ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO

- Par l'auteur HDS Janus01869 -
Récit érotique écrit par Janus01869 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUO
ALICE, FABIEN ET VINCENT (1) : LE QUIPROQUOBonjour je m'appelle Vincent. Je vais vous raconter comment a débuté mes relations peu orthodoxes avec le couple d'Alice et Fabien.

Tout commence une journée de printemps un peu maussade. Je venais de commencer une semaine auparavant un boulot de consulting dans une boîte à Paris et pour me changer les idées, ce midi-là, je décide de manger un sandwich dans un jardin proche de mon lieu de travail. J'aime mater les nanas qui font leur jogging car elles sont souvent au naturel, peu maquillées et sans artifice. Non seulement, ça me permet de souffler loin de l’agitation des bureaux mais en plus, on repère très vite les plus jolies nenettes, surtout avec la mode des leggings qui ne laissent rien échapper au regard. A 30 ans passés je n'ai toujours pas de nana officielle. J’aime ma situation de célibataire endurci. Je suis plutôt beau gosse : je suis très grand pour la moyenne (1m91) et d'allure sportive sans être musclor non plus. Habillé en chemise et costume sans cravate, j'attire le regard avec mon bronzage permanent, mes yeux d’un noir profond, mon visage rasé mais où un très léger duvet pointe en permanence et mes cheveux châtains foncés un peu fous. Les femmes aiment perdre leurs mains dedans. J'attire les femmes folles de sexe et jolies mais pas cérébrales pour deux sous. Du coup, je n'ai toujours pas trouvé chaussures à mon pied et ce n'est pas avec les horaires à rallonge que je fais au boulot que j'arrive à sortir les soirs de semaine.

