L'hôtel, la première : Josiane

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
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Récit libertin : L'hôtel, la première : Josiane Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'hôtel, la première : Josiane
Il y a des jours où être tout seul est un avantage. Les vacances ont commencé, il ne reste plus personne dans mon hôtel de famille, sauf la patronne bien sur. La patronne, madame Paulette, justement est une ancienne femme à hommes. Elle n’est sage que depuis peu de temps, depuis son opération. Par un effet du hasard, je suis le seul homme dans cette boutique. Les autres chambres sont occupée par des filles d’âge varié, la plus âgée a je crois 45 ans, encore porté sur la bagatelle. La plus jeune n’a que 21 ans. Toutes travaillent dans la même boite, presque à coté de l’hôtel. Quand je suis arrivé elle me sont toutes tombées dessus dans la salle à manger. Chacune faisait des mines pour que je la remarque et que je la choisisse. Il a fallut que Madame Paulette mette de l’ordre.
D’un coté je peux me rincer l’œil à peu de frais. Elles sont toutes mignonnes, attirantes, et très sexy. A croire que madame Paulette les choisit exprès.
Le repas fini, comme souvent je sors un peu manière de me dégourdir les jambes en fumant une cigarette. Quand j’entre je tombe sur une jeune femme qui me fait un grand sourire :
- C’est moi la première.
- La première de quoi ?
- D’aller avec vous dans votre chambre pour la nuit.
- Mais je n’ai rien demandé.
- C’est pour ça que les autres m’ont choisie.
- Mais……..
- Il n’y a pas de mais, tu viens me faire l’amour pour cette nuit. Si je te plais nous resterons ensemble deux jours avant que tu changes de fille.
Je me demande dans quel endroit je suis tombé. Une fille s’offre à moi, pourquoi refuser de coucher avec elle. En plus, d’après ce que je comprends, j’ai droit à toutes ses filles, peut être à plusieurs à la fois qui sait.
Elle me suit chez moi, passe avant moi dans la chambre et dès mon entrée elle m’embrasse. Qu’elle langue dans ma bouche !!! Je pense qu’elles doivent être au régime sec du sexe. Sans doute que la patronne interdit de recevoir des étranger mais elle me l’aurait dit en arrivant. Je fais plus que supporter le baiser, j’y participe activement. Nos langues s’entendent bien pour se caresser. Je ne connais même pas son nom. Je ne vais pas baiser une fille sans nom. C’est elle qui le murmure dans mon oreille:
- Je m’appelle Josiane, et toi ?
- Moi, c’est Yves. Tu as quel âge?
- A peine 30 ans, je suis divorcée.
- il y a longtemps que tu n’as pas baisé ?
- Depuis trois ou quatre moi, et encore avec une copine !
- Une fille de l’hôtel ?
- Oui.
- Tu en gardes bon souvenir ?
- Bof j’ai joui, c’est tout.
- Et maintenant tu veux une bite dans ton ventre ?
- Pas seulement dans mon ventre, dans ma bouche et mes mains. N’oublie pas que j’ai un cul.
- Il fait parti de ton ventre.
- C’est vrai.
Nous bavardons bagatelle mais agissons en nous déshabillant l’un l’autre. Bien sur que quand je suis nu, Josiane remarque en premier ma bite. Elle ne demande qu’à jouir mais je ne vais pas me jeter sur elle comme un affamé. Elle se couche presque de suite. Je viens près d’elle, l’embrasse encore, cette fois ma bouche va sur ses seins. Je les embrasse tous les deux avant de prendre un téton que je lèche comme si j’avais été privé depuis un siècle. Une main vient sur ma tête pour que je ne quitte pas le sein. Je pose une main là où il faut : sur son haut de sexe. Je ne cherche pas bien longtemps pour trouver ce que je vise. Je mouille deux doigts avec ma salive et tranquillement je les pose sur son bouton. Il n’est pas très gros, enfin il me convient. Je le caresse comme s’il était fragile. Elle remue un peu pour que j’aille plus vite et plus fort.
