Sauter le pas - histoire érotique

J'ai 27 ans et comme tous les jours j'allais au travail, pas très loin de chez mois, à une trentaine de minutes seulement. Et comme tous les jours je regardais ce parking le long du bois, connu pour être un lieu de drague gay, ou plutôt de débauche.
J'avais en tête depuis longtemps de m'y arrêter pour observer de loin les ébats sexuels d'inconnus. J'imaginais alors la scène et comme à chaque je regrettais d'être en voiture, ne pouvant me soulager de tout ses désires secrets qui hantent ma tête.
Depuis quelques mois je fréquente les sites de rencontres gay, je dialogue avec différentes personnes de ma région, certain me proposent de les rencontrer mais je ne suis pas encore prêt à sauter le pas, pour le moment je me contente des plans virtuels seulement. Quand on me pose la question récurrente et inévitable je me sens plutôt passif, l'idée qu'un homme me désire, m'ordonne, me guide, me pénètre, m'excite au plus haut point, rien que d'y penser mon sexe se dresse et je mouille déjà de plaisir.
Il est désormais 19h, la nuit est déjà tombée, j'ai eu beaucoup de travail aujourd'hui et il est temps pour moi de rentrer. Je démarre ma voiture et déjà l'idée de passer devant le parking m’obsède, ce soir je me sens prêt à franchir le pas. J'arrive à proximité, je ralentis et prends soin de regarder le nombre de voitures garées. Ce soir il n'y a que deux trois véhicules. L'envie est trop forte, je fais demi-tour et m'y gare, je coupe le moteur et cherche autour de moi quelqu'un mais personne à vue, je sors, m'approche lentement des véhicules ... vides ... Un peu déçu je m'approche du bois et tendant l'oreille j'entends quelques bruits, discrètement j'observe dans toutes les directions afin de chercher ce qui m’obsède tant et enfin je vis un peu plus loin deux hommes, l'un d'eux à genoux. Malgré les vêtements on imagine très bien ce qui se passe et je me mis derrière un arbre, prenant la position de quelqu'un qui urine, peut-être la peur de me faire surprendre cette position parait plus naturelle, je commençais de suite à caresser mon sexe au début lentement et de plus en plus vite, tout en observant les mouvements de va et viens de la tête de l'homme au loin. Quelques minutes plus tard j'avais sali l'arbre de mon sperme. L'affaire finie je repris ma voiture et continua ma route jusqu'à chez moi, l'idée que quelqu'un avait pu m'observer m'excitait encore plus.
Nous sommes vendredi et l'expérience d'hier m'a ouvert l’appétit, j'ai envie d'en faire plus, je retourne sans hésiter au parking m'attendant à voir plus de véhicules, le week-end favorisant les échanges. Il n'en est rien, seulement un camping-car, je m'aventure tout de même sur le parking. Je me gare, descends, personne aux alentours, j’approche du bois et m'y promène un peu. A mon retour un homme dans la quarantaine se tient à l'arrière du camping-car, il fume une cigarette et me regarde retourner à ma voiture. Je sens son regard insistant et d'un pas hésitant je m'approche de lui, je n'ai pas eu à parler le premier, il me posa adébaucheussitôt les questions qui s'imposent.
Salut, tu viens souvent par ici ?
Pas souvent non.
Tu cherche quoi ?
Je ne sais pas trop, je n'ai pas l'habitude de ce genre de lieux.
C'est pas un problème, il fait un peu froid dehors, tu veux entrer ?
L'expression de mon visage et mon silence en disaient long, devant mon indécision il retourna dans son véhicule sans me quitter du regard et je le suivi. A l'intérieur tout le confort que peut offrir un camping-car classique exceptée la sensation de mal-être que je ressentais, je m'assis sur la banquette et lui s'assit en face.
Alors dis moi, c'est ta première fois non ?
Ça se voit tant que ça ? J'en meurs d'envie et en même temps ça me fait peur.
Tu meurs d'envie de quoi ? Moi j'aime bien les jeunes dans ton genre, intimidés.
Ah et vous aimez faire quoi avec les mecs dans mon genre ?
J'aime qu'ils fassent ce que je leur demande, d’ailleurs, tu veux bien te lever que je puisse te mater ?
