Mes tantes ,,, Tante Zohra sa droiture & la dictature de ses seins

- Par l'auteur HDS Clark -
Récit érotique écrit par Clark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Clark ont reçu un total de 28 533 visites.
Récit libertin : Mes tantes ,,, Tante  Zohra sa droiture & la dictature de ses seins Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 28 533 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Mes tantes ,,, Tante Zohra sa droiture & la dictature de ses seins
Mes tantes ,,, Tante Zhora sa droiture et la dictature de ses seins.


Mon année scolaire allant se finaliser avec une série de notes positives s'agissant de mes capacités en science physique, j'eu droit à un cadeau, un banc et des haltères de musculation car depuis ma 15è année je m'exerce au renforcement musculaire à partir du ventre jusque le haut surtout les bras dont le volume à pris la dimension espérée...
J'aime tout mesurer, volume, poids, mouvement, inertie, vitesse, énergie, contraction,; tout y passe en étude physique...

Plus je m'entraîne plus la transpiration coule d'abondance spontanée sur mon corps, substitution d'anormalité dont je voudrais parfois me défaire car Dame nature m'ayant constitué d'une morphologie avancée sur mon ordre biologique ; Mon tempérament étant peu discipliné et suite à un examen minutieux le médecin endocrinologue signalera à mes parents un taux de testostérone élevé, je canalisais l'énergie par la musculation dont certaines crises de chaleur au niveau du bas-ventre...

Je suis né unique garçon parmi un milieu à majorité féminin, l'on me chouchoute de diverses manières afin de calmer mes effectifs coups de colères toutefois ne suis exempté de punition ; argent de poche, mots gentils, flatteries illimitées, dont certaines ont plutôt tendance à m'infantiliser, manières qui finirent par me déplaire, l'on me percevait toujours en <<petit>> tout en inspirant une potentielle agressivité masculine à ces respectives femmes qui veulent me voir apaisé dans le seul but de me contrôler ainsi dissiper mes colères ; mes grandes soeurs ne me laissant que le choix d'être le " frère cadet" arrivé au monde 10 années plus tard après la dernière des trois.

Il y a les cousines à mon père, mes tantes toutes deux jumelles ) agées de 37ans; Sophia (divorcée et un fils de mon âge) & Anya (mariée + deux enfants), deux femmes respectables dont la proportion charnelle ne passe inaperçue, ayant chacune un comportement équivoque avec ma personne.
Cette singulière manie de me parler avec un langage alliant tendresse + fermeté, assez paradoxales à mon humble avis mais j'adore lorsqu'elles me serrent contre elles quand leur désir de materner s'éveille, ma préférence va pour Sophia dont les formes voluptueuses font oublier leurs boules aux joueurs de pétanques dans le quartier, il faut le voir pour y croire :

L'été dans robe florale l'on constate combien l'intérieur du cache-coeur contient un important volume...
Je suis un des rares à avoir le privilège d'observer le poids de sa poitrine en mouvement quant elle descend les 12 marches de l'escalier intérieur, le choc de ses seins se tassant s’écrasant ne peuvent affaiblir le soutien-gorge à large prise, une rangée verticale de 5 agrafes contiennent la totalité…

Les hommes les plus âgées sont les plus osant et les plus admiratifs... Je ne comprends pas pourquoi elle les juge mal intentionnés " affirmant à Anya qu'ils sont vicieux" néanmoins elle a le choix de ne pas passer devant eux en utilisant l''arrière maison, mais c'est plus fort qu'elle il faut qu'elle se montre à leurs yeux indiscrets et peut-être se soumettre implicitement à leurs fantasmes...
Bien que Anya a un tour de poitrine opulent à mon humble analyse Sophia est dotée d'une plus grosse ; Sentir son corps féminin est un passage dans le temps indéfinissable ; une dimension de jouissance mentale de liberté ...
Depuis ma tendre enfance Anya m'ayant toujours embrassé chaleureusement collant sa bouche sur la totalité de mon visage, mon cou, ma nuque, mes yeux, mais certaines fois sa bouche glisse sur mes lèvres qu'aussitôt elle m'essuie par sa paume de main ....


