Postière

- Par l'auteur HDS Orenbarre -
Récit érotique écrit par Orenbarre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Postière Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Postière
Bonjour à tous, je lis souvent des histoires sur hds et ai décidée de participer à mon tour. Nous dirons que je m’appelle Nina. J’ai tout juste trente ans, mariée à un homme adorable qui prend soins de moi. Je suis châtain aux yeux noisettes, de taille moyenne : environ un mètre soixante cinq et poids plume puisque je ne pèse que cinquante trois kilos.
Je travaille à la poste, au guichet et ce jour là, environ la fin du mois de Juillet de cet été, la journée avait commencée comme à son habitude durant les périodes de vacances : le personnel étant restreint à cause des congés, je devais avant de prendre le guichet effectuer différentes petites tâches. C’est assise dans un bureau, effectuant une tâche comptable sans grand intérêt que tout d’un coup je me suis rendue compte que ma culotte était trempée !!! Discrètement je relevais ma jupe et
mis ma main dans ma culotte… De la cyprine, je venais de larguer de grosses quantités de cyprine, comme ca, sans rien qui motive la chose… C’était bien la première fois qu’une telle chose m’arrivait, pas que je ne mouille pas facilement, non, mais quand même, mouiller tant devant un boulot rébarbatif c’est peu commun !
Du coup bien que passablement étonnée et surprise, je sentis une douce chaleur envahir le bas de mon ventre… Ca y est, j’étais bel et bien excitée…

Je partis au wc m’essuyer l’entre cuisse et me dis qu’il faudra que je parle à mon mari de cette aventure… Nul doute qu’il trouvera une solution pour calmer mes envies soudaines !

Il était alors environ dix heures du matin, heure où je dois prendre mon tour à l’accueil. Les clients se font rares, ma petite ville n’étant pas touristique, l’été c’est un peu «mort ».
M’ennuyant un peu je laissais courir mon imagination… qui m’amena d’elle-même vers des pensées coquines… J’essayais tant bien que mal de réprimer ma lubricité mais la chaleur saisonnière ne m’y aidait guère !

Un premier client fit son apparition, un homme d’environ quarante ans, cheveux brun, baraqué, le visage marqué par une vie que j’imagine rude. Il me tend un paquet, je remarque ses grosses mains, des mains de travailleur manuel. Le personnage est peu bavard et cela ne met pas fin à ma rêverie érotique… Bien au contraire, tout en m’occupant de lui faire remplir un papier afin d’expédier son colis, je fantasme discrètement sur ses mains aux doigts épais, je les imagine me touchant partout sur le corps, me caressant les seins, les reins, le ventre, les cuisses… L’intérieur des cuisses… Mmmhh
Une « bonne journée » met fin à mon songe et je vois l’homme sortir du bureau… Décidément il fait vraiment chaud en ce début de matinée, la journée s’annonce caniculaire !

Un second client rentre quelques minutes plus tard. Visiblement un employé de bureau : allure sobre, cheveux coupés ras, petites lunettes, l’air sérieux… Le monsieur semble timide, presque coincé ! Il doit avoir mon âge mais est habillé comme un homme de cinquante ans… Il n’est pas vraiment viril mais décidément, ce matin, mes gouts en matière masculine semblent englober une palette très large !
Pendant qu’il me parle de mandats et de chéquier postal, je le regarde dans les yeux, visiblement il est gêné, cela m’amuse… Il bafouille un peu, hésite sur les mots… Je prends alors un air un peu aguicheur, coquin, pour pousser encore plus l’expérience…Il desserre sa cravate et le rouge monte à ses joues. Je lui fais de l’effet et cela m’émoustille…
Une fois que je lui ai donné les renseignements qu’il désirait, il ne part pas tout de suite, il semble hésiter à me parler, je le regarde de façon provocatrice, mes yeux semblent lui jeter un : « tu n’oseras pas me draguer, m’allumer… » Et mes yeux ont raison puisqu’il tourne ses talons et prend la direction de la sortie.

A nouveau seule je prends un grand verre d’eau pour calmer mes ardeurs… Mais qu’est ce qu’il m’arrive ? Moi d’habitude si réservée avec les hommes, voilà que je me mets à en allumer un qui en plus n’est pas mon style du tout !

