La gloire de Nicky II

- Par l'auteur HDS Claude Lamour -
Auteur homme.
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Récit libertin : La gloire de Nicky II Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La gloire de Nicky II
SANDY, NICO ET…NICKY

chapitre 2
La soirée

Tout en gainant ses jambes de bas de soie, Nico regarde les deux robes étendues sur le lit.
« Je ne sais vraiment pas Sandy, la rouge est très voyante, non ? »
« Écoute Nico, je voudrais bien finir de me maquiller, s’il te plais. Si la rouge ne te conviens pas, prends la noire, et voilà. »
« Mais c’est impossible…c’est la même que toi, enfin ! »
La belle éclate de rire et chantonne « Les demoiselles de Rochefort.»
« Nous sommes deux sœurs jumelles, nées sous le…. Fais pas la tête, ça peut être drôle, non ? »
« Pour qui ? »
Sandy se lève et viens enlacer son mari.
« Hooo ! Mon gros nounours aurait t’il peur ? Je te rappelle que c’est toi qui a accepté cette invitation. »
« Oui, bon, d’accord. Mais je n’étais pas moi-même, tu comprends. Et puis on ne sait rien de ce drôle de type, ce Demaison. Pfffff ! Je sais plus quoi faire. Et si on n’y allait pas ? »
« Quelles chaussures vas-tu porter avec ta robe noire ? »
Nico comprend qu’il ne sert à rien de parlementer. Sandy est prête et plus rien, plus aucun argument ne la ferra changer d’avis. Il passe la robe noire, ajuste sa perruque, enfile des hauts talons et se place près de Sandy devant le grand miroir de la chambre.
« Humm ! Faut que je fasse gaffe, tu vas finir par être plus jolie que moi, hihihi ! »
« Dis moi Sandy, le string et le soutien gorge ne ressortent pas de trop à travers la dentelle ? J’ai l’impression qu’on ne voit que ça ! »
« Tu es trop mignonne quand tu angoisse toi. Oui, on ne voit que ça et c’est le but recherché. Allez, mets ton manteau et on y va. Je déteste être en retard. »
Arrivée à la voiture, Nicky fait une dernière tentative.
« Houlà !! Tu ne trouves pas que la voiture fait un drôle de bruit ? »
« Nicky, c’est ton cœur que tu entends… c’est ton cœur. »
Et elle dépose un tendre baiser sur la joue de son mari.
« Allez ! Roule idiot. »


Les pneus de la voiture crissent sur le gravier du parc. L’allée et le jardin sont éclairés par une centaine de flambeaux. Ils rangent leur voiture auprès d’autres véhicules déjà stationnés et se présentent sur le haut du perron d’une splendide demeure.
« Sandy, il est encore temps de faire demi tour, tu sais ? »
« Tais-toi ! Fais comme moi, ouvre ton manteau et prend ma main. »
Sans plus attendre elle appuie sur le bouton de la sonnette le cœur battant. Ils attendent quelques secondes et la lourde porte s’ouvre. Un majordome les invite à entrer dans un vestibule de bonne taille, fermé au reste de la maison par de lourds rideaux pourpres. Alors qu’ils retirent leurs manteaux pour qu’ils soient pendus avec d’autres, ils écoutent les bruits qui proviennent de la maison. Valse de Vienne, petits rires, verres qui s’entrechoquent, chuchotements.
Les « blabla » cessent net lorsque le rideau s’ouvre. Monte alors un « Hoooo ! » indéfinissable.
Est-ce de l’admiration, du mépris, du dégoût ou bien tout simplement de la surprise ? Ils ne parviennent pas à le définir, mais cela leur glace le sang.
Le majordome les invite à le suivre. Ils traversent une salle immense ou une centaine de convives, habillés sur leurs trente et un, semblent avoir été soudainement pétrifiés. Tout les regards sont figés et fixent le couple. Arrivée à mi chemin, Nicky, agacée, interpelle le valet.
