le petit cul de la coiffeuse

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : le petit cul de la coiffeuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2010 dans la catégorie Plus on est
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le petit cul de la coiffeuse
Depuis quelques temps je vais chez le coiffeur en grande surface. Il y a deux salons attenants, féminin et masculin, et il arrive que les coiffeuses viennent donner un coup de main chez les mecs. J'ai ainsi eu le plaisir de me faire coiffer deux ou trois fois par une femme, mais jamais comme ce samedi.
Il y a quelques clients avant moi et j'attends mon tour sans être pressé. Il y a une nouvelle coiffeuse qui vient aider chez les hommes. Elle a dans les vingt-cinq ans, mignonne, un teeshirt sagement décolleté et un pantalon noir très moulant qui met en valeur ses belles petites miches. Je me régale à la voir évoluer autour du fauteuil de son client, et je mâte son cul discrètement. Ce qui est moins discret, c'est la bosse qui gonfle mon pantalon. Elle me fait bander et j'essaie de penser à autre chose. Je suis calmé, les clients défilent, et quand vient mon tour, c'est elle qui est libre et qui me propose de la suivre pour me laver la tête.
Son joli petit cul se balance devant moi et je sens ma queue frétiller de désir. Je m'installe dans le siège, penche la tête en arrière, ferme les yeux et m'abandonne à elle. Ses doigts dans mes cheveux ne sont pas un rude frottement, mais un délicieux massage, une caresse. Je suis bien, je revoie ses images, et je bande à nouveau. Plus je me raisonne pour ramollir et plus je durcis. Vu sa position debout derrière moi elle ne peut ne pas imaginer le contenu de ma braguette, et son shampoing qui n'en finit pas me laisse penser qu'elle s'amuse de l'effet qu'elle me fait. Enfin elle me rince, m'essuie, avec toujours autant de délicatesse, et je la suis, je suis son cul, pour m'installer dans le fauteuil.
Elle m'enfile un tablier et je peux voir ma bosse ressortir. Elle s'attaque à ma coupe, puis stoppe quelques secondes. Je la regarde dans le miroir et voit son regard braqué sur ma virilité proéminente. Elle lève les yeux, croise mon regard dans la glace, je lui fait un clin d'œil entendu, elle rougit, et se remet à son travail. Personne ne s'aperçoit de rien, je suis le dernier et ses collègues mâles sont occupés avec leurs propres clients. Elle a terminé et me propose un gel pour fixer les cheveux. J'ai toujours refusé mais cette fois j'accepte pour le seul plaisir d'avoir encore ses doigts qui me caresse. Elle nettoie mon tablier de mes mèches avec le sèche cheveux en insistant sur mon entre cuisses, puis elle applique le fixateur avec tendresse en regardant mon sexe caché avec insistance.
Elle a terminé et je la suis à la caisse, avec une gêne pour marcher.
Je règle la note et lui offre un large pourboire:- Tenez, vous l'avez mérité, c'était très agréable.
- Oui, j'ai cru comprendre.
- Excusez moi mais je n'ai pas pu me contrôler. Vous coiffez à domicile?
- Désolée, mais la maison ne fait pas ça.
- Oui je me doute, mais vous, personnellement?
- C'est une proposition honnête?
- Tout ce qu'il y a de plus honnête, coquine mais honnête. Tenez, je vous laisse le temps de réfléchir.
Je lui laisse une carte de visite et m'en vais.
Un jour, deux jours, huit, quinze, toujours pas d'appel. J'ai envie d'elle et rode régulièrement dans la galerie, espérant la voir. Enfin mes efforts sont récompensés. Elle sort du salon vers midi pour s'acheter une salade, et je l'accoste.
- Bonjour, vous vous souvenez de moi?
- Oui, bien sûr. Bonjour, vous allez bien?
- Oui, à part que je suis toujours en attente de votre appel.
Elle est pressée, doit vite reprendre le boulot. Elle m'avoue avoir été choquée par ma proposition et a jeter ma carte. Depuis elle le regrette et me demande un autre carton en me promettant de m'appeler le soir même.
L'après midi me semble interminable, et j'attend son appel avec impatience. Enfin la sonnerie retentit, c'est elle.
Elle me demande mes intentions et je lui avoue qu'elle est désirable, bandante, ce qu'elle a pu observer, et que chez moi je pourrais me mettre à l'aise pour lui prouver combien elle me plait. Elle veut savoir à quel point, et je lui dis que j'aimerais l'aimer par tous les trous qu'elle voudra bien m'offrir.
Elle m'avoue alors qu'elle n'a jamais connu d'homme. Elle aime les femmes, plusieurs de ses clientes sont ses maîtresses, elles la baisent, se font baisées par des godes, mais jamais de vraies bites en chair et en muscle. Elle a un fantasme, se faire sodomisée par un mec pendant qu'elle satisfait une de ses matrones. Elle me demande si je suis marié espérant une partie à trois, je lui réponds que non mais lui parle de deux petites amies à qui ça devrait plaire: Joëlle ma jeune étudiante de 22 ans qui acceptera sans problème, et Karine ma collègue de 38 ans qui sera plus difficile à convaincre.
Elle veut en savoir plus sur elles, et je lui dévoile leur physique, leurs goûts sexuel dans les moindres détails. J'entend alors son souffle court, haletant, je me suis mis à poil pour l'appeler et je me branle doucement:- Dis moi, tu permets que je te tutoie, tu te caresses ou je me trompe?
