Ah ! Ces jeunes ! (suite et fin)

- Par l'auteur HDS Terpsicore -
Récit érotique écrit par Terpsicore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ah ! Ces jeunes !  (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2009 dans la catégorie Plus on est
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Ah ! Ces jeunes ! (suite et fin)
Cela faisait plusieurs mois qu'Olivier était mon amant, que ses copains étaient au courant de notre liaison, et ni mon mari, ni mon fils n'ont eu le moindre soupçon.
Je rencontrais souvent Olivier avec deux de ses amis, Marc, un métis à la peau très claire et aux cheveux noirs et bouclés, et Pascal, des yeux verts encadrés de cheveux mi-longs et bruns. Très bien bâtis tous les deux aussi.
Les vacances d'été étaient là. Mon fils était parti avec quelques copains et copines, en camping. Et mon mari venait, pour son boulot, de s'absenter à l'étranger pour quelques semaines.
Je me retrouvais donc seule, et pour être honnête, j'en étais plutôt ravie, car j'avais installé Olivier dans mon lit, pour des nuits où nous ne dormions pas beaucoup.
Un matin, nous décidâmes tous les deux, d'aller passer la journée à la plage, et d'y emmener Marc et Pascal, ravis de l'aubaine.
Arrivés sur place, nous nous sommes éloignés des quelques vacanciers, afin de trouver un endroit tranquille.
Là, sans nous être concertés, nous nous sommes déshabillés intégralement, sans qu'aucune gêne ne se fasse sentir.
Les garçons me regardaient, admiratifs. Et de mon côté, je contemplais ces corps magnifiques, intéressée aussi par leurs queues. Olivier, je connaissais sur le bout des doigts et de la langue. Celle de Marc, circoncise, semblait puissante et descendait très bas sur ses cuisses. Mon dieu, quand il bandait, son dard devait être impressionnant. Un très léger tapis de poils couvrait son pubis et deux belles couilles bien rondes et bien pleines. Quand à Pascal, sa bite, un peu plus petite, était tout aussi digne d'intérêt: un superbe gland qui commençait à pointer hors du prépuce, et ses burnes semblaient, elles aussi, bien fermes.
Je me surpris à saliver d'envie : je commençais à avoir plein d'idées coquines en tête!
Nous nous sommes étendus sur nos grandes serviettes afin de profiter du soleil.
La séance, inévitable, d'enduction de crème solaire, donna lieu à quelques moments réjouissants et, il faut le dire, de plaisir non dissimulés.
Après un regard à Olivier qui acquiesça, Marc s'approcha de moi, me demanda de me mettre sur le ventre, répandit un peu de crème à divers endroits, et posa ses mains sur mes omoplates pour commencer l'étalement. Très vite, je sentis ses mains devenir plus caressantes que masseuses. Elles descendaient lentement vers le haut de mes fesses, et sur les côtés, venaient frôler mes seins.
Quand il arriva sur mes fesses, il marqua une légère hésitation, avant de reprendre ses caresses, bien plus fermes me semblait-il. Parfois quelques doigts se faufilaient entre mes fesses, et frôlaient mon étoile brune. Je me cambrais légèrement pour lui faciliter la tâche. Je commençais à être sérieusement excitée. Un regard sur le côté, en direction du bas-ventre de Marc, me montra que, lui aussi appréciait: sa bite était dressée, énorme, battant la mesure de ses envies.
Je me retournais sur le dos, et Pascal prit sa place. Ses mains enduites de crèmes ne firent pas le détail: elles s'attaquèrent directement à mes seins en pomme, dardés par l'excitation. Ses mains étaient douces et caressantes, elles testaient la fermeté de mes globes, agaçaient mes tétons qui devinrent très volumineux. Elles se déplacèrent sur mon ventre, descendant très bas, jusqu'à mon pubis. Et comme son copain, quelques doigts vinrent, en passant, cajoler ma fente et mon bourgeon. Cette fois, je sentais très nettement mon vagin s'humidifier.
