Orgasme familial

- Par l'auteur HDS Albert2 -
Récit érotique écrit par Albert2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Orgasme familial Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Orgasme familial
XXX
« A ton avis, maman, avec ou sans slip ?»
Julie est plantée sur le palier en T-shirt et cothurnes lacées, d’une main elle tient une mini-jupe de tennis et de l’autre un slip, la toison blonde de son ventre est bien fournie mais ne cache pas entièrement la fente de son sexe. Maman se demande si elle a eut raison de donner une éducation aussi libre à sa fille, embarrassée elle répond »viens m’aider, sale fille , il va arriver »
Deux heures après Bruno avait presque réussi son examen de passage, sa nouvelle copine Julie le présentait ce dimanche à sa mère. Julie divorcée sans enfant loue une jolie petite villa pas loin de maman, elle voudrait mettre fin à sa vie de joyeuse célibataire.
Le repas au jardin se terminait pas trop mal .les amoureux avaient préparé ensemble le steak salade frites sans arrêter de se toucher et pendant le service du repas la main de Bruno était passée plusieurs fois sous la minijupe de la maîtresse de maison...
Le repas avait été bien arrosé et la maman qui, dès l’apéritif, s’était faite appeler Nadia par l’invité, avait déployé des trésors de charme pour le mettre à l’aise.
Si la fille est une piquante blonde vive comme un oiseau, la mère est au contraire d’une beauté de statue. De la même taille que sa fille ses hanches minces et ses longues jambes lui donnent un air plus élancé encore accentué par des épaules larges et un port de tête royal. Les années ont doté ce beau fruit d’une peau mate savamment dorée.
Les bandeaux de cheveux argentés et le chignon stricte soulignent la netteté d’un visage aux pommettes hautes à l’air froid mais celui qui reçoit un sourire de sa bouche large, de ses lèvres pleines est cloué sur place, ce fût le cas de Bruno..
Nadia avait choisi une tenue modeste pour ne pas éclipser sa fille, c’était une belle journée d'été, elle portait une robe blanche à mi mollets, jupe large boutonnée jusqu’à la taille et corsage ajusté découvrant ses épaules et échancrée sous les bras. Ses sandales argentées aux talons hauts, retenues par une bride de cheville étaient le seul indice qui pouvait trahir, ce jour là, l’érotisme caché de cette belle dame.
Contrairement à son habitude elle veillait à ce que sa jupe ne se déboutonne pas trop sur ses cuisses nues et évitait de lever les bras pour vérifier sa coiffure, ses aisselles pleines sont, d’après son amant, un véritable appel au viol.
Julie ajoutait à l’éclat de sa jeunesse le rayonnement de l’amour. Depuis quelques semaines elle découvrait les jeux érotiques avec son nouvel amant. Elle se croyait presque froide, la découverte du véritable orgasme fût comme une explosion qui libéra des désirs cachés, des besoins de domination, sans doute de revanche auxquels Bruno se prêtait.
Elle racontait tout à sa mère, comment elle le déshabillait debout, comment elle le caressait sans qu’il puisse la toucher en s’arrêtant avant qu’il ne jouisse. Elle adorait l’exister, le faire bander sans rien lui accorder, bien évidemment ce jeu se terminait toujours par un double orgasme bien mérité.
Cette fois la conclusion tardait trop, ils étaient excités tous les deux par leurs attouchements. Chaque fois qu’elle le croisait dans le va et vient de la cuisine au jardin elle pinçait son sexe, lui parvenait en la suivant, à glisser sa main entre ses fesses.
A ce jeu Bruno avait une érection constante et le sourire averti de Nadia était dur à supporter, Julie de son côté sentait sa culotte coller et pensait à l’enlever dans les toilettes. C’est de la faute de maman si elle avait mis une culotte large au lieu d’un slip ou de rien du tout.
Elles avaient pris un solide apéro sur la terrasse pour se mettre en forme en attendant le héros, dès le premier Whisky maman ne peux s’empêcher de faire la leçon « tu devais mettre des culottes larges, les hommes ne savent pas que faire quand ils tombent sur des slips serrants, ils essaient de forcer le passage et souvent ils font mal, alors que dans une culotte c’est comme dans un nid, la main est à l’aise pour de longues caresses qui font venir « l’eau à la bouche » Comme Julie répond « Mais maman je n’ai pas de culotte » Nadia, sans hésiter, « tiens prends la mienne , j’ai bien vu que tu n’en avais pas » .