Elle a sa main sur ma bite. Elle commence également à me branler fort bien. Son mari ne devait pas se plaindre de ses masturbations. Nous restons ainsi nous surveillant pour ne pas jouir trop tôt, surtout moi. J’arrive à la faire partir vers le 7° ciel avant que je jouisse. Je ne sais trop ce qu’elle veut, sinon que je peut la baiser et la sodomiser, elle ne m’a rien demandé pour la langue. Je vais essayer de la sucer. Elle est bien placée pour. Je n’ai qu’à me mettre plus bas et poser ma tête entre ses jambes. Je sens son odeur de sexe un moment avant d’aller mettre ma bouche sur elle. J’aime l’odeur fanée de la cyprine, je commence par passer ma langue du bas en haut de sa fente. Ainsi je peux lécher son anus, son entrée de grotte et son clitoris. Je ne trouve que des tissus agréable à ma langue tellement ils sont doux. J’avale la cyprine en trop qu’elle dégage. Je reviens vers son cul que je ne fait que lécher. Cette privauté lui plait tant qu’elle ouvre un peu son anus pour que ma langue la pénètre un peu. Je ne m’y attarde pas : c’est le premier endroit que je visiterai avec ma queue. Je vais sur son vagin proprement dit j’entre cette fois le plus possible de langue en la faisant tourner à l’intérieur. Elle se tend pour jouir. Je respecte sa jouissance un moment avant d’aller aspirer son bouton dans la bouche. Ma langue n’est là que pour la lécher tout au début. J’aspire en tirant tellement de tissu qu’encore une fois elle s’en va.
Je vais sur elle : elle a toujours les jambes écartées. Au passage elle prend ma pine dans sa main pour me diriger vers son con. Je ne veux pas encore la baiser :
- Qu’est-ce que tu attends pour me la mettre.
- Que tu me supplies.
- S’il te plais, baises moi.
- Saches attendre un peu.
- Tant pis pour toi :
Josiane se touche le sexe pour se branler. Je n’attendais que cet instant qui dévoile la chaleur dune fille. Elle se masturbe de plus en plus vite : je me doutais qu’elle jouirai rapidement. Je profite de ce petit moment d’inattention pour entrer dans sa caverne. Je suis à peine au milieux de son vagin qu’elle pose ses talons sur mes fesses. J’entends ses han et ses encore. Elle est tellement chaude qu’elle jouit plusieurs fois avant moi.
Quand je jouis, juste un moment avant, je lui demande si elle veut mon sperme dans la bouche. Elle n’aime pas le goût. Tant pis, je lâche ma sauce dans son con.
- Tu m’as bien baisée, merci.
- Et toi tu as fait semblant de jouir ?
- Non pas du tout, tu peux même me la mettre maintenant où tu veux.
- Je vais t’enculer.
- Maintenant ?
- Ouvre tes fesses.
Je dois préciser que depuis que je suis sorti de son ventre, elle n’a pas cessé de me caresser la bite de belle façon si bien que je bande à nouveau.
Je veux la laisser sur le dos, elle veut être en levrette, elle se mouille l’anus avec sa cyprine abondante et une fois prête elle prend ma bite pour la poser sur son anus. Comme elle n’a pas fait l’amour depuis longtemps je vais l’enculer lentement. Je passe le gland par petites touches jusqu’à ce qu’il passe la barrière de l’anus. Elle se branle à nouveau. Je n’hésite pas un instant. Tout à l’heure elle me demandait de l’enculer à fond, j’entre tout ce que je peux de queue, jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
- Tu me fais mal, mais c’est bon.
- Tu veux que je sorte ?
- Non continu, plus vite, plus fort, encore, encore, tu vas me faire jouir.
Je sens les contractions de son cul. Elle ne fait pas semblant, elle ne simule rien, elle jouit tout simplement. Elle se laisse tomber sur le ventre, j’ai ma bite encore dans son cul. Je la sens s’endormir toujours avec ma pine dans le cul. Ce n’est pas possible elle dors comme un bébé avec un morceau qui m’est cher en elle. Tant pis pour elle, je finis mes mouvement pour arriver à ma fin : jouir. Ce n’est que tard dans la nuit en se réveillant qu’elle s’aperçoit que je suis encore au bord de son anus.
Bien sur étant nus, elle se souvient vite de ce que nous faisions. Alors, sans me réveiller elle se tourne complètement pour me prendre dans sa bouche. C‘est la fellation qui me réveille. Quel réveil agréable de trouver sa queue dans une bouche de femme. Si elle sait bien branler une queue, elle suce aussi bien. Je ne dis rien, la veille elle a refusé d’avaler mon jus. Je la laisse me pomper. Le fruit final est une éjaculation de première dans sa bouche. Elle ne peut pas se lever pour aller cracher. Elle est bien obligée de garder mon sperme dans la bouche. Finalement elle l’avale en avouant que ce n’est pas mauvais.
Il me reste encore un troupeau de filles à baiser. Je ne peux pas passer toutes mes nuits à baiser comme avec Josiane !

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