Pour sa part Sophia laquelle est ceinture marron de judo est plutôt du "genre garçon manqué" aimant lutter sans jamais parvenir à m'immobiliser, c'est sont truc pour vérifier ma capacité musculaire ...
Est-ce pour parvenir à une victoire de fierté féminine lorsqu'elle me chatouille au ventre - par ce jeu il arrive que ma main dérape sur sa poitrine, elle ne proteste pas de sentir l'une ou l'autre main bousculer ses seins moelleux.
Puis quelque fois tacticienne derrière moi pour m'enserrer de ses bras, elle presse sa forte poitrine comme si je devenais son avatar, un moment fantastique contre lequel je reste vaincu.

Ce n'est que lorsque je suis allé la voir combattre sur les tatamis dans son club, que je comprenais sa hargne mais aussi se mesurant aux messieurs judokas...
Teigneuse elle ne leur fait aucun cadeau et à mon humble avis ils doivent en profiter pour lui peloter les lolos, j'en ai vu un lui ceinturer le niveau de la poitrine sans ménagement pour la basculer au sol et se coucher face à elle pour finir le combat..


,,,,,,,,, Même si leurs gentillesses m'apaisaient, d'autre part, je ne pouvais accepter leur système d'humiliation qu'elles utilisent contre moi en présence d'autres personnes étrangères ou filiale.
<< selon elles j'étais un "petit bout immature", un incorrigible trop nerveux qu'il faille réguler ... ont va finir par t'attacher si tu ne te calme pas - disent-elles tant menaçantes que souriantes ...
Mes pics de crises colériques n'arrangent pas mon cas.

Les femmes ne manquent pas dans mon entourage surtout lors de cérémonies en rapport aux traditions ,,,
Le langage féminin est aux antipodes du masculin, j'entends des histoires de toutes formes, nul tabou existe entre elles pourvu que cela demeure en alcôve.
Les hommes semblent être leur principale motivation, mais ce qui me surprend le plus c'est lorsqu'elles deviennent très discursives au sujet de l'anatomie masculine - je reste stupéfait quant elles utilisent les termes " bittes ou Zob " pour désigner le sexe masculin, mais ma tante Sophia nomme la chose " Mastar ".

Mon oreilles indiscrètes capturent une fine conversation dans laquelle mes deux tantes + trois amies se firent confidences concernant leur intimité :
Sophia est la plus téméraire, citant une anecdote épicée après une rentrée tardive le soir :
<< Un homme de la soixantaine mal rasé était présent dans le parking souterrain place des Terreaux à Lyon. Machinalement elle lui indique l'heure lorsqu'il le lui demande courtoisement, dès qu'elle s'installait dans sa voiture il s'approchait face à la vitre de la portière pour lui exhiber son organe reproducteur, à présent elle décode pour quelle raison il est vêtu d'un long manteau cuir noir dissimulant son intention; il pouvait facilement ouvrir la portière mais il ne fit pas !?

Prise d'une panique incontrôlable sa main ne savait plus engager la clé dans la serrure du démarreur, sa conscience quelque peu neutralisée tandis que l'exhibitionniste active la cadence, il s'ébranle le membre, ce qui devait se produire arriva, l'homme pleinement motivé explose une éjection éclair sur la vitre ,,,, enfin elle parvient à s'en aller >>.

Étrange paradoxe féminin ou de la narratrice, car ma tante en racontant la contrainte de la scène émis un sentiment que je ne saisissais pas, elle sembla prendre un second souffle de vie en détaillant l'aspect du phallus exhibé, et dit : << ha le sale vicieux, il m'a tellement fait peur, j'ai crue qu'il allait briser la vitre avec son mastar ! >>
Elle libère un soupir nerveux s'ensuivant d'un rire d'autosatisfaction.

Les autres femmes riaient puis une comparse soumettait à Sophia qu'elle a sûrement dû se rincer l'oeil sur son zob.
Une autre la questionne - << il a beaucoup expulsé ?
Sophia émis un double H'mm en affirmant : << ma pauvre fille, en m'arrêtant plus loin sur un bord de route je ne savais pas comment essuyer la sève, heureusement que j'avais ma grande bouteille d'Evian ! >>
Rires forts à nouveau ,,, puis Sophia précisa sa pensée confessant que cette expérience avait modifiée sa manière de concevoir la sexualité ...

