L'humiliation continue

- Par l'auteur HDS Pour le plaisir -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'humiliation continue Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'humiliation continue
Voici la suite de mon histoire ...
J'espérais que tout s'arrête mais depuis la pose de menottes aux poignets la situation devenait très stressante. La police décidait de m'emmener au commissariat. Trois des 4 voitures de flics partaient et je restais donc avec 4 flics du 4ième véhicule. Les ouvriers étaient repartis au travail tout goguenards et moi j'étais penaud en short très court, sans slip avec mon polar étant donné le froid qui régnait en cette matinée ... Je ne savais pas quoi penser. Comment sortir de ce cauchemar ... Et mon boulot, j'allais être en retard. Quelles explications trouverai-je ? Je ne sais si vous avez déjà eu des menottes aux poignets mais l'équilibre est chamboulé et c'est terriblement inconfortable. Un des flics au crane rasé d'une bonne quarantaine me dit « en voiture » et appuie sur ma tête pour que je pénètre dans la voiture. Je me retrouve donc assis très inconfortablement avec les mains dans dos entre deux flics. L'autre est plus jeune. Cheveux court. Regard froid. Je demande pour qu'on me retire les menottes. Je ne vais pas m'enfuir. Cela m'est refusé. La voiture démarre. Le jeune regarde droit devant lui mais l’autre flic regarde vers mon entre jambe. Je m'en étonne, baisse le regard vers mon short et je vois un bout de queue qui dépasse. Je ne bande pas et je n’ai pas une queue particulièrement longue mais en me contorsionnant pour rentrer dans le véhicule j'ai du faire un mouvement qui a fait tourner le short et l'échancrure s'est déplacée un peu vers le devant ! Je rougis ... Je demande au flic s'il peut me retirer les menottes afin que je remette correctement le short. Le flic refuse. Je supplie. Il demande alors à l'autre de l'aider pour ne pas déchirer le short. L'autre glisse une main sous mes fesses pour les soulever. Je sens la pression de son majeur sur mon trou. Le salaud il fait semblant de rien mais je sens bien qu'il tente un doigtage ! Pendant ce temps le gars de la quarantaine, effleure mon sexe pour tourner le short qui reste coincé à cause du doigtage de l'autre à travers le tissu ! Cette situation surréaliste provoque en moi un début d'érection bien contre mon gré. Le plus jeune retire sa main de sous mes fesses pour la remettre mais cette fois sous le short. Sa main est chaude et son majeur trouve directement ma rondelle humide et la pénètre d'au moins une phalange. Le plus âgé peut enfin bouger mon short mais ma bite a doublé de volume sans pour autant que je bande dur... Je me concentre de toutes mes forces pour empêcher ce phénomène. Le vieux dit alors à son collègue qu'ils ont trouvé là une vraie salope. Je baisse les yeux. L'autre ne dit rien. Il a reprit son attitude froide et lointaine. Les salauds, les yeux baissés je peux m'apercevoir qu'ils sont tous les deux un peu plus à l'étroit dans leur pantalon qu'il y a 2 minutes. Mais que puis je dire ? Enfin arrivé au commissariat. Il y a peu de monde. Heureusement. C'est le début de la journée. Direction une salle où se trouvent 2 cellules. Je dois retirer mes chaussures et l’on me pousse dans la première cellule. La porte reste ouverte le jeune flic de la voiture reste là pour me surveiller, le plus vieux va faire son rapport au chef. Le chauffeur et le 4ième flic sont repartis, appelés par un cambriolage. Quelques flics arrivent pour prendre leur service. Pour la plupart ils m'ignorent sauf un qui interpelle mon gardien qui se nomme Charles sur sa prise du matin ... Et Charles de répondre, rien un petit exhibitionniste ... Eclats de rire, 'et y a quelque chose à voir ?' Je suis assis sur un banc dans la cellule. Je serre les jambes pour que mon short ne baille pas trop. La tête de l'autre flic passe alors en disant 'j'peux voir ?' et Charles de lui répondre fait à ton aise. Le gars, la trentaine, assez moche, il a du avoir la petite vérole car son visage est constellé de trou me regarde un peu surpris. Sans doute a-t-il plus souvent à faire à des vieux en imperméable... Mais non suis un jeune bien foutu dans un petit short de sport. Dans sa surprise il demande à son collègue comment je m'exhibais. 'Il se baladait à poils et montrait son trou de cul à des ouvriers !' Nouveaux rires 'Un pédé qui aime la bite alors ! 'Comment tu t'appelles' Je prononce alors mon nom mais le gars me dit de me lever pour me présenter. Je me lève. Je répète mon nom. Il est satisfait. Il sourit sadiquement sa main en poche commence à faire des mouvements. Le salaud, je parie qu'il se branle le sexe ! 'Bon je repasse plus tard. C'est moi qui suis de garde ce matin. Vais prendre un café'. Et il part. Je reste debout. Le commissaire vient me chercher pour la déposition. On me force à répéter ce que j'ai fait. Ils sont 3. J'ai honte ... mais pourtant plein d'images passent dans ma tête. Je les vois tous les trois se jeter sur moi pour me violer. Rien ne se passe. Le commissaire en chef dit à l'autre remets le en cellule le temps que j'appelle le procureur. Et me revoilà en cellule. Le gardien qui m'avait interpelé est là. C'est son service. Il est en manque de parlotte parce qu'il se place dans l'entrebâillement de la porte et me demande de lui raconter ce que je faisais dans le bois. Timidement et en regardant vers le sol, je lui raconte mon histoire. L'excitation de sentir le regard sur moi. Il me demande alors pourquoi des ouvriers ? Je lui réponds que je suis fortement attiré par les hommes très virils et un peu massif. A cet instant je me rends compte que je viens de décrire son physique. 175 85 kg visage de mec ! Il sourit remet sa main en poche et s'astique à nouveau sans pudeur ! A ma surprise il me demande tout de go de mimer la situation. Il veut que je lui montre ce que je faisais. Je refuse mais il se montre alors très autoritaire et menace de me garder la journée. Je ne peux qu'obéir, je me tourne alors et remonte lentement mon short entre les fesses. J'entends son souffle s'accélèrer. Il me demande de faire comme sur le chantier, de me dandiner, de me pencher en avant. Je m'exécute. Du bruit dans le couloir, j'entends un 'ok c'est bon ' et la porte de la cellule claque…

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