les cadeaux de mes 18 ans.

- Par l'auteur HDS Billyboy -
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : les cadeaux de mes 18 ans. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2010 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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les cadeaux de mes 18 ans.
Avant toute chose, le récit que j’écris est VRAI. Il va sembler fantaisiste sorti de l’imagination d’un adolescent et pourtant je l’ai bien vécu à mon plus grand plaisir.

Je voulais raconter ma première fois avec une femme puisque j’ai raconté celle avec un homme.
Après mon histoire avec l’Américain, je ne l’ai plus revu. De toute façon je ne voulais plus le voir, je continuais donc à passer mon temps chez mon meilleur ami. Il avait deux choses que j’enviai : Sa mère et sa sœur. Sa mère est en résumé le sosie de Cristina Réali avec plus de chair et plus d’année. Mais quelle chair. C’était une femme divorcée qui vraiment est très belle et bien conservée puisqu’elle fait du fitness. De jolis yeux bleu, brune, 1m80 je dirais pour 60 kilos. C’était une femme jeune d’esprit malgré ses 45 ans. Ses gracieuses rides étaient présentes et voyantes, son seul défaut c’est qu’elle fumait. Elle me plaisait vraiment. Plus le temps passait plus j’étais présent chez eux. Je dormais à peu prés chaque Week-end et dînait de temps à autre. Je connais mon meilleur ami depuis que j’ai 17 ans et l’histoire se passe à l’approche de mes 18.

On s’entendait bien elle et moi, on discutait de tout, et puis étant ouverte et jeune d’esprit, ce n’était pas la vieille qui ne daigne répondre aux amis de son fils. Pour le prouver un soir on dînaient avec la sœur et le fils et dans une petite dispute mon meilleur dit :

- Arrête de le sucer ! (Expression de jeune pour dire léchage de bottes car elle était d’accord avec moi sur un sujet).

Choqué du manque de respect, sa mère se contenta en haussant le ton :
- Déjà tu te calmes et si je faisais ce que tu dis je serai pas dans cette position !
Bon ça n’engage à rien mais bon ça laisse rêveur. Jamais je n’aurais osé tenter quoi que ce soit, comme lui prendre la main ou lui toucher les fesses. Je me disais que ce genre de plan ça ne fonctionnait que dans les films porno américains des années 90.
Les choses commencèrent un matin, mon pote dormait profondément et comme j’étais déjà réveillé je décidais d’aller prendre une douche. Je me suis dit qu’elle devait déjà travailler et donc sorti de la chambre en caleçon sur la pointe des pieds. Bon j’avais aussi peur que sa petite sœur ne soit déjà réveillée et me voit. La maison était calme, croyant que la salle de bain soit vide, vu qu’il n’y avait ni lumière, ni bruit, ni vapeur, rien, je pousse la porte. Et c’est la que je la vois, serviette autour de la poitrine s’arrêtant a mi-cuisses voire même plus haut. Je rougissais légèrement m’excusant puis elle me sourit :

- T’excuses pas, j’aurais du fermer. Tu peux venir prendre ta douche si tu veux c’est libre.
- Ah oui mais vous n’êtes pas prête, je peux repasser dans 5 minutes ça me dérange pas.
- Mais non t’inquiète pas va. Elle ne se gênait de regarder mon caleçon en se coiffant.
Je ne savais vraiment pas quoi faire, si c’était une invitation et que je la repousse ça l’aurait vexée. En même temps à l’époque je me faisait vraiment trop de films.
Très gêné je grimpais dans la baignoire et sur le chemin je vis au sol sa petite nuisette mauve et son shorty assorti. Je tirais donc le rideau et je l’entendais chantonner. Je retirais mon caleçon et passais la main derrière le rideau pour le poser sur les toilettes. L’idée de me doucher alors que je suis à deux mètres d’elle m’excitait énormément. Je ne pu m’empêcher de bander rapidement. J’avais surtout peur que son fils arrive et ne voit la scène.

