Une invitation manquée

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une invitation manquée Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une invitation manquée
Paris le 10 janvier 2009
Une invitation manquée

Arsène

Ce que je vais te raconter est vraiment peu ordinaire. La longue amitié qui nous unit m’oblige à cette confession. Je vous avais invités, ton épouse et toi, à venir dîner et c’est l’imprévu de dernière minute qui t’a contraint à ne pas venir rejoindre ta femme chez moi qui est à l’origine de tout. J’avais aussi invité Pierre qui était accompagné d’un copain de promo François. On t’a bien attendu et après ton appel, Chantal s’est laissée convaincre de rester à dîner avec nous malgré ton absence. Pourquoi ? Cela m’a déjà surpris. Tu nous as manqué mais à vrai dire ton absence nous a bien fait plaisir à Pierre et à son copain François. Ecoute.
Après deux whiskies, Chantal est devenue un peu gaie, et même très détendue. Je ne l'avais jamais vue comme cela auparavant. Ton absence peut-être ? Mes deux potes qui l'ont tout de suite trouvée super mignonne, lui ont fait une cours assidue. Moi je restais prudent. Chantal riait beaucoup des blagues de plus en plus osées.
A table, le repas a été bien arrosé. Je t'avoue que voyant l'effet que lui faisait l'alcool, on a un peu forcé la dose. Discrètement. Au dessert, elle semblait un peu partie. Elle riait beaucoup, s'agitait beaucoup et semblait ne pas s'apercevoir des regards en coin que nous lui lancions tous les trois. A un moment François s'est levé et passant derrière elle, il a lorgné sans vergogne dans son décolleté à son insu. Il nous a alors adressé un clin d'œil complice, pouce levé, comme pour signifier que le spectacle était des plus beaux. Chantal riait sans se rendre compte. Pierre s'est levé à son tour et a fait de même, avec sans doutes plus d'insistance. Chantal ne voyait rien. Moi je n'ai pas osé mais déjà j'étais excité devant cette situation. J'ai toujours trouvé ta femme désirable! La soirée prenait une orientation incroyable !
Les conversations ont même viré vers le sexe et ta femme n'a pas semblé choquée. Moi, la connaissant je n'en revenais pas.
Alors à mon tour je me suis levé pour passer derrière elle. Je me suis arrêté et bien sûr j’ai lorgné. Dans l’échancrure du chemisier je voyais parfaitement les dentelles du soutien gorge un peu pigeonnant. Alors j’ai osé l’incroyable. Je lui ai demandé si elle ne voulait pas quitter sa veste de tailleur ! Elle s’est retournée, m’a regardé et avec un sourire coquin et complice, c’est vrai Arsène, elle a défait les boutons et je l’ai aidée à dégager le vêtement. Quand ses bras sont passés en arrière, le chemisier s’est tendu sur ses formes soulignant l’arrondi de sa poitrine.
On est passé au salon. Chantal est vraiment belle. On lorgnait tous les trois ses seins à peine cachés par son chemisier blanc. En s'asseyant dans le fauteuil très bas, elle ne s'est pas rendu compte que sa jupe remontait le long de ses cuisses laissant voir le haut de son collant. Elle était bien éméchée. A un moment, elle a fermé les yeux comme pour récupérer. Elle était comme à notre merci et sans défense. Nous on regardait sans trop oser. La femme de Arsène c'était l'inaccessible ! On a plutôt l'habitude de la voir dans le cadre austère des soirées professionnelles, intouchable, un peu hautaine mais si belle! Mais nous aussi ce soir là on était un peu gais et surtout sous le charme. Et le copain François, lui, ne te connaît pas. C'est lui qui a mis un disque à la musique lente et qui a proposé de danser.
