Le chagrin d'Aline

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le chagrin d'Aline Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Le chagrin d'Aline
Mon amie Aline est triste: son ami, celui qu’elle aimait tant l’a laissée tombée, comme ça sans préciser pourquoi. Je les trouvais bien assortis: lui un bel homme, très musclé, avec de la cervelle à revendre. Elle assez grande, avec des seins hauts perchés, des cuisses parfaite et de longues jambes, en plus rousse comme ce n’est pas permis. Ils étaient ensembles depuis presque 2 ans. C’est elle qui me l’a appris en venant chez moi, en larmes. Je ne savais plus quoi faire pour la consoler. Je lui proposais de rester chez moi quelques jours pour se remettre à condition de se remettre rapidement. Elle ne peux qu’accepter ma demande. Je l’accompagne chez elle pour récupérer du linge, des affaires de toilette.
Le lendemain elle semble aller mieux, malgré les cernes sous ses yeux: elle a du pleurer une bonne partie de la nuit. Puis ce soir elle me demande de la consoler un peu. Je la fait s’assoir juste à coté de moi sur le divan. Je lui passe un bras sur les épaules, son visage entre mon visage et mon cou. Je lui caresse la tête comme pour une enfant. Je l’embrasse dans le cou: elle me sourit. Je crois que j’ai gagné le plus dur.
Quand ma nature reprend ses droits: une fille contre moi ne m’a jamais déplu, surtout une beau morceau. Elle a perdu un amour: je peux, au moins en partie pallier à cette absence.
Je pose mes lèvres sur le siennes: elle a d’abord un moment de recul pour finalement accepter ma langue. J’ai embrassé Aline, a une sexualité normale, alors que moi, j’aime les filles. Elle le sait pourtant, nous en avons parlé souvent, elle me le reprochait toujours. On ne refait pas, telle était ma réponse.
Sa langue ne se dérobe pas, elle caresse la mienne normalement. Nous nous regardons dans les yeux. Elle ne baisse pas les siens quand je revient à nouveau sur sa bouche. Cette fois je vais quand même un peu plus loin. Je crois savoir bien peloter une fille: elle le ressent quand elle me demande de ne pas partir.
Je défait les boutons de son corsage pour arriver à son soutient gorge: j’en trouve un rouge en forme de triangle bien commode pour passer ma main. J’arrive à passer sous le vêtement. Je trouve son sein bien dur et son tétons bandé. Je suis excité de ces trouvailles. Je caresse le sein et passe et repasse mon pouce sur le téton. Elle semble aimer. Je continue un bon moment, elle ferme les yeux pour bien profiter de ma caresse. Pour une fille qui ne moquait de moi, de mes préférence sexuelles, elle ne peut plus rien me dire. Je retire son corsage et j’arrive à déboutonner le soutif: j’ai ainsi ma main libre pour la caresser sur son torse. Je prend l’autre sein pour le caresser et pose ma bouche sur l‘autre téton. Je le lèche avant de le sucer. Elle gémit maintenant.
Je m’enhardi jusqu’à poser une main sur son genoux. Je ne bouge pas trop, j’attend un signe de sa part. Elle tarde un peu avant d’écarter ses jambes: elle me donne l’autorisation d’aller plus haut. Je monte très lentement: je ne voudrais pas qu’elle se refuse maintenant; sinon j’en serai quitte à me masturber comme la nuit dernière. Je suis à mi cuisse: je l’embrasse encore: sa langue répond: elle entre même dans ma bouche. Je commence à me demander si elle n’a pas eu une expérience homo. Pour l’instant elle n’a fait que m’embraser et poser une mains trop légère sur un sein. Je trouve le haut de son bas: je ne suis plus loin de mon but. Son string est inexistant: je l’écarte. Puis je trouve ses lèvres. Je passe entre elles pour aller me perdre dans son vagin. Elle abandonne mes lèvres pour me regarder dans les yeux. Elle m’accepte là où je suis venue. Je la doigte comme pour moi. Je commence toujours pas un doigt suivi de deux autres au fur et à mesure de mes besoins. Je fait aller et venir mes doigt en elle. Je vais de plus en plus vite, comme si j’étais la bite de son ex. Elle se crispe un peu: je sens son sexe qui jouit. Je laisse ma main là où elle est. Je recommence aussitôt son orgasme fini.
Cette fois elle pose une main sur la mienne: Elle accompagne mes mouvements
- C’est bon ce que tu fais.
- C’est pour te donner du plaisir, idiote.
- Je le sais bien, je me doute même que tout à l’heure tu me demandera de te les rendre.
- Bien sur que je te le demanderai, et plus encore, et pour toi et pour moi.
- Qu’est-ce que tu voudra ?
- Tu verra et tu ne le regrettera pas, je t’assure.
Elle reprend ma bouche qui l’attire alors que tout à l’heure ma bouche servira à un usage plus personnel pour elle.
Je sors mes doigts de sa chatte pour le mettre sur son clitoris. J’ai déjà les doigts très mouillés, je les pose sur le bouton et je la masturbe encore. Elle commence une longue jouissance. Quand elle fini, je lui demande d’enlever sa jupe, son string et ses bas pour qu’elle me montre tout son corps!
- Et toi ?
- Moi aussi, regarde pendant que je me déshabille.
