Docile et maniable

- Par l'auteur HDS Docile -
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Récit libertin : Docile et maniable Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Docile et maniable
Un soir nous nous étions un peu engueuler ma femme et moi pour (d’après moi) un non respect de notre accord. Lors de ma demande en mariage (il y a 23 ans) nous étions parvenu à un compromis entre nous, pas de pénétration vaginale hors de notre couple et ce soir là, j’ai constaté que son anus était bien ouvert et je fut vexé, et lui ai dit qu’elle ne respectait pas notre accord de liberté, elle me répondit que nous n’avions pas inclus la sodomie, et que jusqu’à ce jour elle avait toujours respecté notre accord, soit pas de bite dans sa chatte en dehors de la mienne, et me demanda, et toi tu as pénétré une autre chatte,
- non lui ai-je dit, je te respecte totalement et je n’ai jamais eu d’autre relation que manuelle et buccale avec mes conquêtes.
Et j’en ai profité pour lui rappeler que j’avais la soirée de ma dernière classe, et que je ne rentrerais peut-être pas suivant l’heure et mon état.
Ce soir là, j’ai pris le train, sachant que je ne rentrerais pas sobre, et vers 23h00, la soirée était pas trop amusante, je décidais d’appeler un taxi pour aller prendre le dernier train. Je montais dans le taxi, et à peine avait-il démarré, il me parla sans détour de sexe, il me demanda si j’avais pris mon pieds, et lui répondit que malheureusement pas, mais malgré la liberté sexuelle avec ma femme je n’ai jamais pénétré une autre femme, juste des caresses manuelles et buccales, et enchaîna avec, alors tu suce les mecs, un peu surpris je ne répondit pas immédiatement, mais dit après une quinzaine de seconde, non je n’ai pas eu de relation avec des hommes, et il renchérit, alors tu vas devoir essayer, à nouveau je restais sans voix et ne dit plus rien, mais je remarquais qu’il avait changé de route, nous ne nous dirigions plus vers la gare, mais vers la sortie de la ville, je restais muet. Une fois sortit de Lausanne, le chauffeur finit par me dire que j’étais docile et maniable, et qu’il allait en profité, que j’avais tout le temps vu que le dernier train était déjà parti, j’étais toujours muet, à l’entrée d’un bois, il emprunta un chemin qui rentre dans le bois, et après environ 200 mètres il s’arrêta, me fit descendre et commença à me déshabiller, pendant tout ce temps, je pensais à ce que j’avais depuis longtemps en tête, est-ce que 2 hommes pouvaient avoir du plaisir ???, Je pense que je n’allais plus me poser la question longtemps, une fois la chemise jetée au loin, le pantalon et le slip sur les chevilles, il se mit à rire, et j’ai dit quoi, il ri encore plus fort et dit, enfin une petite bite, depuis le temps que j’en entends parler, je n’en avais jamais eu une, je lui demandais ce qu’on disait des petites bites, et me dit, les mecs qui ont des petites bites sont des mecs qui veulent être considérés comme une femme en chaleur, elles veulent de la bite et pas qu’une seule, je suis resté étonné, la bouche grande ouverte dans ce bois, et il posa une main derrière ma nuque et tira pour que je me penche sur son sexe, et dit ouvre mon pantalon et suce ma bite, je me suis exécuté, en repensant à ce qu’il me dit pendant le chemin, que j’étais DOCILE et MANIABLE, je lui ai caressé sa bite un court instant, car l’odeur me poussait à la vouloir au fond de ma bouche, je déposais quelques baisers, puis quelques coups de langue et enfin me l’enfonçais dans la bouche, j’étais dans ce bois, la chemise je ne sais où, le pantalon et slip sur les chevilles, penché en avant le cul offert et une bite dans la bouche, mais le pire c’est le plaisir qui m’envahissait, je n’avais pas envie qu’elle quitte ma bouche, c’était tellement délicieux, qu’après environ 10 minutes, quand il se retira, je ne pu m’empêcher de la réclamer en disant, non restez dans ma bouche c’est trop, c’est le supplice du délice, et il se renfonça dans ma bouche, en disant, alors tu devras tout prendre et avaler, après je t’attacherais parce que