Puis ce fut mon tour d'enduire mes trois hommes. Ils se mirent côte à côte, à plat-ventre, leurs fesses vers le ciel. Je me régalais du spectacle de ces corps fermes, bronzés. Je leur passai rapidement de la crème sur le dos avant de m'attaquer à ce qui m'attirait comme un aimant.
J'adorais leur caresser le cul, empoigner leurs fesses musclées et fermes, leur ouvrir les fesses pour dévoiler leur œillet étoilé. Perdant toute inhibition, je les fis se pâmer sous mes coups de langue qui leur titillait l'anus. Passant ma main entre leurs cuisses, je les sentais bander plus dur encore.
D'une tape sur leurs fesses, je leur demandais alors de se retourner pour continuer l'étalement de la crème.
Ce que je vis alors, amena un sourire de contentement : trois queues, dressées vers le ciel, fières et de belles dimensions. Un flot de cyprine m'inonda les cuisses, et mon cœur s'emballa. Je leur passai rapidement la crème sur leurs pectoraux, leur ventre et leurs cuisses, non sans leur avoir prodigué au passage, une caresse appuyée sur la queue et sur leurs couilles.
Je n'en pouvais plus de voir ces queues pulser spasmodiquement, qui attendaient la délivrance.
Je m'installai à cheval sur Olivier, lui offrant la primeur de mes envies. Sa bite trouva seule le chemin de ma chatte et s'enfila dans le conduit trempé dans un petit bruit de clapot. Je faillis m'envoler vers un orgasme ravageur, mais Olivier le sentis et ralentit la cadence. Il put me limer ainsi un petit moment, sous l'œil avide de ses amis. Je le sentis se tendre au fond de moi, juste avant de m'inonder de son foutre.
- Allez Clothilde, sois sympa, ne les laisse pas sur leur faim. Montre leur ce que tu sais si bien faire.
Il se dégagea en m'embrassant amoureusement.
Je me levais, enjambais le bassin de Pascal, attrapais la bite de Pascal, dure et raidie par l'attente et le désir, et me l'enfilais dans le con. Le sperme d'Olivier, s'il en était besoin, facilita la tâche. Pascal, dans un râle de contentement, me prit aux hanches, et s'enfonça jusqu'aux couilles qui vinrent taper sur les lèvres de ma chatte. N'y tenant plus, son va et vient se fit rapide et puissant, je criai de jouissance. Il me glissa un doigt dans l'anus, provoquant mon orgasme et le sien. Il juta sans faiblir, mêlant son foutre à celui d'Olivier. Il resta bandé en moi, avec l'intention de remettre ça. Mais Marc attendait son tour, il m'attrapa par les hanches, me plaça sur le dos en remontant et écartant mes cuisses. Son regard se fixa sur mon vagin, largement ouvert, qui laissait échapper sur mes cuisses des flots de semence. Excité par cette image, il s'abattit sur moi et enfila d'une traite son membre très long et épais au fond du ventre. Il prit son temps pour ajuster son dard dans ma moule, à présent bien assouplie et pleine de sperme.
Il prit appui sur ses genoux pour libérer ses mains et empaumer mes seins. Il les caressa tendrement, pinçant les mamelons pour les faire grossir. Pendant ce temps, son bassin s'agitait entre mes cuisses. C'était si bon qu'il me procura un orgasme intense que je manifestai par des soupirs rauques et bruyants.
Après avoir ralenti ses coups de queue afin de me laisser reprendre mon souffle, il reprit ses coups de boutoir, allant chercher du bout de son gland le fond de mon ventre. Je sentais revenir une vague de jouissance. Au moment où je craquai encore une fois, il se libéra en moi, lâchant des jets de foutre copieux et nombreux. Marc était si puissant qu'il se vida pendant un temps qui me parut infini. Mon vagin était si plein que le sperme en débordait et se répandait entre mes cuisses, sur la serviette de bain. Marc, tendu de tous ses muscles, les yeux fermés sur son orgasme, finit par s'abattre sur moi avec un "han" de forgeron. Nous restâmes emboîtés ainsi quelques minutes, avant qu'il ne roule sur le côté, laissant un grand vide dans ma chatte repue.
