Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 9

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 9
Lorsque Romuald revient dans le salon, la gamine est endormie recroquevillée sur elle-même, emmitouflée dans son plaid au pied du canapé. Le grand black dépose un tube de crème apaisante sur la table basse et se barre de l’appart’.

Le lendemain matin, Élodie se réveille tôt, le cul et la chatte en feu, les seins et les fesses encore rouges et sensibles. Elle se lève fourbue et se déplace difficilement à la cuisine pour faire un café bien serré. Elle ouvre en grand toutes les fenêtres de l’appart’ pour évacuer les odeurs de débauches avant que ses parents ne reviennent. L’adolescente est un peu sur la réserve de se montrer à nouveau nue à ses fenêtres, mais sa raison retrouvée ne dépasse toujours pas sa crainte d'être dénoncée à sa mère.

Elle range sa chambre et récupère tous ses nouveaux ustensiles qu’elle planque dans un tiroir. Ce n’est que lorsqu’elle récupère son PC qu’elle remarque le tube de crème. Soulagée que Romu lui ait laissé de quoi réparer les ébats de la veille. L’adolescente file sous la douche pour faire disparaître toutes les souillures qui couvrent son corps.

Une fois propre et sèche, elle passe le baume réparateur sur ses zones meurtries et sent immédiatement le soulagement se propager dans son corps. Inquiète, la gamine vérifie si elle n’a pas reçu de message de sa mère, mais non, toujours rien ! Bon le magasin est fermé le lundi, mais il faut tout de même réceptionner les livraisons de ce con de Raph. Elle ramasse ses nouveaux sabots compensés et les range dans le vestibule lorsqu’elle trouve un bout de papier glissé sous la porte d'entrée. Elle ouvre la feuille pliée soigneusement :
[Bonjour ma petite Élodie, je ne voulais pas te déranger avec tes amis hier soir, vous aviez l’air de bien vous amuser. Mais tes parents m’ont appelé pour me dire qu’ils restaient encore en vacances quelques jours. Ils ont besoin que tu t’occupes de la livraison ce matin et que tu t’occupes du magasin à partir de demain. Bonne journée]
C’était Mr. Lucien, elle reconnaît la belle écriture droite et franche de son voisin ; “Pourvu qu’il ait pas TOUT entendu !” L’adolescente est bien contente que ce salop de Romu l’ait forcée à ne pas jouir trop vite.

07h45 - ça lui laisse tout juste le temps de se saper avant d’aller faire la réception, et de rencontrer à nouveau le grand con. La gamine file dans son dressing et cherche une robe sexy qui correspondrait aux ordres du congolais. Il lui vient une idée, elle fouille dans un sac et en sort un colis encore fermé.

Lors d'un délire avec les garçons, ils s'étaient cotisés pour lui payer des ensembles sexy pour aller en boite et allumer des vieux beaux. Ils ne sont jamais allés au bout de l'idée, mais deux semaines plus tard, la gamine avait reçu les tenues commandées, et les avait rangées sans jamais les essayer. Pressée par le temps, Élodie coupe le scotch au cutter et sort du colis la première boîte qu'elle trouve. La boite anonyme contient en fait un ensemble très sexy composé d'un licol crop top dos nu en dentelle blanche et aux motifs en maille très large, le rendant quasi transparent, et d'une mini-jupe noire évasée.

Conformément aux exigences de Romuald, et durement rappelées la veille, elle ne porte aucun sous-vêtements et sort chaussée d'une paire de sandales plateforme noire au talon aiguille de 8cm et fermées à la cheville d'une fine lanière. Elle passe un rapide trait d’eyeliner, maquille sa bouche d’un baume à lèvre violet mat et en accentue les contours d’un coup de crayon de la même tonalité.

Afin de reposer ses yeux, elle délaisse ses lentilles de contact au profit de ses lunettes aux verres larges soutenu par un fin liseré métallique doré. Elle attache enfin ses cheveux en une rapide queue de cheval. Un peu anxieuse, elle sort sur le pas de la porte et vérifie que personne n’est sur le palier, puis elle prend le cliché quotidien qu’elle envoie à Romu. On voit bien son petit minou, légèrement hirsute d'un fin duvet naissant, ainsi que les pointes gonflées de ses mamelons apparaissant à travers le maillage large de son juste au corps.

Élodie ajuste ses longs cheveux en deux nattes dont elle se sert pour cacher ses mamelons et éviter le viol lorsqu'elle sortira dans la rue. Elle dévale les escaliers et arrive quelques instants plus tard a la porte arrière du magasin, juste avant l'arrivée du Kangoo du livreur.

-Eh ben dis donc ! Trois jours de suite, me dit pas que j’te manque à ce point-là ? La charrie le grand livreur, qui ne s'attendait pas à ce que l'adolescente fasse l'ouverture du stock.

