Aventure au far west

- Par l'auteur HDS Polichinel -
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Aventure au far west Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Aventure au far west
Montréal, Québec, Canada


La semaine dernière à l’université c’était le party d’intégration des nouveaux. En résumé : ambiance festive et grande consommation d’alcool. À tous les ans, le party d’intégration se fait sur un thème, cette année le thème était western. Tout le monde était habillé en cow-boy et cow-girl… Voici la soirée de bienvenue.

Après plusieurs jeux loufoques, épreuves physiques, et séances de beuverie, l’ensemble des étudiants se réuni dans un club pour fêter toute la nuit. Le déguisement de cow-girl est vraiment hot, pour celles qui savent se mettre en valeur. Des poitrines en évidence par des blouses si serrées qu’elles veulent éclater, des culs bien fermes se dandinant dans des jeans, des jambes magnifiques sortant des minijupes, il y en avait pour tous les goûts. Elles portaient presque toutes un chapeau de cow-boy. Et les hommes habillés en shérifs ou en briguants, on complétait le portrait.

On continue la soirée en buvant bières et breuvages à forte teneur en alcool, et on faisait des jeux et des concours. Pour l’un de ces concours, les hommes étaient réunis au centre de la pièce et les femmes autour. À chacune d’entre elles, on remet un lasso. Lorsque la musique s’arrête, elles devaient attraper un homme au lasso, la dernière à le faire était éliminée, un peu comme à la chaise musicale. Il y avait un prix à gagner, une bouteille de Jack Daniel, je crois. Du whisky c’est très Cow-boy…

Mais au lieu de continuer ce « lasso musical » jusqu’à découvrir la gagnante, les règles ont changées. Les organisateurs ont appelé l’épreuve le rodéo sexy. Les hommes devaient porter les femmes sans qu’elles ne touchent au sol , chose pas facile lorsque tout le monde est en boisson.… Le couple qui réussit à danser de la manière la plus sexy sans tomber gagne 100$ comptant.

Celle qui m’a attrapé est plutôt petite, ça rendra l’épreuve plus facile. Vraiment, le hasard m’a sourit, car de plus elle est belle. Son visage est délicat et harmonieux, mais le maquillage qu’elle porte lui donne un air cochon. Deux nattes brunes sortent de chaques côtés de son large chapeau de cow-boy. Elle portait un grand manteau de cuir qui comme une cape descendait jusqu’à ses mollets. Le manteau est bien le seul accessoire de son costume qui soit grand. Cachant le minimum de peau, sous sa cape, elle portait une blouse noire à dentelle blanche et une jupe de jeans. Un fusil était pendu à sa hanche pour finir le costume.

Pour commencer le rodéo, elle grimpe sur mon dos. Je la fais bouger de haut en bas, ses seins sautent dans tous les sens. Elle, pour ajouter du piquant à la scène, se met à crier comme si elle jouissait. Sous les rires et les cries, plusieurs couple s’effondrent sur la piste danse. Notre petit manège est loin d’être le plus sexy. Il faut remédier à la situation. Les jambes bien plantées dans le sol, je la fais glisser sur mes hanches pour qu’elle se trouve face à moi. Ses cuisses se serrent autour de ma taille, et elle passe le lasso derrière mon cou pour se tenir. Je la fais rebondir comme si je la pénétrais debout au centre de la piste. C’est déjà plus sexy vous en conviendrez. Elle tire très fort sur le lasso collant mon visage entre ses seins. J’entends la foule applaudir l’idée.

Mais la compétition est féroce. D’une main, j’attrape le bas de son manteau et le remonte dans son dos, laissant ainsi loisir à tous d’admirer son cul. Inspirée par cette initiative, ma cavalière décolle ma tête de ses seins, le dos arqué, elle enlève son manteau et le fait tourner au-dessus de sa tête. Lorsqu’elle l’a lancé, elle s’est penchée dangereusement vers l’arrière. Pour qu’elle tombe ne pas, j’ai glissé mes mains dans dos. et je me suis penché vers l’avant. Dans cette nouvelle position, son corps presque à l’horizontal, ses jambes pointées vers le plafond je me suis mis à lui donner de violent de coup hanche comme si je voulais la défoncer. Effectivement mon désir commençait à se réveiller.

Juchée sur les épaules d’un gras une autre fille commence un strip-tease. Pour contre attaquer, nous revenons dans une position verticale ( toute façon on se serrait écroulé à avoir tenté de resté plus long temps, il ne faut pas oublié que nous étions saouls.) Elle remonte sa jupe sur ses hanches montrant ainsi son cul à tous. Mais moi, je ne pouvais le voir. J’ai dû le découvrir avec mes mains. Glissant mes doigts sur ses fesses, je les sens douces comme de la soie. De petites gouttelettes de sueur perlent à la surface. Je passe une main sous la ficelle de son string, et je tiens fermement sa fesse, de l’autre main je lui donne des tapes sur les fesses. Elle commence à me chauffer sans bon sens.

La musique s’arrête. Nous avons une gagnante !!! Crie l’animateur en pointant la fille maintenant presque nue sur les épaules du gars.

À contre cœur je dépose ma cavalière. Elle m’avait beaucoup excité durant le rodéo que j’en avais presque oublié le concours. Il remet un billet de 100$ à la fille. La musique repart.