Dans un joli mouvement Nadia se trousse, sa culotte de soie glisse comme si elle n’attendait que cela, de la pointe de son soulier elle l’envoie vers sa fille, l’échange se fait dans de grands éclats de rire, Julie apprécie la douceur du tissus, sous sa minijupe étalée le contact du siège en osier avait, au début, déclenché des frissons mais il devenait désagréable. .
A table Bruno encombré de son membre dressé ne pensait qu’à réaliser le scénario qu’il avait imaginé. Il adorait promener Julie sur son scooter, il était fier de montrer cette jolie fille couchée sur son dos, elle attrapait la boucle de sa ceinture le serrait dans ses bras et dans ses cuisses. Il rêvait alors que Julie se cramponne à son sexe et quelle le branle, il voulait que cela se passe aujourd’hui c’est pour cela qu’il était venu en scooter, c’est pour cela qu’il dégageait discrètement son sexe sous la table et qu’il laissait la tirette légèrement descendue, c’est pour cela qu’il faisait maintenant allusion à une petite ballade digestive sans remarquer l’air dégouté de Julie qui, manifestement préférait baiser bien à l’aise dans un lit
Le climat érotique a gagné Nadia, elle veut donner aux amoureux un peu de liberté, c’est du moins ce qu’elle croit. Sitôt dans la salle de bain elle passe ses mains sous sa jupe et ne trouve que ses hanches nues, elle se soucie qu’elle n’a plus de culotte, instinctivement ses doigts glissent vers sa toison, elle comprend qu’elle aussi veut jouir.
Elle s’assied sur le bord de la baignoire se déboutonne jusque la ceinture et écarte ses cuisses à fond, quand elle est seule elle aime une certaine vulgarité, elle pense « je vais me le mettre ». Elle plonge dans son sac à main et sort sa brosse à dent électrique, elle n’a pas le temps de se faire des mignardises « de tourner autour du pot » elle ébouriffe sa grosse touffe moire, ses lèvres vite écartées sont déjà rouges, elle enfonce « son ami » et zut… pile plate. Un instant elle regarde sa scandale, elle l’a déjà fait devant son amant, planter son talon à fond dans son vagin et frotter son clito avec la semelle, mais ici elle n’a pas le temps, elle renonce mais l’image la poursuit, elle se caresse mais l’envie d’un objet dur à l’intérieur de son ventre la déconcentre, dépitée et brulante elle se reboutonne à la diable et revient à table.
Là les choses ont évoluées, Julie sous prétexte de desservir vient se planter à côté de Bruno dans l’intention évidente de tester sa culotte, elle espère des caresses enveloppantes sur ses fesses mais Bruno est trop rapide, il n’a qu’un geste à faire pour entre par derrière, il trouve un terrain conquis, des lèvres ouvertes, mouillées, le moment n’est plus aux galanteries, il plante son pouce dans le sexe offert et cherche le clito en faisant vibrer son index tendu. L’attaque est brutale, le pouce entre à fond, les lèves souples sont vigoureusement étirées, Julie repose les assiettes en catastrophe et doit s’appuyer à la table, pour garder l’équilibre elle écarte les pieds, et se cambre, elle tente de résister à l’orgasme qui monte, mais elle s’est elle-même empalée plus profondément, elle enrage de jouir si vite en criant « non » comme toujours, un long spasme la secoue.
Bruno veut continuer de vibrer le petit bouton bien dressé qu’il a au bout des doigts mais les sursauts de Julie sont trop violents, il ne peut que maintenir son pouce en place et alors que Julie essaie de reprendre son souffle il sent sur son doigt les contractions d’apres la jouissance, il les compte avec toute la fierté du mâle dominant.
Chacun reprend sa place à table, maman fâchée de n’avoir pas joui, Julie fâchée d’avoir joui trop vite et Bruno, croyant le moment venu de jouir propose son « petit tour » c’est alors que Julie à l’inspiration fatale. « Allons reconduire maman »
Ils se retrouve à trois près du scooter, Julie crie dans un faux enthousiasme « Bruno tu ramènes maman en scooter, elle va adorer » et elle pousse Nadia sur la machine. Nadia adore surtout être la vedette, le vin aidant elle s’installe sur le siège en riant, le pauvre Bruno n’a d’autre solution que de lui passer le casque qu’il avait préparé pour sa belle et met le sein en tirant la tête.
Nadia doit reculer, écarter fort les genoux, quelques boutons de sa jupe sautent tendis qu’il s’installe et démarre.
Nadia n’est pas du tout à l’aise, elle ne veut pas donner le spectacle de la fifille accrochée au blouson de son mec, elle se penche en arrière et attrape la sangle du siège. La position est sans doute plus élégante mais elle a ses inconvénients, le dos est très cambré et le bassin glisse vers l’avant, il faut variaient se cramponner.