« Inutile de poursuivre, nous nous sommes trompés, cette soirée n’est pas pour nous. Veuillez nous reconduire, s’il vous plait ! »
« Effectivement, monsieur, cette soirée n’est pas la votre. Monsieur Demaison vous attend au sous sol ou je pense, vous serrez plus à l’aise. Suivez moi je vous prie. »
Ils reprennent la traversé de la salle en détaillant les invités. Pour la plupart vieux et ridés, ils font penser à de vieux bourgeois du début du siècle. D’ailleurs, les robes de ces dames pourrait laisser croire qu’il s’agit d’un bal costumé, tant elles semblent démodées, défraîchies et sortant de la naphtaline pour l’occasion.
Près du grand escalier, une petite porte est ouverte.
« Je vous en pris, monsieur Demaison vous attend en bas. Bonne soirée. »
Et le majordome disparaît dans la foule des momies.
« Que fait-on, Sandy ? Il est encore temps de faire marche arrière, tu sais !? »
« Même pas en rêve ! J’ai trop envie de savoir la suite. Hihihi ! »
C’est main dans la main qu’ils descendent l’escalier de pierre. Celui-ci tourne sur la gauche et débouche sur ce qui semble être une grande cave voûtée soutenue par des colonnes de pierre. Entre chaque pilier, sont installés de grands canapés de cuir rouge, face auxquels sont disposées de multiples tables basses en verre, garnies de sauts à champagne et de petits fours. De nombreuses bougies dispersées de ci de là créent un éclairage plus que tamisé et font danser les ombres sur les murs.
« Les voilààà ! Enfin, les voilà ! Mon dieu que vous êtes belles, heuuu ? Oui, belles. Je vous en pris, suivez moi jusqu’au bar. Venez ! Venez !»
C’est un grand bonbon rose qui vient de leur sauter dessus pour les embrasser et les serrer fort dans ses petits bras maigrichons. Mais qu’est il arrivé à l’homme poussiéreux qu’ils avaient rencontré la veille ? Plus de costume terne, plus de lunette ronde. Certes un peu trop pastel, mais c’est un homme élégant, souriant et charmant qui leur fait traverser la cave au milieu d’une vingtaine de personnes beaucoup plus souriant, colorées et moins vêtues qu’à l’étage du dessus.
Est-ce cet homme tout de cuir vêtu qui fait qu’ils se sentent à l’aise ? Ou bien encore cette superbe blonde couverte d’une tunique si transparente que l’on aperçoit sans effort son sexe lisse et gourmand ? À moins que ce ne soit ce male superbement sculpté qui besogne en levrette et à un rythme soutenu, une fille de vingt ans sa cadette. Quoi qu’il en soit, quand ils atteignent le bar au fond de la cave, ils se sentent déjà chez eux.
« Ici, c’est la face cachée de la lune. Huissier le jour, coquin la nuit. Là haut, c’est le monde des emmerdeurs de tout poil, ici c’est mon paradis, mon jardin secret.»
Sandy, amusée, ne peux s’empêcher de lui dire :
« Nous l’aurions parié, vous savez !? »
« Que j’étais coquin ? »
« Nonnnnn ! Hihihi ! Que vous étiez huissier ! »
Nicky surprise et gênée, s’exclame :
« SANDY ! Ca ne va pas, non !? Excusez là monsieur Demaison. »
« Hahaha ! Votre épouse est charmante. Ne vous inquiétez pas, j’ai souvent entendu cela, et j’adore la franchise. Alors tout vas bien. »
Il sert deux grandes coupes de champagne.
« Vous ne trinquez pas avec nous ? »
« Plus tard, Nicky. Je dois aussi faire acte de présence chez les grabataires, là haut. Notoriété oblige. »
Il fait un baise main à Sandy et sans hésiter fait de même à Nicky avant de disparaître au milieu d’un groupe de danseurs de slows, collés, collés.
Sandy veux faire remarquer à son mari que monsieur Demaison était beaucoup plus sympathique ainsi, mais elle n’en a pas le temps. Un couple charmant les accoste et leur dit :
« Bonsoir. Nous avons cru comprendre que vous étiez invités pour la première fois. Sandy et Nicky ? C’est bien ca ? Nous serrions très heureux de vous présenter à nos amis. »
L’homme, plutôt dans la trentaine, chemisette et jeans, parait très sympathique et décontracté. Elle, une merveille venue directement d’une bande dessinée du style « Barbarella », n’est vêtue que d’un string de soie noir et d’un soutien gorge percé laissant apparaître deux pointes bien dressées et provocatrices.
