Titre de l'histoire érotique : j'ai mordu l'oreiller sous la tente des bédouins

- Par l'auteur HDS Ganymede -
Récit érotique écrit par Ganymede [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : j'ai mordu l'oreiller sous la tente des bédouins Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : j'ai mordu l'oreiller sous la tente des bédouins
Dans les années 70, j'avais 19ans, grand, brun, beau gosse au top de sa jeunesse. La queue des hommes m'attirait déja, mais je n'était jamais passé à l'acte. Et me voila, sac au dos faisant du stop à la sortie des villages algériens, direction: le sahara.
Un soir, au bord d'une piste, des bédouins s'approchent pour me proposer de passer la nuit sous leur tente. C'est 10jours que je passerai sous la tente...et...sous les bédouins. La première nuit, après le repas, je suis allé me coucher dans une petite tente ou étaient stockées diverses marchandises et denrées. Bien que les nuits soient fraîches dans le désert, j'avais chaud et me mis nu sur mon sac de couchage et ne tardai pas à m'endormir en rêvant au sexe puissant de ces rudes hommes du désert. Je suis réveillé dans la nuit par une présence, dans la pénombre, je distingue un homme debout qui me regarde en allumant une petite bougie. Je vois un homme d'une quarantaine d'années oter ses vêtements. Je regarde, médusé et plein de désirs féminins, cet homme en slip qui s'allonge à mes côtés, il est mince, la peau foncée,très viril, un corps de dieu saharien. Tout en me caressant, il me demande si j'aime le zob, timide, je lui réponds que je ne sais pas. Je sens son odeur de mâle m'envahir délicieuseusement et je décide de m'abandonner à lui. Timidement, pendant qu'il me caresse, j'approche ma bouche de son slip sale que je lèche avec délice. M'entendant faire "hmm.." de plaisir, il sort de son slip un sexe impressionnant et dirige son gland humide vers ma bouche. Sans me faire prier j'avale ce sucre d'orge en gloussant de plaisir. Le parfum et le goût de ce sexe pas très propre me fait chavirer la tête. Je me sens une petite femelle en léchant aussi ses couilles odorantes et poilues.
"Tu aimes le zob, hein? Tu aimes cela?" Il sorti son bel outil de ma bouche. "Allonge-toi sur le ventre!" J'obéissait. J'étais en position de soumission, et j'y prenait un grand plaisir..Il écarta mes fesses, cracha dans sa main et me lubrifia la rondelle tout en enfoçant un doigt dans mon intimité. Ce fut la révélation, j'étais heureux et j'allais me faire sodomiser pour la première fois, j'allais connaître le plaisir de se sentir femelle.Sans prévenir, il enfonça complètement d'un violent coup de rein son beau sexe circoncis dans les replis délicats de ma fleur, la douleur était atroce, il me tarauda tel un bouc. Petit à petit, la douleur fit place à un sentiment étrange de bonheur, puis de plaisir intense, il sentait que je commençai à aimer cela."Tu es devenu une femme, maintenant, ton petit trou est à moi, tu es ma pute, mon trou à sperme." Je répondis oui sans trop réfléchir, car l'idée d'être féminisé par cet homme si viril me plaisait. Il me lima longtemps, et plus il sentait que j'aimais cela plus il s'excitait. La douleur me brûlait les entrailles, et je criai de souffrance et du bonheur d'être soumis par un de ces bédouins dont je désirai secrètement être la pute, le trou à plaisirs. Il se vida entièrement en moi avec des râles de jouissance, je me sentai enculé, fécondé, inondé, la sensation de son sperme en moi acheva ma transformation de petit européen en salope soumise à la queue saharienne.
Il me laissa, allongé sur des tapis, le cul en l'air, endolori et bien graissé. Je restai ainsi des heures, ouvert, offert...
Il revint avec de la nourriture, du parfum et une outre pleine d'eau.
Il me dit ce qu'il attendait de moi, je ne devais pas sortir de la tente, seulement pour mes besoins naturels, je devais rester nu jour et nuit dans la tente, attendant, parfumé comme un cocotte le bon plaisir de mon homme et de ses amis.
Je servis de femme à tous les hommes du camp. A n'importe quelle heure du jour et de la nuit, mon anus et ma bouche étaient sollicités par leurs sexes dont j'étais devenu accroc.
Les mâles se succédaient dans la tente et dans mon trou qui s'était bien ouvert, d'ailleurs il ne se refermait plus. Pendant 10 jours et 10 nuits mon anus ou ma bouche furent occupés en permanence, et je me nourrissait presque exclusivement de liqueur de zobs. J'ai dû aussi lécher avec gourmandise des anus sales, poilus, pleins d'odeurs fortes et envoutantes. Les hommes ne se lavaient plus le derrière ni les parties génitales, ils savaient que je ferai leur toilette intime avec ma langue et ma salive, et que je me délectai de cela.
Je suis parti une nuit, discrètement, pour de nouvelles aventures vers le sud saharien. Je pensais en chemin à tous ces zobs que j'allai savourer. J'étais devenu une petite pute du désert et des centaines de mâles en rut se soulagèrent en moi pour mon plus grand plaisir.
Ganymede

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