Élodie ne peut contenir un regard curieux pour l’entrejambe enflée du jeune homme. “Putain il a l’air bien monte quand même !” Mais l’adolescente réprime cette idée ; “Tu vas pas commencer la journée comme ça quand même ?” L’insulte lui venant rapidement, elle lui répond :
-C’est bon me casse pas les couilles ! Les vieux sont pas là, du coup je m’occupe de la livraison !

Le jeune homme a un mouvement de recul défensif et de son grand sourire benêt, il reprend comme si de rien n’était :
-Bon aujourd’hui y a pas grand-chose, je vais chercher la palette .... Il repart mais revient sur ses pas .... Au fait, faut que j’récupère la glacière 32, elle est au-dessus des cagettes de carottes et de concombres, tu peux me la descendre pendant que j’vide le camion ?

“Putain fait chier !” Mais afin d’expédier la livraison et plus avoir à faire à cette tête de naze, Élodie attrape l’escabot bancal et l’installe entre les cagettes de carottes et celles de concombres. La gamine ne peut s’empêcher de reconnaitre que le jeune livreur sait prendre soin de ses légumes, c’est une de ses particularités, il livre toujours des produits immaculé et luisant de propreté et de fraicheur. Elle passe machinalement le bout de ses doigts fins le long de grands concombres avant de monter les marches de l’escabot a l’équilibre précaire.

Difficilement, perchée sur ses sabots, l’adolescente effleure la glacière du bout des doigts. Elle se hisse sur la pointe des pieds et parvient à faire glisser la boîte vers elle. Mais au moment de l’attraper, l’escabot fait une embardée sur la gauche, la glacière lui échappe des mains et tombe sans dégâts sur une palette de sacs de farine boulangère Mais Élodie est sur le point de se vautrer comme une merde lorsque soudain une paire de mains filiformes mais a la poigne de fer, l’agrippe derrière les cuisses.

Le cœur prêt à exploser dans sa poitrine, l’adrénaline pompant à flot dans son système, Élodie reprend ses esprits. Elle s’accroche sur la barre haute de l’escabot et met quelques instants à réaliser que son sauveur a encore ses mains sur ses cuisses dénudées. Elle sent le souffle chaud de Raphael contre la peau de ses jambes, l’adolescente a l’impression que le gros nez crochu du livreur est au niveau de son cul.

Les mains du jeune homme glissent sur la peau douce, caressent du pouce l’entrejambe charnue. D’ordinaire Élodie aurait réagi instantanément d’une insulte, d’un coup de pied, quelque chose, mais ce matin, le contact des doigts noueux sur sa cuisse la terrasse. Le rouge lui monte au joue, une légère chaleur diffuse gonfle dans le creux de son ventre Devant l’inaction de la jeune fille, Raphael se sent pousser des ailes, il remonte légèrement ses mains le long des cuisses ouvertes devant lui. Toujours pas de réaction de la gamine ! Est-ce que c’est enfin son jour ?

Ses pouces glissent sous les fronces plissées de la jupette et frôlent les plis fessier de l’adolescente. De concert, les deux jeunes gens sentent leur cœur palpiter dans leur poitrine. Élodie soupire sous les attouchements timides du jeune coq. Raphael approche son visage du petit cul dodu a sa portée, il hume le doux parfum de la crème de corps mélange a la crème apaisante.

La gamine ne fait rien pour freiner la progression des deux pouces qui caressent maintenant le duvet ultra-sensible de son aine. Elle raffole particulièrement de cette zone érogène lorsqu’elle se caresse seule dans son lit, et le contact tout en douceur réveille en elle des souvenir de plaisirs solitaires doux et feutres. Elle soupire légèrement, gémit timidement :
-HUN ....

Lorsque le jeune homme glisse son pousse gauche le long de la fente éclose de la gamine et que le droit se rapproche de sa pastille encore sensible de la sodomie de la veille, la gamine retient un gémissement en mordant sa main :
-HUUUUN ....

Elle se cambre légèrement, ouvrant un peu plus son cul au livreur qui pousse simultanément ses pouces à l’orée des deux orifices. Ils les massent en petits cercles concentrique et sent les trous se liquéfier à son contact.

-HUMPH ....

La gamine a de plus en plus de mal à lutter contre ses instincts. Sa tête lui dit de repousser les attouchements du jeune con, mais son corps est prêt à céder au plaisir sourd qui gronde dans son ventre. Engaillardi, mais avec précaution, d’expérience, il sait que la gamine est un vrai baril de poudre, et le retour de flamme n’est jamais très beau à voir, il encercle les lobes fessiers qu’il malaxe de ses mains fortes. Il écarte les deux lobes fessiers en remontant le volant de la jupe. Son cœur est prêt à exploser dans sa poitrine lorsque soudain il l’aperçoit, la petite pastille striée de la gamine. Gourmand, il ne peut se retenir de caler son visage entre les fesses fraichement lavée de l’adolescente.