Ils ont à peine le temps d’échanger un dernier regard que les tourtereaux sont séparés. Nicky est entraînée par la demoiselle vers un groupe et Sandy au bras du bel étalon, vers un autre. Ils comprennent qu’ils ne passeront pas toute la soirée ensemble.


Du coté de Sandy


Bien qu’un peu déconcertée d’avoir été séparée de Nicky, je me laisse entraîner par Stéphane, mon guide. Il me présente à quelques personnes très sympathiques et c’est tout naturellement que je me retrouve assise dans un grand canapé à déguster un sublime champagne, en compagnie de messieurs plus intéressés à étudier mes courbes qu’à me faire la causette.
Stéphane, près de moi, m’enlace tendrement et d’un doigt caresse ma joue doucement. Même si la caresse est douce et agréable, le manque de dialogue pèse sur moi comme une chape de plomb. Lassée par ces comportements de collégiens puceau, je m’apprête à me lever pour rejoindre mon mari quand un petit bout de femme toute fraîche et toute pétillante, s’accroupie face à moi et croise ses bras sur mes genoux.
« Bonsoir ! Moi c’est Julie. »
Un magnifique sourire illumine son visage de gamine toute droite sortie de son école anglaise. Du moins, c’est ce que son costume et sa coiffure laissent à penser.
Serrées par de gros chouchous rouges, deux couettes pendouillent au dessus de ses oreilles. Sous un chemisier blanc très largement ouvert, deux petits seins à l’étroit, dressent avec fiertés leurs tétons pointus sous le tissus tendu. La tension du chemisier est accentuée par un nœud fait avec les pans de ce dernier. Nœud qui permet de découvrir un petit ventre bien plat et dur, ainsi qu’un joli nombril décoré avec un petit lapin argenté.
J’imagine les trésors que cache son petit kilt écossais, si court qu’il lui interdirait de se pencher, si cela la dérangeait, bien sur. Pour parfaire l’illusion, elle a enfilé de petits souliers noirs vernis, et de grandes chaussettes blanches montent jusqu’au dessus de ses genoux.
« Bonsoir Julie. Moi c’est Sandy. »
« Ben ouai, je sais ! On ne parle que de toi et de ton homme. J’suis la plus jeune ici. J’ai vingt ans et sa fait deux ans que je viens. Les premières fois, je venais avec mon mec, mais maintenant, je viens toute seule comme une grande. »
Sous son air de grande fille décidée qui n’a pas froid aux yeux, je peux sentir une fragilité certaine et une grande douceur à fleur de peau. Ses grand yeux bleus, plongés dans les miens, me trouble. Je cherche quelque chose à dire, mais rien ne vient. Heureusement, la petite est bavarde.
« T’es drôlement belle. Quand je vous ai vu arriver tout à l’heure, j’ai fais « whouaa ! », classe les filles. C’est après que j’ai vu… heuuu ! Bref, tu comprends, quoi. »
Sa fraîcheur et sa spontanéité m’amuse beaucoup. Elle est vraiment trop mignonne.
« À propos de mon mari… tu sais ou il est ? »
« On s’en fou ! On n’est pas bien là ? »
A genoux devant moi, elle passe ses mains derrières mes mollets et pose sa joue sur mes cuisses. Je suis envahie de bien être et quand tout naturellement Stéphane attire mon visage vers le sien, je me laisse embrasser et déguste avec plaisir sa langue chaude et experte.
Alors que Julie s’est redressée et que ses mains glissent lentement sous ma robe, mes seins sont pris d’assaut par de multiple mains qui ne tardent pas à descendre ma fermeture éclair pour avoir un accès plus aisé aux agrafes de mon soutien gorge. Il ne faut pas longtemps pour qu’il saute et que mes seins soient maintenant offerts à qui les veut.
