Damien (26) Abidjan – Sandji (2)

- Par l'auteur HDS Kati -
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Damien (26) Abidjan – Sandji (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (26) Abidjan – Sandji (2)
Je vis que bien que Sandji ait joui, son phallus était toujours en érection mais je savais maintenant que dans ce pays, les hommes devaient jouir plusieurs fois avant de débander.
Je pris la position demandée en écartant bien les cuisses pour ouvrir mes miches, mon amant dit "C'est bien petite pute,
j'aime bien te voir tendre ton cul comme ça, tu es bien une
véritable salope, un vrai trou à bite".
Mon homme se mit à genoux derrière moi et glissa son énorme gland dans le sillon de mes fesses.
Quand je pris conscience de la taille de ce qui allait me rentrer dans le trou du cul, je fus saisi d'une terreur incontrôlable car je savais en plus que mon mec n'y mettrait aucune douceur.
Complètement effrayé je tentais de me dérober mais me maintenant solidement aux hanches Sandji me dit "Mais où veux
-tu aller petite pute, tu as peur de la grosse bite de
Sandji, il ne faut pas, elle va bien casser ton cul de
salope.
- Je t'en supplie fais doucement au début, ta bite est
superbe mais elle est énorme.
- Ne t'inquiète pas petite salope, elle rentrera dans ton
joli petit trou du cul de pute.
- Je le sais mais fais attention de ne pas me déchirer.
- Mais non je ne vais pas te déchirer ma petite putain, je
vais tout simplement t'enculer comme tu dois l'être.
- Mais...
- Ferme ta gueule sale pute, ce n'est pas moi qui est venu te
chercher, c'est toi qui est venu me mettre ton cul sous le
nez et me demander de te trancher la rondelle, alors tu
veux que je t'encule et bien je vais bien t'enculer comme
tu le mérites pouffiasse".
Mon amant positionna son phénoménal bout durci contre l'entrée de ma grotte intime et me dit "C'est vrai que ton trou du cul
est bien petit à côté de ma bite mais ça va rentrer quand
même".
Mon homme me lubrifia l'anus en frottant la tête de son puissant sexe puis il me dit "Allez serres un peu les dents
salope, Sandji va t'enculer".
Tout en continuant à me coincer d'une main ferme mon mec posta son gland turgescent contre mon œillet puis d'un coup de reins il m'introduit son fabuleux bout durci entre les reins.
Mon sphincter résista quelques instants et quand la virilité pénétra en moi je crus qu'on m'ouvrait en deux, une violente brûlure m'envahit, je poussais un hurlement de bête blessé et des larmes jaillirent des mes yeux.
Sandji d'un deuxième coup de reins m'enfila jusqu'à la garde, quand je sentis contre mes lobes charnus bouillants les poils follets de son pubis je sus qu'il était en moi complètement.
Jamais je ne m'étais senti aussi rempli, j'avais l'impression que mon anneau allait se rompre tant j'étais écartelé.
Mon amant resta immobile me laissant m'habituer à l'incroyable présence qui m'obstruait le fondement et je pleurais à chaudes larmes.
Me mettant une claque sur les fesses mon homme me dit "Tu vois
ma petite salope, ma grosse bite en toute entière dans ton
petit trou du cul, c'est bien ce que tu voulais alors
arrête de chialer comme une sale pute que tu es.
- J'ai mal.
- Ce n'est rien, bientôt ton petit trou du cul va s'ouvrir et
je vais bien te le casser en t'enculant.
- Je t'en prie fais doucement.
- AH AH AH !! Doucement mais pourquoi ce n'est pas la peine
tu vois bien que toute ma queue est dans ton cul de salope.
- J'ai peur que tu me déchires.
- Mais non salope, je vais te l'élargir ton petit trou c'est
tout.
- Mais...
- Tu peux dire ce que tu veux, je suis dans ton cul et tu ne
me feras pas en sortir avant que je t'ai bien enculé et que
j'ai tiré mon coup.
- Je sais...
- Alors ferme ta grande gueule de pute et laisse-toi enculer
car c'est la seule chose que tu mérites, tu sais d'ailleurs
je crois que je ne vais pas sortir de ton trou du cul avant
de m'être complètement vidé les couilles et je te garantis
que ça va être long, je vais t'inonder de sperme salope. Ah
tu veux de la bite noire, tu vas en avoir espèce de petite
pédale, je vais complètement le casser ton trou du cul de
salope. Allez prépare-toi à encaisser l'enculade de ta
vie".
Pendant ce temps là mon canal s'était un peu détendu et la douleur était moins vive, mon mec me dit "Je suis bien dans
ton trou du cul ma salope, ma bite est bien serrée par ton
fion de pédale".
Sandji me mit une claque retentissante sur la croupe et posant ses mains sur mes hanches il se mit à aller et venir lentement en moi m'arrachant à chaque passage des cris de douleur.
Peu à peu mon anneau se décontracta, la souffrance faisant place à une douce langueur, la puissante pine se mit à aller et venir un peu plus librement dans mon tunnel.