Élodie fond sur place, elle a les jambes en coton, et cette langue qui commence à lui fouiller la raie, le souffle chaud et enflamme de Raphael sur sa pastille, “Raphael !”, sa chatte est en train de fondre et sa mouille perle déjà en trainées luisantes sur l’intérieur de ses cuisses bronzées. La langue de Raphael, “Raphael !!”, s’immisce dans sa corolle anale, “Raphael !!!”, elle se cambre un peu plus, “Raphael !!!!” son bassin descend à la rencontre de la langue magique. Mais la raison de la gamine lui répète sans arrêt le prénom du livreur, comme un mantra destine à rompre le charme dont elle serait prisonnière.

Élodie se cabre sur l’escabot, sa raison l'emporte sur son plaisir : "Hors de question qu'il la touche !" Elle lutte contre ses pulsions sexuelles et repousse le jeune homme, qui, surpris, perd l’équilibre est se vautre entre les cagettes.

-Raph ! Putain qu’est-ce que tu branles sale con ?

Furax, la gamine descend de l'escabot ....

La tête au niveau du torse du livreur, même perche sur ses talons aiguilles, la gamine lui tient tête et se refusant à obéir aux pulsions sexuelles de son corps, elle abandonne Raphael, habituée à ce que le garçon fasse la fermeture du stock. Le jeune homme est dépité, il y était presque, "Qu'est ce qui lui a pris a c'te salope ?" Mais loin d'abandonne il échafaude un nouveau plan pour la prochaine fois. Il pensait vraiment que le coup de la glacière allait être payant ! Mais pour l'instant, bredouille, il se contente d'admirer les fesses dodues de la gamine alors qu'elle s'éloigne en tordant du cul sur ses plateformes.

C'est le cerveau bouillonnant de colère et de frustration sexuelle qu'Élodie rejoint M. Pequeur, son prof de SVT, pour assister à la livraison de son engin. "Enfin un moment à moi !" se dit-elle, excitée comme une puce à l'idée de découvrir ce que le quadra s'est offert cette fois. Déjà qu'elle raffole des virées sur son electra glide ultra confortable, elle espère que cette fois il aura choisi un modèle moins "plan plan", surtout par rapport aux autres biker de son chapter.

Lorsqu'elle sort de l'immeuble, son visage s'illumine en observant le grand gabarit robuste du biker. Le moustachu salue apparemment le chauffeur d'une BM décapotable qui démarre en burn lorsque la jeune fille franchit le pas de la lourde porte d'entrée. Son prof traverse la rue un sourire jusqu'aux oreilles :
-Bonjour ma p'tite Élodie, eh ben dit moi, tu risques pas de crever de chaud comme ça ! La taquine-t' il en l'embrassant.

*MWAH* *MWAH* .... Elle l'embrasse, se grandissant sur la pointe de ses plateformes pour atteindre les joues du quadra.

-Bonjour M. Pequeur (elle n'a jamais pu l'appeler par son prénom) .... Euuuh .... Non c'est rien, j'essaye un nouveau style, lui ment-elle, tirant sur ses couettes, gênée.

-Bon on y va ? J'ai tes affaires dans le coffre !

Il ouvre le grand coffre servant de dossier a la passagère et en sort un cuir blanc aux liserés violets et un casque bol au dragon tribal violet lui aussi. Élodie enfile le cuir, un peu trop serre depuis que ses seins ont pris deux bonnets. Elle se contente de remonter la fermeture a la naissance de sa poitrine. Elle retire ses grande lunettes et les confie a son motard de prof pendant qu'elle passe le casque, laissant dépasser les deux couettes sur sa poitrine. Elle ajuste ensuite ses lunettes et tend machinalement la main pour que le moustachu, déjà en place au guidon du monstre, l'aide à s'installer sur l'assise du passager.

Peu habituée à porter une jupe si courte, la gamine réagit un peu tard pour plaquer l'avant du volant très léger de la mini. Les joues écarlates, elle observe le prof mais a l’impression qu'il n'a rien vu. Du moins il n'en laisse rien transparaitre. Quelle changement pour la gamine qui vient de passer le week end avec une bande d'ados blindes d'hormones.

Lorsqu'elle s'assoit, l'adolescente ajuste l'arrière de la jupette pour la caler sous ses fesses rebondies et musclées. "Putain, c'est limite !" Un centimètre de moins, et le tissu ne se calait même pas sous son derrière. Elle passe ensuite ses bras autour du bassin du motard et lui signale qu'elle est prête. Le bicylindre démarre dans le doux bruit typique de la grosse américaine, les vibrations de l'engin se propageant jusqu'à la selle passager.

La chatte dénudée, et encore ultra excitée des attouchements du livreur, encaisse ces vibrations déclenchant un frisson très agréable sur tout le corps de la gamine. Le petit gémissement qu'elle émet passe inaperçu dans le bruit ambiant, mais la crispation soudaine de son corps contre celui du moustachu, et le resserrement machinale des cuisses lisses autour de son bassin le font réagir :
-Tout va bien cocotte ? Lui demande-t ‘elle par-dessus son épaule, et posant sa grosse main sur la fine cuisse dénudée.

