Camping cocu (suite et fin)

- Par l'auteur HDS Marcusix -
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Camping cocu (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Camping cocu (suite et fin)
(Je remercie toutes les personnes qui ont commenté la 1ère partie et surtout ceux qui y ont partagé leur vécu)
A son réveil, Caroline m’a raconté qu’elle s’est sentie mal et que Gérard l’a accompagnée sur la plage du camping pour mieux respirer. Ils y seraient restés jusqu’à tôt le matin à discuter.

Son mensonge rendait la tromperie plus horrible car je commençais à me demander s’il ne servait pas à cacher la vérité sur leur relation. Je commençais à penser que j’étais devenu la 5ème roue du carrosse dans notre groupe de trois ; Gérard m’ayant remplacé aux côtés de ma femme.

Durant les quelques jours qui ont suivi, leur comportement ne laissait rien paraître hormis quelques regards et caresses furtives quand je ne regardais pas. J’étais toujours malade de cette trahison, de ma lâcheté et de mon excitation.

Comme pour m’assurer de la réalité des faits, il m’arrivait de faire semblant de m’absenter pour les observer de loin. Il arrivait alors qu’il lui caresse les cuisses, qu’elle lui masse le pénis et qu’ils s’embrassent.

Je ne voulais pas que cela continue mais je ne pouvais m’empêcher de faire ainsi, comme pour m’assurer que ce n’était pas un rêve, alors même que je leur donnais l’occasion de continuer.

Pire, je favorisais leur rapprochement : la colère et l’excitation me faisaient me montrer distant à l’égard de ma femme. Au cours des activités, je m’éloignais toujours un peu quand venait le moment de faire des équipes, les laissant ainsi tous les deux, et moi dans l’équipe adverse. J’espérais peut être que ça cesserait ou qu’elle viendrait me chercher. En vain.

Une fois, il a même fallu réorganiser les équipes car ils étaient partis en plein jeu. Je les ai cherchés longtemps pour ne les trouver que 30 minutes plus tard tandis que Gérard remontait son maillot de bain.

Et encore pire. Je n’ai pas pu m’empêcher d’inviter Gérard à diner à notre emplacement un soir. Il avait apporté de l’alcool. Ils ignoraient que je les avais surpris à faire l’amour alors j’ai pu les observer et j’ai bien vu que Gérard me faisait boire plus qu’il ne buvait ; je vidais mon verre dans l’herbe sous la table quand personne ne regardait. Caroline était pompette, elle.

Très tard, c’est moi qui ai suggéré à Gérard de rester pour la nuit car il paraissait également trop pompette pour rentrer à pied. Et c’est moi qui lui ai suggéré de dormir à ma place dans le lit, à côté de ma femme, car la banquette serait trop petite et trop étroite pour lui.

Je me suis détesté. Je crois que j’avais envie d’atteindre le fond dans cette histoire pour avoir la satisfaction que le pire était atteint et qu’il serait alors plus facile de gérer ainsi.

Gérard et moi étions à table tandis qu’elle était partie dans la chambre se mettre en tenue pour dormir. Je n’osais pas trop le regarder car son regard semblait dire qu’il allait faire l’amour à ma femme dans notre lit conjugal.

J’ai fait semblant de m’endormir comme une masse et attendu qu’ils se couchent. Je les ai entendus discuter de ma banquette :
Arrête on ne peut pas, il est juste à côté-Il dort profondément, il a trop bu. Je te veux-Pas ici, non-Si justement, je veux te posséder dans le lit que tu partageais avec ton mari
La porte était restée ouverte et j’étais allongé sur le côté donc hors de la lumière de la chambre. Je vis Gérard s’allonger sur le côté du lit et Caroline se mettre debout dessus. Elle a commencé un langoureux striptease en s’effeuillant lentement. Ses mains caressaient son corps et ses hanches allaient de droite à gauche de manière lascive.