Bref je suis tranquillement installé sur un banc quand l’une des nanas que je préfère dans le lot, une belle brune à la peau blanche impeccable, aux petits seins et avec un cul à damner un saint, s'asseye à côté de moi.
- Bonjour Maître, me lance-t-elle -...
Je reste complétement interdit et n'ose pas lui demander de répéter. Ai-je bien compris, a-t-elle bien dit « Maître » ?
- Je suis tellement contente que tu aies pu venir finalement ! Je suis nue sous mon pantalon comme tu me l'as demandée, Maître et d’ailleurs courir ainsi m’a fait mouiller comme une dingue ! Mon entrejambe est trempé de cyprine, je sens l’air froid passer dessus !
-...
-vu le temps, j'imagine qu'on se retrouve dans les toilettes hommes du musée d'ici 2min? A tout de suite, Maître. Je bave d'impatience ! Ponctua-t-elle avant de partir Et elle s’éloigna en petites foulées gracieuse avec son petit popotin qui se trémoussait sous son pantalon moulant. Ces dernières phrases confirment ce que j’avais cru comprendre la première fois. Elle m’appelle « Maître ». En plus de la savoir nue dessous j’ai une trique pas possible. J’imagine que les coutures la branlent doucement. Mon gland dépasse même du boxer, je sens l'élastique le caresser au gré de ses soubresauts.
Non mais c'est quoi cette blague ?! Je regarde mon téléphone pour essayer de découvrir le pourquoi du comment. Peut-être que quelqu'un me fait une farce. Je me rappelle soudain que samedi soir j'ai posté un commentaire sur les réseaux sociaux comme quoi je me sentais seul et isolé alors qu'on est si nombreux. Peut-être que des amis me font une surprise pour ma dernière semaine dans cette boîte à Paris ?
Le rouge me monte aux joues et j’observe à la dérobée les alentours pour voir si quelqu’un a surpris notre conversation. Je décide de la rejoindre. Je n'ai pas grand-chose à perdre. Je termine en quatrième vitesse mon sandwich et pars en direction du musée à grandes enjambées. Je me sens gauche et apprêté quand j’y entre. J’essaye d’être le plus naturel possible en disant bonjour aux gardiens qui fouillent les sacs à l’entrée. Je trouve les toilettes sur la gauche derrière les caisses. Ces toilettes sont étonnamment propres pour des toilettes publiques. J'ouvre la porte du côté hommes et alors que j'avance, une petite main me prend par le col et m'entraîne dans les toilettes les plus proches. La demoiselle a retiré son manteau et je devine ses seins qui pointent sous son t-shirt. Cela me fait un effet boeuf en plus de me retrouver dans ce lieu si insolite! Je bande encore plus dure si c’est encore possible. Elle émet un petit rire ravi quand elle passe la main sur ma queue raide d'excitation : je suis en effet du genre bien membré. Rapidement elle s'agenouille devant moi et me déboutonne et avant même que j'ai pu dire ouf elle englobe mon gland dans sa bouche humide et délicate. Elle sort mon dard pour mieux me lécher les couilles et remonter sa langue le long de ma verge. Elle me regarde avec des yeux gourmands. Quelle salope! Je ne sais pas qui l'a choisie pour moi mais elle sait y faire. Elle continue en me pompant avec des vas et viens de plus en plus rapides et pour la première fois de ma vie, je ressens l'effet d'une gorge profonde. C'est divin! En ressortant ma bite, de la bave sort des commissures de ses lèvres. Elle crache sur mon gland et reprend de plus belle. Je n'y tiens plus. Je lui maintiens la tête au plus profond et lui imprime un rythme endiablé. Je lui baise carrément la bouche, aucun frein ne m'arrête. Je sens l'humidité et la chaleur de ses joues tout en sentant l'étroitesse de son œsophage sur mon gland. Quand je lui laisse un peu de répit, j'ai peur d'une rebuffade de sa part, mais non elle reprend juste son souffle et me prend ensuite les couilles une par une dans sa bouche tout en me masturbant avec ses mains. Elle s'empale de nouveau la bouche sur mon dard et je vois ses lèvres charnues roses très foncées coulisser autour de mon gland. En sentant la sève monter en moi, je lui bloque la tête et lui balance mon foutre droit dans sa gorge. Après avoir déchargé toute la sauce, elle ouvre la bouche. Sa langue est devenue blanche de mon nectar et une partie dégouline sur son menton. Elle avale tout dans un sourire et récupère le reste avec ses doigts avant de s'en délecter et lécher les babines. C'est grisant. Je viens de vivre le taillage de pipe le plus extraordinaire de toute ma vie.
- comment puis-je te remercier? Je lui demande.
- mmm en m'embrassant sur la bouche peut-être.
Je suis surpris de sa demande mais après tout ce que je viens de vivre, je ne suis plus à ça près ! Je me penche donc en avant pour me mettre à sa hauteur et ses lèvres qui quelques instants plus tôt étaient sur mon dard viennent se plaquer sur ma bouche. Elles sont encore bouillantes et humides de désir et sa langue vient ouvrir ma porte. Je lui cède volontiers. Elle a un goût un peu piquant et salé, un reste de mon jus je suppose. Elle se colle à moi telle une chatte et commence à me décalotter le gland de nouveau avec ses petites mains! Une bête que je ne connaissais pas jusqu’à présent se réveille alors en moi et ma bite prend les commandes sur mon cerveau. J'ai toujours une capote dans ma poche droite et sans même réfléchir je l'enfile, lui enlève son pantalon et lui ordonne de se pencher en avant, la croupe en hauteur. Elle s'exécute et son cul est juste parfait comme je l'imaginais! Quelle beauté! Elle est toute rasée. Elle se cambre et ses deux trous sont bien visibles. Je fais glisser mon gland entre ses petites lèvres roses. Peine inutile elle mouille déjà abondamment cette chienne. Ma queue est littéralement aspirée à l'intérieur de sa chatte. Pendant que je la bourre, je lui titille l'anus avec mes doigts. D'abord l'index, puis le majeur, puis les deux. Je sors ma bite de sa cavité suave et baveuse pour aussitôt m'empaler dans son cul. Son sphincter cède immédiatement et je peux la pénétrer jusqu'à la garde en un coup.
-mmm oh oui c'est bon, ne put elle se retenir de dire alors que jusqu'à présent elle faisait attention à ne pas se faire repérer dans les toilettes.
Je la pistonne avec force et vigueur tout en touchant son clitoris. Pendant ce ramonage en règle, elle n'arrête pas de gémir et ne contrôle plus ses paroles. "Encore" "vas y encule moi" "c'est bon" "oh oui continue" « j’aime qu’on m’éclate la rondelle » jusqu'à son explosion finale. Ses jambes flageolent. Je la retins et dans un dernier soubresaut, retire la capote, la fais pivoter pour qu'elle avale de nouveau mon nectar. Je jouis comme jamais auparavant en six longues giclées. Cette cochonne avale tout avec plaisir en me regardant droit dans les yeux de manière effrontée. Vraiment quelle bonne salope!
Mais contre toute attente, l'envie qui m'a pris de posséder cette nana qui m'appelle Maître, me donne également l'envie de la protéger contre d'éventuels prédateurs qui peuvent voir et profiter de son côté soumis. Un peu comme un animal de compagnie en somme. Je l'aide à avoir meilleur allure et je jette un coup d'oeil en dehors avant de la laisser partir devant moi. Moi-même je me passe un coup d'eau sur mon visage avant de sortir du musée. Ma soumise a déjà disparu. Je regarde ma montre et me dépêche de retourner à la boîte, l'heure du fin de déjeuner est largement dépassée! Mais quelle pause déjeuner, ça en valait la peine !
Quand je rentre au bureau cet après-midi-là, j'ai l'impression que ce que je venais de faire est imprimé noir sur blanc sur ma tête. Il me semble même que le regard des femmes a changé à mon encontre. « C'est dans ta tête, pauvre fou » je me répète inlassablement.

Mais qui est cette pute? Qui me l'a envoyée? Même en tendant la perche en écrivant un commentaire sur les réseaux sociaux « on fait des drôles de rencontres parfois dans les jardins de Paris » Aucun de mes copains ne répond. Ce silence est des plus étranges. Au boulot, je suis en mode automatique, je n’arrive plus à me concentrer à rien. Je n'arrête pas de repenser à ce moment intense et j'ai la trique du matin au soir. Je suis même obligé de me décharger dans la journée en me masturbant aux toilettes tellement mes couilles deviennent bleues de tout ce jus accumulé. Je ne peux même plus attendre la délivrance du soir.
Le lendemain midi je n'ai pas le temps de faire mon escapade dans le jardin mais le surlendemain, si. Avec une certaine excitation je m'asseye sur le même banc qui est de nouveau libre mais ma jolie brunette n'est pas là... et dire que c'est mon dernier jour sur Paris. Comment la retrouver ?
Le soir même, en furetant sur les réseaux sociaux je vois qu’un ancien camarade de master, Fabien, a changé de photo de profil. Mon cœur manque un battement : il est avec sa femme et quelle stupeur en reconnaissant ma suceuse hors pair ! Mais comment cette histoire a-t-elle pu avoir lieu ? Je ne vais quand même pas lui demander s’il sait qu’il est cocu ? J’étais en train de me décider à contacter son épouse quand je reçus un message privé de Fabien avec pour objet « explication ».

[La suite au prochain numéro !]

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Histoire sexe : Une rose rouge
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