"Oh putain ! Mais c'est pas vrai, calme toi un peu ma fille !" Sa chatte se met à la titiller, et elle sent déjà les gouttes gluantes de sa mouille humidifier ses muqueuses gonflées du plaisir inachevé. Elle se cambre un peu, et plaque son bassin au dos muscle de son prof, appuyant sa chatte dénudée contre le cuir vibrant et froid de la selle. Elle ne réalise pas que l'arrière de sa jupe se recule sensiblement sous ses fesses charnues. Enfin en position, elle signale au motard qu'elle est prête à partir, une petite tape sur la cuisse de la gamine, et ils sont parti. Élodie frissonne à nouveau à la tape, le souvenir encore trop récent des claques qui l'ont tant faite jouir ce week-end.

Le cul de la gamine est heureusement bien cale contre le coffre derrière elle, ce qui lui évite d'afficher son gros cul aux automobilistes qui les suivent sur le chemin qui les mène chez le préparateur mécanique. A leur arrivée, le garagiste les accueil avec un sourire mitige, Élodie ne comprend pas trop et sent la tension bander les muscles dorsaux du motard. Mr. Pequeur stoppe la grosse machine, coupe le moteur vrombissant et béquille avant de descendre de sa monture. Il tapote sur la cuisse de la jeune fille, sans se rendre compte du frisson que le contact de sa main fait naitre sur la peau satinée de la gamine :
-Reste là, j’arrive !

Élodie repère le regard du mécanicien qui s'éternise un peu sur ses cuisses, elle passe alors machinalement sa main droite sur l'avant de sa jupe pour bien plaquer le tissu volant contre son pubis. Le préparateur se tourne alors vers le prof de SVT. Ils ont un échange un peu houleux, et la jeune fille voit son prof revenir vers sa machine, un tantinet sur les nerfs :
-Bon ben mauvaise nouvelle, la bécane est pas prête, mais on devrait pouvoir passer la prendre cet après-midi. Mon pote propose une petite virée afin qu'on la teste ensemble, ça te tente ?

L'adolescente, elle aussi un peu contrariée, se contente de lui sourire en retour :
-Bien sûr ! Tu m'ramènes du coup ?

-Oui oui .... Lui répond-t-il un peu distrait.

Il retourne confirmer l'heure avec son pote et les voilà repartis vers l'immeuble. Arrivés sans encombre, Élodie est rassurée, elle peut faire de la moto avec son voisin même dans cette tenue. Elle est encore tout émoustillée d'avoir senti le vrombissement de la grosse cylindrée vibrer contre sa vulve exposée et sourit intérieurement lorsqu'elle remarque le petite tache brillante sur le cuir de la selle.

Elle ne se rend pourtant pas compte que sa jupette était a deux doigts de se faire la malle a plusieurs endroits, et c'est donc confiante, souriante et toujours un peu excitée qu'elle confie son petit cuir et son casque au motard qui les remet en place. Toute guillerette à l'idée de la virée de l'après-midi, la jeune fille retourne chez elle la tête légère, mais sa libido inassouvie refait vite surface lorsqu'un courant d'air se glisse entre ses cuisses exposées alors qu'elle passe le seuil de la porte d'entrée de l'immeuble. Elle gravit les marches qui la mènent a l'étage, et qu’elle n'est pas sa surprise lorsqu'une ombre bouge devant sa porte. Elle allume la veilleuse :
-Mathieu .... Mais .... Qu'est-ce que tu fais la ? .... Ou sont les autres ?

Le grand rouquin est apparemment très embarrassé, il se frotte la tête avant de répondre intimide :
-C'est .... En fait .... Voila .... Il se lance finalement ; Ça m'a fait trop bizarre hier ! J'veux dire, nous deux, tu vois quoi ?

Elle lui sourit, pose sa petite main sur son bras muscle et couvert de tache de rousseurs :
-Viens, on rentre ! Une petite bière ?

Ne refusant pas l'aide d'un petit apéro, il accepte et sui la gamine à l'intérieur de l'appartement. Il ne peut détacher son regard du petit cul qui se trémousse devant lui et réalise tardivement la transparence du petit haut dessinant parfaitement le contour des gros seins de la gamine sous ses deux nattes.

Il s'assoit sur le canape, témoin de tous les ébats de la jeune fille de ses derniers jours, et l'observe, gourmand alors qu'elle lui apporte sa canette. Il lui explique qu'il a posé sa journée pour avoir une explication en tête à tête avec son amie.

Il passent une dizaine de minutes à parler de ce qui s'est passé durant le week end, et les souvenirs de toutes ses bites, ainsi que les réminiscences d'odeur de sexe et de foutre encore clairs dans la mémoire de la gamine ne mettent pas longtemps à réveiller certaines pulsions dans son ventre gourmand.