Elle est nue maintenant, je pense avoir eu raison de commencer à la baiser: elle est vachement sexy. Elle me prend dans ses bras, me serra contre elle. Nous avons les seins bien contre. Je la laisse m’embrasser encore. Je jette contre elle mon pubis: nos poils se mélangent. J’ai trop envie de la goûter. Je me baisse totalement: elle me relève sachant ce que j’allais lui faire, elle s’assoit à nouveau, écarte ses jambes: j’ai une vue sur la totalité de sa fente. J’aperçois ce que je ne voyais pas tout à l’heure, Est-ce volontaire, je ne sais, en tout cas son petit trou est adorablement plissé. Il attire ma langue, si au début je voulais sucer le clitoris, maintenant je suis tentée pas son anus. Il ne s’y attend pas du tout: elle a même un sursaut quand ma langue se pose sur elle. Je lèche lentement son cul, j’y entre une bonne moitié de la langue que je remue dans tous les sens. Elle prend ma tête entre ses mains, comme pour m’encourager à rester là. J’arrive à la faire jouir. Je ne sors pas de suite: comme elle a jouit par ce trou, je vais y rester pour recommencer. J’ai toujours envie de la faire jouir, même si je suis totalement trempée, je peux patienter. Je recommence à remuer la langue dans ce cul et j’ai encore le plaisir de la sentir jouir. Cette fois je sors. Elle me guide sur sa chatte. J’entre le plus possible de langue: j’arrive à trouver le fameux point G. Là je reste longtemps, elle jouit sans arrêt. Je n’arrête plus de la lécher. Enfin je monte à peine pour sucer dans ma bouche son clitoris. Je lèche sans arrêt, mais avec une variante: j’ai mis deux doigts dans son cul. Elle gémit de plus en plus fort.
Je commence à fatiguer ma langue. Je m’assoit à ses cotés. Je suis drôlement surprise quand, sans rien dire, elle j’accroupit devant moi, me fait écarter les jambes pour lécher ma chatte.
Pour une novice, c’est très bien fait, même si elle rate certaines caresses. En tout cas, excitée comme j’étais, elle me donne plusieurs orgasmes que je ne regrette pas de tout. Je lui demande de mettre la langue sur mon anus: elle le refuse dans un premier temps, et l’accepte quand je lui rappelle qu’elle a jouit de son cul grâce à ma langue. Au début, c’est totalement loupé, puis elle s’y met de bon cœur: je sens le bout de sa langue entrer en moi. Quand elle commence à aller et venir, je ne me retiens plus: je jouis.
Nous cessons nos amours vers 2 heures le matin. Il est tard, je le lui fait remarquer.
- Je peux coucher avec toi cette nuit ?
- Bien sur et même plusieurs nuits si tu veux.
- Je sens que je vais passer plusieurs nuits avec toi.
- Comme tu veux ma chérie.
Nous nous couchons, et avant de dormir, elle veut une dernière jouissance: je la lui refuse. Sans honte, elle se découvre, ouvre ses jambes et devant moi, se branle en jouissant plutôt vite.
Le lendemain au réveil difficile, j’ai encore envie d’elle.
Elle dort profondément: je l’enjambe, mets ma tête sur son sexe, lui ouvre bien les cuisses et pose ma bouche entière sur sa chatte. Je lèche tout, absolument tout; je la sens mouiller très vite, je me repais de son jus. Je sais que je dois sentir la cyprine, je m’en fiche: j’aime son goût de rousse. Enfin elle se réveille en jouissant. Elle n’est pas surprise, elle rêvait que je la suçais. Elle me rend tout ce que je lui ai fait et même un peu plus en mettant sa langue dans mon cul.
Je lui demande si elle ne veux pas un godemichet pour jouir comme avec son ex. Elle est surprise que je possède un tel jouet, pourtant moi aussi j’aime me baiser avec de temps en temps. Ce n’est pas parce que je suis lesbienne que je n’aime pas me faire mettre quelques rares fois par un homme: ça ne dure pas longtemps, juste le temps de jouir pour moi: lui je m’en fous totalement.
Elle veux bien que je la baise avec: elle est déjà mouillée: je sais que notre nuit sera suivie de beaucoup d’autre, je sais aussi qu’un jour ou l’autre elle rencontrera un type qui saura bien la lui mettre pour qu’elle me quitte.
En attendant je lui demande comment elle aime être baisée. Naturellement. Avec ça je suis servie, je pense qu’elle pense à la position allongée sur le dos. C’est bien ça: elle est bien installée sur le dos, les jambes grande ouverte. Je vais entre ces jambes pour qu’elle ai l’impressions d’avoir quelqu’un qui la baise réellement. Je reste bien au dessus de son corps; je peux voir ses seins pendant que je la lui entre dans la chatte avec précaution. Je fais tout ce que je peux pour qu’elle jouisse normalement. Je vais et viens: j’ai la joie de voir la peau de son vagin entrer et sortir un peu à chaque passage.. La baiser me fait encore mouiller. Cette fois je qui demande de regarder pendant que je me branle. Eros, passant par là nous ait jouir ensemble.
Ensuite elle veux que je l’encule pour de bon avec le gode. Je rentre dans la chatte pour le mouiller. Pour moi ce n’est pas assez, je prend un peu de ma mouille pour en rajouter. Elle est en levrette: je vois ses seins pendre un peu et balloter pendant que je la lui met. Elle fait pus que se régaler, elle jouit avec son cul plusieurs fois. Je laisse la gode dans son anus pour recommencer après son orgasme. Je vois toutes les contraction de son anus pendant ses jouissance: je me branle encore, même si elle ne peut me voir.
Nous sommes restées ensemble deux mois après quoi elle a rencontré un autre copain. Elle sait qu’en cas de besoin, même si elle est toujours avec lui, elle pourra se faire lécher

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