Mes mains glissent sur les nuques de Stéphane, toujours afféré à enrouler sa langue autour de la mienne, et sur celle de l’homme qui à ma gauche fait des allers retours entre mon cou et ma poitrine.
Les doigts de Julie ont atteint mon string. Apres un court instant d’hésitation, je me décide à soulever ma fesse droite, puis la gauche, pour lui permettre de dégager et de rouler le bout de tissus jusqu'à mes pieds.
Délicatement, sans précipitation, elle écarte avec douceur mes genoux. Je délaisse la bouche de Stéphane. J’ai besoin de la voir, de la regarder.
Elle a ouvert son corsage. Ses seins sont comme je les imaginais. Petits, fermes avec des pointes fabuleuses et fièrement dressées. Elle aide ma robe à dégager mon fessier pour se rouler dans mon dos. Elle me regarde tout en mordant sa lèvre inférieure.
Un sourire malicieux se dessine sur sa bouche, quand après avoir passé ses mains derrières mes genoux, elle m’attire à elle. Conquise, je glisse sur le cuir rouge, afin que ma vulve soit accessible à ses baisers. Lorsque sa langue effleure mon clitoris, je suis parcourue par une onde électrique qui me plonge définitivement dans l’envie de jouissance.
Au moment où je bascule en arrière pour m’abandonner totalement, mon regard croise celui de Nicky. La lumière est faible, il est loin, je lâche prise et ferme les yeux. Pourtant, je suis consciente que durant deux ou trois seconde avant que je ne succombe au plaisir, mes yeux l’on vu, nu et en croix. Est-ce le fruit de mon imagination ?
Les petits coups de langue de Julie me font soulever mon ventre à chaque fois. Comment une jeune fille peut elle être si experte. Sa bouche épouse à merveille les grandes lèvres de mon vagin. Sa langue frétille dans chaque recoin me provoquant une succession de petits spasmes de plaisir. Je la sens me boire avec délectation. Je me vide de mon jus à chaque fois que ses petites lèvres chaudes aspirent mon clitoris. Me sentant venir, elle s’y attarde, l’agace, le titille. Pour accompagner sa succion, elle plonge deux doigts au plus profond de mon ventre. Elle les fait aller et venir en moi à une cadence d’enfer. Mon corps tout entier se cambre comme pour mieux s’offrir.
Un gland chaud et doux se pose sur ma bouche entrouverte. Ma main découvre une queue de bonne taille, dure comme le fer. Une petite poussée et la voilà coulissant lentement dans ma bouche. Je prends les couilles à pleine main. Je les tire, les palpe comme des balles de mousse. Je fais glisser mes lèvres le long de la verge et englouti un testicule, puis l’autre, avant de reprendre ma fellation.
Mais la surprise vient d’ailleurs.
Stéphane, debout sur le canapé, ivre du spectacle que j’offre, se masturbe avec frénésie depuis un bon moment. Ni tenant plus, il explose et se vide sur mes seins. Le foutre bouillant et abondant glisse entre ma poitrine, coule sur mon ventre avant d’atteindre les lèvres de Julie qui s’apprêtait à replonger sa langue en moi.
La belle change son programme et sans hésiter s’attaque au problème. Soigneusement, elle lèche et aspire chaque centimètre de ma peau souillée. Avec application, elle remonte jusqu'à la source. Sa bouche n’étant plus qu’a quelques centimètres de la mienne, c’est tout naturellement qu’elle vient m’aider à finir le membre qui encombre ma bouche. Sous la double caresse buccale, celui-ci explose à son tour sur nos visages. Ivres de plaisir, nous nous embrassons fougueusement nous partageant la liqueur chaude. De nos bouches, de longs filets gluants coulent sur nos seins qui heureux de s’être trouvés, se touchent, se frottent, partageant eux aussi le sperme qui les poissent. Les effluves du plaisir nous enivrent, nous saoulent et nous explosons toutes deux.
Nos jouissances sont simultanées et nous semblons ne plus faire qu’une. Nous glissons du canapé et tombons à terre. Telle deux furies nous nous roulons dans notre folie passagère.
