Voyage d'affaire

- Par l'auteur HDS Christian -
Récit érotique écrit par Christian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Voyage d'affaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2005 dans la catégorie Dominants et dominés
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Voyage d'affaire
<p>Il m’arrive de temps en temps de me rendre à Paris pour des affaires.
Je me cherche un de ces hôtels bordant le périphérique, un hôtel comme il y en a plusieurs centaines en France.
Toutes les chambres sont identiques, à l’entrée une petite salle de bain composée d’un lavabo, une douche et un wc, dans la chambre proprement dite, un lit pour deux personnes et un lit d’une personne superposé, un petit coin bureau avec une télévision suspendue au dessus.
Une chambre absolument anonyme.
L’accès de la chambre est contrôlé par un code secret… une la porte refermée, personne ne peut accéder à la chambre sans ce code.
J’avais pris une chambre puis je suis allé faire quelque course… un peu spéciale.
Dans un supermarché, j’ai acheté des rouleaux de film alimentaire étirable, des rouleaux de ruban adhésif renforcé ainsi qu’une paire de ciseau pour couper le ruban adhésif qui est absolument indéchirable.
Puis je suis retourné à ma chambre d’hôtel anonyme, protégé par le code secret.
Arrivé devant la porte, je cherche ma facture sur laquelle est inscrit le code… en vain.
“ou bien je l’ai laissée dans la chambre, ou bien je l’ai perdue” pensais-je.
Qu’a cela ne tienne, un petit effort de mémoire et puis un déclic m’indique que la porte est ouverte.
La porte se referme sur moi, je contrôle qu’elle soit bien fermée avant de m’enfermer dans la salle de bain. Je prends une bonne douche et je rase mon corps complètement, j’aime bien être parfaitement rasé de près.
Après ma douche, je me rends dans la chambre, prend un rouleau de film alimentaire et je commence par l’enrouler autour de mes bras jusqu’au poignet.
J’aime le contact du cellophane sur mon corps imberbe.
Je commence d’abord par un bras puis les épaules et enfin l’autre bras, je recommence quatre fois pour les bras et je m’applique tout particulièrement pour mes épaules et mon torse que je recouvre une dizaine de fois. Je tire autant que je le peux le film, plus le contact est étroit, plus les sensations sont agréables.
Je déchire le film et je le l’enroule autour d’un de mes pieds pour remonter ensuite le long de ma jambe le plus haut possible, je recommence l’opération plusieurs fois avant de faire la même chose avec ma deuxième jambe.
Une fois parvenu au plus haut de ma seconde cuisse, je continue autour de mes hanches et de ma taille mais rapidement seulement, le redescend le long de mes cuisses que j’enferme ensembles cette fois-ci, en serrant toujours le plus fort possible, je continue sur mes mollets pour finir enfin par mes pieds que j’emballe soigneusement le plus fort possible.
Pour consolider le tout, je passe plusieurs tours de ruban adhésif très serré autour de mes chevilles puis au dessus et en dessous de mes genoux.
J’enveloppe encore mes jambes jusqu’à ce que je film étirable forme une gaine presque rigide tellement la couche est épaisse.
Je fait la même chose avec ma taille. Je rentre mon ventre le plus possible en tirant très fort sur le film que j’étire à la limite de la rupture, un peu comme si je portais un corset.
Je remonte sur mon buste et là je vide mes poumons au maximum pour augmenter l’effet de corset, après une vingtaine de tours, mon torse est comprimé du plus que je le peux, je respire péniblement par petite bouffée.
Je pourrais arrêter là mais je passe autour de ma taille puis de mon torse plusieurs tours de ruban adhésif… en rentrant mon ventre encore plus et en vidant mes poumons encore plus fort car le film à tendance à s’allonger quand je pousse avec mon ventre ou quand je respire plus fort.
La pression sur mon ventre est au maximum… mes poumons sont tellement comprimés que ma respiration n’est plus qu’un halètement pénible.
J’ai du mal à continuer à m’empaqueter mais qu’importe, je continue jusqu’à ce que mon corps soit enfermé dans un cocon de cellophane: la couche de film étirable est tellement épaisse que j’ai du mal à bouger , le film se transforme en une armure.
Enfin je prends une bonne longueur de ruban adhésif, je contrôle que la paire de ciseaux soit à portée de main sur le bureau puis j’enroule du mieux que je le peux le ruban adhésif autour de mes poignets dans mon dos… ce n’est pas parfait mais le résultat est plus que satisfaisant: je ne peux plus libérer mes poignets de cette étreinte indéchirable.
Dommage que je ne puisse emballer mes bras le long de mon corps avec le film étirable mais qu’importe…
J’essaie de m’allonger sur le lit mais je ne peux plus me pencher en avant, j’essaie alors de contrôler ma chute sur le lit… ça y est, je gît allongé sur le lit, je rampe péniblement pour rejoindre le milieu du lit que j’atteins avec beaucoup de peine, je transpire sous le cocon de cellophane, ma respiration se fait haletante…j’ai l’impression que je vais étouffer si je dois continuer longtemps mon effort.
Je reste là allongé sans pouvoir bouger beaucoup, chaque mouvement est une torture…
Combien de temps je vais rester là allongé?
Je ne le sais pas…
J’ai chaud dans ce vêtement de cellophane, la transpiration inonde ma peau rasée.
Je suis tellement rassuré dans cette chambre fermé par un code secret que je ne cherche même pas à savoir ce qui se passerait si quelque un me découvrait comme cela, il m’arrive même de somnoler un peu mais le manque de souffle et ma taille serrée me rappelle à l’évidence.