je veux ton cul plus tard, mais il faut que je bosse un peu, et je ne veut pas voir une demi goutte sortir de ta bouche de salope, et je me mis à le sucer comme si ma vie en dépendait, en moins de 5 minutes il lachait tout dans ma bouche et me suis appliqué à tout avaler, mais j’en voulais encore et me suis mis à lui nettoyer sa bite avec ma langue, ce qui lui a beaucoup plu, puis il alla prendre dans le coffre du taxi une petite corde, et m’attacha à un arbre, me promis qu’il reviendrait vite, mais qu’il avait besoin de reprendre des forces, et lorsqu’il reviendra, je devrais être très docile, très obéissant et maniable comme je venais de l’être, et il partit, je me sentais hyper excité d’être attaché dans ce bois, avec pour tout habit, mes chaussures et chaussettes avec mon pantalon et slip sur les chevilles, excité par le fait qu’une personne pouvait arriver à tout moment et me voir, et pendant son absence, j’ai pensé à ce qui venait de m’arriver, et trouvais que c’était le plus grand pied de ma vie, le plus jouissif, et plus je pensais que je suis devenu docile et soumis aux demande d’un mec, plus je m’excitais et avait une érection. Puis j’entendis un moteur, je ne sais combien de temps s’était écoulé, mais n’avais aucune appréhension, je me sentais serein et calme, et une envie de sexe, de bite, d’être comme il l'a dit, une petite bite, une femme en chaleur voulant des bites à la chaîne, recevoir du sperme en quantité sur mon visage, dans la bouche, sur mon corps, être recouvert de sperme, je fantasmais en entendant le moteur s’approcher, et plus il s’approchait, plus j’avais envie d’être docile, obéissant. Puis les phares m’ont éclairé, une portière claqua, le chauffeur s’approcha, me banda les yeux, me mis une ceinture large et me tira, j’avais de la peine à marcher avec le pantalon sur les chevilles, puis je sentis qu’il m’attachait la ceinture entre 2 arbres, me mis un collier avec une chaîne qu’il fixa à mes chevilles, de ne rien voir me faisait trembler de plaisir, je savais que je serais dépucelé dans un moment et demandais, mettez du lubrifiant SVP, je suis vierge du cul, et les 2 ou 3 premières fois il parait que ça fait mal, il me dit, ne t’inquiètes pas on le fera en douceur, je ne prêtais pas attention à ce qu’il venait de dire sur le moment, mais en entendant une portière claquer à nouveau alors qu’il finissait de fixer les bracelets de cuir au bout de la chaîne à mes cheville, je compris vite qu’il n’était pas seul, et lui dit, oui vous avez raison, je suis une femme en chaleur qui en veut, ainsi attaché, un Tsunami de plaisir m’envahit lorsque je sentis une bite contre ma bouche et l’avalais immédiatement, une seconde bite se frottait contre ma joue, je ne savais plus où j’étais, je me sentais femme qui voulait vider des couilles sans s’arrêter, j’avais une telle envie de bite que je n’en revenait pas moi- même, je suçais les 2 bites à tour de rôle, et avais une main qui massait mes fesses, puis sentis un doigt très froid masser mon petit trou, et un doigt commença à pousser, il s’enfonça sans problème, puis un 2ème, et un 3ème, à chaque enfonçage, j’avais une légère douleur suivie immédiatement par une vague de plaisir et des gémissements, à peine une première bite était bandée bien dur, j’entendis un bruit de papier, puis enfin une poussée contre mon anus et une pénétration lente, un court plaisir et une petite douleur, je ne pouvais rien dire, je ne voulais pas lâcher la bite qui était dans ma bouche, une douleur un peu plus forte, puis le plaisir, un plaisir encore inconnu se mit à parcourir tout mon corps et je gémis comme une truie, c’est vrai que le passage du premier gland est douloureux, mais le plaisir ressentit ensuite vaut bien 10 dépucelages, celui qui m’enculait était merveilleux, doux, il savait faire, ses va et vient sont lents, et il doit ressentir la moindre douleur que j’éprouve, car il ralentit ou s’arrête quelques secondes et reprends son va et vient, avec cette bite dans mon cul et celle dans ma bouche, je ne suis plus un homme, je me sents comme une