Julie, vautrée sur moi, se contorsionne dans tout les sens, afin que nos peaux soient en contact le plus possible. Ni tenant plus, elle se redresse et s’assoie face à moi. Nos jambes se croisent et nos sexes bouillant rentrent en contact. Toutes deux appuyées sur nos avant bras, nous frottons nos chattes l’une sur l’autre comme deux furies. Des bruits de succions s’en échappent et nous sentons nos liqueurs se mélanger.
Nous ne contrôlons plus rien. Ni l’image que l’on donne, ni nos orgasmes à répétition et encore moins le flot de sperme qui nous tombe dessus de toute part. Des hommes nous entourent se masturbant à tour de bras et se vident sur nous.
J’ai envie d’une queue. Je veux me faire prendre. J’aperçois un homme d’un certain âge. Il se masturbe et n’a pas encore joui. Délaissant la petite Julie, je roule sur moi-même et me place à quatre pattes face à lui, telle une chienne en chaleur, cambrant mes reins pour bien offrir mes orifices. Il s’agenouille derrière moi, agrippe mes hanches et plonge en moi d’un coup m’arrachant un petit cri de satisfaction. Quel bonheur de sentir mon con rempli de ce membre.
J’aperçois Julie, toujours allongée sur le sol. Elle se masturbe d’une main et de l’autre étale le foutre sur son petit corps. Deux hommes se vident encore sur elle, alors qu’un autre entreprend de lui lécher l’entre jambe. La petite est secouée par de violents orgasmes et semble être en transe. Ses yeux roulent et il me semble qu’elle s’évanouie. L’homme qui la lèche grimpe sur elle, relève ses jambes et en deux ou trois vas et viens se libère en elle dans un râle animal.
Je jouie une fois de plus pour la énième fois lorsqu’un jet puissant et bouillant se déverse en moi suivit par d’autre, encore et encore.
Un autre homme se met en position et appuis son gland gonflé contre mon anus. Avec une infinie douceur il progresse lentement en moi jusqu’à la garde. Commence alors une magnifique sodomie rythmée par quelques claques sur mes fesses qui me font lâcher plusieurs plaintes de plaisir. Noyée dans cette déferlante de jouissance, je reviens à la réalité lorsque j’entends une voix qui me semble familière.
« Aller ma petite salope, avance ! »
Pas de doute, c’est la voix de monsieur Demaison. Entre les jambes des personnes qui se trouvent devant moi et sortant d’entre deux tables basses, une masse s’avance vers moi. Bien que ma vue soit troublée par la sueur qui coule de mon front, je comprends et reconnais très vite les formes qui se dessinent devant moi. Je suis stupéfaite. Je ne sens même plus le gourdin qui me ramone. Nicky s’arrête à quelque centimètre de moi. Ses yeux brillent de malice et de plaisir. Nue, à quatre patte, elle est désarmée et offerte, juste devant moi.
Une étrange excitation monte alors en moi, quand monsieur Demaison s’installe derrière lui. Mon plaisir revient, multiplié, quand je vois les yeux de Nicky se fermer et sa bouche esquisser un petit rictus de douleur. Elle est maintenant pénétrée par le maitre de maison. Les coups violents dans nos fondements, rapprochent nos visages. Je sens son souffle gorgé des senteurs de sperme. L’homme qui me lamine depuis plusieurs minutes, pousse un râle et un flot de jus bouillant vient se déverser dans mes entrailles. Je jouie de nouveau, très fort et une dernière fois.
Face à moi Nicky vient, elle aussi. Elle pousse de petit grognement. Son regard croise le mien et entre deux cris me dit :
« Je t’aime »
Je m’approche et l’embrasse fougueusement, jusqu'à la délivrance finale.
Epuisées, nous nous effondrons sur la moquette et laissons nos respirations redevenir normale.
Julie nous apporte deux verres de champagne.
« Whouaa ! Trop cool les filles ! Quel pied ! Dites…vous reviendrez ? »
C’est Nicky qui lui répond.
« Nous en parlerons, mais oui, je pense que nous reviendrons. »


Du coté de Nicky


Je n’ai pas le temps de réagir que déjà Sandy à disparu derrière une colonne. Ma ravissante guide m’entraîne vers un petit groupe d’hommes et de femmes qu’elle me présente rapidement. Efféminé à souhait, un homme s’accroche à mon bras.
