chaud le sauna

- Par l'auteur HDS Olisbos-01 -
Récit érotique écrit par Olisbos-01 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : chaud le sauna Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2010 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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chaud le sauna
Par un après midi tristounet du mois de novembre, il faisait trop froid, trop gris, et les routes étaient impraticables. Je me trouvais coincé dans cette ville de chalon ou je n avais rien à y faire. Il était 14h30, et je passais devant un sauna je décidais de me garer, et d'aller me réchauffer dans cet endroit prometteur.
L’accueil y fut très bref, et je me retrouvais aussitôt à me dévêtir dans ce vestiaire assez basique. Une fois nu, j'enroulais cette petite serviette autour de ma taille, et franchissais le rideau pour aller explorer les lieux.
Un petit couloir débouchait à la salle des douches. Un jet bien chaud me permit de ne plus craindre ma nudité frileuse. Juste après, beaucoup de serviettes étaient accrochées sur des vestiaires en face du hammam. Je posais ma serviette également et pénétrais dans cette pièce aussi chaude et humide qu'obscure.
Je ne voyais rien du tout. A tâtons, je pus me rendre compte que toutes places assises étaient occupées, et je dus me résigner à rester debout au centre de la pièce. Ce que je n'avais pas réalisé, c'est que je m'étais posté en face d'une rangée de bancs, et mon sexe était à hauteur du visage de ceux ou celles qui y étaient installés. Je m'en rendis compte quand je sentis tout à coup une main se saisir de mon sexe encore au repos, et directement être aspiré par une bouche très sensuelle, et très gourmande. C’était plus qu'agréable. Ma queue était soupesée, léchée, une langue experte faisait le tour de mon gland tandis que la main du propriétaire me masturbait délicatement. Il n'a fallu que quelques instants pour avoir une érection des plus tendues, et apprécier ces jeux de langues et de mains. A la limite de l'explosion, je me reculais de cette bouche experte, et essayais moi aussi de toucher cette personne si dévouée. Un corps lisse, mais pas de seins, et sous le nombril, une verge tout aussi dressée que la mienne. Je jouais avec quelques secondes, avant de me retirer complètement et de quitter cet endroit pour reprendre mes esprits.
Bien sûr, au passage, d'autres mains, voyant mon érection, m'ont tripoté, me faisant bander encore davantage.
Une fois dans le couloir, je repris l'exploration de ce sauna, et entrais cette fois dans la pièce du même nom. Là, la faible lumière permettait cependant de voir nettement les quelques hommes dans la pièce, en train de se masturber, ou de masturber discrètement leur voisin. Quitte à passer un moment sex, j’espérais tomber nez à nez, si je puis dire, avec une personne du sexe opposé. Les soins câlins semblaient être occupés, la blackroom, qui donnait accès à une vitre où l'on pouvait mater les ébats de ceux qui étaient dans la pièce voisine, et ou des trous dans la cloison, permettaient d'y glisser une main ou sa queue pour de savants attouchements. Mais la pièce était vide. Je me résignais à retourner dans le hammam, où l'accueil fut chaleureux tout à l'heure. Il était cette fois désert. J pus m'asseoir au centre du banc, et apprécier la chaleur humide de l'endroit. Mes yeux s'habituant à l'obscurité, je pus distinguer les 2 corps de ceux qui venaient de rentrer, et si je ne distinguais pas les sexes, je pus voir que la personne qui s'assit à ma droite avait des seins, qui paraissaient fermes et d'une bonne dimension, alors que la personne à ma gauche était plus grande et un peu plus musclée.