Comment définir cette phrase, dont jusqu'à ce jour de mon temps adulte je ne le saurais !? mais je puis admettre que Sophia a beaucoup aimé la queue de ce monsieur en parking.
( Surprise de taille si je puis commenter le scoop)
on découvre chaque instant de sa vie ce que sont les gens apparaissant pile ou face mais jamais les deux)

Dans ma famille les affaires sexuelles sont une dimension à caractère sacré, les hommes n'en parlent ou ne regardent des films ou magasines en présence des femmes, et réciproquement, toutefois chacun/chacune y pense plus que de raison. Rien de mal lorsque les femmes en causent en vase clos sans se priver des mots utilitaires...

Une partie de ma conscience sexuelle germera en écoutant indiscrètement les femmes de ma proximité en parler.

Un rebondissement de commencement; ma perception imaginaire n'a de cesse de m'emporter vers une performante dimension sexuelle << de même je désirais agir à la manière de l'inconnu, ainsi devenir le héros d'une femme laquelle s'empresserait d'en faire récit à d'autres femmes ! >>
Dès cette révélation -
Pendant des semaines mes masturbations solitaires iront en ce sens de plus ample reproduction, intrinsèque culpabilité d'adolescence j'éloigne ma tante Sophia hors mon esprit lorsque surgira l'envol précieux - mes orteils se raidissent alors que les éjaculations jaillissent sans varier de leur dynamisme.
Désormais je ne voyais plus mes tantes telles des immaculées conception, surtout Sophia philophallique verbale ...

Je me lasserais de mes deux tantes pour me focaliser sur une autre femme de retour parmi nous...

Suite à une absence de 3 années aux Antilles Britanniques pour avoir enseignée dans une université protestante, Zohra revint s'installer dans la région Rhone-Alpes (Lyon).
Généalogiquement elle est la fille illégitime du grand-oncle à mon paternel laquelle je nomme ma tante, somme toute son retour transformait totalement ma vie masculine.
Son caractère commandant n'a point changé, elle a aménagée à 1 km de chez nous et vient souvent nous rendre visite.
En peu de temps elle est la plus stricte avec mon éducation surtout quant elle m'enseigne la redoutable linguistique Anglaise académique; or, si mes colères anarchiques la rendent plus sévère elle recule toujours en arrière par crainte d'un geste agressif mais fascinée par mon énergie primaire ,,,

Elle-même ayant un caractère imprévisible je ne sais jamais ce qu'elle va me dire, tantôt un encouragement, tantôt une remontrance, mais elle m'apprend des choses importantes ainsi qu'elle le fit jadis lorsque j'étais plus jeune.
Lorsqu'elle me punis avec ses mots impartiaux je constate dans son regard une mystérieuse alchimie de domination implacable, elle aime provoquer ma réaction colérique.
- << oui, c'est très bien, exprime-toi ! libère ta chimie négative, évacue-là !
M'incite-t-elle de sa voix compétente sans me quitter du regard...

Mon paternel peu crédible en autorité de plus en plus pris par son travail de routier lui permettra de sévir si je n'écoutais les justes enseignements ; << les bonnes manières rien que les bonnes manières pour que tu deviennes un homme de société !>>..
telle est sa formulation tonique.

Certes très dure avec ma personne je ne peux nier combien est-elle devenue une ravissante femme, son corps soigné est une réjouissance dès que je la vois ainsi que son parfum imprégnée tel un aérosol chavirant dans la toison de sa régnante chevelure bouclée...
Une belle femme mûre que les adultes ne cessent de regarder et articuler des commentaires envieux en surenchère.

1,73m et 63 kg, limpide peau claire tachetée de grains aux cheveux châtains ondulés descendant en dessous la hauteur d'épaules mais les attachant souvent en chignon, des verdoyants yeux très ouverts en allure de biche parmi des cils allongés incrustés dans un harmonieux visage ovale.
L'attraction principale sur son visage et sans conteste sa bouche passionnelle- lèvres brunes ourlées dont la langue sort pour en humecter la densité, j'aime aussi sa dentition inégale majorée par des incisives distinctes.

