Le prostitué allemand

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le prostitué allemand Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Le prostitué allemand
Le jour pâle se lève au moment ou nous allons nous coucher. Nous sommes fatigués, surtout mon épouse. Pour visiter cette ville allemande, nous avons pris un taxi dont le chauffeur parlait un peu français. Entre mes trois mots d’allemand retenu de mes études, nous arrivons à nous en sortir. Elise veut voir le quartier chaud pour se faire une idée des différence entre chez nous et chez eux.
Nous voyons des sex-shops, presque alignés, des filles de tout poils: des moches, de très belles, des sexy, d’autres en fin de carrière.
Le chauffeur tient à nous montrer une maison zpezial(sic), une maison close dont les clients peuvent être des homos, ou des femmes. Un bordel à l’envers.
Curieuse Elise tient à entrer. Nous allons ensemble dans l’établissement. Une femme style bull dogue nous reçoit. Elle parle fort bien français, tant mieux. Ma femme lui dit qu’elle veut savoir combien coute une nuit avec un prostitué: 1.000 €. Elle est tentée. Je le suis moins: elle insiste qu’elle fera tout ce que je voudrai quand je le voudrai. Même ce que je demande souvent se faire prendre par derrière.
Si on me prend par les sentiments………..
La garde chiourme montre un press-book où figure les hôtes. La choix est facilité par le fait qu’ils sont nus, en érection. Je jette un œil sur ses hommes, j’en fait un complexe, tellement ils sont bien montés. Je laisse Elise libre de son choix. Elle loue les service d’un homme blond, musclé; trop musclé à mon gout. En l’attendant je demande à la tolière s’ils jouissent chaque fois. Bien sur qu’il jouisse, certains trop. D’autres et c’est le principal sont très longs, depuis que temps qu’ils baisent des femmes ou des hommes différents chacun soir, il en sont rassasiés. Le mieux est que j’accompagne ma femme pendant qu’elle se fait baiser. Son amant fera le nécessaire pour la faire jouir encore plus. Nous patientons un bon moment quand on dit d’aller à la chambre 14.
Elise ne tenait plus; il lui tardait de se faire mettre un véritable pieu dans le ventre. Elle n’arrêtait pas de me dire qu’elle mouillait. Je la retenait pour qu’elle ne se caresse pas entre les jambes. Maintenant elle me promettait de me donner son cul quand je le demanderai.
Nous allons donc rejoindre cet homme au 14. Nous entrons sans frapper, ma femme en premier. Nous voyons l’Apollon: Il est nu, debout, les mains sur les hanches, sa bite est droite un peu penchée sur la gauche. Il ne bande pas. Poliment il de demande de m’assoir sur au fauteuil confortable qui me permettra de tout voir.
Ce que je vois est qu’il s’approche de ma femme, l’embrasse à peine, avant de la prendre dans ses bras. Il l’embrasse longuement sur la bouche. Elise adore ce genre de baiser; elle en profite au maximum. Lentement il la met nue. Je connais bien son corps, je le découvre encore plus sexy dans les bras de ce type qui ne reste pas immobile.
Il passe les deux mains dans le dos, en la caressant, remontant et redescendant. Il va se fixer un tout petit instant sur les fesses féminines. Je sens ma bite enfler. Il la tourne pour être derrière elle. A ce moment je vois que son pieu grossit aussi. Il le calle dans la raie de fesses. Je peux le voir bander de plus en plus fort. Il doit développer facilement 20 cm. Il descend ses mains sur la chatte qu’il caresse comme je ne l’ai jamais fait: il commence par la doigter, lui cherche et trouve le point G.
Elise gémit à chaque orgasme qui se suivent maintenant rapidement. Elle va défaillir: il la porte sur le lit.
Je n’en peux plus, je sort ma bite, riquiqui par rapport à la sienne. Elise me regarde avec un large sourire: - Je vais me faire mettre par une très grosse bite. Si tu te branles, ne jouis pas aussitôt, attends moi.
Maintenant son futur est sur elle, sa queue balance légèrement, comme le ferai une bite de cheval entier avant de monter sa jument. Le voilà entre les jambes de ma femme que je laisse être baisée par un autre que nous ne connaissons même pas. Pour mieux la pénétrer, il lui fait lever les jambes sur ses épaules. Je vois le début des fesses qui se lève sous la poussée de la bite qui entre dans le con: elle gémit en prononçant les mêmes mots qu’avec moi:- Oui, c’est bon, tu est gros, trop gros. Salaud, tu va me faire encore jouir. Mets moi là encore au fond de ma chatte. Oui, encore. Je jouiiiiiiiiiiiiiis.