Ma partenaire approche sa bouche de mon oreille et me dit : Moi c’est Claudie. Enchanté fut ma réponse. Elle repasse sa corde derrière mon cou, et nous voilà repartis. Nous dansons moins vulgairement que durant le rodéo, mais plus sensuellement. Lorsque son corps se colle au mien, je respire son parfum, j’avais pris une première bouffée de cette odeur délicieuse alors que j’étais entre ses seins. Il est suave et commence à me monter à la tête, il m’étourdit bien plus que l’alcool que j’ai bu. Combiné au souvenir de la douceur de sa peau je commence sérieusement à être excité.

Collée contre moi, le regard cochon, elle m’embrasse. Ce baiser a mit feu aux poudres. Je la désirais de plus en plus fort, ou devrais-je dire de plus en plus dur…

« Mais tu bandes. »

« Parce que toi, ça ne t’as pas excitée ? »

« Heumm oui, c’est vrai. Mais on a perdu »

« Pas grave, on peut s’offrir un prix de consolation si tu veux »

« Alors qu’est-ce qu’on attend pour partir d’ici ? »

Le message ne pouvait être plus clair, J’avais envie d’elle et elle de moi. Claudie habitait dans les résidences de l’université non loin du club où on était. Notre trajet fut entre coupé d’étreintes sensuelles pendant lesquelles, nos langues se mêlaient, nos mains fouillaient le corps de l’autre augmentant toujours notre désir mutuel.

Enfin arrivés à destination, nous commençons à nous déshabiller. Sans douceur, j’ouvre sa veste à dentelle. D’un coup sec, je fais sauter les boutons. Je passe son soutient gorge au-dessus de sa tête sans le détacher. Une main au creux de ses reins, je la colle à moi et l’embrasse. Ses mains défont ma boucle de ceinture ouvre ma braguette. Puis elle prend mon sexe dans ses mains avant de s’agenouiller devant moi pour me sucer.

Sa langue se promène sur mon sexe bien dur, tandis que ses mains caressent mes couilles. Les mains derrière sa nuque, je la tire vers moi et m’enfonce dans sa bouche. Elle avale mon gland, d’un coup. Je dirige les va et vient de sa tête, je me branle avec sa bouche. Je la fais monter et descendre le long de ma queue à une vitesse folle. Elle dirige une main vers son entre cuisse témoignant que son sexe réclamait lui aussi du plaisir. Je la relève debout. Je profit de cette minie pose pour passer ma chemise par-dessus ma tête. Claudie se colle contre moi pour m’embrasser, mes mains remontent sa jupe. Pour la deuxième fois de la soirée, je sens sa peau satinée sous mes doigts. Je retrouve aussi la ficelle, je la suis d’un doigt passant entre les fesses. J’arrive à son sexe, son string est déjà humide. La chaleur passe au travers du tissu, j’écarte la barrière d’étoffe et la caresse. Elle écarte les cuisses pour que mon dos la pénètre plus. Son souffle s’accélère dangereusement. Je sens son plaisir monté, lorsque j’insère un deuxième doigt, elle se cabre et laisse sa tête tomber vers l’arrière. De cette position ses seins sont mis en valeur, je les lèche et les caresse. Les mamelons durcissent sous ma langue.

J’ai maintenant trois doigts dans l’antre humide de Claudie, et de pouce je joue avec son clitoris. Debout au centre dans la pièce, ses jambes se referment sur ma main quand son orgasme s’échappe doucement de sa bouche. Je glisse son string vers le bas. Mes doigts gigotent follement à l’intérieur de son sexe, la faisant gémir de plaisir. Les bras autour du cou, elle se hisse dans mes bras. Ses jambes passent de chaques côtés de mon corps, laissant son sexe, j’enlace sa taille de mes mains. Rapidement, mon sexe vient remplacer mes doigts dans le sien. Je la pénètre avec force, elle rebondie sans relâche sur mon sexe tendu. Lorsque Claudie jouie à nouveau, son se contracte autour du mien. Nos ébats prennent tant de vitesse que nous risquons de perdre l’équilibre. je colle alors Claudie contre un mur.

Le dos cambré contre le mur, la jupe relevée enroulée en haut des hanches, l’une des nattes complètement défaite, les seins fermes et rond, vous n’avez pas idée comment elle était belle.

Je prends avec vigueur, chacun de mes coups de reins et puissant et profond. Elle crie de plaisir, alors que j’enfonce au fond de son sexe. Elle m’accompagne dans cette danse du sexe par des mouvement du bassin. L’excitation est à son comble lorsque je jouie en elle. Sentir la chaleur de ma semence qui inonde son sexe lui donne un dernier mais violent orgasme. Après les dernières secousses, comblée Claudie s’écrase contre mon torse. Restant en elle, marchant tant bien que mal, je nous dirige vers la chambre. Tranquillement je la pose sur son lit et me couche sur elle.

Elle me dit

« si on avait fait ça sur la piste je peux te jurer qu’on l’aurait gagner le 100$ »




j’espère que cette aventure au far west vous à plus autant qu’à moi



Polichinel

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Histoire sexe : Une rose rouge
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