À 34 ans Zohra inspire le respect par son intelligence froide ne trahissant nul sentiment mitigée à une puissance féminine sacrée, même mon paternel est réduit à lui parler d'une voix basse, et s'il l'admire telle une souveraine je sens qu'entre eux existe une tension de séduction non avouée, un rapport de désir véloce lequel échappe à mes repères sur l'échelle des valeurs ...
Mon père embrasse seulement sa main...

Mon père est dévoué lorsque ma tante lui demande quoi que ce soit - et de son côté elle le lui rend favorablement n'hésitant jamais à lui demander conseil, certes une viable complicité existe pourtant il se transforme négativement lorsqu'elle lui parlerait d'un autre homme ...

Nous sommes en période printanière et ses habillements en tailleur - veste sur chemise bleue, l'ordonnent en maîtresse éducative ; ses pieds sont contenus dans des bottines marrons à lacets épousant les mollets à merveille.

J'avais enfin 17 ans ainsi que de nouvelles sensations, ferme sensation d'invincibilité musculaire et des élans de désir allant de plus en plus amplifiés ... Je pense que cela est dû à ma petite taille, (je mesure 1mètre56 pour un poids de 60 kg ) si les femmes de ma lignée ont cette accoutumance de ne point voir une virilité sans cesse en fusion dont je me sens à part entière.

Du moins en étais-je persuadé ...

Arriva ce jour spécial quand ma tante dormis à la maison.
au matin, mon père était sortis de bonheur sans cesse disponible au volant de son camion de transport pour travailler le samedi.
Après avoir soulevé une série de poids et me dirigeant le long de la palissade du jardin, in extremis j'entendrais ma chère mère exprimer cette particulière phrase à Zhora sur un ton réprobateur : << mon dieu tu exagère, cache donc tes seins on ne voit qu'eux sous ta chemise de nuit, je crois que tu a passée trop de temps aux îles pour oublier nos valeurs ! >>

La réponse de ma tante est tranchante : << tu me dis cela avec un ton d'inquiétude, on est entre femmes, ton fidèle mari est sur la route que je sache ?! >>

Ma mère : << Mon dieu tu pense bien " mon mari fidèle " ! tu semble oublier que c'est d'abord un homme, et que les hommes ont des yeux fouineurs sur les femmes légères !
mon fils aussi, c'est plus l'enfant que tu cajolais, il est grand maintenant, s'il arrive et te découvre vêtue aussi légèrement ! >>

à cela Zohra réplique : << sûrement pas ! tu délire complétement, il ne pense qu'à observer ses gros muscles le p'tit moitié d'homme! mais viendra le jour où il y pensera comme tous les autres ! >>

Les deux femmes ainsi que mes soeurs s'entendirent sur le sujet, elles éclatèrent un fou rire résonnant à l'air libre, un élan de malaise me prenait car j'insupporte qu'une femme réduise ma virilité ...
En tous cas je m'interroge sur Zohra laquelle use d'innocence ou d'amnésie envers moi ,,, ne m'avait-elle point vu en intimité naguère en moins d'années biologiques ?!

Le conservatisme face au liberalisme, même ces deux antagonismes peuvent se confondre. Trop tard, Je ne sais si elle pressentie mon arrivée mais elle eut le réflexe de se retourner en devinant ma personne:
- tiens te voilà, on causait justement de toi, va !
Tout-à-coup je devenais l'attraction des femmes filiales, leurs regards oppressant me firent rougir, de même ma mère avec le poids des traditions sur le sujet se fit moins causante car elle sait que je l'ai entendue.