Cet orgasme, je le sens est plus fort que ce que je peux lui donner. Je continue ma masturbation.
Elle se tourne sur le ventre, se met en levrette. Dans toutes les langues quand une femme présente ses fesses ça veut toujours dire la même chose: encules moi. Elle demande à ce prostitué de lui faire ce qu’elle me refuse. Je ne comprends pas pourquoi.

Très doucement, il commence par lui lécher le cul. Pour elle c’est une première. C’est aussi une première quand il crache sur son anus. Je regarde son cul de près, je ne veux surtout pas manquer cette sodomie. Il écarte les fesses à lui faire mal. Il revient encore lécher sa porte arrière. Cette fois c’est le moment; il pose seulement le gros gland sur la pastille d’Elise. Elle tourne la tête pour me regarder. Je sens qu’elle a peur de se faire enculer.
Il est sur elle, sa bite s’enfonce très lentement, comme s’il avait deviné qu’elle était vierge de ce coté. Il entre son gland qui passe sans douleur. Elle me parait étonnée. Ce qui la surprend c’est le plaisir qu’elle reçoit. Elle commence même à participer. Je sens qu’elle prend son pied plusieurs fois; Je n’en peux plus je me branle à jouir. Mon jet j’arrive à le diriger vers elle, même si je la rate, j’ai visé son bas ventre.
Elle n’en peux plus de jouir ainsi. Pourtant, comme cet amant n’a pas jouit elle lui prend la bite dans la bouche. Je sais qu’elle est une championne de la fellation. J’espère qu’elle va le faire jouir.
Elle le fait coucher sur le dos, lui prend la bite dans la bouche, avec le consentement de l’intéressé. Elle lui lèche longuement le gland en lui caressant le reste de de la queue. En passant une main sous les couilles elle le tient comme savent le faire certaines rares femmes; Je sais que quand elle fait ainsi elle s’arrange toujours pour que son index aille se loger dans le cul de celui qu’elle lèche: j’en profite souvent.
Il réagit drôlement: il remue son cul comme s’il se faisait sodomiser. Elle le prend dans la bouche en le branlant, exactement comme elle me fait. Ses lèvres se transforme en véritable sexe. Sa tête va et vient profondément jusqu’au fond de sa gorge. Ses yeux fermés montre le plaisir qu’elle prend également à sucer une bite.
Je le regarde: lui aussi ferme les yeux. Il se laisse faire jusqu’à jouir. Je ne peux voir son jet: il doit être puissant puisqu’Elise même en oublie un peu en l’avalant: ce n’est pas le genre de femme à oublier su sperme.
Elle le lâche: il bande toujours, alors tant pis, elle a payé: elle veut en profiter; elle se met en cavalière sur lui, Je la vois prendre les attributs pour les placer là où elle veut. Elle m’étonne quand elle pose ce sexe sur sa rondelle. C’est à croire qu’elle a pris gout à la sodomie.

Quand je lui en fait la remarque elle me dit qu’elle va me céder ma place pour que moi aussi j’y prenne gout. Elle me force tellement que j’enjambe le corps du prostitué, remplace son cul par le mien. Elise a fait les chose comme il faut, j’ai l’anus plus que tapissé de sa cyprine. Elle me force à me faire pénétrer par cet homme qui me regarde bien dans les yeux.
Elise appuie de tout son poids sur mes épaules. Je me fait enculer par ce monstre qui comme il a fait pour sa première fois à ma femme entre sans faire trop de dégâts. Elise prend ma bite et me branle doucement. Ses lèvres sur ma bouche m’empêche de gueuler. Je ne sais si c’est à cause de la masturbation ou d’avoir une grosse bite dans le cul, je jouis comme rarement.

Quand nous partons, dans le taxi, Elise me remercie de lui avoir permis de connaitre de nouveaux plaisirs, moi je la remercie de m’avoir convaincu de me faire enculer. A force de parler, nous nous excitons et à peine dans la chambre, nous nous déshabillons pour baiser.
Je peux la lui mettre à un endroit plus académique. Je la baise longuement pour me permettre de jouir encore. Elle ne se gêne pas pour jouir comme une possédée.
Arrive le moment où, quand que je le lui demande, elle me donne son cul. Enfin je peux jouir dans ses boyaux: je la sens jouir grâce à ma pine dans le cul. Formidable !!!!!

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