Chantal traque et hallali (suite)

- Par l'auteur HDS Blackbisca40 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Chantal traque et hallali (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chantal traque et hallali (suite)
Ca y était, elle avait gobé ma grosse prune, soupesait mes couilles d’une menotte, et branlait mon manche de l’autre. Elle s’appliquait ensuite à me lécher comme un esquimau. Mais elle ne pouvait prendre qu’une partie de ma pine et je la sentais frustrée.
Et je me disais encore : « Tu vas voir ma cochonne ! Ta motte et ton trou du cul vont tout avaler, eux ! »
Et je lui ordonnais :
- « C’est ça, bouffe-moi bien la bite ! »
Et petit à petit, elle enfournait plus loin ma colonne alors que je lui dévorais la motte en y plantant la langue.
Et quand le bout d’un de mes doigts s’est posé sur son oignon, j’ai observé un moment le manège de ses hanches. Elles cherchaient à le faire s’insérer.
Alors soit cette salope voulait goûter à un doigt dans la rondelle, soit elle pratiquait la sodomie et me le faisait savoir
Je l’ai contentée en massant autour, dessus, le retirant quand elle voulait le gober ; et ça la faisait se plaindre nerveusement.
Et puis je lui ai mis une phalange. Elle m’a pompé plus fort en grognant de bien-être avant de crier longuement. Et de crier encore alors que je enfonçais tout le doigt en lui suçant le clito.
Toi ma garce me suis-je dit, tu vas te le faire remplir ton cul ! Samba va d’abord te lustrer le minou quand tu lui auras bien bouffé la queue, et puis c’est maintenant sûr, il va t’épingler au mur en te sabrant la pastille à grands coups de reins !
Elle sentait la femme mûre rompue à la baise, et j’allais lui donner de la grosse banane black pour qu’elle soit accro. Et puis si elle était une bonne chienne, je lui présenterais mon cousin, avec qui on avait dévasté quelques jolies baiseuses. Et je me suis mis à rire intérieurement en pensant au « le noir te va si bien » de la pièce de théâtre.
En m’imaginant le dessert, et lui j’allais le faire durer, je n’ai pas attendu plus longtemps pour l’enfiler :
- Viens ! Je vais te baiser ! Accroupis-toi sur mon noeud et montre-moi ton cul ! Je veux le voir monter et descendre !
La belle garce s’est empressée ; elle était bouillante. Elle a pris ma tige et a pointé mon gros bulbe entre ses grandes lèvres. Elle ruisselait littéralement.
Comme méfiante, elle s’est laissée descendre lentement jusqu’à la moitié, puis est remontée ; avant de s’en avaler un peu plus en mettant sa tête en arrière et en s’émerveillant :
- Oh qu’elle est bonne !
Et je me suis dit : elle va être meilleure encore quand je vais t’enculer ! Et ça, petite salope, je vais le faire durer ! Ca va être trop bon de voir ton petit trou tout rond s’élargir sous la poussée de mon gland, et se refermer derrière pour le maintenir prisonnier !
Et puis je te maintiendrai bien la taille pour te perforer et te perforer encore ! Et cette fois-ci, je te mettrai jusqu’aux couilles !
Je lui ai ouvert les fesses et j’ai regardé ce petit oeil qui attendait mon foutre, monter et descendre au fur et à mesure qu’elle s’emmanchait ; avant d’y planter un doigt.
Quelle cavalière ! Elle a accéléré sa monte et m’a juté deux fois sur les bourses en gueulant. Moi, j’avais du mal à me retenir.
Je l’ai fait se retourner ; ça a fait baisser la pression de mon jus. Je voulais maintenant voir ses nichons balloter et ses yeux partir.
- Tu aimes ça la baise, toi ! Lui ai-je asséné quand elle s’est de nouveau encastrée sur ma bite.
Elle était à point car elle s’est lâché :
- Oh salaud, qu’est-ce que tu me fais du bien ! Comme elle est épaisse ta pine !
Ces mots inattendus m’ont fait comprendre quelle vicieuse elle devait être, et quelles futures chevauchées nous attendaient.