« Ben dis donc ! T’es drôlement mimi toi. »
Aussitôt, un autre attrape mon autre bras.
« Rhoooo ! Laisse la tranquille, tu ne vois pas que tu l’embarrasse !? »
Valérie, ma guide intervient. Elle se colle à moi et fait glisser sa main sur mon sexe. Sa bouche embrasse mon cou puis son souffle réchauffe mon oreille. Elle y murmure d’une voix douce et sexy :
« Hummm ! Voilà une jeune femme comme je les aime… bien montées.»
La belle n’a pas froid aux yeux, ni aux mains d’ailleurs. Sa caresse fait l’effet voulu et ma verge gonfle à en sortir du string. Experte, elle remonte ma robe et l’attrape à pleine main alors que sa bouche glisse vers la mienne. Elle entreprend de me masturber lentement alors qu’elle explore ma bouche de sa langue.
J’aimerais la prendre dans mes bras, mais les deux homos y sont toujours pendus. Ils ne perdent pas une miette du spectacle et suivent le mouvement de Valérie quand celle-ci descend son joli minois vers mon sexe. Ils ne perdent pas une miette, non plus, de ma queue qui glisse maintenant entre ses lèvres douces et chaudes. Je sursaute quand elle partage ma queue avec eux.
Avec application, ils me sucent à tour de rôle. La triple caresse buccale me fait craquer. Je sens la sève monter en moi et mon sexe avoir des soubresauts. Ils cessent de suite et me laisse en plan avec mon envie de jouir. Ils se redressent tout les trois. Valérie, le regard coquin, me pince le menton et me dis :
« Non, non, non ! Pas question ma belle. Il faudra attendre pour cracher ton venin. Tu jouiras quand je l’aurais décidé. Pas avant. »
Douce torture. Je me concentre et je me calme. Un homme tout de cuir vêtu, que nous avions aperçut en arrivant, viens vers nous et passe derrière moi. Sans ménagement, il descend mon string et écarte mes fesses. Apparemment satisfait, il me claque le cul.
« Hum ! Magnifique ! Si ta bouche est aussi profonde que ton cul, tu m’intéresses. Tiens, goute-moi ca ! »
Il sort une bite courte mais épaisse. Bien qu’être accosté de cette manière ne me plais pas vraiment, je suis impressionné par la masse imposante de cet homme et je m’exécute. Sagement, je m’accroupie et m’applique à satisfaire se gros ours mal léché.
« Et nous ! Et nous ! »
Les deux amis ont eux aussi sortis leurs matériels et me frappe les joues avec leurs sexes gonflés d’envies.
Ma bouche saute d’un membre à l’autre. Je suce j’aspire, je lèche.
L’homme de cuir agrippe mes cheveux et plante son engin au fond de ma gorge. J’attends l’issue fatale sans respirer, puis violemment sa queue explose. Son foutre coule en gros bouillons dans ma gorge et j’avale tout. Il libère ma bouche. Je respire un grand coup en toussant avec la crainte de tout revomir mais tout se passe bien. Le temps que je me remette de mes émotions, il avait déjà disparu.
Les deux homos ayant gagnés un peu de place sont ravis et je les suce l’un après l’autre avec délectation. Une fois fait je me redresse et à leur tour il engloutisse ma queue à tour de rôle. Leurs bouches sont expertes et gourmandes.
Mon envie de jouir me revients, mais Valérie aussi, revient. Elle stop net la fellation, me laissant frustrée une fois de plus.
« Du balais les lutins ! Celle là, elle est à moi et à moi seule ! Déshabillez là et foutez moi le camp !»
Les « lutins » ne se font pas prier et c’est avec un plaisir non caché qu’ils descendent la fermeture éclair de ma robe et qu’ils font glisser celle-ci à mes pieds.
Elle passe sa main derrière ma nuque et se frotte à moi. Je bande comme un cerf et ma queue glisse entre ses cuisses. Dieu qu’elle est chaude. Son string de soie caresse mon membre et une fois de plus l’extase est proche. Elle a un regard de braise, presque insoutenable. J’ignore pourquoi, mais elle m’intimide et je n’ose pas la toucher.
