Jours de match

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Jours de match Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Jours de match
Les jours de match c’est pour moi, comme pour la plus part des femmes, le moment de se distraire autrement. Heureusement qu’un deuxième téléviseur, dans ma chambre me permet de voir ce que j’aime. Quelques fois Paul, le copain de Jean, mon époux, vient aussi chez nous. Je suis une bonne hôtesse : je leur laisse des pizzas et des bières.
Paul est le mari de ma cousine Colette, nous sommes parents par alliance. Ils arrivent souvent que les deux hommes aillent au stade. Dans ce cas il partent vers 14 heures pour ne revenir qu’après 19 heures. Comme Colette est aussi allergique que moi au foot, un après midi nous décidons de venir nous retrouver chez moi pour passer l’après midi à bavarder, plutôt que de rester seules.
Nous voilà tranquille pour un bon moment. Je propose toujours le café, un jour elle vient avec moi dans la cuisine pour m’aider. En sortant elle me demande si Jean me baise bien (nous sommes libres dans nos propos) Je réponds la vérité, je suis satisfaite de ma vie sexuelle avec mon mari. Je lui retourne la question, elle aussi est satisfaire, sauf qu’elle a un fantasme : elle voudrait essayer avec une autre fille. Elle ne pense qu’à ça depuis pas mal de temps. Paul à qui elle s’en est ouverte se moque d’elle : baiser une autre femme, tu es folle. Folle ou pas, cette envie ne la quitte pas.
Je ne sais quoi dire. Aussi quelle idée de se voir entre les bras d’une autre. Puis lentement cette idée folle me parait presque normale. J’ai brusquement moi aussi envie de baiser une autre femme. Colette n’est pas mal après tout.
Je dois avoir le visage qui change brusquement, surtout quand je regarde Colette dans les yeux tout en lui souriant.
Elle comprend que je ne suis pas contre un essai avec elle. Elle se lève pour entamer un déshabillage en règle : elle montre son corps petit à petit, je m’aperçois qu’elle n’a pas changer depuis la dernière fois que nous étions nues à la plage il doit y avoir 5 ou6 ans. J’attends qu’il ne lui reste que son string pour commencer moi aussi à me mettre nue. Nous restons simplement en string, au moins au début, il faut bien avouer qu’un string ne cache pratiquement rien, sinon que le début d’un sexe... et encore !
Nous nous approchons l’une de l’autre. Nos lèvres se rencontrent et nos langues ne se gênent pas pour aller dans la bouche de l’autre.
Elle est un peu plus petite que moi, plus maigre aussi, avec des seins ne dépassant pas un 85 B. Par contre ses fesses sont très belles , à peine un peu tombantes, juste ce qu’il faut, son ventre plat n’est pas desservi par son pubis rasé soigneusement. Je suis plus grande de 10cm environ, je suis un peu plus forte qu’elle, mes seins font un bon 90c. Par contre mon ventre est légèrement bombé et mon pubis est resté comme au début, je suis légèrement velue. Nous quittons nos strings, nous ne nous rhabillerons que bien plus tard dans l’après midi.
Une de ses mains est venue vers mon entrejambe, j’ouvre mes cuisses pour qu’elle accède à mon intimité. Elle passe sa main à la recherche de mon clitoris, quant elle le trouve elle me branle doucement, comme si elle avait peur de me faire mal. Je me laisse faire, ce qui ne signifie pas que je n’agis pas : j’ai pris dans ma bouche un téton que je lèche d’abord avant de le sucer. Elle commence à gémir :
- Tu me fais du bien, tu me suces comme mon homme-.
-Et toi tu me branles trop doucement, vas plus vite.
- Que diraient nos maris en nous voyant aussi ?
- Ils voudraient bous baiser illico.
- Pour le moment je préfère que ce soit toi qui me fasse l’amour.
Elle a raison, bien que nous nous ne sommes pas encore fait l’amour. Je la fait venir sur le divan, elle s’assoit sans que je le lui demande. Elle a une envie non dite : il me semble qu’elle veux que je la masturbe. Je l’embrasse encore sur la bouche. Je vais directement sur son bouton que je caresse comme je le fait pour moi. Elle recommence à gémir. Elle jouit une première fois. Je vais plus bas, dans sa moule, à le recherche du point G. Là je m’y attarde un bon moment : elle met sa tête en arrière.
- Oui, continues ne t’arrête pas, fais moi jouir.
- Je le fait autant de fois que tu veux, à condition que tu me branles aussi.
- Tant que tu voudras et après nous nous ferons jouir autrement.
Je ne sais pas qu’elle sera « l’autrement » et je m’en fiche, du moment que je jouirai.