Après un bon moment de récupération, qui nous permit de prendre le soleil, nous sommes allés nous baigner dans les vagues. Nous avons joué dans l'eau comme de vrais gamins. Les mains s'égaraient, caressaient, pelotaient, pénétraient, tâtaient. Un régal!
Après nous être séchés et dorés au soleil, je me tournai vers mes hommes:
- Vous êtes si beaux tous les trois, vous êtes si appétissants, que j'aimerais bien faire l'amour avec vous, tous ensemble!
Comme un seul homme, et comme s'ils n'avaient attendu que ce signal, ils se jetèrent sur moi. Ce fut un déluge de baisers, de caresses sur toutes les parties de mon corps. Je pris en bouche tout ce qui passait à ma portée. Les bites redressées et prêtes n'attendaient que mon signal. Infatigables, ils me firent jouir ainsi deux fois.
La vraie partie de baise s'organisa: j'enfourchais Marc pour enfouir son dard dans ma moule. Olivier, derrière moi, entre mes cuisses, m'écarta les fesses pour dégager le trou de mon cul, et enfonça dans mon conduit la totalité de sa pine. Pascal s'installa devant moi et me présenta une queue que je m'empressai d'avaler. Plus endurants cette fois, mes trois lascars me tringlèrent pendant plus d'une heure. Ils échangèrent plusieurs fois leurs places pour mon plus grand plaisir. J'eus plusieurs orgasmes qui me laissèrent pantelante, avant qu'à leur tour, ils ne me remplissent de leur foutre.
Des applaudissements crépitèrent à côté de nous: pendant une heure, nous avions eu des spectateurs qui s'étaient approchés. Quelques couples baisaient en nous regardant.
Nous étions bien trop fatigués pour envisager de provoquer une partouze. C'est donc sans regrets que nous sommes rentrés.
Après avoir déposé Pascal près de chez lui, avec mon accord, Olivier proposa à Marc de passer avec nous la soirée et le jour d'après. Marc accepta avec un grand sourire et il en profita pour déposer un tendre baiser dans ma nuque. Ça promettait !

Une fois rentrés, nous nous sommes préparé un repas bien arrosé. Olivier, déjà fatigué, nous abandonna:
- Salut vous deux, je vais dormir un peu.
En me jetant un regard de connivence, il ajouta:
- Je dois trop faire la … heu … fête, et ça m'épuise.
Il partit vers la chambre.
Le pauvre chéri, il est vrai qu'insatiable côté sexe, je lui en demandais beaucoup …
La vaisselle expédiée, Marc et moi nous nous installâmes sur le canapé. Ses baisers passionnés, ses caresses sur mon corps, eurent vite fait de mettre le feu aux poudres. Nous nous sommes mutuellement déshabillés, et nous nous sommes jetés l'un sur l'autre. Sa bite prit rapidement de l'ampleur dans ma bouche, où son gros gland circoncis se mit à pulser. Pendant ce temps, la tête entre mes cuisses, sa bouche et sa langue buvait la mouille qui s'échappait à flot de ma figue toute alanguie.
Il se redressa, pressé de me prendre, m'installa à quatre pattes sur la moquette, m'écarta les cuisses d'un genou, écarta mes fesses de ses mains.
- Clothilde, tu as un cul qui ferait bander un moine. Tu veux que je décrive ce que je vois ?
- Oh oui! Dis-moi des cochonneries! Racontes moi comment est mon cul !
- Tu as deux superbes fesses, bien fermes et rondes! Au milieu, elles sont ouvertes par une raie bien dessinée, profonde. Ouf! C'est super bandant tout ça! Tiens goutes moi ça …
Il enfonça d'un coup son dard au fond de ma chatte. Bon sang, qu'il était gros!