Bon sang que ma tante est sexy ; son visage sans fard, sa longue chevelure ondulante non peignée est éparpillée telles des algues souples.
J'ai vu sans montrer que je regardais " ola la comme son tour de buste est densifié "; me voici affolé, c'est évident, par la texture de la chemise de nuit couleur satin bleu sombre ; la distinction de ses seins est totale s'y ajoutant la luminosité du jour extérieur- trois années supplémentaires les ont rendus plus renflés et d'une épaisseur ovale en dégagement extérieurs, si bien moulés dans la nuisette ils chutent aux plus bas pareils à deux lourdes bulles chargées de métal fondu ,,,
Du jardin, quant elle vient face à moi ils bougent en balancier dans son mouvement en vague.

Il faut être en sa présence pour observer la nouvelle croissance de ses redoutables nichons ;
Oui c'est clair que ma tante a une indiscutable paire de seins ...

Ma belle et éducatrice a facilement 4kg de poids dans les seins, c'est invraisemblable, en trois années leur ex volume déjà imposant s'est additionné ...
Instinctivement j'ose contrôler un instant mon harcelante culpabilité et la comparer à mes femmes de magasine Score très gâtées en poitrines, pensant qu'elle pourrait y être photographiée sur plusieurs positions " dos + profil face + dessous + dessus + mouillés " couchée ...

Une première car dans ma famille, or si elles discutent ouvertement de leurs trésors physiques entre elles et mettant à vu leur lingerie sur l'étendage après les avoirs lavés sinon les comparer, les femmes cachent au mieux leur buste évitant d'en exposer la forme brute sous les vêtements, impossible pour elles de faire du mono-kini ,,, sauf lors d'allaitement si l'une d'entre elles a mis en enfant au monde pour le sustenter avec la force de leur juteux lait mammaire, ou alors durant des fêtes traditionnelles...

,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

(( C'est mon sensible meilleur secret - ma mémoire de jadis reprend surface : << 14 ans pour moi et 31 ans pour elle; durant un mois de juillet où mes parents furent partis en vacance en Tunisie, Zohra fut remplaçante pour prendre soin de ma personne car plus âgée et compétente que mes soeurs pour entreprendre des responsabilités dans la maison, ni mes deux autres tantes n'eurent ce droit puisqu'elles choisirent leur moment de vacance au Club-Med, lesquelles je dois dire assez jalouses envers la bellissime Zohra qui sait habilement contrer tout verbiage la critiquant. Sophie & Anya changèrent leur attitudes avec ma personne car je prend systématiquement la défense de Zohra.

J'avais la fierté de mes 14 ans insoumis et je me lavais sans l'aide de quiconque d'autant que ma pudeur devint sans limite.
L'avait-elle fait d'intention tactique en envoyant mes soeurs faire des courses au supermarché?
- ne vérouille pas la porte quant tu es seul dans la salle de bain, on ne sais jamais si tu attrape un malaise ou si tu glisse dans la baignoire !
Elle l'avait extraordinairement ordonnée et contre son autoritarisme de maîtresse de maison j'obéissais avec un amalgame de plaisir et de crainte.

Je surveillais tout ce que je pouvais si personne n'entrerait, la mousse de savonnette m'avait tant brûlé les yeux que je l'ai vu arriver. Aveuglé durant deux minutes je sentis sa main frottant mon dos avec une tonicité d'énergie impressionnante.

Une hyper honte m'envahissait, selon mon concept j'étais un mâle et Zohra devint l'initiale femme à me voir en tenue d'Adam - sans commentaire sur mon anatomie elle me causa avec une étrange douceur et au fil du lavage mes yeux devinrent sa proie, elle usa du savon sur mon visage autant qu'elle le voulait, mes paupières restèrent longuement fermées et le picotement chimique sans précèdent.

Sa transpiration estivale de l'après-midi entremêlée à son son parfum Abanita se répandent dans les strates de mon cerveau ,,, L'effet piquant sur mes yeux s'étant amoindris enfin je la vois, naturellement femme, son regard vert m'a furtivement dévisagé et je suis attiré par son buste agréablement rebondis malgré le foulard compresseur.
Humblement habillée de sa même robe orientale en coton cousue de plusieurs couleurs vives, ses seins voluptueux sans soutien-gorge demeurent écrasés par un foulard orange solidement noué devant à même la robe -
Durant la période en cheftaine de maison, elle enveloppe
souvent sa conséquente poitrine qu'avec des foulards à diverses couleurs, les noeuds toujours devant ou sur les côtés.