Chantal n'a pas hésité et les yeux fermés elle s'est comme endormie dans ses bras en dansant, la tête sur son épaule. Elle n'a rien dit quand il l'a collée contre lui. Rien non plus quand il lui a passé la main sur la nuque. Puis il est descendu le long du dos, fait une halte dans le creux des reins, nous a regardé, et comme il nous a vus les yeux braqués sur elle, en haleine, il est descendu pour se poser sur la croupe. Elle s'est un peu raidie, on a eu peur mais aussitôt elle s'est détendue. Rien n'était encore sûr ! Elle a reposé sa tête sur son épaule plus par fatigue que par sensualité. Pour François, tout était clair. Il désirait cette femelle qui s'abandonnait dans ses bras.
Sa pression sur la fesse est devenue plus ferme pour l'attirer encore plus à lui. Cette fois il lui pelotait le cul ! Nous on regardait effrayés et excités. François s'est aventuré plus loin, il a osé un baiser dans le cou. Pas de réaction ! Alors sa main est remontée entraînant la jupe. Il nous dévoile les cuisses, puis les fesses moulées dans un collant recouvrant une petite culotte blanche. Et ta femme qui le laisse faire ! Elle a bien tenté un moment de lui prendre la main mais elle semblait épuisée et incapable de se défendre. Pourtant elle aurait pu encore se dérober. C'était comme si son état lui donnait le droit de s'abandonner à un phantasme qu'elle n'osait pas s'avouer. Puis, tout est allé très vite. François est gonflé. Il l'a retournée vers nous et s'est placé derrière elle pour lui caresser les seins par dessus le tissu léger. A un moment Chantal a ouvert les yeux et nous a vus face à elle : voyeurs excités les yeux rouges et brillants. Son regard s'est voilé et elle a refermé les yeux dans un signe d'abandon. A un moment un sourire est apparu sur son visage comme pour nous dire que cette situation l'amusait et qu'elle était contente pour nous. Moi je bandais comme un fou.
D'abord de voir ta femme exhibée devant moi puis devant cette situation des plus excitantes. François maintenant ne se sentait plus aucune retenue. Il dégage le chemisier de la jupe, défait un à un les boutons noirs, écarte les pans du vêtement et nous dévoile la poitrine enserrée dans un soutien gorge blanc qu'il soulève légèrement donnant aux seins un relief des plus beaux ! Il abaisse doucement le haut du tissu découvrant les tétons qu'il fait rouler tendrement entre ses doigts. Il fait tout doucement comme pour ne pas réveiller Chantal ou rompre l'envoûtement. Nous regardant il s'arrange aussi pour bien nous les montrer. On rêve. A ce moment Chantal a la tête renversée sur la poitrine de François. Elle semble aimer la caresse. Sa respiration s'est un peu accélérée. Dégageant les bretelles des épaules, notre complice abaisse maintenant le soutien gorge nous dévoilant entièrement la poitrine de ton épouse. Elle a vraiment de très jolis seins, bien dessinés et fermes. Moi je me tripote le sexe sur mon pantalon mais mon voisin Pierre a sorti sa bite et se branle lentement devant le spectacle.
Chantal ouvre les yeux. Elle parait surprise. Elle prend soudain peur et se dégage des bras qui l'enserrent. Elle se rajuste et revient s'asseoir sur son fauteuil. On se rajuste aussi. Elle ne dit pas un mot, nous regarde tour à tour. Puis s'adosse, ferme les yeux et semble méditer sur la situation. Soudain elle se redresse et elle enlève son chemisier ! On est ébahis ! Puis elle passe ses mains derrière le dos et dégrafe son soutien gorge qu'elle envoie voler au loin. Puis toujours les yeux fermés elle se laisse aller contre le dossier du fauteuil comme pour signifier qu'elle s'abandonne. On reste immobiles quelques instants; on se regarde, on la regarde. Pierre a ressorti sa bite et reprends sa lente masturbation, conscient qu'on ne risque plus rien. Mais jusqu'où aller ?