- Tu sens ce que je t'enfile dans le minou ? Ma queue est tellement gonflée qu'elle dilate ton trou du cul. Tu dois être souvent prise par là dis donc, parce que je le vois s'ouvrir un peu, et la corolle est souple sous mes doigts. Je vais te tirer la moule d'abord, et ensuite je t'enculerai.
Ces mots crus m'excitaient comme une folle. La bouche ouverte, je laissais passer mes râles de plaisir. Je sentais les coups de boutoir que m'assénait Marc. Son rythme s'accélérait. Il n'allait pas tarder à jouir. Je me laissais aller à l'orgasme lorsque je le sentis m'envoyer ses jets de sperme. Il cria lui aussi, en s'abattant sur mon dos. Mais il ne s'en tint pas là. Il reprit très vite ses mouvements de va et vient. Les "floc-floc" de sa pine baignant dans son foutre et ma mouille nous relancèrent dans un nouveau coït.
Il sortit sa queue de ma moule, et guida le gland sur mon anus, qu'il tapota doucement mais fermement.
- Tu es prête? J'y vais …
- Ne t'inquiètes pas, le passage est fait! Viens!
Il enfonça lentement toute la hampe bien graissée. Quand je sentis ses couilles buter contre mes fesses, je sus que j'étais emmanchée à fond. Je lançais des coups de cul contre le bassin de Marc, lui donnant le signal qu'il attendait. Il me niqua le cul pendant une bonne demi-heure. Il me fit jouir comme ça deux fois. J'aimais vraiment la manière dont Marc me sautait!
Il rendit enfin les armes, ahanant sous les coups de sa jouissance, me remplissant le rectum d'une bonne dose de foutre.
Nous nous sommes assoupis, lui toujours enfoncé dans mon cul. J'étais bien.
Puis nous avons rejoint Olivier dans la chambre. Je me suis installée au milieu de mes deux hommes, et je me suis endormie.
Dans le courant de la nuit, je fus réveillée par les soubresauts du matelas, et par des gémissements. Je me redressai sur un coude, et découvris avec stupeur Olivier à plat ventre, cuisses écartées, entre lesquelles Marc s'était installé, pine bandée et plantée dans son cul. C'était cela qui m'avait réveillée. De les savoir bi m'excita follement, et je joignis mes caresses aux leurs.
Olivier se dégagea, vint m'emboiter son dard fièrement dressé dans le vagin et commença à me limer. Marc se remit en position, en plantant sa pine dans le cul d'Olivier, et le laboura à grands coups de reins.
Mes deux amants attendirent ma jouissance pour se laisser aller à leur tour, Olivier dans ma chatte, et Marc dans le cul d'Olivier.
Cette fois, rideau !
Pendant deux jours, ce fut une fête charnelle extraordinaire. Nous nous sommes séparés avec des souvenirs plein la tête.

Et puis le temps a fait son œuvre: l'érosion des sens, l'éloignement des corps. Olivier, diplôme en poche, est parti dans une autre ville, pour son nouveau travail. Marc et Pascal ont fait de même. Je les revois, parfois. La tendresse est toujours là, mais l'envie irrépressible du corps de l'autre est passée.
Je me suis rapprochée de mon mari. Le temps a passé, je lui ai tout raconté. A ma grande surprise, il m'a dit avoir su depuis le début, mais qu'il n'avait rien à pardonner: mon corps ne lui appartenait pas. Il avait d'ailleurs tiré avantage de la situation, lorsqu'affamée de sexe, je me jetais sur lui jusqu'à épuisement des corps. Et puis, il m'avoua n'avoir pas été très fidèle lui non plus.
Aujourd'hui, bien des années après, je repense à tous ces moments que j'ai vécus, profitant de la puissance virile de mes hommes, mais toujours dans la tendresse et l'insouciance.
Ni dieu, ni maître, hormis le plaisir.

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