Les poitrines des femmes filiales ne peuvent rivaliser avec celle de Zohra ni même Sophia ; une sacrée paire de lolos que je ne réussirais à voir dans leur totale nudité, procédurière par nature elle vérouille toujours la porte de sa chambre une fois à l'intérieur ou même la salle de bain lorsqu'elle y prend sa douche, presque une fois quand je la voyais assise sur un tabouret en train de se teindre sa belle chevelure brune en couleur cuivrée...
Dernier jour avant son départ pour les Antilles Britanniques,
elle quitta sa chambre aux environs d'une heure le matin pour fumer sa cigarette habituelle sur le balcon pendant que tout le monde dort, sauf que là je suis dans le salon à regarder un téléfilm ( érotique italien sur M6),,,

dans la pénombre la valeur de ses seins m'était révélée, un paréo rouge couvre la limite de son ventre tandis qu'un foulard couvre sa poitrine.
Presque me faire surprendre car je me masturbais par dessus mon caleçon face à la pulpeuse dame italienne sur l'écran ( deux messieurs dans un garage fouillent ce qu'ils désirent dans sa culotte).
Je venais de changer la chaîne pourtant j'avais sensation que Zohra savait mon intention - elle repassa devant moi rejoindre sa chambre enjambant mes pieds en ayant libérés ses seins pour renouer au mieux le paréo.
Juste le temps de reluquer leur mouvement de profil, imposants et écartés ...
Était-ce là une tentation machiavélique de sa part ?
J'ai tant apprécié son attitude.

Longue jupe et foulards restent ses parcimonieux effets, ses pieds toujours nus sont marqués par des blessures anciennes ou récentes ...
Sa main directrice remonte sur ma nuque, tête, cheveux, mes bras qu'elle élève afin savonner les aisselles.

Elle y a mis du temps pour prendre soin de ma face, mais je crois qu'elle a longuement hésité ;
sa respiration s'accélère dès qu'elle s'occupe de mon ventre, nul besoin de gant de toilette ses doigts agiles déplacent le savon de toute part sur mon corps comme si j'étais un tableau à peindre, elle me badigeonne haut la main d'autant sa force parvenant à me manipuler ...

Son énergie semble la dépasser elle savonne et resavonne sans limite. Encore son souffle plus fort dès lors que sa main entreprendra mes parties - sa respiration rejoint la mienne déjà échaudée - mon phallus ayant pris une complète érection depuis le moment où elle m'a touché le ventre - c'que c'est divin, mon sexe palpitant bandé en arc reçois plusieurs passages du dos de la main de ma laveuse.
Je découvre une qualitative sensation, ma paire de bourses s'est baladée parmi ses phalanges repasseuses, sa façon maximale de me triturer les couilles me bouleverse..

Le moment de crise pudique oublié je suis fier que Zohra découvre et observe ma force sexuelle, les 18,5 cm extensibles au pinacle firent absolument acte de désir - volontaire ou non, en tout cas Zohra me réjouissait sans m'empoigner - sans nul mouvement classique masturbatoire," Zhora fait mûrir mon vit l'alimentant d'un désir machiavélique" -
Un antagonisme m'habite autant j'aime son regard insistant sur mon vit, et autant je voudrais qu'elle ne soit point venue ...

<< d'une conviction d'acier je me dis qu'elle ne doit pas savoir, car elle s'y serait appliquée; puisqu'elle n'est point mariée alors il est impossible qu'elle puisse branler un quelconque homme ?!>>
Zohra est Vierge ! Zohra est intouchable par aucun homme ! Zohra ne taille pas des pipes ! non Zohra ne se fait point enculer ! Zohra ne s'enfonce des godemichets ! Zohra n'avale du foutre et n'en recevrait sur son beau faciès ou sur ses gros seins!
c'est là mon indémodable conviction métaphorique du jour cependant que ses doigts félins agissent .

La droite maintiendra mes reins, sa fine main gauche allant revenant sur mon ventre et mes hanches tandis qu'elle emettait un contact agressif d'empoignade fermement statique.
Elle immobilise oppressivement mon phallus dans une position horizontale le tordant de la sorte profitant de le presser sur sa base la plus épaisse.

