Baise à plusieurs hommes sur moi

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Baise à plusieurs hommes sur moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2010 dans la catégorie Plus on est
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(6.0 / 10)

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Baise à plusieurs hommes sur moi
Marié à Huguette, je lui ai tout appris, sauf sans doute la masturbation. Pour le reste, elle n’était vierge de nulle part. Disons qu’elle avait baisé une ou deux fois avec des copains. Je me souviens de notre première fois. Elle voulais se surpasser et n’arrivait qu’à une pâle copie d’amour physique. Pour elle faire l’amour, c’était se coucher, les jambes écartées en attendant que je vienne sur elle pour la lui mettre.
Depuis, elle a fait d’immenses progrès: elle baise comme une reine, réclame sa sodomie, adore le sperme et aime proposer de nouvelles positions. La dernière est qu’elle adore se masturber en se faisant sodomiser, alors qu’au début elle refusait absolument. Bien sur je lui ai acheté divers godes pour qu’elle se branle, seule ou devant moi. Elle a désigné celui qu’elle prendrai pour se baiser et celui qu’elle utiliserai pour la sodomie. Il faut la comprendre avant quand elle se masturbe, elle arrivait facilement à se caresser le devant et pour mettre les trois doigts habituel dans son cul, elle avait quelques difficultés. Un samedi après midi vers 15 heures, elle m’appelle: elle est dans la chambre. Quand j’entre je la vois presque nue, Le soutiens gorge descendu vers son ventre avec ses seins en l’air, dévoilant une poitrine un peu grosse, tout en restant dans l’acceptable, disons un 85 d. Elle ne porte pas d’autre vêtements sinon une paire de bas. Elle n’est pas totalement couché, elle est à moitié assise sur le lit, les jambes ouvertes comme si nous devions baiser.
- J’ai envie de jouir en me branlant. Je n’ai pas réussit mon coup: j’ai pu me mettre au cul le gode que j’ai encore en moi. Je n’est pas réussis à mettre l’autre.
- Tu veux que je t’aide ?
- Si tu pouvais me mettre celui du con, je serais heureuse.
En la voyant ainsi et en l’entendant j’ai plutôt envide de la baiser.
- J’ai envie de toi.
- Non, pas maintenant, je veux jouir en me branlant, tu me le fera ce soir.
- Je me branlerai en te regardant, ça te va ?
- Oui, ce sera plus excitant.
Je vais vers elle, toujours en bandant, j’arrange le gode dans sa chatte. Elle peut commencer sa double pénétration comme elle veut.
Je me retire un peu pour la regarder. Je sors ma queue et sans complexe, comme elle je me branle aussi. Je la vois jouir ainsi plusieurs fois. Mon jet de sperme arrive presque à sa hauteur. La prochaine fois je me mettrai plus près pour arriver sur elle.
Le soir arrive, je n’ai pas oublié sa promesse. Pourtant je n’ai pas à la lui rappeler, c’est elle qui viens vers moi, nue, ne potant que ses bas. Elle m’embrasse légèrement sur la bouche, sa langue entre dans ma bouche pour aller taquiner ma langue. Comme souvent je me dégage pour passer ma langue sur ses lèvres. Je sais qu’elle adore quand je lui lèche les lèvres. Elle a encore dans ses mains les deux godes. Elle se met devant moi pour se branler cette fois seulement la chatte. Elle est presque accroupi pour être encore plus pénétrée. Elle jouit une fois, se relève en gardant par je ne sais quel miracle le gode dans son con.
Elle me demande de la lui mettre au cul, Elle est penchée en avant, les fesses ouvertes avec le petit trou bien mouillé. Je me défais du peu que je porte pour être nu. Je vais derrière elle. Son cul est habitué depuis longtemps à recevoir ma queue. J’entre à fond quand elle se branle encore avec son gode. Ce n’est pas la première fois que nous baisons ainsi. En attendant je ne me suis toujours pas habitué à ces doublé pénétration, le gode ne me convient pas. Je bande toujours, je vais et viens dans son cul. Je la sens jouir deux ou trois fois. Je sors de son anus, je n’ai pas jouis. Ce n’est pas grave pour elle: elle me fait assoir, pose sa bouche sur mon gland dans le but évident de me sucer. Elle tient la base de ma pine ses lèvres descendent jusqu’à ses doigts pour remonter. Elle met quelques fois ma queue contre ses joues. Elle me fait jouir ainsi. Elle ne prend pas le risque d’aller cracher, ce serait dommage, elle avale tout sans aucun dégout.
Nous allons dans la chambre. Elle a rangé son gode «  de cul » pour mettre à coté de lui celui du »con ». Je me couche avant elle. Elle aussi vas sa coucher dans son lit: nous avons des lits jumeaux, c’est plus romantique et surtout plus confortable pour ne pas réveiller l’autre quand on se branle, ce qui est courant pour nous deux.
Elle me prend par la main. Je sais fort bien ce que ça veut dire; ou elle veut baiser ou elle veut autre chose. Cette fois c’est la deux: elle se découvre complètement pour que je la vois se branler et elle me fait part d’une réflexion:
Elle voudrai avoir en elle trois bites, une devant, une derrière et la une autre dans la bouche; je me branlerai devant elle pendant qu’elle se ferai mettre. Le temps de m’expliquer, elle jouit une autre fois, elle se voit déjà enserrée par des corps d’hommes bien montés.
Pour la rassurer je lui dit qu’elle a raison de vouloir se faire mettre ainsi devant moi.
Quelques jours passe pendant lesquels elle se masturbe avec les deux godes. Cette fois elle ne m’appelle qu’avant de jouir.
J’aime la voir se donner du plaisir. Elle a une façon qui lui appartient pour se baiser. Si elle commence doucement elle arrive à aller à une vitesse qui pourraient dépasser les limites autorisées. Dans son cul c’est pareil. Et quand elle est dans la douche, je vais toujours la voir jouer avec le jet. Quand elle jouit sur son clitoris, la fois suivante elle ouvre bien les fesses pour jouir encore pas le cul. Elle sort de la douche pour se sécher, et surtout me voir moi aussi me branler avec le jet. Quand je jouis, elle prend ma bite pour me sécher avec la serviette. Je m’y suis habitué sinon au début elle me faisait tellement de bien que je jouissais encore.