A sa demande je me suis levé et après un tour sur moi même j'ai retiré mes vêtements de sorte à finir dans mon boxer, mon cœur battait le chamade. Il m'a caressé un peu et m'ordonna de me mettre à quatre pattes, toujours en position il me demande de le rejoindre près du lit sur lequel il était assis les jambes écartées, avec un sourire en coin il me demande d'ouvrir sa braguette et débauchede le caressé. La situation m'excite, je ne peux la cacher et mon boxer en témoigne, ma main caresse son boxer et je sens son sexe se durcir au fil de mes mouvements. Il se relève et enlève tous ses vêtements pour être à l'aise, je souhaite faire de même mais il stoppe net mon geste et m'ordonne de ne toucher à rien sans son accord.
Il se tient nu devant moi, me tourne autour et me caresse les fesses et glisse sa main son mon boxer, il tâte mes testicules et me masturbe légèrement, je pousse un léger soupir qui le satisfait, il me demande de m'allonger sur le lit, il saisit ma main et la pose sur son sexe pour que je le masturbe. Son pénis est doux et possède un long prépuce, il est tendu et de temps en temps en sort un liquide que je ne manque pas d'utiliser pour lui procurer plus de plaisir. Sans que je ne m'en rende compte j'ai approché ma tête pour mieux observer et de sa main il me rapprocha encore plus de façon à sentir sur mes lèvres son gland, qu'il pousse dans ma bouche. Sans aucune hésitation, j'engouffre son sexe dans ma bouche et n'en manque pas une miette, doucement je fais tourner ma langue autour, je décalotte son gland avec ma bouche, j'essaye d'en prendre le plus possible et aspire doucement. Non mécontent de ma performance il retire ma tête et me retourne, d'un geste assurée il retire mon boxer et écarte mes fesses avant de titiller mon anus de sa langue, j’apprécie l'acte et me détend au point de sentir sa langue rentrée peu à peu en moi puis un de ses doigts. Pendant ce temps sa main libre caresse mes testicules et mon sexe de plus en plus mouillé.
Il s'absente un instant et revient avec un gode, du lubrifiant et un préservatif. Je suis de plus en plus excité, il me tend le lubrifiant et le gode, s’assoit plus loin sur le lit et me demande de lui faire un show. Je n'ai aucune expérience annale et suis un peu déstabilisé, ma timidité l'amuse. Je saisi le lubrifiant et en applique joyeusement sur mon anus, je me retourne dos à lui, me penche en avant et lui montre ma main caressant mon anus, mon doigt parfois clissant à l'intérieur. De peur que le gode soit trop gros je travail mon anus lentement avec mes doigts, mais mon hôte impatient m'ordonne d'utiliser le gode. Il est approximativement du même diamètre que son sexe, j'applique un peu de lubrifiant tout au long, l'approche de mon anus et me redresse afin de m'assoir dessus, à ma grande surprise il rentre sans trop de difficultés, en douceur, et me procure un plaisir indescriptible. Avec plaisir je continu de me sodomiser dans divers positions, jusqu'à que mon hôte se lève et me pénètre à son tour. La sensation est différente, son sexe est chaud et les mouvements ne sont plus de mon initiative ce qui donne encore plus de plaisir et d'excitation, il prend son pied à varier la vitesse et la profondeur. Après plusieurs positions il termine en me mettant sur le dos, mes jambes sur ses épaules, il prend mon sexe en main et me masturbe tout en me sodomisant, de plus en plus vite, jusqu'à me faire gicler tout mon jus qui s'envole jusqu'à mon cou. Il se retire enlève son préservatif et sans perdre de temps se masturbe au dessus de moi puis au dernier moment s'approche et vise ma bouche grande ouverte pour accueillir sa semence. J'adore. C'est chaud et je sens le sperme sur ma langue et remplir ma bouche. Je n'avale pas et fais ressortir le tout en l'expulsant avec ma langue, son sperme coule au bord de mes lèvres et sur mon torse.
Après un brin de toilette rapide, juste un coup de serviette, il m'ouvre la porte, me sert la main et je repars à ma voiture, sans un mot de plus mais le sourire aux lèvres. Je ne manque pas de recommencer l'expérience dés que l'occasion se présente à moi, toujours dans le respect de chacun et surtout avec protection.