Ma femme et mon pote complices ? (2)

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme et mon pote complices ? (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme et mon pote complices ? (2)
Résumé. Après m’avoir avoué qu’elle avait eu une aventure sans fin avec un de mes anciens potes, je les remets en contact et je me sers de Chantal pour obtenir des sous pour ma boite.


Le lendemain midi René me donne l’adresse du restaurant qu’il a retenu. Je le connais très bien sur les Champs. Il comporte des compartiments imitant les vieux wagons de chemin de fer. Ces boxes sont surélevés et une lumière tamisée rend les endroits plutôt discrets.
- « Notre sponsor est ravi. Il faut dire que je lui ai fait une description du tonnerre de ta femme, me lance-t-il rigolard. J’ai même laissé entendre qu’elle serait bien conciliante… tu vois ce que je veux dire ! ».
A ces mots, je suis pris d’une panique qui me tord le ventre et me fait mal. Il avait carrément vendu le « produit ». Je suis sur le point de tout annuler quand il me lance :- « Au fait prépare avec soin ton dossier et n’hésite pas à allonger la sauce. Je le sens déjà conquis ».
Les bras m’en tombent et je m’entends lui dire :- « OK René, mais je te demande d’être prudent et patient avec Chantal. Elle n’est pas facile et je ne contrôle pas toutes ses réactions».
- « Ecoute mon vieux, démerde toi, c’est ta chance. Il faut que ta petite femme soit compréhensive. Et puis, ne t’inquiète pas. Je sais y faire. Elles sont toutes farouches au début et très vite tu te rends compte qu’elles sont partantes. Et puis on ne va pas lui demander la lune. Simplement d’être agréable avec ton sponsor jusqu’à lui faire croire qu’il est le plus beau et que son charme est irrésistible. Je suis sûr qu’il saura se tenir».
Je suis très inquiet. Pas tellement pour le japonais, mais pour mon pote. Je me rappelle sa rencontre avec ma femme et ce qu’il en est advenu. Lui, sait et il doit rigoler en son fort intérieur. D’ignorer que je suis au courant et qu’il m’a fait cocu doit le réjouir en ce moment.
Mais il y a ce gros paquet de dollars qui me tends la main…Dans l’après midi, j’appelle à la maison pour tâter le terrain. Chantal n’est pas là.
Une heure après elle m’annonce qu’elle est allée chez le coiffeur.
- « Tu t’es faite belle pour ce soir ».
- « C’est ce que tu veux non ? Je la sens détendue, amusée ».
- « Je t’aime, tu es adorable. Qu’est-ce que tu mets pour le restau ? ».
- « J’sais pas ! ».
- « Ta petite jupe noire, flottante avec ton petit chemisier bleu, transparent. Les poches au niveau de la poitrine cachent tes seins. Il est très sage et en même temps très sexy. Fait-moi plaisir. Avec des bas noirs, Dim Up et une petite culotte noire flottante aux cuisses, comme je les aime ». Tout en parlant, je sentais mon sexe gonfler.
- « T’es chiant… Tu verras bien. Tu passes me chercher ? ».
- « Bien sûr vers 20 Heures. On y va en taxi. Bises ma petite femme ».
J’étais comme tétanisé d’excitation. Ma bite bandait comme du bois et me faisait mal, serrée dans mon pantalon. J’avais bien conscience de jouer avec le feu mais je savais que Chantal saurait mieux que moi contrôler la situation. Et la faire même malheureusement dégénérer.
Quand j’arrive à la maison, elle est bien habillée comme je le lui ai demandé. La petite jupe noire flottante qui lui arrive un peu au dessus des genoux, des bas noirs et de petits escarpins à talons hauts allongent ses jambes : sexy mais pas vulgaire. Ses cheveux bouclés lui tombent sur les épaules, elle s’est maquillée discrètement. Elle porte de larges boucles d’oreille en or et un collier africain qui suspend un large médaillon dans le creux entre ses seins, juste au dessus du premier bouton qui ferme le chemisier. Elle n'a pas mis de soutien gorge : une première. Je suis fou de joie. Son long manteau noir allonge sa silhouette, une écharpe bleue autour du cou. Elle est ravissante et je ne peux m’empêcher de penser que je l’emmène au loup.
