m’a fait faire un lavement avant de venir. Il me claque aussi les fesses de sa main libre, avec une cadence régulière. La chatte stimulée et le cul bien dilaté, je suis aux anges et m’applique pour faire jouir son gros chibre.
Je n’ai jamais sucé un noir auparavant, je trouve çà génial. Je sens sa tige se contracter mais avant qu’il ne jouisse, il dégonfle le plug et le dégage de mon œillet. J’ai soudain comme une sensation de vide mais je vois immédiatement mon africain jouir très fort sur le plug. Des gouttes tombent sur le sol. Il approche le gode, me le carre dans le bouche et me le fait nettoyer. Quand j’ai terminé, il me fait terminer ce qu’il y a sur le sol et me demande si j’ai aimé. Je lui réponds :
-« oui monsieur, surtout quand mon cul était bien dilaté et j’ai bien aimé votre jus aussi ». Il me dit alors que j’ai droit de jouir aussi parce que j’ai bien obéit. Pendant que je nettoie sa pine mollissante avec ma langue, il me met trois doigts dans mon cul bien ouvert et me branle fortement. Combiné avec les vibrations de l’œuf, l’effet est foudroyant et j’ai un bel orgasme.
Cela plait à mon compagnon de jeu. Mais la fête est finie. J’ai vidé les trois clients du sex-shop. Je remonte au rez-de-chaussée accompagné de Christophe qui me félicite :
-« Bravo, t’a été une bonne salope, plus pute que je ne pensais.
Kader sera content quand je lui montrerai tes photos »
Je vais dans la cabine d’essayage pour me changer et remet mes affaires de ville. Je n’ai plus que quinze minutes avant mon train. Christophe entre dans la cabine, sa belle bitte a la main.
Je ne peux que le branler rapidement, il reste trop peu de temps. Mais les scènes auxquelles il a assisté l’ont semble-t-il fortement excité. Au bout de quelques secondes, il me fait m’accroupir et me nappe le palais de sa liqueur. Au vu de ce que j’avale, le spectacle a dû vraiment le contenter. Je quitte prestement la boutique et j’ai juste le temps de sauter dans le train qui me ramène dans la monotonie quotidienne de mon foyer. Durant le retour. Je m’endors, des images perverses terribles mais maintenant vécues dans la tête avec un sentiment mélangé de honte et de fierté.

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