Un troisième client fait son apparition… Si le client, style comptable à lunette coincé qui vient de sortir n’était pas mon genre celui là entre carrément dans la catégorie repoussant !
Laid, mal fichu avec un ventre bedonnant, il a des lunettes en « cul de bouteille », des lèvres tordues, un menton mal rasé. Les quelques cheveux qu’il lui reste sont en bataille et d’une propreté douteuse… Ses petits yeux donnent à son regard un air lubrique… Et c’est bien ça le problème… Du coup cela m’excite grave ! Je me trouve dans la position de la fille inaccessible, désirée par un type moche libidineux, un type qui n’a jamais du coucher qu’avec des prostituées… Il semble s’apercevoir de mon trouble et n’hésite pas à me déshabiller du regard… Je lui tamponne maladroitement ses lettres, mes mains sont poisseuses et tremblantes… Je pense très fort : « calme toi ma fille » mais cela semble plus fort que ma volonté propre : voilà que je mouille encore d’une façon abondante… Le client me parle de la pluie et du beau temps, je l’écoute à peine et ne répond guère, d’ailleurs difficile de parler quand on a la bouche aussi sèche… Lui au contraire à la bave aux lèvres, on dirait qu’il veut me dévorer, me croquer, me déguster… La vision de se gros dégueulasse sur mon jolie corps, palpant mes courbes et ma peau satinée me met en émois… Mais malheureusement, heu… Que dis je … fort heureusement une cliente arrive et met fin à ce petit jeu… le bedonnant s’en vas et j’ai devant moi une jolie jeune fille toute fraiche et tout guillerette.

Je la connais un peu, c’est la fille du pâtissier : la vingtaine, blonde aux yeux bleus… une véritable poupée. En plus de cela elle pétille de vie et est très diserte. Elle parle beaucoup : de la destination de ses futures vacances, de ses études, des ses copains et copines, de ses parents etc… Elle n’a qu’une lettrer à poster mais nous papotons une bonne demi-heure. Elle rit beaucoup, elle est très sympathique, très « solaire »… Mais que m’arrive-t-il ? Voilà que je prends conscience que cette gamine m’attire !!! Est-ce que je deviens folle ? C’est bien la première fois qu’une femme me fait de l’effet ! Je me surprends à lui mater les seins, les fesses… Ses courbes sexy et voluptueuses… Mon dieu qu’elle est belle ! Je regarde ses lèvres pulpeuses, elles me donnent envie de les embrasser à pleine bouche, d’y engouffrer ma langue fureteuse… J’en salive !
Elle me parle de mode, de sa tenue qu’elle a achetée hier : c’est une robe courte, elle virevolte sur elle-même pour me la faire admirer… Qu’elle beauté ! Puis d’un coup elle regarde l’heure et s’affole, elle va être en retard pour un rendez vous chez son coiffeur…

Je suis encore sous le choc, en l’espace d’une heure et demi j’ai, de façon incontrôlé, fantasmée sur quatre personnes aussi différentes l’une que l’autre ! Je déboutonne un peu mon chemisier ce qui laisse apparaître ma poitrine… Oh juste un peu ! Rien d’indécent, tout au plus provoquant… Mais bon, il fait tellement chaud…

Quelques minutes passent, la porte du bureau de poste s’ouvre à nouveau sur un homme : Brun, de taille moyenne, les yeux bleus, une barbe de trois jours, un sourire en coin… Le style mauvais garçon, sur de lui, sur de sa virilité… Et bien ! Il ne me manquait plus que ça !!!
C’est l’inondation dans ma culotte ! Au feu les pompiers ! Il me faut une grosse lance à incendie pour éteindre ma chaudière interne ! Le mec me mate et me drague ouvertement… C’est terrible ce que j’ai envie de lui… Mais non il ne faut pas que je cède, je le regretterai, je ne connais rien de lui… Et puis je suis mariée et j’aime mon mari !!! Mais c’est un supplice, ma foufoune est en furie et mon ventre va exploser… Solange, une collègue entre dans le bureau pour venir me relever, il est
midi est c’est l’heure de ma pose…

En tant normal je rentre manger à la maison mais aujourd’hui je prends bien vite la direction de l’entreprise où travaille mon mari. Je sais qu’entre midi et une heure il est seul au bureau, il reste garder l’entreprise tandis que les autres vont déjeuner… Puis vers treize heures quelqu’un vient le remplacer. Cette heure de « gardiennage » est pour lui un moment de détente où il en profite pour lire ses mails et jouer à quelques jeux sur l’ordi ! Mais aujourd’hui, changement de programme… Aujourd’hui il va falloir qu’il s’active… J’ai des projets plus sportifs… Plus physiques…

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Texte coquin : Postière
Histoire sexe : Une rose rouge
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