Au bout de quelques minutes, où personne ne disait rien, je m'aventurais à poser ma main sur l’épaule de la personne à ma droite, et eus la confirmation que c'était bien des seins que j'avais devinés, et que ceux ci se sont immédiatement dressés au contact de mes doigts. Leur pointe augmenta de plusieurs centimètres en une fraction de seconde. Je les caressais à tour de rôle pendant encore quelques instants, avant de glisser un peu plus bas. A peine dépassé le nombril, je découvris un pubis lisse, d'une douceur extrème, sans le moIndre poil, et des lèvres qui se sont écartées à peine je les avais frôlées, mouillées plus à l’intérieur qu'en surface. Plus je pénétrais de mes doigts cette antre accueillante, plus elle écartait les jambes pour me faciliter mon approche. Elle ne tarda pas à me rendre la pareille, avec sa main qui venait soupeser mon sexe et titiller ma verge tout en douceurs. Ses soupirs étaient de plus en plus forts et rapprochés, et sa main s'activait de plus en plus énergiquement sur ma tige dressée jusqu'au plafond. Tout son corps frémissait de mes caresses, et je me penchais à présent pour honorer son bouton de ma langue. Elle attendait ca, et elle aussi s'est allongée, les jambes sur les cuisses de mon voisin de gauche. Lui aussi commençait à la caresser. Elle accepta ses caresses et je dus partager son intimité. Sa main revint sur mon sexe tendu, et pendant que je léchais l’intérieur de ses cuisses, elle me tripotait trop sensuellement. Je me rassis sur le banc, et mes doigts de nouveau pénétrèrent le fond de son vagin, qui s'ouvrait comme une rose. Elle se pencha à son tour et me gratifia d'une pipe magistrale. Sa langue jouait de mon gland, de mon frein, alors que sa main glissait sur mon fourreau. Elle se retira et de nouveau, pour aspirer encore plus fort ma bite. C'est quand elle m'a embrassé que j'ai réagi que la bouche qui me suçait n'était plus la sienne, mais celle de mon voisin. Après un 1/4 de second de surprise, je m'abandonnais complètement à ce plaisir qui montait en moi, et que je n'avais pas envie d’interrompre. Il me pompait aussi bien qu'une femme, même peut-être mieux. Alors, pendant que ma main gauche jouait avec le clIto et les lèvres de cette femme, ma main droite s'aventura sur la queue de celui qui me faisait une si bonne fellation, et il semblait n'attendre que ca aussi. A u bout de quelques minutes, un autre homme est entré, et lui aussi, jouait avec les sexes des uns et des autres. Ces quatre corps coté à cote, ces mains qui passaient de l'un à l'autre, ces bouches qui goûtaient chacun à la suite, c'était un moment de sexe comme je n'en avais jamais connus.
En fait, la femme et les 1er hommes étaient en couple, et ils ont souhaité qu'on s'isole les 4 dans la pièce vitrée, plus spacieuse, et équipée d'un grand matelas.
Une fois enfermés, elle tira le rideau de la vitre, et commençait à nous sucer l'un après l'autre. Son mari se joignait à elle, et nous avions droit à présent à une pipe à 2 langues. Pendant que ma bite était dans leurs bouches, leurs mains s'affairaient sur le 3e homme, arrivé par la suite. A prés avoir une nouvelle fois bien léché son minou, elle mit une capote sur ma bite, me demandant de la pénétrer tout de suite. Bien entendu je ne me fis pas prier, et je glissais en elle avec une volupté extrème. Elle était toute mouillée, et toute étroite pour mon sexe un peu large, et ce fut l'extase. Ses coups de reins me faisaient taper au plus profond d'elle.
Les 2 autres garçons ne risquaient pas inactifs, puisqu’ils se suçaient réciproquement avec un enthousiasme non dissimulé. Le mari mit un préservatif sur la queue de son partenaire, et lui tourna le dos, lui tendant ses fesses à écarter. Alors que le 3e larron s’activait dans le mari, une main passa au travers de la cloison percée, et vint branler le passif en même temps. C’était trop fort de plaisirs, de caresses, de nouveautés. Je jouis dans un cri de bonheur et fus littéralement vidé par cet exercice. A peine le temps de me retirer d’elle que son mari la pénètre, et mon sexe se trouve assailli de plusieurs mains qui provenaient de l’autre coté, remplacées aussitôt par la bouche de celui que le mari venait d’apaiser entre ses reins. Cette fellation me remit en forme presque aussitôt, et moi aussi, je m’amusais à faire glisser sa tige entre mes doigts. Il me demanda de remettre une capote et de le sodomiser. L’idée m’excita énormément, et ma bite s’approchait de ses fesses, tandis que le mari était en train de sodomiser également sa compagne. Tout n’était plus que plaisirs, gémissements, et caresses. Je sentis mon gland frotter contre sa rosette, et commençait à glisser. Cela m’excitait d’imaginer ma bite défoncer un maec pour la première fois, et en même temps, je ne me suis pas senti prêt pour ca. Je m’éloignais de ce cul offert, et quittai la pièce, Les hommes qui me tripotaient à travers la paroi se montraient entreprenants envers ma queue toujours en érection, mais l’excitation avait été trop forte. Une autre fois peut-être. Vous vous en doutez, je suis retourné plusieurs fois dans ce temple du sexe.

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