Damien (18) La fête à Kader suite

- Par l'auteur HDS Kati -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Damien (18) La fête à Kader suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (18) La fête à Kader suite
Quand je revins à moi, Fayçal, Fouad et Farouk étaient en train de boire.
Fouad me dit "Très bien, tu as un cul superbe, tu nous as donné beaucoup de plaisir jusqu'à présent, viens te rafraîchir avec nous pour reprendre un peu de force.
- Merci, mais se faire tringler par trois bites comme les vôtres, c'est une chance incroyable, vous m'avez fait prendre des pieds superbes.
- On s'en est rendu compte, mais on voudrait te demander quelque chose.
- Oui ?
- As-tu encore la force de continuer ?
- Mais, je suis à votre service, c'est vous qui commandez
- Là n'est pas la question, ce qu'on veut savoir, c'est si tu as encore envie de te faire baiser, car même si on est les patrons, si tu en as assez, on le comprendra très bien.
- J'ai encore envie.
- Bien dans ce cas, après un petit quart d'heure de repos, on recommence mais voilà, on voudrait que tu te mettes debout contre cette table, le corps reposant dessus et ton cul bien tendu. O.K ?
- D'accord mais avant cela, je demande la permission d'aller aux toilettes et si possible de pouvoir me nettoyer un peu.
- Bien sur, prends cette porte là-bas, tu trouveras tout ce dont tu as besoin.
- Merci".
Je me levai, j'avais l'anus douloureux, pour marcher je fus obligé de garder les jambes écartées, c'est dire s'ils m'avaient distendu le trou.
Après avoir uriné, je pris une douche réparatrice, puis allai les rejoindre au salon où ils m'avaient préparé un verre.
Après avoir bu, fumé une cigarette et discuté de choses et d'autres entre autre de sexe, je m'aperçus que les trois pines violacées pointaient vers le plafond, je me levai, pris un coussin que je posai sur la table puis je me courbai dessus en écartant les jambes.
Un corps se colla à moi, aussitôt une bite se positionna face à mon anus et le membre m'investit me faisant gémir, puis se mit à me ramoner vivement.
Au bout de quelques instants, le plaisir prit possession de mon corps montant de mon bas-ventre par vagues tumultueuses, je me mis à onduler sous les coups de boutoir que mon amant m'assenaient.
Les mains posées sur mes hanches, mon homme me défonçait le fondement, il me faisait décoller de terre chaque fois qu'il s'enfonçait au fond de mon cul, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion, j'étais tellement excité que j'avais l'impression que de la lave s'échappait de ma grotte affamée, je savais que seul ce phallus qui me pilonnait la lune saurait éteindre l'incendie qui couvait en moi, les reins cambrés à l'extrême, m'offrant totalement aux assauts répétés, j'attendais l'explosion salvatrice, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" continu.
Soudain se plaquant contre mon fessier, mon mec éjacula en feulant, ses jets de sperme m'atteignirent au tréfonds de mes entrailles me faisant hurler de bonheur.
L'homme se retira et aussitôt, une autre verge érigée me pénétra et se mit à me besogner lentement faisant monter d'un cran le plaisir qui me ravageait le corps.
Chaque fois que le pénis tuméfié m'empalait, je sombrai un peu plus, dans la pièce hormis mes râles de bonheur on entendait un bruit de succion que faisait mon cul abondamment lubrifié en avalant totalement le membre qui me possédait.
Je ne savais plus depuis combien de temps cette hampe me limait le prose, jamais je n'avais ressenti autant de plaisir au cours d'une enculade, j'avais la vue brouillée tellement je jouissais, j'avais atteint la plénitude rectale, seule comptait pour moi, la queue qui me forait les reins, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur et je me mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de moi, mon mec déchargea en râlant, son flot de semence m'inonda le rectum me provoquant un spasme foudroyant, je dus me tenir à la table pour ne pas tomber sous l'impact de la jouissance, la bouche grande ouverte, je hurlai mon plaisir.
Je sentis le sexe en pleine détumescence sortir de ma rosette et aussitôt une autre pine roide m'enfessa et se mit à me ramoner à une vitesse folle, sous ses coups de boutoir répétés mon délire reprit.
Plaquant son corps contre mon arrière-train, mon amant juta en feulant, ses jets de liqueur crémeuse m'inondèrent le canal en fusion, je tendis mon cul encore plus vers lui pour accentuer la pénétration, je hurlai de plaisir puis tombai lourdement au sol essayant de retrouver ma respiration.
On m'allongea sur le ventre tout en glissant deux coussins sous ma taille de manière à ce que mon derrière soit relevé, puis un homme s'étendit sur moi et me prit d'un violent coup de reins.
Je ne sais combien de fois ni combien de temps les trois se succédèrent sur moi, mais quand ils m'abandonnèrent, je restai longtemps sans bouger, le cul complètement éclaté mais comblé, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais jamais je n'avais joui autant.
Quand je repris conscience des réalités, je vis qu'il était sept heures du matin, nous avions baisé toute la nuit, les trois hommes portaient les stigmates de la grande fatigue qu'ils éprouvaient, leurs sexes étaient totalement flaccides, je partis dans la salle de bains, quand je passai devant la glace, je vis que des cernes énormes, témoins des fades que j'avais pris, marbraient mes yeux.
Je me lavai et quand je ressortis Fouad me dit "ton cul nous a donné un immense plaisir.
- C'est gentil, mais moi aussi j’ai pris mon pied.
- Tu sais que tu n'es pas le premier homme qu'on baise, d'habitude après deux ou trois heures passées sur lui, le mec nous dit qu'il n'en peut plus, qu'il a trop mal au cul alors que toi tu nous as vidés complètement les couilles".
Je quittai mes amants exceptionnels et je montai dans ma chambre.
Après avoir pris une longue douche et appliqué un baume sur mon anus, je m'endormis profondément.
Je participais à ces fêtes pendant une année et j’en retirai chaque fois un plaisir immense.
Au bout d’un an, voulant continuer ma quête de gros calibres, je plaquai tout boulot et le reste et décidai de partir quelque temps en Afrique noire.
J’en fis part à Kader qui me souhaita bonne chance tout en regrettant mon départ et nous nous quittâmes bons amis.

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Texte coquin : Damien (18) La fête à Kader suite
Histoire sexe : Une rose rouge
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