femme qui veut toutes les bites du monde, de leur sperme, je ne sais plus ou je suis, et pour rien au monde ne souhaite être ailleurs. Petites réticences lorsque pour la première fois il ressortit de mon anus et de ma bouche, mais il ne faisait que changer de place, et me voilà reparti de plus belle dans le monde du plaisir total, je ne said combien de fois ils ont changés de place, ni combien de temps cela à duré, mais quand le premier à joui sur mon visage, j’en voulaid encore et ne lâchaid pas cette bite qui venait de jouir, puis la seconde sorti de mon cul, je dit non encore, et vint se mettre dans ma bouche et la deuxième jouit au fond de ma bouche, j’avalaid tout et constatais que c’était le sperme du chauffeur. Mais qui était l’autre homme?, après 2 à 3 minutes, ils me détachèrent des arbres sans m’enlever la ceinture, ni le collier, ni les chaînes à mes chevilles, ils tirèrent et me mirent dans le coffre de la voiture, et ils partirent, ce n’est pas confortable, mais ce n’est rien pour le plaisir que je venais d’avoir. Après un long moment, la voiture s’arrêta, et redémarra, encore un long moment et s’arrêta à nouveau, le coffre s’ouvrit, le chauffeur détacha les chaînes de mes chevilles et enleva le collier, je regardais au tour de nous, nous étions dans une sort de ruelle entre des dépôts, personne, je me suis jeté sur son pantalon pour l’ouvrir et le sucer encore, j’en voulais encore, c’est trop, il me laissa faire, et me demanda, que vas-tu faire maintenant petite bite, sans lâcher sa bite, je le regardais et dit, je veux devenir votre petite bite lors de mes passages à Lausanne, je peux venir 2 ou 3 fois par mois, j’habite à un peu plus de 80 Km, mais plutôt en journée, le soir 1 fois par mois, et vous avez raison, je serais docile, obéissant et maniable, je ne dirais rien et surtout pas non à tout ce que vous voudrez sexuellement, je veux des bites, des bites et des bites, il me dit, et tu es prêt à prendre combien de bites en même temps ou en suivant?, et je lui ai répondu, autant que je pourrais en satisfaire pendant le temps que je peux vous consacrer, et il dit, à quelle heure je dois te libérer, je regardais ma montre, il était 04h10, nous étions dimanche matin, alors je lui dit, au plus tard le train de midi, et il répondit, alors tu vas encore sucer. Il me mis dans le taxi, me banda à nouveau les yeux et il démarra, arrivé, il me pris par le bras et me fit entrer dans une sort d’établissement, lorsqu’il enleva le bandeau, je vis une sorte de cave aménagée, je fut mis nu par les gens présents, je dû m’asseoir sur une chaise qui avait une sorte de gode au centre et il m’attachèrent sur cette chaise, dès ce moment, les hommes ont défilé devant ma bouche pour s’y enfoncer. A chaque fois qu’un jouissait, un autre prenait sa place, le bonheur du plaisir total commença, je ne comptais pas, mais chacun jouissait sur moi, j’en avait peu sur le visage, mais le cou et le torse en étaient couverts, chaque bite que je suçais me faisait monter le plaisir, et je ne sais combien d’étages (ou ciel) avait cette tour du plaisir, mais bien 50. Quand je fut détaché de la chaise, je regardais ma montre, il était 10h30, les personnes présentes m’ont essuyé avec des mouchoirs en papier, et je dû me rhabiller. Le chauffeur de taxi me déposa à la gare, et me dit, quand tu reviens tu demandes le Taxi No XXXX et tu redeviendras la salope de femme en chaleur que tu viens d’être et il partit. J’y suis retourné souvent, et quand ma femme me demandait, je répondais que j’avais un rencard avec une femme. Ce que j’affirme par mon récit, c’est que je suis docile, maniable et surtout docile avec les mecs, et que je prends un pied plus grand avec un homme qu’une femme, et que j’adore lorsqu’il y a plusieurs hommes, j’adore me faire partouzer, j’ai revu le chauffeur de taxi une trentaine de fois, et je ne sais pas son nom, d’ailleurs comme lui, il ne connais pas le mien, le sexe rien que le sexe, c’est ça qui est le plaisir, l’anonymat est hyper excitant.

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