Après ces hors d’œuvres nous passons aux choses plus sérieuses.
Elle me fait coucher sur le divan, la tête sur un coussin pour que je puisse voir. Je la vois écarter mes jambes et sa bouche s’approche du sexe. Je sens enfin sa langue venir sur ma chatte. Elle cherche ce qui me fait jouir le plus : si elle savait tout ce que j’aime !!
Elle commence par me lécher le clitoris. Je réagis en me penchant en arrière et en jouissant. Elle ne s’arrête pas en si bon chemin : elle rentre dans ma moule et cherche comme je l’ai fait mon point g. C’est délicieux. Elle en profite pour me caresser le clitoris. Enfin sa langue va en bas, vers mon cul. Elle le caresse d’abord avant d’y mettre le bout le plus profond possible. Cette garce de Colette me fait encore jouir.
Je veux lui retourner ce qu’elle m’a fait. Je lui suce le con. Elle jouit comme moi, plusieurs fois. Je veux continuer : je la fait mettre sur le dossier, les jambes bien pendantes, je lève ma tête vers elle. Je vois tout son sexe, ainsi que son anus. Je pose ma bouche sur son clitoris, j’entre deux doigts dans son vagin et met mon pouce dans son cul. Elle commence à cirer tellement elle jouit.
J’arrête là mes léchages au moins pour le moment : j’ai une idée, je vais prendre dans ma chambre le chapelet dont se sert mon mari pour me le mettre au cul.
Quand je reviens elle est couchée sur le divan les cuisses ouvertes et elle se masturbe sans pudeur. Je m’assois à coté de ses jambes. Je la laisse se donner du plaisir. Quand elle jouit je lui demande de se pencher pour que j’ai accès à son arrière train. Elle n’a pas vu le chapelet. Par contre elle le sent quand j’enfile la première bille. Elle sursaute de surprise, me laisse faire. J’arrive à lui mettre dans le cul plus de 10 billes de plus en plus grosse. Je le lui laisse en entier, le temps de l’embrasser pendant qu’elle touche la dernière bille que j’ai laissé dehors.
Je commence à sortir les billes une à une. Je vois son anus s’ouvrir et se refermer à chaque passage: pour moi ce n’est excitant pour elle, c’est une orgasme à chaque passage. Je vais très doucement pur qu’elle jouisse d’avantage. Elle est comme folle : ses mains caressent sa poitrine pour finalement se masturber. Elle m’excite tant que je lui demande de me sucer encore une fois au moins.
Elle me suce juste un instant puis elle se met sur le dos, les jambes écartées pour que je vienne sur elle: nous allons faire un 69. Je me met sur elle, mon minou contre sa bouche. Cette fois nos langues ont du travail de fond à accomplir. Nous ne cessons pas de nous sucer pendant une bonne demi heure, nous nous mettons des doigts dans l’autre orifice arrière. Je ne saurais dire combien de fois nous avons joui. Nous nous caressons partout, surtout les fesses.
Nous avons mal aux langues. Il est encore temps de nous aimer, nos époux ne rentreront pas avant deux bonnes heures. Nous restons couchées l’une contre l’autre à nous dire des mots doux, comme deus jeunes mariés. Nous n’éprouvons aucun sentiment sinon que physique. Colette brusquement a envie de se servir du bracelet. A mon tour de me mettre tournée sur le dos, pas totalement mais presque. Elle a une iridée de génie: me mettre tout le bracelet dans ma chatte pour le mouiller: comme elle n’est pas satisfaite tu résultat, elle le met aussi en elle. Enfin elle enfile les perles comme je le lui ai fait, avec plus de rapidité. Elle viens sur moi pour m’embrasser et me peloter. Je crois qu’elle m’a fait garder les billes plus d’une demi heure. C’est très agréable d’avoir ces choses dans mon intérieur. Et enfin, avec plus de lenteur que moi, elle sort les billes: bien sur je jouis à chaque passage. Elle arrête le temps de mon orgasme et reprend de suite après.
Je me demande à un moment donné si mon mari m’a donné tant de plaisir. Je ne crois pas et pourtant j’aime sa queue quand il me baise. Les plaisirs sont différents tout simplement.
Il en est pareille pour Colette.
La conclusion est facile à trouver : nous recommencerons pour chaque match.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Wahou quel plaisir

Histoire Erotique
Hum c'est bon...

Histoire Erotique
Bonjour, jolie histoire qui m'a bien excité, j' adore la découverte des plaisirs entre
femmes.... continuez, merci

Histoire Erotique
vive le foot!



Texte coquin : Jours de match
Histoire sexe : Une rose rouge
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