Élodie sent ses tétons durcir et sa chatte la titiller à mesure qu'elle parle avec le grand rouquin. La détresse du jeune homme et sa culpabilité d'avoir été aussi brutal avec son amie, la touche et elle a juste envie de le prendre dans ses bras, son gentil Mathieu !

Elle lui tend alors les bras vers son ami et l'attire a elle pour un gros câlin de réconfort. Ses gros seins s'écrasent contre la poitrine du jeune homme, et elle sent ses mains musclées encadrer puis glisser doucement sur la peau de ses flancs puis de se reins.

Leur respiration s'accélère sensiblement, puis ralenti pour finalement se synchroniser. La jeune fille se recule, leur visage se croise, leur souffle se mélange, une chaleur presque palpable nait entre leurs lèvres toutes proches. Ni tenant plus ni l'un ni l'autre, ils s'embrassent.

Timidement pour commencer, puis avec passion et fugue, ils appuient leurs lèvres les unes contre les autres et mélangent leurs langues dans un ballet torride et baveux.

Le jeune homme glisse sa main droite sur le dos d'Élodie, puis descend le plat de sa main gauche le long de la cuisse cuivrée de la jeune fille. Il caresse légèrement la finesse de son genou, puis remonte le long de la cuisse pour glisser sous le volant de la jupe légère.

Élodie se cambre de plaisir, elle passe ses deux mains dans les cheveux hirsutes du rouquin et l'embrasse avec fougue, alors qu'il l'attire à lui et glisse sa main gauche sous la fesse dénudée de la gamine.

La jeune fille est en chaleur, elle glisse sa cuisse droite sur la gauche de Mathieu, puis le chevauche littéralement, écrasant sa vulve en feu sur l'entrejambe gonflée sous le short du jeune homme. Elle ondule de désir sur le gamin, sa chatte humide et ouverte de désir glisse sur la boule de la bite gonflée et prisonnière du caleçon.

Mathieu accompagne l'adolescente en ondulant du bassin à son tour, son souffle se mélangeant à celui de la gamine, le galvanise. La tension dans ses reins et dans son short est insupportable, il meurt d'envie d'arracher les vêtements de la gamine pour la retourner et la baiser comme un animal sur le parquet du salon.

Mais le jeune homme se contient, il laisse le désir monter dans ses reins, ils se noie dans les endorphines que dégage la peau transpirante de la gamine qui tente de le chevaucher comme une bête en manque. Il passe ses bras sous les fesses de l'adolescente et la soulève en se dressant hors du canape.

Élodie ne veut pas, ne peut pas rompre le contact de sa chatte en chaleur sur la verge tendue. Elle se laisse porter, mais utilise la pesanteur pour écraser les lèvres gonflées de sa vulve contre la tige grossissante. Mathieu sent le tissu de son short s'humidifier d'un filet de liquide séminal, mélanger avec la mouille abondante de la gamine.

Il emmène la jeune fille dans la chambre rose, il n'a pas envie de la baiser encore comme une chienne, il veut profiter de son contact, de sa chaleur, de sa peau, de sa langue.

Une fois dans la chambre, Élodie ne perd pas de temps, tout en continuant d'embrasser son homme avec fougue, elle dégrafe son haut et sa jupe, qu'elle envoie valdinguer sur le sol. Elle s'apprête à déposer ses lunettes, mais il la retient :
-Non, garde les ! Tu es magnifique !

C'en est trop, ce belle étalon débordant de gentillesse, mais capable d'une violence animale insoupçonnée, la rend dingue. Elle descend de sa monture, et perchée sur ses plateformes stiletto, elle soulève le t-shirt du jeune homme, se colle à son torse qu'elle embrasse avec fougue.

Elle caresse sa peau blanche, tachetée, glisse ses ongles sur ses abdos fermes, mordille ses tétons puis s'accroupit devant lui en faisant glisser le short tendu le long de ses jambes musclées. Son pénis jaillit devant le visage enfantin de la gamine, et le gland dodu s'écrase sur le verre des lunettes de la gamine.

Elle attrape la hampe du sexe gonfle entre ses doigts et commence à le caresser sur toute la longueur, et, pendant que sa main libre glisse le long de la cuisse, elle embrasse la base de ses couilles tendues et déjà pleine de nectar.

MMMWACK Elle aspire une bourse entre ses lèvres maquillées, puis tente d'avaler les deux couilles gonflées.

Sa main droite branle habilement la bite tendue au-dessus de son visage, elle ouvre la bouche et fait glisser sa langue humide sur toute la longueur de la tige dure de désir. Ses doigts glissent et remonte le long de la cuisse pour lui caresser les couilles alors qu'elle commence à aspirer le gland dodu en le masturbant de bas en haut.