Après un instant c'est Chantal qui bouge la première. Toujours les yeux clos elle passe une main sur le côté et défait la fermeture éclair de sa jupe noire. Puis lentement, en restant sur le fauteuil mais dans un mouvement de hanche sexy, elle fait descendre le vêtement le long de ses cuisses. La jupe vole à son tour au fond de la pièce. Elle s'affale à nouveau au fond du fauteuil dans un geste d'abandon comme pour nous inviter à poursuivre. C'est Pierre qui se lève le premier, suivi presque aussitôt de François. Moi je reste à regarder sans croire mes yeux. Là devant Chantal, la femme de mon copain, presque nue et soumise aux désirs de trois mâles excités. J'ai à mon tour sorti mon sexe et je me caresse lentement. Pierre est passé derrière le fauteuil, il prends Chantal par le menton et attire son visage à lui. Il se penche vers elle et comme elle ouvre un instant les yeux, il se saisit de ses lèvres sur lesquelles il dépose tendrement un baiser. Chantal referme les yeux, sa bouche s'ouvre et sa langue m'apparaît au moment où elle pénètre la bouche de son amant. Ils échangent un long baiser. Aucune violence, du plaisir simplement. François s'est agenouillé devant le fauteuil et il est le premier à s'emparer des seins qu'il caresse lentement pour les contourner, les soupeser pour bien en apprécier la forme, la fermeté et la chaleur. Il s'attarde, contourne, revient, appuie, caresse; rien n'échappe à la paume de ses mains, à ses doigts.
Chantal gémit sous cette action conjuguée du baiser et de la caresse sur sa poitrine. Moi je n'ose accélérer ma masturbation de crainte de jouir trop vite! Le temps semble s'être arrêté. Chantal a des jambes très fines. Sous le collant, sa petite culotte protège un sexe surmonté d'un mont de Vénus bombé à souhait, comme une invitation à l'exploration. Arsène tu ne peux imaginer la magie de ce moment pour nous trois et peut-être Chantal aussi. Comme si nous étions dans un autre monde délivrés de tous nos tabous et principes. Si tu avais été là ?
Les tétons de Chantal sont maintenant fièrement dressés pour aller au devant des mains qui les caressent. Elle bombe la poitrine au devant du plaisir. Quand les mains de François quittent les seins pour descendre sur le ventre, les cuisses gainées s'écartent lentement comme pour signifier l'abandon de toute résistance et l'invitation à la caresse. François passe maintenant ses mains à l'intérieur des cuisses qu'il force à s'écarter davantage. Remontant sur le ventre, il se saisit de l'élastique du collant et prudemment, de peur d'un refus qu'il sait encore possible, il tire sur le vêtement qui commence à glisser. Alors oh merveille, Chantal soulève ses reins pour aider au dépouillement. Elle défait elle-même ses chaussures et le collant laisse apparaître des jambes nues à la peau lisse et blanche. Je n'y tiens plus et je me lève et m'approche. Chantal n'a plus que son slip sur elle. Entre ses jambes quelques poils de son sexe dépassent laissant présager la touffe velue de son pubis. Comme je les aime. Pierre derrière regarde et c'est lui qui caresse maintenant les seins. François devant a porté une main sur le sexe chaud et le caresse par dessus le fin tissu. Une tache de plaisir apparaît au travers de la blancheur du slip. Elle a du plaisir. Quand j'approche mes lèvres pour l'embrasser, Chantal, offerte déjà aux caresses de mes deux complices, ouvre les yeux et me regarde. Son regard me glace d'abord puis avec un sourire elle me passe son bras derrière la tête et c'est elle qui m'attire pour me donner le baiser dont j'ai tant souvent rêvé. Sa langue me fouille sans retenue. J'ai lâché mon sexe de peur de jouir sur elle. Je t'ai à ce moment là complètement oublié ! Quand François se saisit de l'élastique du petit slip blanc sur le côté pour faire jaillir les poils que tous on a devinés, on s'arrête tous les trois pour contempler. Puis le sexe brillant de sécrétions apparaît à la lumière. Il avance un doigt qu’il fait glisser sur les grandes lèvres humides ; il les caresse tour à tour, les écarte entrouvrant le sexe tout brillant de sécrétions. Il remonte se saisit du petit bouton qu’il se met à titiller lentement. Chantal respire plus rapidement nous signifiant combien elle aime cette caresse. Tu dois bien savoir qu’elle est si sensible du clitoris.