- Je n’ai plus de serviette propre alors je te laisse la mienne d’accord ?
- Oui oui merci.
- Je te la pose sur l’évier.
Gêné je faisais durer la douche pour ne pas à devoir sortir nu ou lui demander la serviette. Je sortais donc quand elle sorti et m’empressais de m’enrouler de la serviette pour au moins être décent au cas où. Et bien-sûr c’est à ce moment là qu’elle entra à nouveau. Heureusement bien couvert mais en eau, elle se contenta de me sourire et de jeter un regard furtif vers mon entre-jambe. La serviette bien enroulée donc bien tendue moulait la bosse de mon sexe fraîchement retombé. Je regagnais rapidement la chambre pour me rhabiller. Rien que cette « aventure » me faisait fantasmer. Les autres jours, je ne me gênais pas pour la mater en jean moulant et autre décolleté. Et je crois bien qu’elle faisais exprès elle aussi de se pencher devant moi pour que je regarde son décolleté, surtout quand elle me servait à manger ou qu’elle rangeait le salon. Un jour je devais me rendre chez mon pote mais il était encore en cours, en arrivant chez lui il me dit par sms qu’il ne serai pas là avant une bonne demi-heure. Je lui ai répondu que j’attendrais chez lui comme y avait sa mère. Uniquement elle, même pas la petite sœur. Je sonne, j’entre. Je ne lui faisais jamais la bise, juste un simple bonjour amical en souriant.
- Je devais voir votre fils mais il est encore au lycée, j’ai un peu trop d’avance je crois. Ça vous dérange pas si j’attends ici ?
- Non du tout, regarde la télé ou joue à la console en attendant.

J’obéissais donc et me posais tranquillement, je la voyais du coin de l’œil faire ses comptes. Jambe croisées , collant, jupe aux genoux. Elle était coiffeuse à domicile, travaillait donc quand elle voulait. Ça devait être un jour de repos pour elle. Entre temps on discutait, forme de politesse, « comment ça va ? » etc. Je la faisais toujours rire, je ne sais pas pourquoi, mais en même temps j’ai toujours su faire rire les filles. Le soir je devais dormir chez eux encore, c’était un vendredi. Après qu’elle ai finit ses comptes, elle s’assit prés de moi et jeta sa tête sur mon épaule comme le ferais une gamine :

- Ah j’en ai marre de faire les comptes !
- Le désavantage d’être adulte. Elle me sourit, je sentais ses jambes recroquevillées sur les miennes.
- Marie (la fille) ne dors pas là ce soir, elle dors chez une copine. On sera que tout les trois. J’aurai bien voulu vous laissez profiter de la soirée tous les deux et sortir mais j’ai pas d’hommes pour me tenir compagnie.
- Ah c’est étonnant.
- Et pourquoi ça ?
- Eh bien…vous êtes vraiment très jolie, donc vous ne devriez pas avoir du mal a trouver. Je me demandais ce qui me passait par la tête de dire ça
- Ah c’est gentil merci beaucoup. Elle posa sa main sur ma cuisse en guise de remerciement.

Pour plaisanter je fis de même et posa ma main sur l’une de ses cuisses couverte de son collant.

- Eh bien de rien Madame ça vient du cœur, c’est sincère. Je ne pensais pas qu’elle entrerait dans un jeu. Je penserais qu’elle enlèverait ma main où même que j’aurais eu la présence d’esprit de la retirer mais elle se contenta de me sourire à nouveau et de se coller mieux à moi.
- Alors vous voulez manger quoi ce soir ?
- Eh bien ça m’importe peu, le plus facile pour vous. Elle se mit à caresser ma cuisse.
- Eh bien…pizza !
La soirée se passait bien, on rigolaient tout les trois. Elle et moi étions quand même proches, on parlaient souvent entre nous en fin de repas, je l’aidais à débarrasser, faire la vaisselle etc. Elle s’amusait à me donner des coups de fesses pour me déséquilibrer. Et le mieux dans tout ça c’est que ses enfants ne se doutaient de rien. Au fil du temps je prenais plus de plaisir à aller chez lui pour voir sa mère plutôt que d’être avec mon ami. Le temps passait encore presque un an que je le connaissais et environ deux mois que j’étais « proche » avec sa mère. Le comble aussi c’est qu’avec la petite sœur de mon ami, on s’entendait très bien aussi. Elle était légèrement plus jeune que moi. Quand je l’ai vu la première fois je me souviens que j’ai eu le coup de foudre. Bien en chair aussi, avec une grosse poitrine pour son âge. Mais bon elle était assez immature, mais ça nous arrivait de temps en temps a l’abri du regard de son frère de s’enlacer quelques secondes.