-OH Oui putain, suce moi bien ma belle ! Il attrape le visage poupon et commence à baiser en douceur les lèvres qui lui aspire si bien la bite.

Élodie s'applique, elle bave abondamment sur le sexe qui va et vient dans sa bouche, le lubrifie pour faire glisser les doigts de sa main droite le long de la tige tendue. Sa main gauche malaxe adroitement les boules gonflées, et son majeur glisse subtilement entre les cuisses tendues pour titiller l'aine du jeune homme.

L'effet est immédiat, l'ongle glisse sur les poils de l'entrejambe et titillent la pastille du jeune homme, provoquant une nouvelle tension dans la bite déjà bien gonflée. Le gland gonfle sur la langue adroite de la jeune fille, sous l'affut de sang.

-HUM .... HUM .... HUM .... HUM .... HUM .... Élodie l'avale, le branle et le doigte en gémissant de plaisir.

-OOOOOOHHHHH .... Mathieu est aux anges, personne ne l'a jamais aussi bien sucé.

Il se retire pour ne pas jouir trop vite, mais laisse la gamine continuer de le branler, alors qu'il se baisse sur le visage de l'intello nymphomane, accroupie sur des stilettos a ses pieds, pour lui rouler une pelle baveuse.

Il se redresse et reprend la baise en profondeur de cette bouche magnifique. Il attrape les couettes de la gamine aux lunettes et lui baise violemment la gorge, claquant son gland tuméfié contre la luette de la jeune fille a chaque coup de bite :
-*GWAH .... GWAH .... GWAH .... GWAH .... GWAH* ....

Élodie le laisse abuser de sa bouche quelques instants, mais son ventre hurle de désir, et sa chatte se languit de la belle bite du rouquin.

Elle expulse la longue queue tendue et dégoulinante de bave de sa bouche, se redresse, câline, fait glisser ses ongles le long de la bite luisante de bave, le branle un peu et l'attire a elle en direction du lit :
-Baise-moi !

Il la pousse sur le lit, la gamine glousse et écarte les cuisses en atterrissant sur le matelas. Il s'agenouille entre les cuisses charnues et plonge sur la vulve luisante qu'il se met à lécher goulument.

-HUN .... Oui c'est ça ! .... Lèche moi bien! .... HAN ....

Il lui plante deux doigts dans la chatte et commence à lui masser les sphincters gonfles et humides, tout en lui suçant le clito gonflé. Élodie l'attrape par les cheveux plaque le visage du rouquin contre son intimité.

Mathieu glisse sa main gauche sur le ventre tendu et cambre de l'adolescente pour lui attraper un sein qu'il malaxe en doigtant rapidement et en profondeur le vagin étroit et ouvert.

-OH Oui ... C'est ça putain !

Il joue avec le téton tendu entre son pouce et son index et le tord au moment où il plante son majeur droit dans la pastille tendue et encore sensible.

Élodie attrape son sein libre, joue avec son mamelon gonfle et se cambre, et gémit le corps envahit d'un mélange de jouissance et de douleur perçante.

-OOOOOooooooooooh ....

Les trois doigts s'agitent dans les trous de plaisir de la gamine et Mathieu aspire son gros clito tout enfle, qu'il suce goulument, les bruits humides se mélangeant aux plaintes de plaisir dans la chambre de la jeune fille.

Elle palque sa main gauche sur la tête rousse et accompagne ses mouvements alors que Mathieu s'occupe de ses trous et de son bouton. Élodie se cambre un maximum, soulève et écarte au maximum ses cuisses de part et d'autre de la tête rousse.

Elle l'attire ensuite vers son visage, envieuse et pleine de désir. L'adolescente plaque ses lèvres violettes sur la bouche couverte de sa mouille. Elle raffole du goût métallique de ses jus sur les lèvres fines du jeune homme. Elle l'embrasse passionnément pendant que Mathieu présente son sexe tendu a la vulve béante.

Il appuie son gland contre les lèvres chaudes et gonflées et le fait glisser le long de la fente de la gamine, lui arrachant de longs gémissements étouffés entre ses lèvres. Il la sent se cambrer sous son corps, la main d'Élodie glisse sur sa fesse tendue, et il s'enfonce, doucement inexorablement, écartant les chairs gonflées autour de son sexe tendu.

Élodie s'agrippe à la fesse musclée du rouquin et le griffe profondément lorsque son gland tape au fond de son vagin béant de désir.

-HUUUUuuuuummmmmmm ....

Elle ondule de son corps contre celui de son amant, l'invitant a la baiser. Le jeune homme ne se fait pas prier et commence à ramoner le vagin étroit. Il se retire doucement pour la pénétrer d'une traite violente, la belle gémit sous les coups de bite francs et profonds.

Il rompt le contact avec les lèvres pulpeuses et l'attrape derrière les cuisses pour mieux les écarter. Il la ramone ensuite avec force et en profondeur, pour son plus grand plaisir. Il ne peut écarter son regard du doux visage tordu de désir pour sa bite.