Impossible de la stopper ou me stopper, ma testostérone accomplissant sa directive, elle persiste pour me décalotter - ouille ' ouille ! la peau fine du prépuce trop serrée depuis ma naissance est aussitôt dégagée - Le visage de Zohra se modifie, sa crispation est expressive ,,, elle vient de mettre à jour le gland " rose brun " par sa génétique le faisant jaillir dans sa forme boursouflée en assaut.
D'une traite sa main gauche savonneuse enlace d'un subtile glissement ma bite pour dévaster la portion bombée en casque y pressant le pouce telle une cuisineuse.
Une onde de plaisir me décompose aussi.

Puis libératrice laissant mouvoir ma bite éprouvée sur un rythme pendulaire ; je suis réduit à l'état de soumission que je ne saurai nommer, la voici qui me bouscule le membre d'une plus évidente empoignade le vrillant puis le relâchant aussitôt - il revient vélocement contre mon ventre est y reste exactement dans sa nature physiologique axé à 2 cm au bas du nombril.

Mon précieux sexe en hyper chaleur de congestion sans cesse remué en un tic tac balancier se mis en état d'expulsion, cracher des hautes gerbes d'un sperme inhabituel " très fluide agissant sur un espace anarchique ", la 5è giclée est une véritable razzia - mille aiguilles dévastent les entrailles de mon gland à presque l'entredéchirer, il se dilate et redouble d'engorgement - la décharge est subliminale comme si dix femmes m'entreprenaient - les jambes vacillent - les muscles lombaires se sont contractés, ma jouissance se termine avec idéale humeur ...

Zohra sans m'abandonner se remet à me parler comme si rien n'avait eut lieu me pressant de me sécher et de me rhabiller.
Pour ce dernier jour gardienne de la maison mon audacieuse tante m'offrait << ou s'offrait >> une bonne action, une sorte de dépucelage non dit . ))
Une culpabilité allait poindre...



Prochain chapitre ( terminé )à suivre si vous le vouliez bien .(…) Auteur Clark Stamper

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Style un peu saccadé.Difficile à enchainer des images cohérentes du récit.

Histoire Libertine
J'ai connu bien mieux

Histoire Erotique
Tres bon récit, et la suite est attendue avec impatience...

Histoire Erotique
Votre récit ne passant inaperçu, & après l'avoir relu une dizaine de fois, quant allez-
vous actualiser la suite ?

Histoire Erotique
Une vie de couple ordinaire, train-train quodtidien,,, mon épouse et moi avions depuis
quelques longues semaines une faible libido, et ce soir après le restaurant votre texte
a allumé notre libido qui avait du mal à s'enclencher ...

Avec gratitude

Histoire Erotique
Merci pour ce texte épicé et hors nature de ce que je pouvais lire,,,

Cela va m'encourager à écrire un épisode de ma vie intime que je considérais tabous jusque là...
Continuez la suite

Histoire Erotique
Un vrai moment de plaisir, votre histoire m'a beauoup plu
Continuer la suite ...

Histoire Erotique
Pour fréquenter ce site depuis 2006, c'est certainement l'histoire la plus
intéressante que j'ai lue. Ton style est très intéressant, j'espère que tu es
journaliste (j'en suis des études) ou futur écrivain. T'as du vocabulaire, tu ne te
répètes pas.
Extrêmement agréable lecture.

D'ailleurs, j'écris un commentaire pour te féliciter.

;)

Il doit y avoir un léger problème de construction à la fin de ton histoire. Ou alors
c'est un flash Back.
Par ailleurs il y a quelques fautes d'orthographe. Mais ça, on s'en cogne.

Histoire Erotique
Pas mal,bien écrit.J'attends le prochain chapitre :)

Histoire Erotique
Inintéressant



Texte coquin : Mes tantes ,,, Tante  Zohra sa droiture & la dictature de ses seins
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Clark

Mes tantes ,,, Tante Zohra sa droiture & la dictature de ses seins - Récit érotique publié le 28-03-2011