- Vous m'exciter avec vos deux copines, je ne sais si elles existent vraiment mais j'ai envie d'elles, de toutes les deux en même temps.
- Et pas de moi?
- Oui bien sûr, à condition qu'elles soient présentes.
- Je ne demande pas mieux mais je ne suis pas superman. Je pourrais inviter des copains?
- Tous ceux que vous voulez, pourvu qu'ils soient bien montés et me cassent le cul.
- Tu es une petite salope?
Pour toute réponse elle libère un orgasme trop longtemps retenu, et me fait partager son plaisir. Je me branle à fonds, jouis, et lui fait partager le mien.
Quelques instants de silence où j'ai peur qu'elle ne raccroche ayant pris son plaisir, et on reprend notre conversation. Je lui propose mon plan baise et lui demande son numéro de téléphone pour que Joëlle, mais surtout Karine, l'appellent, qu'elle soit sûre de leur participation. Dès le lendemain soir j'en parle à ma collègue bien disposée par ma sodomie profonde et elle est d'accord, va appeler Claire, ma petite coiffeuse. Le soir même j'appelle les autres participants et on fixe notre partouze pour le dimanche après midi.
Le matin je vais chercher Karine en premier. Je sonne, elle est prête, et on prend l'ascenseur. Elle a une veste légère sur un tee-shirt trop petit pour elle et ses gros nibards, et une mini-jupe plus courte qu'à l'habitude. J'ai quelques secondes, le temps de la descente pour l'embrasser et explorer ses dessous de ma main. Elle a des bas jarretelles et un string.
On va maintenant chercher Claire qui sera rassurée par la présence de ma collègue. Je sonne à l'interphone avec le cœur qui bat à toute vitesse. C'est trop beau pour être vrai et j'ai peur d'avoir rêvé. Elle répond et descend. Elle a un chemisier qui ne demande qu'à se déboutonner et un petit ensemble à jupe courte, sur des collants ou bas. On part pour la gare où comme tous les dimanche je récupère Joëlle pour l'emmener dans sa ville d'études.
On est descendu de la voiture garée un peu plus loin et on la voit arriver, ravissante elle aussi, avec mini-jupe et collants ou bas. Elles se sont donné le mot les salopes, et j'aurai confirmation plus tard en les voyant toutes les trois en string, bas et jarretelles, pour mieux nous allumer.
Joëlle s'installe naturellement à mes côtés, et les deux nouvelles dans notre future partouze sont derrière. A peine le péage franchi et comme tous les dimanche, ma blonde enlève son string, se masturbe et incite nos invitées à en faire autant. Karine n'attend pas une seconde et se caresse elle aussi. Claire la regarde faire, et elle se tourne vers elle pour mieux s'offrir à sa vue. La petite salope n'en peut plus d'entendre et de voir cette choune appétissante, elle demande à Joëlle de s'avancer, se faufile entre les sièges, et vient brouter sa voisine qui ouvre largement les cuisses pour mieux s'offrir. Comme dans nos baises au bureau, elle gémit et jouis, et n'arrête pas d'aligner des encouragements et obscénités. On est sur autoroute, vitres fermées, personne pour nous entendre, et elle gueule si fort que j'éteins la radio.
Elle me font triquer et je demande à Joëlle de libérer mon sexe. Il se dresse comme un ressort et je pousse un ouf de soulagement. A mi-parcours je m'arrête à l'aire habituelle, déserte comme toujours, annonçant qu'une des trois va devoir se dévouer pour une turlutte urgente. Karine se propose aussitôt. Les deux petites nous ont précédés dans les toilettes et lorsque l'on arrive Claire à son string à la main et se fait lécher par Joëlle. Je n'ai pas pris la peine de ranger ma caisse à outil, et Karine n'a qu'à s'accroupir pour se servir. Elles m'ont tellement excité qu'en à peine une minute je me soulage dans mon vide couilles presque quotidien. Les petites sont déjà reparties à la voiture, Joëlle à pris la place de Karine, et Claire attaque son deuxième repas. Ma collègue est à mes côtés, se masturbe et recommence ses obscénités, ses insultes à elle même.
On approche du péage et les filles remettent leur petites culottes et se tiennent sages.
Nous voici chez Joëlle. Je fais comme chez moi et propose un apéritif, d'autant plus à l'aise que c'est moi qui lui fournis les boissons et amuse gueules. Elles acceptent toutes, histoire de se motiver. J'aide Joëlle à préparer un repas vite fait, tandis que les deux autres vont à la chambre s'offrir du bon temps. Elles nous rejoignent avec le museau luisant de mouille, preuve d'un 69 liquoreux, et devant nos remarques elle se bouffent la poire pour se nettoyer.
On déjeune, discute de ce qui nous attend. Joëlle est une habituée des orgies sexuelles, et prévient nos deux novices de ce qui risque se passer. Elles sont venues pour ça, ne veulent pas reculer, mais après le café acceptent un digestif pour encore se motiver. Karine en prend un deuxième me certifiant qu'elle tient bien l'alcool.
On a rendez vous à 13h, une demi heure de route, il est temps de partir.

A suivre ...................................

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