François a vite compris, lui, qui s’attarde sur ce petit morceau de chair tout rouge et tout luisant que l’on distingue distinctement entre les grandes lèvres écartées.
Alors brutalement comme cédant à une impulsion sauvage, François tire sur le slip qu'il enlève presque d'une seule lancée. Chantal est maintenant complètement nue entre nos bras. Livrée à nos désirs, abandonnée. Elle écarte bien ses cuisses sans plus aucune pudeur car elle sait qu'on est là à la regarder.
François se lève, recule pour mieux la voir. Pierre aussi s'est levé et il est en train de se défaire quand Chantal ouvre les yeux pour nous regarder. François se déculotte à son tour et quand il défait son caleçon, une bite énorme apparaît toute droite et dont le bout est tout luisant de ses sécrétions. Chantal le regarde longuement, puis elle se tourne vers moi et regarde mon sexe plus petit mais plus long. Celui de Pierre est plus modeste mais c'est lui qui mouille le plus. Alors ta femme, Arsène, ta propre femme, s'en saisit avec sa longue et fine main, l'approche de son visage et avec énormément de précautions elle en lèche le gland tout mouillé comme pour en faire la toilette ou en déguster la saveur du jus du plaisir. Elle passe sa langue tout autour avant de le faire pénétrer en entier dans sa bouche et de refermer ses lèvres autour, comme pour en faire un fourreau. Sous la caresse, Pierre ferme les yeux et soudain, son nez se pince, sa respiration s'accélère et en des spasmes violents il se déverse abondamment dans la bouche gourmande qui sans retenue avale la semence que l'homme vient de lui offrir comme une offrande divine.
Aux commissures des lèvres quelques gouttes perlent encore ajoutant à la sensualité du moment. Je voudrais que tu saches Arsène que tout ceci se passe sans brutalité ni vulgarité. Ta femme, merveilleuse femelle, est aux prises de trois mâles excités dont elle sait profiter pour son propre plaisir. Il y a dans cette pièce un parfum de sexe et de chaleur qui nous enivre tous. Pierre se recule repus. Il va contempler pour récupérer. C'est Chantal qui se redresse et m'attire à elle entre ses cuisses. Je m'allonge sur elle et je sens mon sexe contre son ventre. Elle se saisit de ma bite toute raide et lentement elle la conduit à l'entrée de son ventre. Elle veut se faire baiser. Elle veut se faire défoncer. Ce sont ces mots crus qui me viennent à l'esprit et inconsciemment je m'entends lui dire:
- Tu as envie de te faire enfiler ma salope. Tu veux sentir ma bite au fond de ton vagin tout humide de tes sécrétions, de ton plaisir; tu es une pute comme les autres et je vais te baiser comme tu le mérites.
Arsène je te jure qu'il n'y a là aucun manque de respect simplement de la jouissance vulgaire, puissante qui nous fait nous oublier. Et soudain, j'entends Chantal m'encourager avec les mêmes mots crus :
- Oui, baise moi, enfonce toi au plus profond de moi, traite moi comme la vulgaire femelle que je suis, excitée de me faire partouzer par vous trois; baise-moi, encore.
Et d'un coup de rein je m'enfonce en elle jusqu'aux couilles qui viennent buter contre son cul. Je passe mes mains sous elle pour mieux la tenir, pour mieux la pénétrer et je commence de rapides va et vient. Je la sens qui respire de plus en plus vite. Quelques petits cris s'échappent de sa bouche et bientôt quand je sens venir la jouissance elle se met à crier ce qui entraîne mon éjaculation. Je te jure mon pote que jamais je n'ai éjaculé autant de sperme dans le con d'une femme. J'ai l'impression de jouir sans fin. Et ta femme qui crie, là sous mes coups de queue. Et je me vide en elle tandis que je lui crie des mots orduriers :
- Ouvre-toi bien, ma salope, aide moi à mieux te baiser, à mieux te tringler.