Je venais de fêter mes 18 ans chez eux, comme toujours on s’amusaient bien. Dans la nuit je voulais évacuer quelques verres de champagne et devait passer par la cuisine pour aller aux toilettes. Et là je la vis, avec une petite bougie sur la table encore en bazar. Elle semblait déprimée. Je lui demandais si tout allait bien, elle me dit que oui, puis après persistance m’avoua finalement que ça faisait déjà un an que je faisais partie de la famille et qu’elle était toujours seule, ça la déprimait. J’essayais de trouver les mots juste pour la consoler, lui dire qu’elle trouvera mais rien ne marchait. J’étais derrière elle, mes mains posées sur ses épaules. Au bout d’un moment de silence, elle les saisit et se tourna vers moi gênée :

- Tu voudrais dormir avec moi ce soir ? je veux vraiment pas dormir seule.
- Eh bien euh… Elle semblait vraiment triste, ça me troublait de la voir comme ça.

J’avais une boule au ventre, je me disais que là c’était plus qu’une invitation. Je finis par accepter. Elle me sourit et monta dans sa chambre au grenier. J’y allais souvent jouer à la console quand la télé du salon était prise. C’était un grenier aménagé, très simple, douillet. Des fois je voyais des boxer qui traînaient. Je lui ai dit que je devais d’abord aller aux toilettes avant. Ce que je craignais est que, l’escalier qui menai à sa chambre était en vieux bois, il grinçait quand on marchait dessus, et la chambre de mon ami était juste en dessous. J’avais terriblement peur de le réveiller et qu’il vienne voir ce qui se passe. Je pense pas qu’il aurait aimer voir son meilleur ami dormir avec sa mère.

Je grimpais donc les marches lentement et le plus silencieusement possible. De plus l’escalier était bien raide, j’avais l’impression d’escalader une montagne sans devoir réveiller le Yéti. Finalement en haut sans trop de bruit, je poussais la porte sans la fermer sinon ça ferait encore du bruit. Il faisait assez sombre, son lit était dans un coin de la chambre et j’entendais sa douce voix.

- Viens Emmanuel.

J’avançais doucement, cette fois-ci j’avais un tee-shirt mais toujours en caleçon. Je la vis éclairée par une petite lampe de chevet posé au sol. Elle avait un lit japonais, en gros un matelas posé au sol mais bien confortable. Elle rangeait ses vêtements. Elle portait de nouveau cette nuisette mauve. Je me glissais sous les couettes et regardait en secret ses cuisses quand elle se penchait.