Mon amant me prenait de toute la longueur de son sexe le sortant presque entièrement de mon cul pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Ma pastille céda complètement et le phallus se mit à coulisser en moi sans gène aucune.
Je rejetai la tête en arrière et les yeux clos je savourai le plaisir qui prenait possession de mon corps sous les lents mais non moins virils coups de reins que mon homme m'assénait.
Au bout de quelques instants de ce traitement je me mis à soupirer de bien-être, j'entendis Sandji qui me disait "Ca y
est ma petite pute ton petit cul est bien ouvert, je vois
que tu aimes te faire trancher le cul, tu vas voir je vais
bien te baiser, je vais bien t'aléser. Tu sens comme je te
nique bien hein petit pédé ? Tu sens ma bite dans ton petit
derrière ?".
Tout à mon plaisir je me mis à rouler des hanches en cadence.
Je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement au merveilleux pénis qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus la rondelle chaque fois qu'il plongeait au tréfonds de mes entrailles.
Je planais littéralement sous les virils coups de bite que je recevais
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement, mes soupirs s'étaient mués en râles profonds et je tendais ma croupe pour accentuer la pénétration.
Le plaisir que je ressentais était intense, tout mon être était en feu, pour moi seul comptait le phallus qui me cassait la corolle.
Je bramais maintenant sous les violentes poussées que je recevais.
Mon amant me pilonnait toujours l'arrière-train en de lents assauts, en dehors de mes cris on entendait le bruit de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le priape distendu.
Des boules de feu, prenant naissance dans mon bas-ventre, explosaient sur mon visage, je ressentais un plaisir inouï.
Longtemps mon homme me besogna de la sorte et je hurlais sans discontinuer sous ses coups de boutoir répétés.
Ma tête reposait maintenant sur le matelas nauséabond et j'étais en appui sur les avant-bras de telle sorte que j'avais le cul en l'air totalement offert.
Mon mec avait posé ses mains sur mes épaules et m'enfilait avec une régularité de métronome.
J'avais atteint la plénitude rectale et je me mis à délirer.
Un orgasme me foudroya, je hurlais à plein poumon tout en griffant le matelas.
Je tendis mon cul vers la verge qui me démolissait le sphincter pour accentuer la pénétration puis je tombai lourdement au sol en perdant connaissance.
Quand je revins à moi j'étais allongé à plat ventre, cuisses écartées.
Sandji couché sur moi me possédait en de vigoureux coup de reins, voyant que je n'étais plus inconscient mon amant me dit "Alors petit pédé c'est bon ce que je fais à ton cul ? Tu sais
il est complètement éclaté, ma bite la fouille à fond et ce
n'est pas fini je me sens comme un taureau je crois que je
vais te niquer encore longtemps, allez tourne-toi pour que
je te baise encore mieux, que je t'enfonce toute ma queue
dans ton trou du cul sans être gêné par tes fesses de
salope".
Mon homme se retira et je me mis sur le dos.
Il prit mes jambes et les replia vers mon torse de telle sorte à ce que mon intimité ressorte au maximum.
Le phallus érigé de mon mec était tout luisant de sécrétions intimes et maculé de traînées brunes.
Il positionna son gland à l'entrée de mon antre affamée et m'enfessa jusqu'à la garde d'un violent coup de reins qui me fit gémir, il me dit "Ah là tu ne chiales plus salope, tu
gémis comme une sale pute que tu es, tu en veux de la bite,
je vais t'en donner sale petite pute".
Sandji se mit à me besogner en de violents coups de boutoir qui me faisaient avancer sur le matelas chaque fois que le pénis se plantait au fond de moi.
Le désir, un instant calmé, ne fus pas long à renaître en moi.
Mon amant me pilonnait l'anus à une vitesse folle, j'avais l'impression que s’il continuait comme ça il allait me déchirer complètement le fion mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Tout mon corps n'était plus que jouissance, mes hurlements avaient repris et je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait.
Les puissants assauts que homme m'assénait me faisait basculer un peu plus chaque fois dans le plaisir, je ne vivais plus que pour et par le membre qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus le cul chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos tout à mon plaisir je bramais sous les coups de boutoir répétés.
Je ne sais combien de temps mon mec me baisa de la sorte, son ventre musclé claquait contre mes fesses portées au rouge à me faire mal.
Les mains posées sur mes chevilles il me possédait de toute la longueur de son superbe priape d'ébène, chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde il me lançait des "Tiens salope
prends ça dans ton petit cul".
J'avais atteint la plénitude rectale et je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de mon cul, Sandji éjacula en feulant.
Ses abondants jets de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur.
Mon corps s'arqua sous mon amant, un hurlement strident pulsa de mes lèvres.
Je tendis mon fessier vers le sexe qui continuait à se vider en moi pour accentuer la pénétration puis je retombai lourdement sur le sol flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis le pénis encore dur de mon homme sortir de mon tunnel et je restai allongé, yeux clos, cuisses écartées écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.

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Texte coquin : Damien (26) Abidjan – Sandji (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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