wend-end d'été (3): suite et fin

- Par l'auteur HDS Journal -
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Auteur homme.
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Récit libertin : wend-end d'été (3): suite et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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wend-end d'été (3): suite et fin
Le soleil était déjà haut lorsque je m’éveillai. Quelques rais de lumière irisaient au travers des volets de la chambre. Il régnait une atmosphère douceâtre dans cet espace intime ou nous nous étions ébattus tard dans la nuit. Mon amour dormait encore, j’écoutais son souffle paisible en cette fin de matinée de dimanche et j’admirais les magnifiques courbes de son corps. Mon attention était attirée par le léger contraste laissé sur sa peau autour des hanches et entre ses fesses, le long de sa raie, par le string qu’elle portait lorsqu’elle allait faire des U.V. Sa croupe m’attirait irrésistiblement et l’émoi qu’elle me provoquait commençait à me procurer une bien agréable sensation. Il me tardait de la prendre et comme je sais qu’elle aime faire l’amour au réveil j’ai commencé à lui caresser les fesses avec mon membre à moitié durci. La douceur de mon sexe la fit onduler presque imperceptiblement. Je poussai alors mon gland entre ses fesses contre son doux fruit d’amour. Je sentais la chaleur de son sexe sur mon bout. De sa croupe ronde elle comprima alors un peu ma bite en se poussant vers moi, ce qui renforça mon érection. Je déposai un baiser sur son épaule. Elle émit un tout petit « mmhumm ». Puis me demanda l’heure. Je la lui indiquai en ajoutant « c’est le moment d’une belle étreinte amoureuse, j’ai envie de toi, je vais te prendre et te faire jouir ». Elle sourit en comprimant un peu plus mon membre dressé contre elle. A cet instant sa chatte émit un petit couinement et je sentis que mon bout s’humidifiait. Elle mouillait.
Puis elle ajouta : « mais je ne peux pas faire l’amour comme ça, il faut que je prenne quelque chose, j’ai trop mal au crâne,… le champagne d’hier soir … ». Elle s’écarta doucement en caressant ma queue. « Je reviens tout de suite susurra-t-elle » et elle se leva. Je ramassai son mini string rose sur lit et le lui tendis en disant : « mets ça !». Elle l’attrapa d’un doigt et s’en alla vers la salle de bain pour prendre un comprimé de paracétamol.
Au bout de quelques minutes elle revint dans la chambre. Le string comprimait un peu sa chatte et je pouvais clairement distinguer, sur ce petit bout de coton tendu, le gousset bien fendu que formait sa vulve gonflée. Elle voulut s’étendre à plat ventre sur le lit mais je la saisis par la taille et l’immobilisai en levrette. Elle s’abattit sur les avant-bras, les fesses bien tendues. Je déposai alors quelques baisers sur sa croupe tout en glissant mon majeur le long de la ficelle du string et parcouru toute sa raie jusqu’à sa moule chaude. J’écartai le string et introduisis mon doigt doucement au fond de sa chatte mouillée et accueillante. Elle émit un petit râle de plaisir. Tout en la masturbant de la sorte j’avais introduis mon pouce au fond de sa raie et j’appuyai vigoureusement sur sa petite rondelle. Du revers de l’autre main je caressais son 90 C. Ses seins dansaient doucement l’un contre l’autre en arborant deux tétons bien durcis et tout à fait proéminents.
Elle se mit à gémir, j’allais et venait au fond de sa chatte en explorant tous les recoins de son jardin secret d’abord avec un doigt, ensuite s’y joignit un deuxième, puis un troisième. Elle ondulait merveilleusement de la croupe allant à la rencontre de mes doigts qui la labouraient. Elle se mis à crier et eu son premier orgasme. Mais ça ne serait pas le dernier.
J’étais en rut, je la voulais toute entière et ma queue bandait encore plus fort.
Très vite je la pénétrai en poussant ma bite à mi chemin dans son fourreau chaud et trempé et je m’immobilisai. Je voulais qu’elle s’empale sur ma hampe, qu’elle vienne chercher le plaisir. Aussitôt, elle entama une danse de petits mouvements lents et lascifs avec son cul, prenant ma queue chaque fois un peu plus profondément. Je goutais ainsi son fourreau mielleux et Je lui caressais les fesses.