De longs cheveux presque rouges, coulent sur son corps, relevant la courbe de ses seins. Quand ils touchent mon torse, je suis électrisée et la chair de poule me vient. Une fois de plus ma verge est prise de petites secousses révélatrices de mon état. La petite garce s’écarte de moi.
« Et bien, et bien ! Que fais-tu ? Tu n’aurais pas l’intention de te laisser aller, par hasard ? Tu mériterais d’être puni pour essayer de me désobéir ! »
Elle accompagne sa phrase par de petites tapes sur ma joue droite tandis que son autre main me présente un index menaçant qui s’agite devant mes yeux. Inconsciemment je mets mes mains dans mon dos. Je réalise mon geste aussitôt. Je viens de me soumettre à ma belle tortionnaire. Je me sens comme un petit garçon qui se fait gronder et je baisse la tête.
« Parfait ! Parfait ! Je vois que vous avez fait connaissance ! »
La voix de Demaison me sort de ma torpeur.
« Chere Nicky, vous êtes encore plus belle nue. Comment trouvez-vous mon épouse ? Charmante, non ? J’espère qu’elle n’est pas trop dure avec vous, elle est un peu diabolique parfois. »
Valérie l’entraîne à deux pas et lui dit quelque chose à l’oreille, puis ils reviennent auprès de moi.
« Valérie me dis que vous n’êtes pas très sage. Mais comme c’est votre première venue, je ne serais pas trop dur. Venez par ici ! »
Il me prend le bras et m’entraîne deux piliers plus loin. Je me retrouve face à une croix de saint André et avant que je n’ai le temps d’ouvrir la bouche je m’y retrouve attachée par deux gros costauds.
Demaison s’approche et chope mon sexe. Il semble fière de sa capture et me fait les gros yeux.
« Maintenant vous allez être sage, sinon… »
Puis s’adressant à sa femme :
« Chérie, je reste tout prés, appelle moi si tu a besoin. »
« Hum ! Je m’en occuperais plus tard, offre moi à boire, veux tu ? »
Je suis laissée prisonniere de mes menottes, offert aux yeux de tous.
Un instant, entre deux danseurs, il me semble voir Sandy affalée sur un canapé, entourée d’hommes et de femmes, mais tout vas très vite et il m’est impossible de détailler. D’autant plus que ma tortionnaire revient se planter devant moi.
« SURPRISE ! Regarde ce que je t’amène. Elle est belle, hein ? »
Elle agite devant moi un tube surmonté d’un tuyau. Très vite je comprends que l’objet n’est autre qu’une pompe à vide. Elle glisse mon pénis à l’intérieur. Le simple contact de ses doigts me fait rebander très vite.
Minutieuse et appliquée, elle vérifie que tout est bien en place et commence à presser la poire. Je sens ma queue être aspirée, mais je ne pense pas que ce genre de chose me fasse jouir. Elle tourne la molette et l’air rentre de nouveau dans le tube. Je suis surpris par l’effet. Il me semble que mon sexe pèse deux fois plus lourd. Mais je n’ai pas le temps de détailler ma sensation que déjà ma queue est aspirée de nouveau.
Je comprends que je ne résisterais pas à la machine, mais je préférerais, à choisir, la chaleur d’une bouche humaine.
Je serre les poings et ferme les yeux. Drôle de sensation que cette succion mécanique…mais efficace, je dois en convenir.
« Haa ! Arrête ça ! Je vais jouir ! Suce-moi, vite ! Je n’en peux plus ! Viiiite !»
Elle semble en colère et arrache l’appareil. Avant de se pencher elle me glisse à l’oreille :
« Tu me le paiera, petite pute. »
Elle reste bouche ouverte devant mon dard gonflé à attendre que je veuille bien la gratifier de ma sauce.
Est-ce la peur de la punition ? Mais bien que bandé comme jamais, la liqueur au bord des yeux, celle-ci reste en moi. J’en ai mal aux testicules.