Alors j’ai empoigné ses seins pour la peloter, avant de pilonner sa motte à grande vitesse en lui disant :
- Alors régale-toi ma cochonne ! Tieeeeens, prends ça ! Tu l’as ma grosse banane de black !
Galvanisée par mes mots ou par son excitation, elle a encore hurlé en giclant comme une fontaine.
Moi, je n’avais plus qu’une idée en tête maintenant ; l’enculer debout, et jusqu’aux couilles.
Un peu abasourdie, elle n’a fait aucune difficulté pour se laisser amener contre le mur et se faire mettre les bras en croix dessus. Là, je lui ai malaxé la croupe en lui mettant trois doigts dans le con. Et puis toujours lui fouillant le minou, j’ai recueilli des autres doigts de la mouille qui en coulait et je lui ai barbouillé l’anneau.
Elle gigotait de haut en bas et semblait attendre le coup de grâce. Mais ma sauce était au bord de jaillir, et je voulais la limer longtemps avant de lui foutre le trou de balle. Aussi, j’ai commencé à le lui doigter lentement en lui léchant le cou.
Elle ruait du postérieur. Cette danse provocatrice me mettait les nerfs à vif, mais je lui ouvrais lentement la rondelle. Et ça la rendait aussi dingue que moi.
Et puis après un, c’est deux doigts qui l’ont pénétrée ; et et elle a continué à se dandiner pour bien les engloutir.
Elle faisait des oh de plaisir et il fallait que je la saillisse maintenant. J’ai passé toute ma queue dans sa raie du cul pour la prévenir de l’imminence de la cavalcade, et j’ai positionné le mufle gonflé de mon noeud contre sa pastille.
- Je ne me suis jamais pris un morceau comme celui-là tu sais ! Tu vas être doux hein ?
L’aveu était touchant, mais sa soumission sentait la curée. Et pour me la livrer encore plus, je lui ai dit à l’oreille :
- Tu vas aimer que je t’encule ! Je vais te faire beaucoup de bien ! Tieeeeeens !
Et d’un avancement ferme du bassin, j’ai franchi l’étroit goulet en tenant mon manche d’une main.
- Ahhhh ! Fit-elle.
De surprise sans doute, car elle n’a pas tardé à vouloir s’en prendre plus long.
Je voulais tout d’elle en même temps ; alors toujours tenant ma bite, j’ai à nouveau franchi sa lunette en lui pelotant un sein et en lui mordant la nuque.
- Ouiiiiiii ! Fit-elle cette fois-ci.
Alors je lui ai farci le trou du cul une bonne dizaine de fois pour l’entendre prendre son pied par des ah des oh et des oui, et puis je me suis enlisé plus loin.
Elle résistait à mes poussées en tendant les bras, et ma queue allait de plus en plus loin ; et elle a fini par l’avoir jusqu’aux couilles, comme je le voulais.
Là, je l’ai branlée quelques secondes et elle a encore joui.
J’ai ressorti tout mon noeud en murmurant encore :
- C’est bon de se faire prendre par derrière, hein ! Tu aimes ça la bonne bite black dans ton cul cochonne !
Et je l’ai empalée d’une longue poussée glissante de cyprine en lui branlant de nouveau le bouton.
- Ouiiiiiii ! A-t-elle meuglé sous un spasme puissant.
Moi aussi je me suis dit ouiiiiiii en commençant à la défoncer profond. Je me suis accroché à sa taille et je l’ai bourrée de plus en plus vite et de plus en plus fort, jusqu’à ce que ma sauce blanche soit impérieuse à sortir.
Et je l’ai prévenue :
- Je vais t’en mettre plein les fesses Chantal ! Làààà je vieeeens !
- Remplis-moi salaud ! S’énervait-elle en s’empalant. Donne-moi ta liqueur !
Et le flot qui s’est répandu dans son fondement a débordé sur ses cuisses avant de se répandre à terre ; je n’avais jamais émis une telle quantité de foutre. J’avais hâte de savoir s’il y aurait une autre joute.
Elle a chancelé et je l’ai soutenue jusqu’au lit. Je l’ai caressée longtemps en la bécotant, et elle me regardait avec des yeux émouvants.

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