Bien vite elle accéléra le rythme de ses allées et venues et à chaque fois qu’elle venait à ma rencontre, je me mis à appuyer mon gland un peu plus fort tout au fond d’elle. Elle poussait des petits cris de jouissance. Maintenant c’est moi qui imprimais le tempo et j’enfonçais ma bite bien profond ; mes couilles venant butter contre ses fesses. Pour augmenter l’étreinte je glissai mes mains sous la ficelle du string et entrepris de lui masser le creux des reins tout en la baisant voluptueusement. La fine cordelette élastique était tendue sur mes avant-bras, ce qui eu pour effet de comprimer sa vulve entre mon membre et le mince bout de tissu. Elle poussa un cri. Je sentis les spasmes incontrôlés de sa gaine tout le long de ma trique. Elle venait d’avoir un nouvel orgasme profond et puissant.
J’avais envie de la défoncer, là par derrière, de la prendre comme une chienne, mais je me retins, car elle ne supporte pas cela. On a bien essayé quelques fois, mais à chaque fois la douleur lui est insupportable. Ce doit être une simple question d’anatomie, ou elle est trop étroite ou c’est moi qui suis trop volumineux. Au fond, cela a peu d’importance car mon désir, c’est avant tout son plaisir. Et je savais qu’il allait encore être intense.
Je quittai brièvement sa chatte bien chaude et trempée et je m’allongeai sur le dos. Elle m’enfourcha et s’empala tout de go. Aussitôt je la saisis par les fesses que j’écartais brutalement et me mis à la défoncer. Elle cria de nouveau. Mes coups de reins furent si puissants qu’ils la soulevèrent à plusieurs reprises, la déséquilibrant elle plongea sur moi, m’offrant sa lourde poitrine que je saisis à pleine bouche. Je me mis à la téter goulument enserrant un mamelon de mes lèvres. J’augmentai progressivement la pression de mes lèvres sur son sein et fit rouler son téton avec la pointe de ma langue dans ma bouche. Elle jouit de nouveau, longtemps et s’affala sur moi. Je sentis son souffle court, haletant, dans mon cou et la rondeur moelleuse de ses seins sur mon torse.
Je profitai de cet instant de répit pour sortir ma queue et fit glisser son string le long de ses cuisses. Je pensais qu’il allait se rompre tellement le mince élastique était tendu. Mais non il résista. Je l’attrapai avec mon pied et le fit remonter jusqu’à pouvoir le saisir de la main. Pendant ce temps mon sexe raide était planté entre ses fesses. Elle se mit à frotter sa raie sur ma bite. Mais je voulais la posséder à l’intérieur et lui donner encore un orgasme. Je glissai ma main libre (celle qui ne tenait pas le string) entre nos deux pubis brulants, saisit ma bite et la fit glisser dans sa vulve gourmande.
Elle se redressa, se malaxant un sein d’une main et se touchant le clito de l’autre. Je me remis à lui pilonner la chatte et lui tendis le string trempé en lui ordonnant de le lécher. Aussitôt sa petite langue rose s’enroula sur le petit morceau d ‘étoffe récoltant le plus de miel possible. Ma main rejoignit la sienne dans sa douce toison à la recherche de son clito et là j’éjaculai tout ce que je pus. Tout juste après, étant encore tendu au fond de son jardin secret je sentis les contractions frénétiques de sa chatte alors qu’elle poussa un long gémissement de plaisir.
Nous étions rompus, nos sens et notre passion complètement assouvis. Je l’embrassai doucement et elle s’endormit.
Deux heures plus tard je la vis réapparaitre. Entre temps j’ étais lavé, habillé et je bossais au re-de-chaussée. Elle sortait de la douche et elle portait la jupe (un peu translucide) qu’elle avait mise pour la soirée ainsi qu’un petit chemiser blanc largement ouvert sur seins ronds. Visiblement elle ne portait pas de soutien-gorge.
Je la pris dans les bras et l’embrassai amoureusement, elle me rendit mon baiser. Je lui caressai un peu machinalement les fesses et là je me rendis qu’elle ne portait ni culotte, ni string. Immédiatement une érection un peu douloureuse s’empara de ma bite. Elle sentit la protubérance contre son ventre et se mis à me caresser l’entre-jambe. Elle en avait encore envie. Je déboutonnai prestement son chemisier, lui relevai la jupe sur les hanches et la pénétrai immédiatement. Nous jouirent un fois de plus, ensemble.
L’après-midi était déjà bien avancée, il fallait aller récupérer les enfants. Elle alla se changer et nous partîmes.
Ce soir là, nous ne fîmes pas l’amour, nous étions éreintés.
Ce fut l’un des week-ends les plus chauds et des plus amoureux que nous avons vécus.
Mais il y en a d’autres, pour d’autres histoires….
Merci à celles et ceux qui ont eu la patience de lire ce récit jusqu’à son terme.

Les avis des lecteurs

Je viens de decouvrir tes trois recits et je ne comprends pas vraiment les. messages
précédents ... ton histoire m'a donné le feu au ventre et à bien fait palpiter mon 'tit
bouton !

Histoire Erotique
les faits sont certes banals mais plein d envie et de poesie.C est mignon,excitant,tendre...

Histoire Erotique
histoire plutôt banale



Texte coquin : wend-end d'été (3): suite et fin
Histoire sexe : Une rose rouge
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