Et très vite une pointe de jalousie me submerge. Pour qui avait-elle fait cela ?
- « Tu es superbe ! C’est pour René ? » Elle me sourit.
- « T’est complètement fêlé, mon pauvre bonhomme. Je fais cela pour te faire plaisir et j’espère que ton pote me fichera la paix ». Cette phrase me rassure.
Je la prends dans mes bras et lui roule une pelle d’enfer.
- « J’aimerais bien que tu t’habilles toujours comme ça ».
- « On verra » répondis-elle en attrapant ma main au creux de la sienne comme le taxi arrive.
Le restaurant est bien rempli. Nous retrouvons nos compères dans un boxe un peu à l’écart. Voulu ? Je suis sur mes gardes.
On se salue et quand Chantal enlève son manteau, je saisis le regard du sumo qui se fixe sur le corps qui se découvre devant lui. Tout autour plusieurs hommes se détournent également pour regarder. Elle est vraiment belle.
René, prenant l’initiative, place Chantal à sa gauche au fond du boxe (au passage il jette un regard dans le décolleté, le salaud), son gros japonais en face. Ce dernier ne quitte pas Chantal des yeux, tellement que s'en est gênant. Elle ne dit rien.
Rêne lui est tout sucre, presque mielleux. Son aventure passée avec ma femme l’a peut-être affecté, et face à elle de nouveau il se sent un peu « merdeux » ?
En tous cas il semble très intimidé et peu volubile. Cela me rassure. C’est peut-être la présence de Tsu LI qui le bloque.
Le repas est très agréable. Chantal ignore complètement son voisin pour parler en anglais avec son vis à vis. Elle montre des signes de plaisir incontestables. René et moi on est complètement hors circuit.
C’est lui qui commande les boissons et là je retrouve ses propos et ses objectifs. Je le soupçonne de vouloir bourrer Chantal pour la rendre plus disponible à notre entreprise. Je laisse faire car j’y ai mon intérêt tout en sachant bien que je contrôle la situation. Un apéritif, une bouteille à quatre puis une autre et enfin, à Paris, la bouteille de champagne. On est tous un peu gais. Chantal a bien vu le jeu de son voisin, mais elle n’a pas refusé un seul verre. Très vite, ses yeux brillent et ses rires deviennent spontanés. Elle est radieusement belle. J’ai l’impression qu’on ne voit qu’elle dans le restaurant !
A un moment pourtant je crois voir René mettre un cachet dans son verre devant elle. Je crois aussi voir qu’elle a vu son geste. Je n’y prête guère attention car je n’en suis pas sûr.
Plusieurs fois, il tente de s'approcher d'elle et de lui faire la coure. Chantal reste à distance.
On en vient à aborder le problème du financement. Et là, à mon grand étonnement, c’est René qui défend ma position. Chantal reste un peu en retrait même si elle a compris que son rôle est déterminant à ce moment de la conversation.
Je la sens un peu fatiguée et un peu saoule. Le japonais devant elle la fixe toujours tout en écoutant le plaidoyer pour mon entreprise. Il semble attendre. Quoi ?
Il est bientôt 1 heure du matin. Le restaurant s'est bien vidé. On ne voit plus personne autour de nous. Soudain ma petite femme ferme les yeux une fois puis deux. Elle est presque à s'endormir. René la surveille à son tour...
Sa tête lourde, part en arrière et vient se poser sur le dossier de la banquette derrière elle. Dans cette position, elle ne voit pas que sa poitrine projetée en avant fait ressortir la rondeur de ses seins. Son voisin d'en face mate. Les pochettes sur le devant du chemisier, juste en regard des pointes des seins, laissent deviner la pointe des tétons. Le tableau est très sensuel et n'échappe à personne.
Puis sa tête glisse sur le côté et vient doucement se poser sur l'épaule de son voisin. René à cet instant s'interrompt et reste silencieux. Doucement, pour ne pas la réveiller, il passe son bras sur les épaules de Chantal et la couche contre lui. Sa main pend négligemment devant la poitrine qui se soulève lentement et régulièrement. Ma femme semble s'être endormie profondément. Tendrement, il lui caresse les cheveux, presque amoureusement. Les clients qui m’ont vu arriver avec elle ne doivent plus savoir qui l’accompagne.