Et elle me prends aux fesses et m'attire à elle pour encore mieux me sentir. Et elle se met à son tour à crier quand elle jouit. Fatigué je m'écroule sur elle. Elle reprend son souffle. Elle ouvre les yeux, me sourit et se laisse aller au fond du fauteuil. Je m'écarte alors que Pierre s'approche. C'est son tour. Il n'a fait que regarder jusqu'alors. Il tient son sexe en main, s'approche. Chantal le regarde, puis fixe cette queue qui lui arrive. Il approche encore et promène son gland sur les seins, puis le visage, les lèvres de Chantal. Une trace brillante souligne son trajet. Il mouille le salaud et il s'essuie sur elle comme pour la marquer de son plaisir. Quand il passe devant sa bouche elle laisse dépasser sa langue pour lamper le liquide qui recouvre le gland. La queue de Pierre est la plus grosse. Elle mouille de plus en plus et bientôt les seins et le visage de Chantal sont luisants de sécrétions. On sent qu'il n'y a plus de retenue. Chacun se laisse aller à ses fantasmes les plus secrets. Alors Pierre prend Chantal par les épaules, la fait se lever et la mettre à genoux sur le fauteuil, la tête posée sur le dossier. Ainsi elle nous offre sa croupe, son cul en vision extraordinaire. Pierre se saisit des deux fesses qu'il commence par malaxer sans retenue puis il les écarte mettant en pleine lumière les trésors enfermés dans ce sillon secret et intime. Chantal se laisse faire.
Elle commence à être excitée par la tournure beaucoup plus hard que prend la soirée. Elle prend plaisir à être prise comme un simple objet sexuel dirigé pour la jouissance des hommes. Et cette situation l'excite. Etre ainsi dépouillée, ouverte, soumise à notre concupiscence lui plait. Pierre prend son temps, contemple, malaxe. Des mots crus lui viennent à la bouche:
- Je te fouille le cul ma salope. Ta chatte toute gluante du sperme de mon pote sent le cul. Tu as aimé te faire fourrer, te faire remplir de foutre. Tu n'es qu'une pute.
Il approche son visage des fesses et avec sa langue il lèche entièrement la raie, s'attardant à l'entrée du ventre. Sa langue force le petit réduit pour entrer et en goûter le sucré et la chaleur.
On est tous un peu surpris par ces mots. C'est la situation qui nous les dicte. Alors on se laisse aller. Pierre porte son majeur à la bouche pour l'humecter puis il le porte à l'entrée du cul qu'il maintient ouvert et lentement mais inexorablement, il l'introduit dans le fondement de ta femme. Elle se crispe d'abord mais il lui dit:
- Détends-toi ma belle, ma douce, relâche tes muscles, laisse moi te violer le cul ! J vais t’enculer comme une sale pute que tu es.
Et on voit les fesses de Chantal s'ouvrir et le doigt s'enfoncer profondément dans ce ventre ouvert. Et là Pierre ne se contente pas de cette simple entrée. Il ressort son doigt et il le rentre à nouveau mais violemment cette fois arrachant un léger cri de douleur à ta femme écartelée. Elle se mord les lèvres, mais se laisse faire. Alors son amant lui enduit à plusieurs reprises l'anus avec de la salive et il présente son sexe énorme à l'entrée de son intimité. Il pousse une première fois. Chantal résiste, elle a mal, le sexe est très gros et il semble qu'elle n'est pas habituée à être prise ainsi. Mais, elle ne se dérobe pas, au contraire, on sent son cul résister pour aider à la pénétration.
- Tu aimes cela salope. Tu ne savais pas que tu aimais te faire enculer.
Et d'un coup de rein plus fort, le gland pénètre d'un coup le ventre chaud de ta femme. Arsène, cette vision est fantastique! Tu ne dois pas souvent sodomiser ta femme ce qui rend plus agréable de le faire dans un orifice étroit et serré. Quand la bite disparaît enfin entièrement dans son ventre Chantal pousse des hurlements de plaisir.