Elle se déhanchait tout en ôtant sa nuisette. Elle n’avait mis aucun sous vêtement et s’est retrouvée entièrement nue. Alors qu’elle ne dort jamais sans sous-vêtement, elle avait donc prévu de coucher avec lui quand elle s’est changée…
Je la voyais danser au dessus de lui, plier les jambes et écarter les cuisses devant lui pour lui offrir un spectacle délicieux. Elle s’est retournée pour lui offrir la vue de son postérieur. Etant dans l’obscurité, elle ne me voyait pas, mais je voyais qu’elle n‘avait pas l’air de me chercher, ni de regretter quoi que ce soit.

Elle s’est finalement assise sur son visage et Gérard s’est mis à lui lécher la chatte comme un perdu. Je la voyais de dos mais elle se caressait tout le corps, signe de plaisir. Quant à Gérard, je voyais son sexe énorme en érection prêt à exploser.

Le souffle de Caroline était rapide et lourd et ponctué de petits cris réprimés tant bien que mal. Je voyais sa main agripper quelque chose (la tête de son amant j’imagine) et son basin se frotter intensément sur son visage.

Cela dura longtemps. Puis Elle s’est mise d’elle-même à 4 pattes, elle était tournée vers moi et j’espérais autant qu’elle ne me voie pas que l’inverse. Gérard s’est placé derrière elle, lui aussi me faisait face, et il l’a prise en levrette. Le rythme était intense et je voyais ses seins gigoter et son visage… Son visage trahissait le plaisir qu’elle ressentait : un mélange de délice et de souffrance provoquée par le plaisir. Ce plaisir que l’on ressent que quand on aime suffisamment le partenaire pour s’abandonner au bonheur qu’il nous procure. Caroline s’abandonnait à son amant, dans notre lit.

Gérard a fait rouler Caroline sur le ventre et il s’est allongé sur elle. De là où j’étais, je ne voyais que Gérard allongé sur ma femme et ses fesses se soulever et se rabaisser brutalement. Je ne pouvais qu’imaginer la pénétration de son gros sexe dans l’anus de ma femme. Elle devait prendre du plaisir car ses jambes et ses pieds montraient des signes de tension, de plaisir surement.

Ses pénétrations se sont faites de plus en plus rapides et je l’ai entendu dire à ma femme qu’il allait jouir. Il s’est figé au plus profond d’elle tandis que Caroline marquait un râle étouffé par la main de Gérard qui recouvrait sa bouche.

Gérard s’est écroulé sur le dos de ma femme. La masse de son corps la recouvrait entièrement. Puis ils se sont retournés et elle s’est collée à lui dans ses bras. Ils étaient en sueur, essoufflés et magnifiques.

Merci mon chéri, c’était divin. Je n’en peux plus tellement c’était bon-Tu es tellement belle quand tu jouis-Je n’imaginais pas que je ressentirais autant de plaisir à me faire enculer-Ton cul m’appartient maintenant. Je veux que personne d’autre ne l’ai.
-Je ne sais pas si je pourrai tenir cette promesse…
J’ai eu un petit répit, mais de courte durée :
-Mais sois sûr que ton corps m’a marquée et que je n’oublierai jamais nos étreintes-Je t’aime-Moi aussi, mais je vais devoir retourner avec mon mari à la fin des vacances
Je me retenais aussi fort que possible de ne pas pleurer en entendant ça. J’avais déjà joui mais leurs sentiments ainsi dévoilés et leurs corps nus encore enlacés ont provoqué une nouvelle érection chez moi.

Ils se sont embrassés puis endormis. Je me suis masturbé une dernière fois en repensant à tout ça et j’ai honteusement essuyé mon sperme avec mon tee-shirt.


Conclusion
Ayant trouvé un job d’été, ma femme est repartie plus tôt à la maison tandis que je suis resté pour finir la semaine. J’étais soulagé qu’elle parte, me convaincant que toute cette histoire était finie, aussi bien la tromperie que mon acceptation par dépit et par excitation de la situation.

A son départ, je me suis absenté quelques instants (volontairement) les laissant seuls. Je n’ai même pas osé les espionner.

Ignorant toujours que j’étais au courant de leurs turpitudes, Gérard a continué faire les activités avec moi et à m’inviter comme si de rien n’était. Je me sentais toujours aussi lâche. Je ne pouvais me résigner à admettre que j’avais laissé faire.