L’image du cachet me revient alors. Je regarde René qui me sourit. Je comprends maintenant, il l’a droguée pour la soumettre à ses désirs et peut-être à ceux de son client. Je suis abasourdi, anéantis. Dans quel piège j’ai entraîné mon épouse ! Pourtant maintenant j'ai la certitude qu'elle a vu son geste. Je suis sur le point de tout lâcher quand l’image de ma femme endormie, dans les bras de cet homme qu’elle m’a dit haïr, m’excite. Je ne fais rien.
Dans cette position, le fin chemisier est tiraillé de côté et cette fois, les pochettes "cache seins" ne sont plus en face de ce qu'elles doivent extraire aux yeux des voyeurs.
Chantal a de très beaux seins, plantés larges à la forme et au galbe parfait. On voit bien qu'ils sont fermes.
Tsu LI, regarde, mate je devrais dire. Le tableau est très sensuel, le chemisier bleu s'est tendu et la soie ne cache plus grand chose : dans la lumière tamisée du restaurant, on aperçoit bien les pointes et le galbe des seins de ma bien aimée. Je me mets à bander comme un fou et je dois me déplacer légèrement sur mon fauteuil pour me dégager la bite enfermée dans mon slip. Mon geste n'échappe pas à mes voisins et alourdit encore la tension bien sensuelle. Le gros s'est mis à transpirer et devenir tout rouge. On reste silencieux tous les trois. Chantal est notre proie.
Au fond du café, pas loin, un serveur s'est aperçu de la scène et discrètement il lance des regards en notre direction.
René à ce moment là, laisse tomber sa main sur le vêtement et joue avec le médaillon africain. Puis, tout en douceur il défait le bouton le plus haut l’air de rien. Chantal ne réagit pas. Endormie, elle ne rend compte de rien. Elle est droguée, j’en suis sûr maintenant. Et je me rappelle qu'elle n'a pas réagit et qu’elle a dû voir le geste de René. Est-elle complice ? M'a-t-elle menti sur leur soirée passée ensemble. Je suis fou de jalousie mais cela me fait bander!
Comme rassuré de sa passivité, il se tourne vers elle et déboutonne avec sa main droite un second, puis le troisième bouton, au niveau du nombril. Le chemisier s’ouvre tout seul, laissant apparaître un sein blanc surmonté de son téton.
Tout en faisant cela lentement, René regarde tour à tour la poitrine qu’il dénude et son client en face qui est prêt à exploser. Il écarte maintenant les pans du vêtement qu’il dégage de la ceinture découvrant la poitrine entière jusqu’au ventre, simplement vêtue du médaillon. Chantal ne bouge toujours pas, la tête toujours appuyée sur l’épaule de son voisin qui la met nue, débraillée, jusqu’à la ceinture dans ce restaurant où des clients traînent la fin de leur repas ; le serveur s’est approché et sans gêne assiste au spectacle en souriant. De temps en temps pourtant, elle tente mollement de refermer son chemisier, sans conviction. Et René est là pour se charger de le rouvrir. Cette scène est surnaturelle.
Soudain il prend un sein dans chaque main et se met à les faire danser. Il les soulève, les laisse retomber, les ballotte de droite, de gauche comme s’il jouait avec un ballon. Il les pince faisant ressortir leur pointe, les soulève et les laisse tomber pour en démontrer leur consistance, leur fermeté. Il vend « l’article » à son client. Le mouvement des seins qui vibrent est très sexy et il le sait le salaud. Elle se laisse faire, même quand il se met à les gifler doucement. Le bruit de la claque attire le regard d’un couple voisin qui mate à son tour, comme le serveur qui ne nous quitte plus des yeux.
Moi je sens que je vais exploser.
- « N’est-ce pas qu’elle a de beaux seins », dit-il s’adressant au Sumo, qui acquiesce sans attendre. Il ne s’occupe plus de moi, ayant compris que j’étais entré dans son jeu.
- « Et sa peau est douce et chaude ! » En disant cela, il emprisonne le sein près de lui qui tient en entier dans sa main.