Reste son fantasme. Elle tient absolument à être la proie de plusieurs hommes à la fois. Je lui dit franchement qu’elle ne compte pas sur moi pour lui trouver la « marchandise ». Elle n’en parle plus pendant plusieurs jour. Un soir, en se branlant elle me dit qu’elle a trouvé les hommes qu’il lui faut.
Elle m’explique qu’en cherchant sur internet elle a trouvé chaussures à son pied. Elle me montre des photo que je trouve quelconque de ses futurs amants d’une nuit. Elle me décrit leurs caractéristiques, surtout les tailles de bites, elle a éliminer tous ceux qui sont moins bien monté que moi.
Le rendez vous est dans une chambre d’hôtel loin de chez nous. Nous devrions y être à l’aise pour bien baiser en chœur. Il lui tarde d’être dans cette chambre. Elle se branle dès qu’elle y pense, et elle y pense souvent. A tel point que parfois elle m’oublie. Je dois la rappeler à l’ordre en lui mettant ma bite sur les lèvres.
Nous y voilà. La chambre est de luxe, elle n’a pas regardé à la dépense, une bouteille de champagne attend dans son seau de glace. Enfin elle est nue aussitôt, elle ne veux pas perdre de temps en pelotage inutiles sinon pour ces hommes. En les attendant elle se mets contre moi pour que je la fasse bien mouiller :je la branle comme elle aime: elle jouit en murmurant: vivement qu’ils viennent me la mettre. Enfin à quelques minutes d’intervalle les voilà. Je les trouve conforme aux descriptions qu’elle m’en a faite. Elle les embrasse sur la bouche tous l’un après l’autre. Chacun est déjà au courant de son rôle. Le premier arrivé lui met directement une main sur la chatte: elle écarte un peu les jambes pour lui permettre de toucher un peu le clitoris. Le deuxième lui met la main au fesses et enfin le dernier a droit à se faire branler un peu. Je reste impassible, même s’ils touchent et pelote ma propre épouse. Ils se mettent tous nus: c’est amusant de les voir comparer leurs bites. Huguette leur dit qu’elle n’est pas là pour s’amuser mais pour se faire baiser, enculer et faire une fellation. Si elle est satisfaite et s’ils le peuvent encore, elle leur permettra de recommencer, mais pas aux même endroits. Je sert d’arbitre. Elle prend toutes les bites dans sa bouche pour qu’ils soient bien durs. Elle en profite pour leur mettre un doigt dans le cul, pour vérifier je ne sait quel virilité. Enfin celui choisi pour l’enculer se met en place, couché sur le dos, en suivant les instructions, elle s’embroche seule sur la bite bien droite. Elle s’est bien mouillé la pastille et la bite entre en elle facilement. Quand elle l’a au fond de son cul, c’est l’autre qui vient sur elle. C’est à lui de se débrouiller pour la baiser. Je regarde ce spectacle qui m’émoustille; je bande comme un gamin devant une photo dénudée. Je la regarde mener son propre jeu. Elle va et vient seule à son gré. Elle ferme les yeux: je sais qu’elle prend son pied. Je sors ma pine pour me branler.
Enfin le dernier vient tout près d’elle, elle ouvre sa bouche pour un pompier comme elle sait bien les faire. Je la connais trop pour savoir qu’elle jouit plusieurs fois. Elle décident de la changer de place. Celui qui l’enculait passe dans sa bouche, celui qui la baisait passe dans son cul et enfin l’autre s’apprête à la baiser. Cette fois je ne suis plus d’accord, je le repousse, il peux se faire branler par Huguette sans problème. Je me mets entre les jambes de ma femme et la lui entre facilement. Cette fois j’apprécie la double pénétration en sentant la bite de l’autre à travers les fines membranes du con de ma femme. Je la sens jouir encore et encore, jusqu’au moment du final: un feu d’artifice pour elle; elle veux que j’entre dans son con avec une autre bite. Je ne sais plus quel est mon équipier. Je sais qu’il a une bite un peu plus grosse que moi. C’est lui qui le premier la baise. Il est au fond de sa chatte. Je dois forcer pour entrer et quand je suis tout en elle, elle commence à jouir sans arrêt, jusqu’à perdre presque connaissance: elle n’a jamais eu un orgasme aussi puissant. Ces contractions continuelles ont beau jeu de faire jouir la queue qui était ma voisine. Il se retire, et j’ai enfin une place normale pour finir de la baiser. Quand enfin elle se remet, elle me sourit, m’embrasse et me dit le seul mot qui me fait plaisir: merci. J’ai jouis comme une garce: j’en ai eu plein.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
merveilleuse histoire bien racontée



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