Agacée, elle titille mon gland du bout de la langue. Instantanément elle est honorée d’une giclé chaude en plein visage, suivit d’une multitude d’autre, plus ou moins fortes. Je la vois essayer de récupérer un maximum de jus dans sa bouche, mais quand elle se relève et qu’elle plonge son regard souillé dans le mien, je comprends qu’elle n’est pas satisfaite du tout d’avoir été ainsi arrosée.
« Ho ! Je suis confus, vraiment, mais l’envie était si forte. »
Avant de disparaître, elle ne me dit qu’une chose de façon dédaigneuse :
« PUNITION ! »
Je reste là quelques minutes, attachée, la queue pendante, suintante encore de quelques gouttes de sperme.
Les invités ne se gênent pas de venir me voir, me caresser furtivement ou m’embrasser. Je dois bien l’avouer, je me sens très humiliée et honteuse. Pourtant quand monsieur Demaison vient me détacher et me demande si tout va bien, je lui réponds « Oui ».
Sûrement encouragé par ma réponse, il me passe un collier auquel est attachée une chaîne et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Je me sens observée. Dans se tourbillon sexuel, je serrais sûrement plus ridicule si je n’obéissais pas.
Me voilà donc, déambulant entre les canapés et les tables basses.
« Aller ma petite salope, avance ! »
Je me glisse entre deux personnes et… . Je me retrouve nez à nez avec Sandy. Elle est à quatre pattes, prise en levrette. Elle semble avoir beaucoup de plaisir et transpire abondamment. Ses cheveux mouillés balance autour de son visage mais ne cache pas sa stupeur de me voir ainsi.
Je pense que je rougie.
J’entends Demaison derrière moi qui descendant sa braguette et qui me lance :
« Tu vas goutter à l’huissier, ma toute belle ! »
Les yeux de Sandy brillent des mille feux de l’amour. Je ferme les miens quand le gland chaud pousse pour passer ma rondelle. Je n’aurais pas imaginé qu’il soit si bien monté. Il parvient à me faire lâcher un petit cri, puis s’enfonce en moi. Il me sodomise sans ménagement.
Je vois Sandy jouir et je profite que nos visages sont tout près pour lui dire que je l’aime et je l’embrasse. Je jouis à mon tour quand mes entrailles sont inondées par un geyser de foutre gras. Nous nous écroulons au sol et on nous apporte du champagne.

Le retour


Les flambeaux de l’allée sont éteints. Les pneus qui crissent sur le gravier du parc les éloignent de la magnifique demeure. Sandy pose sa tête sur l’épaule de Nicolas. Fatiguée et rêveuse elle laisse des images défiler dans sa tête. Elle revoie son Nico la brusquant et la baisant sans vergogne sur une table entourée de lumière ou encore sa Nicky crucifiée, sans défense.
« Nico…tu m’as manqué, tu sais. »
Il passe son bras droit autour des épaules de sa femme et la serre contre lui.
« Toi aussi mon cœur. C’est dans les moments difficiles qu’on a le plus besoin de l’autre. »
« Quels moments difficiles ? »
« Ben ! J’ai été torturé tout de même. »
« Tu vois, c’est pas simple d’être une femme. »
Ils éclatent de rire.
Le soleil se lève sur les immeubles de banlieue. Nico se gare près d’un parc. Très pimpant dans un costume que lui à prêté Demaison, il invite Sandy à respirer les effluves de la nature qui s’éveille doucement. Ils marchent quelques minute et s’arrête sous un saule pour s’enlacer et s’embrasser.il n’en faut pas plus pour réveiller leurs libido. Leurs corps se serrent, se frottent. Les caresses deviennent coquines et chaudes. Soudain Nico se recule un peu.
« Dis-moi Sandy. Cette fille qui nous a offert une coupe de champagne…tu la connaissais ? Elle te semblait bien proche ? »
« Hihihi ! C’est Julie, ma nouvelle meilleure amie. Hihihi ! Elle te plaît ? Elle te plaît, hein ? Avoue ! »
« Invite la, je vais te montrer ce qu’elle va prendre ! »
Mêlant le geste à la parole…

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Texte coquin : La gloire de Nicky II
Histoire sexe : Une rose rouge
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