Tout ça en Tranches - (Une suite) ...

- Par l'auteur HDS Patrick harvey bagatha -
Auteur homme.
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Récit libertin : Tout ça en Tranches - (Une suite) ... Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tout ça en Tranches - (Une suite) ...
Quand c’est fait, pour moi, c’est réellement terminé et j’ai très rarement le désir de remettre le couvert, comme ceux qui ne débandent jamais et sont nés le zob à la main, pour une gourmandise toujours bonne à resservir.

Je n’ai de prétention qu’à la spontanéité consentie et partagée, sans arrières pensées.

Mes appétits sont raisonnables et suis vite rassasié quand je les ai foutus, bien ou mal, la nécessité de parfaire le chantier ne m’étant jamais venu à l’idée.

Les garçons entrent, se dessapent de leurs fringues recherchées et voulues aussi voyantes que de la dernière mode, pliées avec soin sur les fauteuils de la terrasse, avant la glisse dans l’eau mousseuse.

Une fois protégés des regards par les tourbillons du bassin, ils ôtent leur maillot et le font remonter à la surface du bout des pieds pour attirer mon intérêt et témoigner de leur disponibilité.

Les sensations de cette nudité, même cachée sous les jets, les affriolent et les excitent à la fois, à en juger à leurs trémoussements et réflexions.

Les émois présents président même, quand ils sont en groupe, à d’autres rendez-vous plus intimes qu’ils concoctent et me proposeront, dés que nous serons en tête à tête ou isolés.

Mohamed ainsi, venant en fin de matinée avec Radouan, à l’occasion d’une course dans le quartier, demande si la baignade est possible et j’acquiesce.

Radouan part dans la salle de bain pour prendre une douche et nous nous retrouvons seuls dans le salon.

Il se déshabille aussitôt avec une dextérité empressée pour, nu, le sexe érigé sans pudeur, se précipiter vers moi et me proposer de « m’aimer ».

Je fais la moue dubitative du mec pas intéressé ni motivé et rigole de sa petite prétention, mais loin de le désarçonner, nullement démonté, il se propose justement de me la faire déguster.

Je décline l’offre si directe pour lui rappeler, qu’ici, c’est moi qui nique et qu’il a bien peu de chance de réaliser son action sur mon petit cul serré.

Nullement embarrassé il poursuit sa négociation et, tout en me déshabillant fébrilement, convient que je le baiserai en premier si je lui permets d’essayer après.

Il se vante d’avoir déjà séduit des touristes embarqués à la pêche lesquels se sont félicités de s’être laissé baiser.

Je ne trouve pas cela étrange et le regarde baisser mon maillot pour réveiller ma bitte qui y dort bien, à cette heure où ce menu ne s’était pas envisagé.

Il la soupèse, la triture, l’étire, la décalotte, s’amuse à en tâter l’extrémité qu’il ranime de petits pincements.

Il colle sa bouche à la mienne et salive chaudement, à pleines lèvres, dans un fougueux jeu de langues où je serais débutant et lui l’expert.

Sa dextérité évidente à me tenir contre lui d’une main ferme décidée et de l’autre, à se glisser sous mes couilles pour les enrouler, les enfermer de délicates poignées de main, les écarter pour aller derrière, tâter le trou qui se serre, m’a vite conquis.

Je me laisse faire, tant il y met du bon cœur à l’œuvre et ne regrette, nullement, ce traitement déterminé.

Quand je bande suffisamment, je pèse sur ses épaules et tente de le pencher vers mon gland durci, afin qu’il me suce enfin et termine mon embrasement.

Il rechigne, fait mine de résister à se tourner et à se plier en deux sur la table, contre laquelle nous nous sommes adossés et sur laquelle je le pousse.

Mon sexe bien en main, il y salive des jets abondants et, grimpant sur son bord, gagne les centimètres manquant pour chercher à s’y asseoir dessus.

Jambes écartées, soulevé, il se plante lentement sur mon gland avec un ronflement rauque, terminé en plainte gémissante, dans un ballet de jambes affolées qui battent l’air et l’enfonce plus sûrement.

Quand il touche enfin le tapis, je n’en peux plus d’attendre et mon sexe, douloureusement entrepris, se soulage avec débordement.

Affalé sur la table, cassé, il reprend son souffle en pleurnichant et en flattant mes cuisses de caresses.

Je ne peux même pas m’extirper tant il est figé sur mon sexe encore raide qui le remplit planté là.

Il me faut le soulever de sur la table, fléchir mes jambes pour me dégager, soudés que nous sommes, moi à attendre qu’il reprenne ses esprits et se relaxe assez le tube, pour me délivrer.

En le ceinturant je tâte son sexe, en pleine érection et baveux, qui mouille ma main et dépose ses perles d’excrétions sur la table, en témoignant de son excitation plus que jamais opérationnelle.

Il reprend lentement son souffle, accoudé et ouvert écartelé, mais persistant à obtenir son objectif, me presse de me sortir pour me baiser à son tour.

A regrets, tant je suis bien, je le laisse chier ma bitte ramollie, me retourne, lui offre ce qu’il attend, en le guidant de deux doigts pour qu’il ne s’égare pas à perdre du temps dans l’entre jambes.

Il me pousse contre la table, me courbe comme je lui ai montré tout à l’heure, m’écarte les chevilles de la pointe d’un pied, jusqu’à me mettre la raie à sa bonne hauteur.

Il crache des jets abondants de salive, s’enduit avec soin tout le gland, dans les moindres replis et la hampe jusqu’aux couilles, pour se glisser en moi avec la déterminée conviction de me satisfaire.

Positionné dans le contre bas de mon entrejambe, je sens son gland explorer ma raie avec douceur et lenteur, s’y frotter en allées et venues tandis qu’il donne des petites tapes sur les côtés de mes fesses.

Ce bruit paraît l’en exciter d’avantage et s’il s’arrête à l’orifice, le tâte encore et le sonde de légères poussées, mais sans jamais encore oser pénétrer, comme si ces préliminaires lui étaient nécessaires pour mieux retarder son moment de satisfaction.

Son souffle accéléré et lui, allongé sur mon dos qu’il lèche et mordille, avec des manières qui m’empêcheraient de bander si j’étais appelé à l’œuvre d’une enculade, accélère ses pressions pour, dans un petit cri, me pénétrer de coups secs de ses reins.

Je le sens à peine, mais le perçois éjaculer dans les sursauts de ses cuisses monopolisées à l’action, sur la pointe de ses pieds tendus, pour mieux rester fiché en place jusqu’à la débandade finale.

Repu, les jambes dégoulinantes de mon foutre qui lui coule du cul, il m’embrasse fougueusement avant de m’entrainer vers la salle de bain.

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