- Désolé c’est vraiment le bazar.
- C’est rien ne vous inquiétez pas. Elle finit par se mettre avec moi sous la couette aussi, puis se tourna vers moi. On devait parler tout doucement.
- Tu sais quand on est que tout les deux tu peux me tutoyer et m’appeler Catherine, ça me gêne pas, elle me sourit.
- Oh non ça me gêne de vous tutoyer. Elle glissa ses jambes entre les miennes tandis qu’elle se retourna pour éteindre la lumière.
- Je meurs de froid, soupira t-elle. Je pris l’initiative de frotter ses cuisses vivement pour les réchauffer. Ses jambes étaient vraiment très douce.
C’est la première fois que tu dors avec une femme non ?
- A vrai dire oui…et vous avec un jeune homme. Elle rigola à nouveau.
- Demain matin, tu devras te lever tôt pour retourner en bas sans bruit avant que mon fils se réveille.
- Oui mais avec un escalier qui grince c’est pas évident !
- Vaut mieux un escalier qui grince plutôt qu’un lit.
Sans m’en rendre compte je remarquais que je caressais ses cuisses et ses mollets plutôt que de les frotter pour les réchauffer. Elle avait une main sur mes reins et l’autre contre mon torse.
- Vous dormez ?
- Si je dormais est ce que je caresserais ton torse ?
- Eh bien oui si vous êtes somnambule.
- T’es bête. Elle se rapprocha de moi et mit sa tête au creux de mon épaule. J’étais plus que troublé de la situation. Je me mit à bander rapidement mais heureusement ça ne se sentais pas. Je m’endormis aussi vite quand elle s’endormit en première.

Le lendemain je me réveillais naturellement et constata. Moi sur le dos, tee-shirt bien remonté, et elle recroquevillée sur moi, sa tête sur mon torse, une main dans mon caleçon, enfin seulement trois doigts, et ses jambes sur les miennes. Elle dormait là paisiblement, je sentais son souffle sur mon torse, une bretelle de sa nuisette était tombée, je sentais sa poitrine contre mes côtes. Je l’enlaçais par la taille. Je la secouais tout doucement pour la réveiller, elle gémit de plainte.

- Faut se réveiller…
- Il est encore tôt non ? Reste un peu s’il te plait…Elle se colla encore plus a moi et semblait endormie. Il fallait absolument que je redescende, je ne voulais pas prendre de risque. Je m’extirpais doucement mais elle me tenais par le bras, elle semblait s’être réveillé.
- Ce soir on dors encore ensemble ? J’ai vraiment bien dormie dans tes bras.

Je ne pouvais pas lui dire non et contente me dit de ne pas faire de bruit en descendant. Ce que je fis. Bien-sur il grinçait encore, je prenais mon temps, ça a du prendre au moins 5 minutes pour 20 marches. Je regagnais la chambre, j’ouvris tout doucement la porte et l’entendis ronfler. Ouf ! Il dormait encore et ne s’était aperçu de rien, en même temps il a le sommeil lourd. A ce moment précis où j’allais tout gagner, j’entends la porte d’en face s’ouvrir et je vois sa petite sœur sortir à moitié réveillée.

- Bah t’es déjà debout ? Elle portait un long tee-shirt, je n’osais pas imaginer ce qu’il y avait dessous.
- Oui je suis allé aux toilettes, ça m’a réveillé. Le mensonge me donnait une nouvelle boule au ventre. Elle me sourit, puis vint m’enlacer.
- Ca fait quoi d’avoir 18 ans alors ?
- Bah écoute, tu le sauras bientôt, toi c’est dans un mois non ?
- Oui…Elle m’embrassait dans le cou. J’oubliais qu’on était proche elle et moi.
- Je t’ai tant manqué que ça ? Je l’enlaçais.
- Oui beaucoup. Je voulais trop que tu dormes avec moi cette nuit.
- C’est impossible tu le sais.
- Et pourquoi ça ?
- Car ton lit grince trop ! Il est en alu, quand tu bouges même les deux portes fermées je t’entends. T’imagine si ton frère nous entendait nous coucher ou même me lever ?!
- Bah c’est moi qui viendrais alors. Elle plaisantait.
Sinon on dors dans le matelas, pas obligé de prendre le lit superposé.

- On verra, t’inquiète pas. Bon j'vais aller me recoucher.
- Attends…Elle saisit mes mains et les passa sous son tee-shirt, puis les posa sur ses fesses. Elle ne portait pas de sous-vêtement. Je les sentit, fermes et chaudes.
Joyeux anniversaire… Elle me sourit puis quitta le couloir.

Encore sous le choc, je me recouchais soigneusement, la tête plein de doutes et de bons souvenirs pour mes 18 ans. Mais ce n’était qu’un début…

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