Les pavés sont affreux dans le village, elle est sur le point de crier qu’elle veut descendre quand les pans de sa jupe prennent dans le vent et filent vers ses hanches en claquant comme des drapeaux, ses cuisses jaillissent superbes, elle éclate de rire. C’est la première fois qu’elle a la tête dans un bocal, personne ne peux la reconnaitre, les maisons, les gens défilent devant son petit écran, c’est comique.
elle adore, les mots de son amant défilent : la perfection de ses jambes, la cambrure provocante de ses pieds, la finesse des chevilles et des genoux elle en oublie son mal de dos, Le casque a défait son chignon elle sent ses cheveux flotter sur ses épaules, jambes nues jupe au vent elle est heureuse.
Elle se détend et du coup glisse encore plus vers l’avant, les fesses de Bruno sont contre son ventre, elle serre les cuisses trop tard et ne fait qu’augmenter le contact. La contraction de ses muscles se communique à son sexe. «Mes lèvres se gonflent et s’écartent » elle aime cette pensée qui parle autant de sa bouche quelle adore que de son vagin qui se mouille.
Bruno est surpris par la pression douce, souple et chaude contre ses reins, bien différente du rude contact du jeans de Julie, pour ne pas être entraîné il doit repousser sa cavalière, il se cambre et un peu gêné emboîte son derrière plus avant dans ce nid accueillant sans penser que c’est celui de belle-maman. Nadia a un choc dans le ventre elle ne peut retenir un râle de gorge que Bruno interprète comme un cri de douleur, il est tout confus et dit « pardon » mais son sexe a reçu le message, serré dans le pantalon il bande de plus belle.
Le sexe de Nadia est aussi très excité, il est maintenait sensible à tout, aux vibrations du moteur, aux chocs des pavés, au moindre contact du tissus au souffle du vent, elle se retient de toutes ses forces pour ne pas continuer à jouir, elle serre les dents, rien n’y fait sa bouche s’ouvre elle gémit et c’est l’orage, les éclairs, les sanglots, le ventre qui bat qui force le jus à sortir, un somptueux orgasme..
Déjà ils s’engagent dans l’allée devant la maison, Bruno arrête, saute du scooter et place la béquille, Nadia essaye vainement de se redresser elle crie « redresse-moi, je suis bloquée ». Bruno se retourne enjambe le scooter et la tire par les épaules. Ils sont face à face, genoux contre genoux, Nadia derrière sa vitre a des yeux immenses, sa bouche toute mouillée brille , elle halète elle est superbe de féminité mais Bruno a vraiment peur, il baise les yeux et lui aussi pousse un cri mais de surprise.
La jupe de Nadia est déboutonnée jusqu’à la taille, son ventre est complètement nu, une grosse touffe de poils noirs trône dans l’écartèlement de ses longues cuisses qui jaillissent d’une grande corolle blanche.
Nadia tente de rassembler les pans de sa robe, elle va y parvenir quand elle aussi baisse les yeux et ce qu’elle voit paralyse ses bras à mi course. Le sexe de Bruno est sorti de son pantalon, la glissière a cédé dans le mouvement secourable et elle continue de se laisser aller sous la pression du membre trop longtemps congestionné.
Bruno lui aussi le voit pointer avec horreur, il le saisit d’une main ferme dans l’intention de le rentrer au plus vite mais quelle malencontreuse idée de tirer le prépuce vers le bas et de le remonter aussitôt, un jet de sperme jaillit vers le ventre de Nadia qui de son côté a récupéré rapidement ses esprits.
Cela ressemble à un jeu érotique qu’elle pourrait avoir avec son amant et dans l’instant elle pense qu’il devrait acheter une moto. Mais il y a urgence, elle rabat les pans de sa robe sur le sexe en éruption, elle sait bien qu’il ne va pas en rester là.
Il n’est pas certain qu’elle racontera tous les détails de la suite à son amant, il est possible qu’elle oublie de dire qu’au travers du tissus elle a pris le membre en main et l’a tenu avec délice pendant les décharges suivantes sous prétexte de garder le désastre à l’intérieur de sa robe.
Bruno se retire enfin en bredouillant quelque chose comme «excusez-moi, c’était pour Julie» ce qui n’est vraiment pas galant, Nadia peut enfin refermer les jambes et descendre du scooter.
Sans un regard pour le coupable mais avec un beau sourire elle monte l’escalier de sa villa en relevant sa jupe devant elle, royale comme une marquise du Grand Siècle.

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