Les seins de la gamine sont valdingues d'avant en arrière sous les coups de bite, Élodie les attrape et pince ses gros tétons gonfles entre ses pouces et ses index, les roulant entre ses doigts, les étirant au maximum. Les coups de bite au fond d'elle la grise, la jouissance monte, gonfle, sourde, un crescendo de plaisir qui se repend dans son ventre.

Le gland du jeune homme gonfle, frétille entre les muqueuses gonflées de plaisir. Il se retire avant de jouir, et retourne la gamine sur le ventre, tire son cul en arrière, lui cambre les reins et se plante à nouveau dans la vulve tendue avant que la gamine ne sente son plaisir s'évanouir.

La pénétration est intense et profonde, arrachant une complainte stridente a la gamine qui lui jette un regard de prédateur par-dessus son épaule frêle en se claquant elle-même la fesse :
-Baise moi bien salop ! Défonce moi la chatte !

Un feu d'artifice de désir explose dans les reins de Mathieu qui claque ses deux mains sur les fesses offertes et s'enfonce violemment en elle.

Il attrape les nattes de la main droite, et soulève la cuisse gauche de la gamine pour les lui ouvrir au maximum. Il se met à lui pistonner la chatte avec une nouvelle vigueur :
-HAN .... HAN .... HAN .... HAN .... HAN .... Oui putain ! .... Baise moi bien ! .... HAN .... HAN .... HAN ....

Ses seins sont secoués violemment d'avant en arrière sous sa poitrine, ses lunettes glissent sur son nez en trompette, lui donnant un air de secrétaire salope.

CLAC .... CLAC .... Il lui claque les fesses et les écarte en écrasant les reins cambrer de la gamine pour lui ouvrir les fesses. Tout en lui baisant la chatte en profondeur, il crache un énorme glaviot sur la pastille qui s'ouvre et se ferme, l'invitant à le pénétrer.

Il retire sa bite luisante de cyprine et place son gland à l'orée des sphincters stries. Mathieu se replace au-dessus du cul ouvert, il plaque le visage de la petite salope sur son oreiller, puis lui cambre au maximum les reins, alors qu'Élodie écarte ses lobes fessiers au maximum. Elle pousse, comme si elle voulait chier, ouvrant en grand son anus.

Le jeune homme ne peut pas rêver d'une meilleure invitation, il pousse et fait entrer son gland gonfle dans le cul ouvert.

-Ooooooohhhhh .... Ouiiiii .... Comme ça ! Encule moi salop !

En bulldog, Mathieu s'enfonce dans les boyaux bouillants de la gamine qui gémit de plaisir alors que ses sphincters s'écarte devant le morceau de chair tendu.

Enfonce dans le cul de la gamine jusqu'a la garde, Mathieu profite des méandres béant autour de sa bite. Il se retire en douceur, et se plante à nouveau, sur toute sa longueur, puis recommence en accélérant petit à petit afin de porter la gamine vers une nouvelle extase anale.

Il l’encule bien en profondeur, lui arrachant de râles de plaisir continus.

-Oui .... C’est bon Mathieu ! .... C’est ça .... HAN .... Encule moi bieeeeen .... Putaiiiin ....

A nouveau au bord de l’explosion, le rouquin se retire, enserrant la base de sa queue dans le creux de sa main. La gamine se retourne, vorace elle l’attire à elle, s’agenouille et aspire sa queue tendue, gonflée et aux veines saillantes.

Elle lui aspire le gland, le tète comme une génisse, le nettoie de ses fluides. Elle se délecte de la grosse goutte de sperme qui perle au bout du gland, elle appuie sa langue baveuse contre le gland gonfle et la grosse goutte gluante s’écoule lentement sur sa langue.

Élodie regarde Mathieu dans les yeux pour lui montrer la goutte blanche perler sur sa langue roses. Le jeune homme est aux abois, sa prostate se contracte, il lutte pour la détendre et éviter d’éjaculer sur le visage de la petite pute a lunettes.

L’adolescente se joue de la détresse du jeune homme qui lutte pour ne pas jouir. Elle le masturbe en glissant ses doigts fermes en douceur sur la peau fine et gonflée de grosses veines bleues.

Mathieu se mord la lèvre inferieur pour résister, cette lutte fait sourire la gamine qui glisse sa langue humide le long de la grosse bite gonflée sous ses doigts fins.

-Oh putaaiiiiin salope .... Aaaaah
Il explose finalement d’un gros jet blanc sui s’écrase sur le verre des lunettes.

Élodie aspire alors le gland qui gonfle et se vide dans sa bouche en trois longs spasmes de jute gluante et chaude. La gamine ouvre la bouche pour montrer son trésor au jeune homme. Il l’observe, essouffle, et se régale de la grosse couche de jute glissant sur la langue rose. Élodie lui sourit et déglutit le sperme en l’avalant avec gourmandise.