A l’issue d’un diner, Gérard est resté discuter. Il m’a parlé de Caroline, combien elle était épatante, pleine de vie et joyeuse… J’avais l’impression qu’il se moquait de moi et savait que je savais. Sans savoir pourquoi, j’ai tout déballé : le soir du bal, dans notre lit…
Il fut d’abord surpris, puis a souri :
-Le soir du bal n’était pas la première fois avec ta femme.

J’étais abasourdi. Je croyais avoir atteint le fond et pouvoir effacer ces vacances de ma mémoire mais en fait, c’était pire.

-4 jours avant, quand nous sommes allés à la plage du camping pendant la randonnée de groupe. Tu dormais. Caroline et moi discutions, j’ai glissé mes mains le long de son épaule, de son haut de bain, de sa cuisse. Elle ne disait rien. J’ai inséré un doigt dans son sexe, il était déjà tout mouillé.
-…-Je lui en ai inséré un deuxième puis je l’ai masturbée. Elle a joui pendant que tu dormais.
-…-Le soir du bal était notre vraie première fois, mais les fois où elle te laissait déjeuner seul, elle était avec moi à manger au restaurant ou avec des amis.
-…-Pendant votre séjour, Caroline a été ma femme plus que la tienne. Et elle a aimé le sexe et la vie avec moi.

Ainsi la tromperie était allée encore plus loin. J’avais envie de pleurer. Il m’a dit comment ma femme était devenue la sienne, comment elle avait aimé se faire prendre par lui… Elle avait aimé me tromper avec lui et surtout l’avait aimé lui à force de plaisir sexuel. Elle ne serait jamais la même ainsi que notre amour.

A mon retour, j’ai retrouvé Caroline mais tout avait changé. Elle semblait sincèrement heureuse de me revoir et a voulu faire l’amour avec moi. Je n’ai pas voulu et ai prétendu être fatigué, et cela pendant les jours qui ont suivi. A force de la repousser intimement, elle m’a demandé ce qui se passait. Je ne lui ai pas dit que je savais tout pour ses incartades et que j’y avais pris un plaisir de honte.

Je ne lui ai pas dit que mes sentiments pour elle n’était plus les mêmes. Je lui ai dit que la reprise des études en dernière année me stressait et que je n’arrivais pas à m’exciter. Je la vois faire des efforts pour me séduire mais l’image du sexe de Gérard dans sa bouche me révulse autant qu’elle m'excite.

Au fil du temps, on n’a plus couché qu’une fois par mois quand elle insiste. Elle semble m’aimer comme avant mais la frustration l’a poussée à coucher avec d’autres hommes en cachette. Même si je n’assiste pas aux rapports, je le sais quand je sens sa chatte remplie de sperme ou quand je l’entends au téléphone avec son amant quand elle me croit hors de portée.

Je ne sais pas si je l’aime mais je sais que j’aime cette douleur quand elle me trompe et je rêve de connaître son amant actuel pour l’inviter et favoriser leurs ébats à la maison et les espionner.

Quant à moi, je couche avec des prostituées plus volontiers qu’avec ma femme pour laquelle je ne ressens plus aucun désir physique si ce n’est quand j’ai le sentiment qu’elle vient de me tromper. Mais alors c’est elle qui ne veut pas faire l’amour.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Candauliste qui ne s'assume pas?....tu y prends du plaisir à la voir avec d'autres et l'incites indirectement. Ne vois tu pas en elle une prostituée que justement tu vas voir? Ta déception est naturel (vu les sentiments et que tu te sentes trahis) mais je t'assure que maintenant à 46 ans, je comprend pourquoi 2 de mes conjoints voulaient me voir avec un autre homme. En beaucoup de femmes sommeillent une salope.

Histoire Erotique
belle histoire candauliste et un peu machosiste. A toi de voir où tu veux aller dans cette relation.

Histoire Erotique
Merci de bien montrer les dangers du candaulisme.
Le couple est mort.

Bien dommage que l'histoire se termine ainsi que tu ne sois pas devenu une partie du jeu...Dans le fond cela prouve que quelle que soi la passivité de l'homme il aimerait toujours garder le contrôle des choses et ne tolère pas que la situation lui échappe complètement



Texte coquin : Camping cocu (suite et fin)
Histoire sexe : Une rose rouge
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