Puis, refermant le chemisier alors qu’un groupe de clients s’approche qui avait déjà bien profité du spectacle, il ajoute : - « On va la rentrer, pour la coucher ». Il parlait de ma femme comme d'un objet, un jouet à sa merci.
Je réglais l’addition au bar, comme convenu. Il avait saisi Chantal dans ses bras par la taille, lui avait remis son manteau et la portait car elle ne semblait plus capable de se déplacer seule. Comme il n’avait pas complètement fermé le chemisier, ses seins ballottaient à la vue des derniers clients et René ne se privait pas de les exhiber en public.
Je les rejoignis sur le trottoir. Il était en train de l’embrasser sur la bouche en lui pelotant les seins. Chantal ne réagissait pas et même j’avais l’impression qu’elle lui rendait son baiser. Le Japonais n’en ratait pas une, collé derrière elle, une main sous le manteau, il devait lui peloter le cul ! Il est passé au stade du contact.
Prise en sandwich, elle se laissait faire au beau milieu du trottoir.
Un groupe de jeunes s'approchent, bruyants. René alors dégage Chantal, ouvre le manteau et leur exhibe la poitrine nue. Elle éclate de rire et essaie de se cacher. Un jeune sort du groupe, plus crâneur. Il attrape un sein et le malaxe devant ses potes hilares. René recouvre Chantal, on s'éloigne vers la station de taxi. Je suis subjugué; excité par l'exhibe de ma femme et en même temps, bouleversé face à sa conduite. Elle a l'air de collaborer à cette comédie pornographique. Se rend-t-elle compte? Est-elle complice de mon pote. Toutes ces questions me reviennent mais ce qui compte à cette minute c'est de la voir soumise comme un jouet à cet homme et son client, qui l'exhibent, la pelotent et profitent de son corps.
Dans le taxi, Chantal s'affale à côté de moi, à l'arrière, René à sa droite, le Sumo s'installe devant à côté du chauffeur.
Adossée au dossier, ma femme semble dormir. Avant même de démarrer, le chauffeur, un jeune noir sympa, modifie l'orientation de son rétro viseur. Il a flairé le bon coup. Une belle femme, presque deux heures du matin, un manteau négligemment ouvert laisse voir un chemisier qui ne cache rien. Il se prépare à mater, c'est sûr. René a repéré son jeu.
- « Elle est bien jolie notre bourgeoise », dit-il s'adressant à lui.
- « C'est bien vrai, j'en ai jamais chargé de si jolies. Elle a l'air bien docile ! ».
- « Absolument, elle est soumise à nos caprices, sauf que là elle est un peu crevée ».
En disant ça, il ouvre le manteau et le chemisier, laissant Chantal nue jusqu'à la taille pour le bon plaisir du chauffeur qui ne se prive pas de regarder dès que la conduite lui en laisse le loisir. Pour lui en offrir plus, il remonte sa jupe haut sur les cuisses pour découvrir la naissance de la petite culotte short noire. Le chauffeur se régale. Le Sumo est tourné vers nous et mate tout en lui caressant les jambes. Chantal rigole hébétée.
Arrivés, il nous propose de nous faire cadeau de la course si on lui fait cadeau de la petite culotte. René n'hésite pas, il glisse ses mains sous la jupe et retire la culotte. Chantal lève ses fesses pour aider à sa démarche. René lui écarte les jambes pour exposer aux regards du chauffeur et du japonais, le triangle brun au sommet des cuisses gainées de noir. René lentement passe ses doigts dans les poils noirs du pubis pour les lisser. Il les écarte pour faire apparaître les petites lèvres roses De deux doigts il exerce une petite pression pour les faire s'ouvrir et exhiber l'intérieur rouge sang d’où sort une goutte de liquide brillant. Elle mouille ! Chantal se laisse faire, les yeux fermés, sans aucune gêne apparente. Je ne reconnais plus ma femme. Puis, théâtral, il tend la culotte au chauffeur qui la place rapidement dans sa poche après l'avoir portée à ses narines pour en humer l'odeur.
On le laisse et tous les quatre on monte chez René qui a décidé de coucher la chez lui. Je n'ai plus aucune volonté. Je complètement fou d'excitation. Le comportement de Chantal m'encourage car je la sens d'accord pour tout ce qui lui arrive ce soir.
(à suivre)

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