- Plus fort, plus fort, encule-moi plus fort encore, se met-elle à crier.
Ces mots et les mouvements de son cul ont vite fait de faire jouir Pierre qui dans un long râle se déverse dans ce ventre livré à sa bite. Repus il s'effondre sur le corps de ton épouse. Elle reste affalée sur le dossier du fauteuil, le foutre dégoulinant d'entre ses cuisses depuis sa chatte et son cul. Elle demande à aller se doucher. Quand elle se lève, je la prends dans mes bras et l'embrasse avec ferveur. Je me saisis de ses seins. Fatiguée mais de bonne grâce, elle se laisse faire. On en veut encore. François qui bande à nouveau, se place devant elle, lui lève une jambe et d'un coup la pénètre sans effort. Deux ou trois coups de rein suffisent à le faire éjaculer. Chantal n'est plus là, elle se laisse faire soumise comme un pantin. Moi je bande encore et je la retourne. Elle se penche en avant les bras en appui sur Pierre. Il lui présente sa bite:
- Lèche-là, fait-lui sa toilette. Elle sort de ton cul. C'est à toi de la nettoyer.
Et Chantal s'exécute, elle prend le sexe dans la bouche et avec sa langue elle en fait la toilette minutieuse, léchant, effaçant toute trace de la sodomie. Moi, je suis planté derrière elle et à mon tour je la pénètre une seconde fois pour jouir presque immédiatement en lui pelotant violemment les seins qui pendent sous son corps ballotté par mes coups de queue. Je jouis très vite et vide une seconde fois tout le contenu de mes couilles dans le vagin de ta charmante épouse. Cette fois on est repus et nous la laissons aller se doucher. Mais quelques minutes après on est encore plein de désirs pour cette superbe femelle. Elle, elle n'en peut plus. Elle voudrait bien aller se coucher, mais elle se sent prise au piège. Les effets de l'alcool se dissipent. C'est François qui a alors l'idée d'aller plus loin :
- Tu vas te soumettre maintenant à d'autres de nos caprices.
- Non, j'en ai assez, je suis crevée et je commence à regretter.
- Si tu ne veux pas que ton mari sache tout, tu vas m'obéir.
- Que puis-je faire de plus ? Vous m'avez prise deux fois chacun et par tous mes orifices possibles.
- Dans une semaine exactement, tu viendras nous rejoindre au restaurant la Coupole. A 20 heures exactement. Tu ne porteras pas de soutien gorge ni de culotte sous un tailleur. Tu seras nue aussi sous ta veste. Tu porteras des bas qui tiennent seuls. Si tu dis quoi que ce soit à Arsène, on lui raconte que c'est toi qui a eu cette idée. Voilà, ma belle. Je crois que cela te plait et surtout tu ne te sens pas culpabilisée car tu peux penser que tu es forcée.
Sans un mot de plus, Chantal qui était encore nue, se rhabille et nous quitte mais pas sans nous adresser à chacun un sourire complice comme pour nous faire comprendre que cette idée est loin de lui déplaire.
Voilà, Arsène, je préfère te raconter tout cela car je sais que cela va sans doute t'exciter. Si tu veux que ta femme vienne jouer avec nous la semaine prochaine, tu ne lui dis rien. Sinon, tu me préviens et tout s'arrête là. Tu es cocu mais je ne veux pas aller plus loin sans ton accord.



Paris le 15 janvier

Jean-claude,

Ta lettre m’a d’abord choqué puis ensuite excité. Il faut que tu profites au maximum de cette situation exceptionnelle. Avec tes copains. J’étais loin de m’imaginer que ma femme puisse être cette salope que tu me décris. Je ne lui dis rien. Toi non plus et entraînez-là où vous pouvez, mais surtout raconte moi en détail tout ce que vous arrivez à lui faire subir.

Arsène

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