Elle continue de branler le gamin et le suce avec passion, lui doigtant l’anus du bout de l’ongle. La bite reprend immédiatement de la vigueur entre les lèvres expertes de l’adolescente, qui n’en a apparemment pas fini avec son étalon.

-Fait moi jouir Mathieu ! Lui sort elle, en léchant la bite tendue, et lui titillant le frein du bout de la langue, avant de l’aspirer à nouveau.

-HUM .... HUM .... HUM ....

Elle le pompe en gémissant, accroupie devant lui, deux doigts lui stimulant la chatte.

Elle se relève et lui tourne le dos, il se plaque derrière elle, lui attrape les mamelles à pleine main pour les malaxer. Élodie passe sa main gauche derrière la tête du rouquin, et féline, elle ondule du cul contre la bite du jeune homme.

Mathieu croise son bras droit en travers du torse aux gros seins et de la main gauche soulève et écarte la cuisse gauche de l’adolescente. Il s’incline un peu vers l’arrière et plaque sa bite tendu à l’entrée de l’anus ouvert.

-HUN ....

Élodie se cabre et gémit de plaisir, lorsqu’il s’enfonce à nouveau dans son cul. Il commence à la limer en douceur, lui faisant profiter de toute la longueur de son sexe bande. Il se plante en elle bien à fond, et plaque le dos de la gamine contre son torse, en la soulevant par les cuisses en les écartant au maximum.

Élodie passe ses deux mains derrière elle et agrippe l’arrière du crane de Mathieu. Le reins cambres sur le ventre tendu du jeune homme, elle bombe le torse, gonflant ses gros nibards tendus vers l’avant.

Mathieu l’embrasse dans la nuque, lui lèche puis mordille le lobe de son oreille, le regard fixe sur les mamelon aux tétons tendus et durs. Il n’a qu’une envie, les agripper, les pincer, les tordre ; “Tu perds rien pour attendre salope!”
Enfonce dans le cul tendu et serre, il se dirige vers la porte fenêtre et fait basculer la gamine en avant. Elle se retient en appuyant ses mains trempées de sueur contre la vitre, les seins pendant dans le vide sous son torse.

En équilibre, le cul plante sur la bite, les cuisses écartées dans le vide, elle sent la bite sortir de son cul pour s’y replanter en force :
-HAN .... Oui vas-y salop, baise moi, encule moi que tout le monde en profite !

Et Mathieu se met à lui limer le cul avec une vigueur renouveler à exposer la belle par la fenêtre de sa chambre. Les seins de la gamine sont secoués vigoureusement sous les coups de queue :
-HAN .... Oui .... C’est bon putain !!!! .... Encule moi bien !!!!

Mathieu pose le pied droit de la jeune fille, sa jambe élongée par les stilettos lui sert d’appui. De sa main libre il tire vigoureusement les couettes vers l’arrière et enfile la gamine cambrée en profondeur, claquant violemment son ventre trempe de sueur contre les fesses dodues de l’adolescente qui gémit comme une chienne sous les coups de queue.

Les sens aux abois, Élodie sent enfin gonfler la chaleur qui se repend et se rétracte de son ventre depuis que ce salop de Raph l’a chauffée ce matin.

Elle gémit sous les coups de bites, se laisse aller à son extase, et laisse enfin éclater sa jouissance lorsque Mathieu se cambre en elle, le gland pulsant, le sperme s’écoulant dans ses boyaux dilates par la bite gonflée de plaisir :
-Aaaah ouuiiiii fait moi jouir !

Le jeune homme se crispe en elle, éclatant lui aussi d’une nouvelle jouissance. Il l’encule encore quelques instants, en douceur, la bite dégonflant dans le cul serre.

Il se retire en douceur, la gamine se retourne, féline, gourmande, elle s’accroupit doucement devant son amant, puis suce et caresse la bite ramollie et couverte de sperme chaud et de ses jus.

Taquine, la gamine ouvre la bouche pour que son amant observe la dose de foutre sur sa lèvre. Élodie lui sourit et laisse le foutre gluant dégouliner de sa langue et s'écouler entre ses gros seins gonfles. Elle se masse la poitrine en cercles concentriques pour étaler le foutre chaud et odorant sur sa poitrine.

-T'es vraiment une bonne cochonne ! J'adore ....

-Oui et merci d'être passé, j'accepte tes excuses chéri.

Elle se relève, féline et lui caresse la joue, il l'embrasse fougueusement ;
-Bon c'est pas tout ça, mais les gars m'attendent pour bouffer !

La gamine le raccompagne à la porte d'entrée, encore nue, et les seins luisants de jute. Lorsqu'elle ferme la porte, elle s'apprête à prendre une douche pour rejoindre son motard, mais son snap la rappelle à l’ordre ; "Merde je l'avais oublié !"
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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Texte coquin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 9
Histoire sexe : Une rose rouge
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