Soudain, j’entends un cliquetis puis le bruit de la porte qui s’ouvre…
Je tire sur mes poignets… le ruban adhésif tient bon, il n’est pas renforcé pour rien.
“bon sang, si je pouvais me mettre dans un trou de souris”
J’essaie de me relever… l’effort me fait transpirer de plus bel, le souffle me manque, mon thorax écrasé par le cellophane et le ruban adhésif me fait mal.
Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longuement… des pas dans la chambre… une femme apparaît dans l’encadrement du couloir… je l’avais remarquée au supermarché à cause de son pull-over et de son jeans moulant un peu démodés mais surtout à cause de ses chaussures à talons de quelques centimètres qui claquaient sur le carrelage des allée entre les rayons… elle m’avait vu prendre les rouleaux de ruban adhésif et les mettre dans le chariot à coté des rouleaux de film d’emballage étirable.
Mais comment a-t-elle pu trouver que je suis dans un hôtel, comment a-t-elle pu trouver la chambre dans laquelle je suis et enfin comment a-t-elle pu avoir le code secret d’ouverture de la porte?
D’une voix glaciale, elle me dit “tu as perdu quelque chose” et me montre la facture de l’hôtel sur laquelle toutes les réponses à mes questions sont contenues…
Elle ne semble pas chagrinée de me voir dans cette situation, elle s’approche de moi sans dire un mot, me regarde longuement… regarde la chambre:
- les rouleaux de film d’emballage
- les rouleaux de ruban adhésif
- la paire de ciseaux
puis me demande de me lever.
Voyant que malgré mes efforts, cela ne va pas assez pour elle, elle m’aide, je me retrouve debout devant elle… je n’en mène pas large.
Elle prend un rouleau de film étirable, en déroule une bande qu’elle roule en boule… je comprends ce qu’elle veut faire…
“non… pas ça!”
Brusquement, elle me prend par les cheveux, me bascule la tête en arrière et pousse la boule de cellophane dans ma bouche… avec le rouleau, elle enrobe mon visage en tirant très fort sur le film… je suis obligé de fermer les yeux… à chaque tour, elle fait une petite ouverture sous mes narines afin que je puisse respirer. Mon nez est écrasé…
Je sens qu’elle renforce le bâillon et le bandeau de cellophane avec du ruban adhésif avant de continuer à emballer complètement ma tête avec du film étirable qu’elle étire avec beaucoup de précaution autour de mon cou. Elle écrase ma mâchoire largement ouverte à cause de la boule qu’elle à pousser de force dans ma bouche en faisant plusieurs tours avec du film cellophane entre mon menton et le sommet de ma tête, je sens la boule de cellophane que j’ai dans la bouche s’écraser entre ma langue et mon palais.
Avec le ruban adhésif elle rapproche mes coudes le plus possible.
J’essaie de protester mais cela ne sert à rien, je ne peux plus parler, je peux crier autant que je le veux, pas un son ne sort de ma gorge.
Elle continue… imperturbablement.
Elle me libère les poignets mais je ne peux même pas esquisser le moindre geste de défense.
Avec un morceau de ruban adhésif elle fixe mes poignets à mes coudes, mes mains ne sont plus le long de mon corps, elle sont remontées contre mes coudes.
Elle se saisi d’un rouleau de film étirable et le roule très serré, plus serré que je n’ai réussi à la faire, autour de mes épaules, enserre mes bras, mes coudes contre mon corps, ma respiration se fait encore plus difficile.
Elle m’emballe complètement comme j’aurais aimé pouvoir le faire, je devrais être satisfait mais un frémissement parcourt mon échine…
Elle m’emballe de nouveau de la tête aux pieds, elle vide le rouleau de cellophane.
Je suis enfermé dans une armure de cellophane, renforcé par du ruban adhésif renforcé, indéchirable et non étirable lui.
Je suis prisonnier comme j’ai toujours rêvé de l’être, mais aujourd’hui, c’est une autre sensation qui s’empare de moi, une sensation d ’impuissance, je suis prisonnier d’une inconnue.
Je sens qu’elle me fait tourner sur moi-même, elle me fait glisser dans la chambre, je perds le sens d’orientation, je ne sais plus ou est le lit… “dans quel coin de la chambre m’a-t-elle abandonné”
“à tout à l’heure” me dit-elle.
Je ne l’entends même pas s’éloigner tellement le film cellophane m’isole du reste du monde.
Je ne peux plus rien faire, seulement respirer faiblement par le trou qu’elle a laissé ouvert sous mes narines… je n’ose pas faire le moindre geste… je sais pas si je ne risque pas un accident.
Je ne peux pas appeler à l’aide, je suis bâillonné. La couche de cellophane autour de mes oreilles doit être tellement épaisse que je n’entends rien. Je ne vois rien.
Combien de temps vais-je rester comme cela?

Madame aimeriez vous être l’intervenante audacieuse de cette soirée?
Comment pensez-vous terminer cette soirée ?

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